Chapitre 8 8

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La famille de carlos était aussi émerveillée de voir leur fils faire des bons résultats. Carlos aussi était très content de son dur travail effectué tout au long de l'année scolaire. Ils étaient entrain de causer quand quelqu'un toqua à la porte. Eux tous n'attendaient pas un visiteur mais ils étaient surpris de la façon dont la personne toquait avec insistance. Carlos s'en alla ouvrir et c'était lydie.

- Bonsoir lydie, comment vas tu?

- Bonsoir carlos, je vais bien. Tes parents sont à l'intérieur ?

- Oui oui, pourquoi cette question ?

- Je voulais te proposer que tu viennes chez nous aujourd'hui, mon oncle fête ses cinquante ans et tout le monde est invité. Alors, qu'en penses tu?

- Je viendrai, ne t'inquiète pas

- Waouh! merci beaucoup

- Tu n'as pas à me remercier, je fais aussi tout pour te satisfaire

- Comme ça moi je rentre, je ne veux pas que tes parents me voient

- Pourquoi dis tu ça ?

- N'y a rien de grave carlos, on se verras. bye

Sur ce ton, lydie rentra chez elle et carlos se préparait déjà pour la fête, il se sentait aussi aimé et apprécié par des diverses personnalités. La pendule indiquait seize heures passé de quelques minutes quand il décida de se rendre chez lydie. Il avait déjà mis ses parents au parfum de tout et ces derniers avaient accepté qu'il y aille. Il prit un taxi qui lui déposa chez l'oncle de lydie.

- Euh! soit le bienvenu chez nous hein. L'accueil souza

- Merci souza. Où est passé lydie?

- Pour la fête d'anniversaire de papa ?

- Oui, c'est pour cela que je suis là. Elle m'a aussi invité

- D'accord. Patiente dans seulement dix ou quinze minutes nous irons ensembles. La fête est célébrée quelque part loin de notre quartier

- Ah bon! vous êtes vraiment sages hein, d'avoir penser à organiser cette fête ailleurs

- Nous évitons des rancunes avec les gens

- C'est le savoir vivre.

Quinze minutes plus tôt, le chauffeur arriva, en ce moment lydie sortait aussi de la maison et vit carlos qui échangeait avec souza. Elle lui demanda de lui suivre. Ce qu'il fit. Ils entrèrent

dans la voiture et le chauffeur demarra.

Michael aussi avait invité naomie. Cette dernière était présente pour la fête d'anniversaire.

Deux à trois heures d'ambiance avaient suffit pour mettre fin à la fête. Le père de michael était très content de voir ce grand nombre des gens faire part à sa fête qui était pleine des belles choses; Des photos en famille qui ont été prises, ceux qui étaient avec leurs copains et leurs copines étaient vraiment aisé(e)s dans le cadre des bons moments de la fête. C'était le jour que l'oncle de lydie venait de faire connaissance de carlos. À part ça, il fit également connaissance de naomie. Un jour inoubliable dans le coeur de chacun. Vers 19h, carlos demanda à partir. Le père de michael obligea que le chauffeur aille lui déposer vu qu'il faisait vraiment tard. Le chauffeur n'était pas incertain avant d'aller déposer ce dernier devant leur parcelle. Carlos le remerciait et il fit demi tour. La mère de carlos était très inquiète du fait que son fils ne venait pas. Elle était assise sous la véranda, une main sur sa tête et l'autre sur sa chaise. Quelqu'un fit son entrée, c'était carlos. Le coeur de cette dernière s'apaisa du coup et elle lançait un regard interrogateur à son fils avant qu'il ne s'explique concernant tout ce qu'il avait vu à cette fête et calmer sa mère. Son père sorti d'une façon similaire de nul part avec un air rempli d'inquiétude. Il voulait ouvrir sa bouche quand la mère de carlos le calma, puis elle s'était mise à tout l'expliquer à son tour. Ces justifiantes explications avaient suffit pour créer le silence et la paix dans leur petite famille.

Souza de son coté n'avait rien à faire à la maison ni où aller. Malheureusement pour elle, le week-end n'était même pas prêt. Elle fit monter et descendre sa mémoire dans toute son etendue afin de pouvoir trouver où aller mais en vain. Elle avait alors décidé d'aller au super marché vendre avec sa mère. Une vingtaine des minutes l'avait permi de rendre son corps propre et se mettre en route vers leur super marché. Ce jour là, elle emprunta le moyen pédestre pourvu qu'elle ne soit pas prise pour la fille orgueilleuse. À seulement cinq minutes de route, elle rencontra sa collègue de classe, sûrement le jour là, souza n'avait pas sa mémoire fixe. Elles s'étaient séparées y a belle lurette mais souza prit juste deux à trois minutes de conversation avec sa collègue. Elle échangeait avec cette dernière malgré elle. Puis continua sa marche. Comme les filles aiment être vu, souza marchait en soulevant ses yeux à chaque minute, elle marchait inclinée puis après elle soulevait sa tête pour regarder tout le monde. Une voiture s'immobilisant devant elle, tout en barrant sa route. Certainement cette voiture n'était pas seule, elles étaient nombreuses qui avaient créé un grand embouteillage. Mais une seulement était seule qui allait créé un accident.

Le comportement de souza l'avait permi de rester calme jusqu'à ce que l'embouteillage fasse sa disparition à petit feu. Une des personnes qui était dans une voiture l'avait remarqué sans qu'elle ne le sache. Souza parcourait sa route sans toute fois remarqué la voiture qui la poursuivait petit à petit. Ne croyez pas que c'était l'une des personnes des l'embouteillage, c'était une voiture des kidnappeurs qui voulait à tout prit la kidnapper. Arrivé à un endroit sombre, deux voitures encerclaient souza avant que deux hommes vêtus en noirs ne sortent de l'une des voitures et pointée leur l'arme sur elle. Souza commençait par trembler de tout sens, les mots l'échappait et elle ne savait quoi dire. D'une voix hausse et déterminée, souza s'était mise à crier:

Au secours! Au secours! Ce cri alerta l'une des personnes de l'embouteillage qui cherchait à mieux connaître souza, c'était un homme célibataire mais qui savait quand même se débrouiller. Il accelerait si vite afin de voir qui criait. À quelques mètres de là où était souza, il vit de ses propres yeux que c'était des jeunes kidnappeurs. Heureusement pour lui, la police revenait d'une enquête et pire encore, elle venait dans le même sens. Pour ne pas se faire repérer par ces derniers, il recula de quelques mètres avant que la police n'arrive. D'une brusque allure, ces hommes ont été tous arrêtés et conduit à au poste de police. L'enquête que revenait les agents de police était basée sur eux. Souza pouvait se sentir à l'aise et continuer sa marche. Elle voulait bouger ses pieds quand une autre voiture s'immobilisa devant elle. Elle ouvrit grandement ses yeux comme pour justifier sa peur.

- Ne me faites pas du mal s'il vous plaît, ne me faites pas du mal, je n'ai rien fait de mal. Crie t-elle d'une voix mouillée de la peur.

- Jeune fille, je ne veux pas vous faire du mal. veuillez vous calmez. Répondit l'homme qui était dans la voiture,

- Alors vous voulez quoi monsieur? car je suis pressé d'aller quelque part.

- J'ai suivi ta scène depuis l'embouteillage. Je voulais te parler mais ces imbéciles voulaient te faite du mal. N'eût été les agents de police tu serais morte. Remercie Dieu

- Oui je le sais. Mais qui êtes vous s'il vous plaît?

L'homme en question sorti de sa voiture et grande fut sa surprise de voir que c'était souza la soeur à lydie. Oui, il la connaissait vu que cette dernière avait fait connaissance de lui. Souza de son côté était stupéfiante, elle ne croyait pas que cet homme n'était personne d'autre que le docteur qui avait soigné lydie.

- Bonjour Docteur, Dit elle un peu honteuse

- Bonjour Souza, comment vas tu?

- Je vais bien docteur, et vous?

- Bien aussi, tu vas où comme ça? Puis je t'y déposer ?

- Non non, merci. Mais je suis déjà prête de là où je vais.

- D'accord. J'espère te revoir une prochaine fois, tu peux me donner ton numéro de téléphone afin qu'on soient en contact tous les jours

Souza donna son numéro sans qu'on ne la supplie. Le docteur la remercia et demarra sa voiture. Elle arriva au super marché après plus de dix minutes de route. Sa mère était surprise de la voir, car cette dernière n'avait rien dit concernant sa venue.

Elle ne se sentait pas a l'aise et expliqua à sa mère tout ce qui l'était arrivé en cours de route.

Sa mère était très choquée au point d'en faire couler les larmes, des larmes de regret. Elle la grondait fort du fait qu'elle n'avait pas voulu être déposée par le chauffeur. Sa mère l'avait beaucoup conseillé de ne plus refaire la même chose et cette dernière accepta son opinion.

Elles s'étaient enfin concentré avec les achats et les préoccupations de chaque client.

D'un coup, elles vinrent le docteur faire son entrée. Souza était de nouveau surprise, elle se disait si le docteur ne la suivait pas. Le docteur aussi était surpris de les voir dans ce super marché qu'il aimait tant.

- Docteur, vous encore ici?! S'exlame souza

- C'est à moi de te le demander! Que fais-tu même ici? Tu effectues des achats ?

- Non! c'est notre super marché

- Ah bon! Mais il est vraiment super, beau et je l'aime tant, ce super marché. Il est magnifique!

- C'est le travail de mon père

- Il doit vraiment être très sage comme sa fille

- Mais je ne pense pas. Je ne suis pas sage

- Bon, je suis ici pour effectuer quelques achats et retourner, tu peux m'aider à le faire

- Sans problème.

Souza aida donc le docteur à faire ses achats. Il fit également connaissance de la mère de cette dernière et après ses achats, il sortit du super marché.

MUSUIL KAHIJ François Papy est un homme très gentil et surtout compatissant. Né des parents congolais. Son père est un commerçant et sa mère une avocate. À l'âge de 27 ans, il est déjà docteur confirmé par l'état de son pays. Son parcours fut très mieux malgré les difficultés que l'homme doit vivre. L'honnêteté règne au centre de son caractère. Parlant d'amour, il n'a jamais eu des déceptions vu qu'il manque l'habitude de courir derrière les filles. C'était souza qui l'avait vraiment impressionné et il compta faire d'elle la mère de ses enfants. Mais est-ce cela devrait possible? Sans des déceptions entre eux?

***

Au creux de l'oreille, lydie préparait la rentrée scolaire de carlos. C'étaitdans un mois, la rentrée. Au fait, c'était la dernière année pour carlos. Il devait être en terminal et lydie en cinquième. Le soir vint, souza était dans sa chambre quand papy l'appelait. Le numéro s'affichait inconnu mais après quelques secondes, elle decrocha.

- Allô! bonsoir Souza

- Bonsoir docteur, La reconnut-elle par la voix. Vous allez bien ce soir?

- Oh oui. Je vais bien. Alors, j'aimerai qu'on se rencontre quelque part le week-end, qu'en penses tu?

Souza fit quelques minutes de silence avant que le docteur ne rétorque. Sûrement elle pensait à comment elle allait faire pour refuser cette invitation

- Souza, tu ne répond plus?

- ...

- Écoute Souza, c'est juste une détente ensemble et rien d'autres. Je veux juste qu'on se connaissent mieux!

Après maintes réflexions

- Bon, je pense réfléchir à cela avant d'accepter ton invitation. Je te ferai signe dès que je suis prête

- D'accord. Mais je compte vraiment sur ça souza. N'y pense pas mal

- Je ne pense pas mal. Mais il faut toujours réfléchir avant toute chose, donc c'est pourquoi

- Ah d'accord. Passe mes salutations à lydie si elle est présente. Ton frère aussi et sans oublier tes parents

- Je ne manquerai pas de le faire(gros sourire)

- Appelle moi juste Papy, c'est mon prénom

- Je sais maintenant ton prénom

- Cool, Bonne soirée soirée!

- Merci pareillement.

Leur conversation fut bien faite. Elle avait su le nom de ce dernier et ils causaient aisément. Ils s'étaient habitués et tout était calme entre eux.

                         

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