Chapitre 4 4

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C'était enfin le jour de la rentrée, Carlos n'avait rien fait concernant cet événement. Et pourtant Lydie l'avait promis de prendre pour lui l'inscription dans une école de la place afin qu'il puisse bien étudier et aider ses parents. Carlos dans son calme regrettait. Qu'est ce qu'il pouvait de nouveau faire à part pleurer, regretter et remplir son coeur des soucis. Le carillon indiquait six heures trente quand il entendit des vrombissement d'une voiture depuis l'extérieur, il sort tout impatient de voir qui venait leur voir.

Il ouvre les portails et voit Lydie descendre de la voiture en tenue de l'école. Il voulait savoir ce que Lydie venait faire chez lui quand cette dernière le demanda de lui suivre. Ils arrivent au salon et elle lui tend un gros sachet. Il était surpris et voulait ouvrir sa bouche quand Lydie lui demanda de se calmer et ouvrir le sachet.

***Carlos***

Je n'en croyais pas, c'était quelque chose de plus qu'une surprise. Lydie m'avait apporté tous les fournitures scolaires; l'uniforme, les documents, les souliers... et beaucoup d'autres choses. J'étais très heureux à me voir retourner à l'école. Je la remerciai vivement pour tous ses biens faits et son bon coeur.

- Merci beaucoup Lydie, je suis très content pour toi. Je remercie Dieu de m'avoir mis en contact avec une merveilleuse personne comme toi

- Tu n'as pas à me remercier, prend ton bain et viens porter ton uniforme qu'on aillent tous à l'école. Me dit-elle d'un aspect séduisant

- Donne moi juste dix minutes et tout seras prêt

- Fait vite hein, je suis impatiente de te voir en cette tenue.

En un laps de temps, j'étais déjà prêt. La joie qui m'envahissait était si grande que je ne faisait que danser à chaque fois. Mon uniforme était au goût du jour, je l'appréciais à chaque instant. Après m'avoir habillé, je sorti rejoindre Lydie qui était impatiente de me voir en ma tenue.

- Waouh!!! c'est super vraiment, ça te vas très bien! dit elle d'un étonnement mêlé de plaisir

- Ah bon! merci beaucoup à toi. Je n'imagine pas ce que mes parents diront de nous

- Ils seront ébranlés de l'apprendre

- vraiment! ma mère seras folle de joie en tous cas

- Nous pouvons partir maintenant Carlos.

Avec grande émotion, on quitta ma maison. Le chauffeur de lidie nous attendaient toujours. À notre arrivée, il me salua et moi aussi je le fis en retour comme pour signifier ma politesse. Au bout de deux minutes il démarre. Je lance un regard à Lydie comme pour la demander dans quelle école on partait. Elle me fit signe de patience avant que le chauffeur ne remarque nos gestes. Il nous lança un regard interrogateur vu que nos mouvements lui dépassait. Enfin nous continuames la route au grand calme.

Le voisinage de l'endroit où l'on étaient me donnait des diverses impressions. C'est ma toute première fois d'arriver dans des tels endroits. En plus ces sont des milieux que les hommes ou femmes pauvres ne peuvent jamais mettre leurs pieds. La peur prit possession en moi. À travers le rétro je pouvais deviner où l'on étaient à chaque instant. Je voyais toute sorte des belles voitures conduire leurs enfants à l'école. Personne n'était à pied. Mais, ça c'est un monde à part! m'exclamais-je. Lydie remarqua toutes mes inquiétudes et me fis signe d'être en paix.

- Les enfants, descendez vite on vient d'arriver.

C'était le chauffeur qui venait de nous le dire.

- Carlos, descendons. me dit Lydie

Je descend de la voiture tout en posant tant des questions au chauffeur à travers mes regards.

- Carlos, maîtrise toi. Lydie est à tes côtés.

Je ne tenais pas pour véritable ce que Lydie avait fait pour moi; elle a prit l'inscription pour moi dans l'école de la ville où l'on paye cher! Mais comment est-ce mes parents payeront mes factures dans cette grande école s'ils n'ont pas pu le faire dans des simples? Comme Lydie et le chauffeur m'avaient demandé de me calmer, je ne pouvais plus poser des questions à part laisser ma mémoire tranquille.

Lydie me laissa chez le préfet après avoir échangé avec lui pour quelques minutes. Ce dernier me demanda de prendre place à côté de lui et après, il prit quelques informations me concernant avant de me montrer ma salle où je devrais étudier désormais. Avec une vive satisfaction, je quittais son bureau vers cette salle. Je fus surpris de voir tous les élèves qui n'étaient plus sur la cour, je pressai mes pas afin de ne pas être puni dès le premier jour. J'arrive à la porte de la salle et le professeur me demande d'entrer sans plus rien chercher à savoir.

Plusieurs organes de vue furent lancés sur moi; des hommes tous comme des femmes. Comme mon objectif en ce lieu était d'étudier, et rien d'autres, cela ne me disait rien. Je prit place derrière tout le monde afin d'éviter les connaissances et autres ... je suivais tranquillement les cours et je répondais rarement aux questions vu les nombres d'élèves que contenaient la salle. La salle était animée des cris d'élèves qui répondaient massivement aux questions. Moi dans mon coin, je me contentais d'être calme et voir la réaction de tout un chacun.

C'était ainsi jusqu'à la récréation. Lydie était venu me voir et elle m'avait apporté de quoi mettre sur ma bouche. On avaient mangé ensemble et elle était rentrée dans sa salle après le deuxième coup de sifflet. On rentre en classe et les cours reprennent avec des différents enseignants.

À la sortie, Lydie était de nouveau là, le chauffeur aussi. Après nos entrées, il démarre pour laisser Lydie et descendre aussi avec moi. J'étais plus qu'émerveillé ce jour là. C'est avec une grande joie que j'entre dans la parcelle pour trouver mes parents qui m'attendait aux portes d'entrées.

- Bonjour papa et maman. dis-je en cherchant quoi leur dire concernant mon retour à l'école

- Carlos, explique nous ce qu'on vient de voir maintenant, comment c'est arrivé.

Je fis trois soupires avant de prendre la parole.

Ma mère me fixait avec sourire et tendresse. Cela m'empêchait de me justifier.

- Euh... Euh... Euh

- Ne dis plus rien, nous sommes déjà au courant de tout ce qui s'est passé. Tu vas te demander qui nous a informer, sache que c'est Lydie elle même qui était venu nous le dire en ton absence.

- Tu peux entrer mon fils et prend ta nourriture dans la cuisine.

- Waouh! la façon dont je suis content!

- Nous également fiston. ajouta mon père.

J'entrai avec gaîté à l'intérieur et me dirigeais dans la cuisine après m'avoir échangé. Je pris ma nourriture et aux environs de seize heures, mes cahiers étaient sur table pour une bonne révision.

*** Lydie***

Je venais d'arriver à la maison, il sonnait presque 17h déjà vu que j'ai passé toute ma journée au super marché avec la femme de mon oncle, je l'aidait à satisfaire certains clients qui aimaient trop discuter les prix des produits. Y a une scène qui m'avait fait beaucoup rire. Un monsieur qui fit son entrée, il avait l'air bizzare. Tellement il jetait des coups d'oeil partout que je m'étais mise à rire. Ce qui interpella la femme de mon oncle qui servaient certains clients.

- Lydie, qu'est ce qui te fait rire? Me demanda t-elle

- C'est le monsieur là mum, il ne faisait que jetter des coup d'oeils partout à l'instar d'un voleur

- Allez ferme ta bouche! tu ne sais pas qu'il peut t'entendre et créer un sérieux problème avec toi?

- J'avais juste envie de rire vu son air

- Oublie ça ma chérie.

J'avais servi l'homme en question et il était sorti.

D'un coup, le comportement qu'affichait Carlos quand on partaient à l'école me vint en tête. Il était excessivement mal à l'aise. Son état d'esprit était frappé par cette chose inattendue pour lui. Toute la facture de l'inscription, je l'ai déjà réglée. Il ne reste que ses frais de scolarité.

L'émotion commandée qui venait en moi était quelque chose de mystérieux. Comment est-ce je pouvais faire tant des choses à la fois pour une personne que je ne maîtrisais même pas son caractère? Je me posais cette question avec une grande inquiétude. Carlos, m'a t-il fait quelque chose? Ce fut une interrogatoire entre ma conscience et mon esprit. Je ne comprenais rien de tous les actes que je faisaient pour lui.

- Ehh ma petite, à quoi penses-tu de la sorte? disait Michael qui sortait de nul part

- Bonsoir Michael

- Bonsoir ma chouchou, comment été ta journée?

- Ma journée était si adorable et rien de moche ne m'est arrivé

- Ah bon! s'exclama souza qui sortait de la cuisine

- Toi tu viens d'où comme ça? Répliqua Michael

- De la cuisine oui, répondit souza

- Et c'était synonyme de faire ton entrée dans notre petite discussion sans mon autorisation.

- Vous aimez trop blaguer vous là. dis-je en riant

Chacun rentra dans sa chambre et moi j'étais resté au salon pour contrôler mes documents.

***Michael YERIMA***

Je sort de la parcelle juste pour aller me balader un peu. Le chauffeur voulais partir avec moi quand je refusais. Je n'avais vraiment où aller, mais une idée m'étais venue d'aller dans des grands restaurants passés des bons moments seul et me détendre un peu. Je pris la route qui mène vers "ÉCLAT D'OR" l'un des grands restaurants de la ville. J'emprunta le moyen pédestre pour profiter de voir certaines choses que je n'avais jamais vu. Dans seulement dix minutes de marche, j'eu soif, intensément. Je tourne mes yeux tout à côté de moi sans voir ni grand, ni petit vendeur d'eau. La soif exagerait que j'avais commencé par appeler en vain, les vendeurs d'eau. D'un instant à l'autre, je vois une jolie fille là sortir de nul part en m'appelant aussi.

- Monsieur!

- Jeune fille, salut! dis-je sous l'effet d'un étonnement

- Salut, répondit-elle. Je vous ai entendu appeler le vendeur d'eau ou bien c'est ne pas vous?

- Ah non, c'est bien moi. j'ai tellement soif

- Comme dans notre quartier on ne vend pas d'eau, je veux t'aider en te donnant l'eau de chez nous. Une eau congelée

- Oh, merci beaucoup jeune fille.

Je m'étais mis à la suivre, tellement j'étais impatient de boire. Je me sentais déjà ahaner par cette soif. C'est le jour là que j'avais compris que quelqu'un peut mourir du soif en moindre geste.

On arrive chez elle et elle me donne de l'eau.

- Je te remercie vivement pour ta gentillesse. dis-je après avoir bu

- Vous n'avez pas à me remercier, nous devons faire des bons actes envers les autres car on ne sait jamais.

- C'est vrai ça. Mais quel est ton prénom. dis-je en partant

- Naomie. Répondit-elle tête inclinée

- Moi c'est Michael. bonne soirée à toi

- Merci pareillement.

Je sors de leur parcelle et continue ma route route. cette fois ci j'avais prit un taxi qui me déposa vite à l'endroit indiqué. Je lui donne son argent et il rentre. Directement je vois deux servantes venir vers moi deux minutes après que j'aie prit place.

- Salut monsieur, nous sommes à votre service. Que voulez vous? me dit l'une d'entre elles

- Apportez moi juste deux bouteilles de bières.

- Quelle bière monsieur, nous en avons autant ici vous pouvez justifier svp. répliqua la deuxième

- Je veux du champagne

- D'accord monsieur, nous vous reviendrons très bientôt. ajouta la première fille

Elles repartent et me reviennent avec mes bières suivi de la facture. Je me met alors à déguster ma bière quand je vois une jolie, sexy et belle femme venir vers moi. Elle était vraiment le genre des femmes que je rêve. Yeux clair, des faussettes sur les deux joues et des mignonnes lèvres qui me plongeait déjà dans un autre monde. Elle s'approche un peu plus de moi et me demande si elle pouvait prendre place.

- Prenez place, ma demoiselle. dis-je souriant

- Waouh! vous prenez du champagne! alors vous devez être quelqu'un qui touche de l'argent hein

- Certainement non. En fait je suis encore étudiant et je suis ici pour me détendre un peu et oublier certains stress du cours

- Vraiment! pouvez vous prendre ce délicieux repas avec moi? dit elle en me lançant un sourire

Je regarde et c'était le poulet rôti et du vin

- Ah non, je veux juste prendre mes bières et rien d'autres.

Je disais cela parce que je n'aime pas manger en désordre

- Oh pourquoi non, s'il vous plaît. c'est quoi même votre prénom?

- Michael. Et vous?

- Rachel.

Elle ne faisait que me sourire

- Content de faire ta connaissance, Rachel.

- Le plaisir est le mien. Alors, nous pouvons prendre le repas ensemble? ou bien

Je n'avais plus résisté, surtout que ses yeux me faisaient battre le coeur. Nous primes ce repas ensemble tel des amis des longues dates. Rachel ne faisait que me relater des histoires drôles et on riaient comme des fous malgré que j'avais honte, ...

C'est comme ça que j'avais fait connaissance d'une belle, séduisante, sexy et adorable fille.