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***Souza YERIMA***
Cet après midi j'étais au super marché avec ma mère. Les scènes que j'avais vécu aux cours me faisaient peur; de voir deux étudiants se battre pour une fille, et par accident l'autre était mort sur place. Tous les étudiants avaient pris fuite vu que les agents de la police venaient déjà. Moi également et j'avais rejoint ma mère ici.
Mes idées étaient mélangées, je me demandais si nos cours continueront ou ils s'arreteraient.
Je ne me sentais toujours pas aisée. J'avais laissé ma mère et retournais à la maison afin de prendre un bon somme, peut être je pourrais effacer ce phénomène de ma tête. Je pris un taxi qui me déposa chez nous. Comme j'étais hyper fatiguée, j'entrai à l'intérieur, directement dans ma chambre.
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Lydie et Carlos faisaient tout ensemble, carlos se donnait beaucoup aux cours, il ne pouvait resté quelques jours sans revoir ses notes. Lydie était très contente pour ce dernier, vu ses objectifs qui ne cessaient de la séduire.
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Rachel est la deuxième fille d'une famille de trois enfants. Âgée de 20 ans, Rachel est en niveau trois de Gestion d'économies à l'une des grandes universités de la ville. Congolaise de père et béninoise de mère, elle vit dans son pays natale où elle a effectué toutes ses études. De nature comique, compatissante et une fille qui a difficile à s'énerver. Elle tient en estime la vie d'aller dans des chics restos, dans des night club, ... et bien d'autres choses. Malgré que ses parents sont aussi riche, Rachel n'est pas du genre à comparer les niveaux des vies d'autres personnes à la leur. Parlant d'amour, elle a déjà été blessée pour sa première fois par un homme qu'elle donnait toute la considération possible.
***Rachel***
La déception que j'avais survécu était très forte en moi. Je ne pouvais faire des minutes sans toute fois y penser. Mais malgré tout, j'avais appris à vivre seule, à vivre avec cette douleur qui grandissait en moi tous les jours. Cet homme m'avait déçu sans une raison valable. Il n'y avait rien de mal qui s'était passé entre nous avant qu'il me déçoive. Des jours après ma déception, j'avais appris à vivre comme toute personne. Ma rencontre avec Michael me dépasse toujours. Je ne comprends pas pourquoi c'était lui que j'avais choisi. Bon, dans tous les cas c'était juste une conversation entre nous et rien d'autre ne sera.
J'étais dans ma chambre quand j'entendis mon petit frère toquer ma porte à vive allure. Ce n'est pas de ses habitudes mais qu'est ce qui lui prend? Je descend de mon lit et j'ouvre la porte.
- Grande soeur, Grande soeur! dit il sur le point de pleurer.
Mais c'est quoi au juste avec lui?
- Qu'est ce qu'il y a, junior ?
Il ne disait rien.
Je réplique
- Junior, tu deviens sourd ?
Après avoir fait couler quelques gouttes de larmes il m'annonça que notre père avait connu un grand accident et c'est à la télé qui l'a eu l'information. Je sorti vite de ma chambre, avec peur je pris l'une des nos voitures pour aller à l'adresse indiquée. Je ne voulais que rien de grave arrive à notre père. Il est notre unique espoir, sans lui nous ne sommes rien dans ce monde. Depuis que notre mère avait tiré sa révérence, notre père devenait soucieux du jour au jour. Son comportement nous rendaient si triste et vraiment mal à l'aise. Notre père ne mangeait plus comme il le faisait avant, il passait tout son temps à nous parler de notre mère et ses bonnes qualités. Mais il oubliait que sa santé s'aggravait du jour au lendemain.
Après un long trajet, on arrive à l'hôpital. Mon petit frère avait bien compris le nom et l'adresse de l'hôpital. Donc on ne s'inquiétaient pas trop. Il descend de la voiture et je me met à le suivre. Juste à quelques pas de l'entrée, j'aperçois de loin une infirmière qui nous fait signe d'aller auprès d'elle.
- Vous êtes les enfants de monsieur mensah ?
nous demande t-elle avec sourire
- Oui madame, nous sommes ses enfants. Mais comment avez vous su cela ?
- J'ai vu quelques trait de ressemblance entre ton frère et lui. Bon, suivez moi.
On s'étaient mis à la suivre, cette infirmière. Jusqu'à ce qu'elle nous montre la chambre où était notre père. D'après ses dits, notre père avait connu un risquant accident mais grâce aux soins qu'ils l'ont administré, sa situation allait bien. Les paroles de cette dernière m'avait rassurée que mon père ira mieux. Junior ne faisait que couler les larmes. Ça m'affaiblissait aussi au point où j'avais voulu pleurer, mais je me reservais en étant comme grande soeur.
- Junior calme toi, arrêtes de pleurer chéri
- Grande soeur, j'ai peur vraiment. Je sens des mauvaises impressions concernant ceci.
- Cesse de dire cela junior. Espérons qu'il se rétablisse et qu'on rentrent à la maison avec lui!
- C'est le temps pour nous de prier grande soeur
- Tu as raison mon chéri. Toute fois, nous pouvons prier intérieurement
- c'est compris grande soeur, espérons.
Nous sommes restés dans cet hôpital jusqu'à ce que le soleil fit sa disparition, junior commença par s'inquiéter et j'essayais de le calmer à tout prix. La même infirmière revint vers nous et nous demande à partir. Je ne comprenais pas du tout ce qu'elle voulais nous dire par vous deviez partir et revenir demain. J'avais strictement refusé cela avec mon frère qui était du même avis que moi. Vu plusieurs de nos insistances, cette infirmière avait fini par nous conduire où se trouvait notre père. À mon entrée dans cette salle, et effectivement c'était notre papa. Il avait maigri de toutes ses parties du corps, c'était effrayant.
Mon père avait pris une autre forme, nul ne pouvait le reconnaître que ceux qui sont proche de lui. Je jettais un coup d'œil à mon frère, son visage était rempli des chaudes larmes, des larmes de regret. Il avait toujours raison d'être en pleures. Il se dirige calmement vers le corps de mon père avant de dire quelques mots très touchant qui m'ont fait fondre en larmes.
- Mon meilleur père, je sais que tu connais la voix de celui qui te parles et que tu l'écoute à présent.
Père, je ne sais pas ce qui t'a mis dans cet état mais j'espère que tu nous reviendras, j'espère que tu ne dormiras pas pour du bon. Pense au moins à tes pauvres enfants que nous sommes, pense au futur de tes enfants papa. Sans toi nous ne sommes rien, tu es tout pour nous papa, ...
revient nous! revient nous si vite que possible, nous espérons te voir en forme, père ...
Ces mots m'avaient touché, s'avaient créé en moi une grande douleur. Je ne pouvais plus me retenir à laisser des larmes jaillir de mes yeux.
Nous ressortames de cette salle tous tristes, mon petit frère avait sa main à la joue et ne disait plus rien, je l'aidait à entrer dans la voiture puis je démarre après quelques échanges avec certains infirmiers du dit hôpital.
(...)
Au fil de l'eau, les choses allaient désormais, mieux pour Carlos. L'année tendait vers sa fin quand sa mère avait repris son travail. Son père également se debrouillait tant bien que mal pour venir sa petite famille en aide.
Un jour, alors que Carlos et Lydie revenaient de l'école, cette dernière eu un malaise. c'était sa tête qui n'allais plus bien, elle avait mal au point où elle ne pouvais plus marchait. Ses deux mains sur sa tête, Lydie s'était mise à pleurer comme une folle, elle pleurait de toutes ses forces.
Malheureusement ce jour là le chauffeur n'étais pas présent à son travail. Carlos la prit par le dos jusqu'à prendre un taxi qui lui déposa devant un hôpital qui était prêt. Il reçu toutes les coordonnées de l'hôpital en question et s'en alla pour les remettre auprès de l'oncle de cette dernière. C'était vraiment époustouflant pour lui vu ce qui était arrivé à Lydie en cours de route. Quelques minutes après, il arrive, et heureusement pour lui la famille de cette dernière était là. Il se dirige directement vers son oncle et l'annonce la mauvaise nouvelle
- Tu dis quoi? Réplique t-il très surpris
- Oui, Lydie est à l'hôpital maintenant. Voici l'adresse de cet hôpital(la montrant)
- Mais qu'est ce qui s'est réellement passé ? demanda Michael
- Allons y d'abord à l'hôpital. Ajouta le père de Michael.
Chacun prit sa voiture et sans plus tarder, ils prirent tous la direction de l'hôpital.
***Michael YERIMA***
Depuis le jour où j'ai fais connaissance de Rachel, mes illusions envers les femmes avaient pu prendre une autre tournure. Avant je les prenaient pour des êtres ayant toujours certains profits chez les hommes mais aujourd'hui je me retrouve dans un cas où une fille à créée une belle conversation avec moi et pour finir on s'étaient fait connaissance. La pire atrocité que j'avais pu faire était de ne pas prendre son contact. Oui, je le voulais parce que ces sont les conversations qui parviennent à relier deux personnes de sexes différents afin qu'ils finissent un jour par le mariage. Rachel avait laisser un coup de foudre dans mon cœur. Je l'aime, pas seulement pour la marier mais aussi pour la prendre comme mon amie, comme la fille qui me fréquente souvent et avec la quelle je dois partager les meilleurs moments de ma vie. Je sens qu'elle me manque mais je ne sais plus comment la retrouver, je ne sais où la revoir. Mon petit coeur ne cesse de penser à elle. Je suis tombé amoureux d'elle dès la première rencontre.