Apprivoiser l’alpha puissant
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Chapitre 6 06

Je suis entrain de réfléchir aussi vite que je le peux, sentant bien que j'ai fait une terrible erreur, quand le dénommé Loyd me saisi par le bras. Il ne faut pas plus d'une seconde à mon loup qui bondis de l'obscurité pour le percuter au torse, l'envoyant voler à plusieurs mètres. Il se pose ensuite entre eux et moi en grognant de toutes ses forces les quatre pattes écartées, bien encrées dans le sol.

Soudain la scène devient surréaliste : des énormes chiens sortent de partout, tentant de plaquer mon loup au sol, tandis que les deux hommes en face de moi lui tire maintenant dessus avec d'étrange pistolet à fléchettes. Je crie paniquée, lâchant mon vélo pour me jeter sur eux alors que je vois d'autres personnes arriver en renfort équipés des mêmes armes.

Je lance de grand coup de pied dans le genou du blond, qui grogne d'un air mauvais avant d'attraper ma jambe pour me repousser en arrière. Je m'écroule en arrière, forçant déjà pour me lever tout en lançant des insulte. Toutefois je n'ai pas fait un pas que deux armoires à glace en costumes noires sorties de nulles part m'attrapent par les bras pour me tirer en arrière. Je mords, je griffe de toute mes forces sans savoir contre qui ou quoi je me bats. Pendant ce temps, mon compagnon a poils lutte contre trois autres chiens, sa couleur foncée ressortant sur le pelage gris et marron clair de ses adversaires. Ils roulent tous au sol avec violence, formant une boule compact de muscles et de crocs.

Ne cessant de me débattre, je parviens à échapper à mes deux agresseurs en écrasant leurs orteils tandis qu'ils regardaient la bataille en me sous estimant complètement. Esquivant avec souplesse leurs mains, je me jette ensuite dans la mêlée, attrapant au vol la queue d'un des agresseurs de mon compagnon qui se retourne pour me mordre.

Il détourne suffisamment son attention de mon loup pour que ce dernier puisse le saisir par le cou avant de l'envoyer s'écraser contre un mur. Il en fini tout juste avec celui-là qu'il attrape un autre de ses adversaires par la patte, tirant de toute ses forces, parvenant à le mettre sur le dos en position de soumission.

Je l'aide tant bien que mal en essayant de tenir les autres éloignés. Je tire sur les poils tout en distribuant des coups de pieds, même si me fait l'effet d'une mouche qui agace un cheval, quand un homme m'attrape par la taille en passant derrière moi avant de me plaquer au sol.

Je hurle terrifiée en le griffant de toutes mes forces, en réponse, il se couche sur moi pour m'immoboliser. Désespérée, je mords tout ce que je peux atteindre pour me libérer, quand je vois arriver la mâchoire de mon loup. Je me fige au moment où il le saisi par l'épaule afin de le secouer comme un jouet en peluche, s'arrêtant uniquement quand l'autre perd conscience.

Mon canidé se place ensuite au dessus de moi dans une attitude protectrice tandis que les hommes autour sont entrain de l'encercler, le mettant en joug. Avec une fureur primaire, il les observe en grognant, les oreilles couchées, tandis que des gouttes de son sang me tombent sur le visage, se mêlant à mes larmes.

Malgré sa force et sa bravoure, il est couvert de morsures. Ils sont trop nombreux pour lui, ça se voit comme le nez au milieu de la figure. Il n'a aucune chance, pourtant je sens qu'il refuse la défaite et la soumission, il ira jusqu'au bout pour me protéger. Horrifiée, incapable de retenir mes sanglots, je me sens tellement impuissante, tellement inutile...

Dans l'espoir idiot d'arrêter les hémorragies, je tends mes mains vers ses plaies sans grands espoirs, alors que j'entends le bruit des armes qui se déchargent. Son hurlement de damné se mêle au miens, terrifié, au moment où mes doigts se plaquent sur lui.

Le temps se suspends alors, comme si quelqu'un avait mis sur pause, puis soudain sous mes yeux écarquillés, je vois les blessures béantes se refermer sous mes doigts. Mon cœur loupe un battement, alors que ses poils se rétractent pendant que ses muscles se réalignent de manière surréaliste sous mes paumes.

Je suis tétanisée d'incompréhension quand je constate que mon loup géant à laisser la place à un homme. Les deux mains sur ses pectoraux, à quelques centimètres de moi, j'ai dû mal à réaliser la transformation qui vient de s'effectuer sur son corps, jusqu'à ce que je croise ses yeux acier.

J'ai encore cette sensation de me noyer dans son regard tandis que le monde s'agite autour de nous. Je devrais être terrifiée, ou inquiète des gens qui se battaient quelques secondes avant contre nous, cependant ils n'ont soudain plus aucune importance à mes yeux. Je suis juste obnubilée par son regard alors que je sens toujours quelques choses essayer de "rentrer" dans mes pensées. Il n'y a toutefois plus rien au monde à part nous deux pendant que mes mains frôlent sa peau entièrement nue.

Mes doigts glissent sur ses muscles puissant sans la moindre cicatrice ni imperfection, alors que je me sens emprisonné par ces prunelles doté d'une intensité sans pareille. Je prends le temps de détailler son visage avenant mangé par une barbe fournie et hirsute comme sa fourrure encore emmêlé sous sa forme lupoide. Il n'y a plus que nous deux, emmêlé dans une bulle intemporel où personne ne peut nous déranger.

Je tends la main vers ses cheveux châtains aux reflets noir et or qui me rappellent tant sa fourrure, quand soudain on me l'arrache, me faisant brusquement revenir à la réalité.

Je regarde, étonnée, deux hommes le traîner sur quelques mètres. Il lutte contre eux un instant, parvenant à les déstabiliser au point qu'ils le lâchent, avant de sécher l'un d'eux d'un coup de poings qui l'allonge au sol dans un grognements digne d'une bête sauvage.

Toutefois, il ne fait qu'un pas avant de mettre un genou à terre, affaibli par la dizaine de seringues hypodermique qui dépassent encore de son dos.

Entièrement nu, il n'en demeure pas moins impressionnant dans sa stature. Tout en muscles et en force, il doit bien faire un bon mètre quatre-vingt dix, étant également plus large de carrure que la plupart des hommes autour de lui. Je vois dans son regard qu'il n'a pas encore abandonné la parti.

Il grogne plié en deux, tel un animal acculé, prêt à en découdre tandis que ses assaillants reviennent à la charge. Malgré son allure d'homme, il garde néanmoins son comportement de loup, mordant l'un de ses adversaires plutôt que d'utiliser ses poings.

Je tente de m'approcher afin de l'aider, voyant bien qu'il ne s'en sortira pas dans l'état où il est, toutefois le blond qui m'a menacer au début me repousse du plat de la main, m'envoyant m'écraser à plat en arrière sur le trottoir.

_ Ne traînes plus autour de lui ! Gronde-t-il avec hargne en me toisant comme si j'étais un déchet. Repars de là d'où tu viens ! Il est avec la meute !

Je cligne des yeux sans répondre, trop choquée par tout ce que je viens de voir et de vivre. Je me contente de me relever afin de continuer à me battre, alors que j'entends encore les grognements bizarrement humains de mon loup. Toutefois je me retrouve assez rapidement face au brun nommé Chris qui s'interpose entre son collègue et moi.

_Pardon ! Me dit-il calmement en se penchant pour m'épousseter, comme si son collègue venait de me bousculer sans faire exprès, alors que j'esquive sa main comme je peux. Nous étions tous sur les nerfs depuis que notre seigneur est parti vadrouiller et nous manquions de temps pour le calmer quand il c'est enfin révéler. Notre alpha, a cause de son imprégnation, peut faire beaucoup de dégâts dans nos rangs.

Il pointe alors du doigt mon loup... Enfin l'homme qu'il est en réalité, qui semble se calmer, se laissant approcher par les gardes qu'ils combattaient quelques secondes avant. Il les renifle comme un animal, d'un air hésitant, tandis que j'essaye de comprendre ce que ce fameux Chris tente de me dire. Il y a certains mot que je ne comprends même pas: que peut bien dire "imprégnation" dans ce contexte ?

_Soyez rassurée, il est maintenant chez lui en sécurité ! M'explique le brun sur un ton calme, en me tendant ma casquette qui était tombé au sol.

Je reste bouche bée, incapable de prononcer un mot tandis que je vois des hommes enroulés mon ancien compagnon à quatre pattes dans une couverture, pendant qu'il caresse leurs visages comme s'il reconnaissait vaguement de vieux amis.

_Votre présence n'est donc plus nécessaire, reprend Chris souriant, en détournant les yeux de celui qui, à priori, est en faite son seigneur, pour revenir à moi. Vous pouvez maintenant vaquer à vos occupations...

Vaquer à mes occupations ?

Je viens de me faire attaquer par une véritable petit armée, mon chien se transforme en homme, et je suis censée reprendre ma vie comme si de rien n'était, sans explication ?

_Ne vous inquiétez pas, votre course à été payée, et j'ai rajouté un supplément sur votre compte... Ajoute-t-il comme si cela réglait tout. Ne divulguez rien de cette histoire ! Nous autres loups garous n'aimons pas vraiment attirer l'attention sur nous. Cela m'embarrasserais de devoir vous envoyer la brigade de conciliation!

Il me tend ensuite mon vélo que j'attrape comme un automate, alors que je réalise petit à petit que mon chien était en faite un non-humain... Un simple loup-garou en vadrouille. J'observe un instant les hommes l'aider à avancer vers l'immeuble, tandis qu'il passe ses bras sur leurs épaules m'ayant apparemment oublié.

_ Vous l'emmenez où ? Lui demandé-je d'une voix faible, sans trop savoir comment réagir à tout ça.

Le petit blond nerveux se tourne vers moi, de plus en plus hargneux, coupant la parole à son compagnon qui allait me répondre.

_ Ça ne te regarde pas l'humaine ! Crache-t-il avec le même regard pour moi que celui de mon beau père.

Il part sans plus faire attention à ma présence, tandis que je comprends que tout ceux qui évoluent autour de moi n'ont rien d'humain. Je sens dans leurs regards à quel point je leur donne envie de vomir du haut de mon humanité. Gêné, Chris me tapote l'épaule avec un sourire contrit, m'enfonçant ma casquette sur ma tête, avant de m'indiquer la rue d'où je viens pour me rappeler de partir.

Il me laisse ensuite debout, seule au milieu du trottoir, rejoignant rapidement Loyd à l'intérieur du bâtiment. L'endroit est maintenant complètement désert, on pourrait presque croire qu'il ne s'est rien passé.

Me décidant enfin à bouger, mais incapable de m'en aller de cette manière, j'avance d'un pas traînant vers l'immeuble où ils viennent tous de disparaître. Sur le parvis, restant à quelques mètres de l'entrée, j'aperçois un panneau publicitaire pour l'entreprise Ericsson Corp. Je cligne des yeux en reconnaissant l'homme en costume qui y figure. C'est mon loup... Du moins la personne qu'il est pour de vrai. Je reconnaîtrai ses yeux acier entre mille. Il a l'air tellement heureux sur le poster, tellement sûr de lui.

Au final, ce Chris a raison, il est chez lui, dans sa tanière de loup. Je n'ai pas compris ce qu'il c'est passé, mais vue son attitude sur la fin, il était content de revenir ici.

Ma vue se brouille tandis que les larmes inondent mes joues. Je sanglote à moitié quand je reprends mon vélo pour repartir de ce maudits endroit. Je l'enfourche sans avoir vraiment une idée de l'endroit où je veux aller.

Je pédale un moment l'esprit vide, avant que je ne puisse même plus avancer. Mes nerfs me lâchent soudainement, alors que je me traîne sur le trottoir pour me poser contre un mur. J'explose alors d'un rire effrayant, choquant plusieurs passant qui me regardent comme si j'étais folle. C'est probablement le cas d'ailleurs !

Tout cela est tellement ridicule.

Je suis si bête que j'ai confondu un loup garou avec un chien. Je l'ai fait dormir dans mon lit, je l'ai brossé, caressé ... C'est un humanoïde, pas un canidé...

Mon fou rire ne se calme pas, j'en ai mal aux côtés. Les gens me lancent maintenant des regards noirs, agacés de me voir perturber leurs vie propres et bien réglées, toutefois cela m'est égal...

Je me suis fait complètement avoir... Qu'est- ce qui m'a pris ? Je cogne ma tête contre le mur un grand coup alors que je ressens toujours cette impression que quelque chose veut rentrer dans mon esprit. J'ai même l'impression d'entendre des hurlements de loups.

Je rejette tout en bloc, tandis que mon cœur est sur le point d'exploser. Je suis pleine de colère de m'être autant trompée et pleine de souffrance en me rendant compte que je ne le reverrais plus jamais. J'ai l'impression que mon âme est entrain de ce déchirer, alors que ce n'était qu'un crétin de loup garou qui c'est moqué de moi. Je m'en veux de lui accorder autant d'importance !

Séchant mes larmes en reniflant bruyamment, je me relève puis remonte sur mon vélo. J'ai besoin de me dépenser... Je suis incapable de réfléchir posément à cette situation improbable... Je vais devenir folle.

Je roule comme jamais, lançant toute mes forces contres les pédales. Au bout d'un moment, venant à bout de mes pleures, je me sens étrangement vide alors que je erres dans la ville sans savoir où aller.

Le temps passant, je me rends compte que je divague complètement, je me reprends en me secouant. J'ai d'autre problème à régler que mon hyper émotivité au sujet du loup. Il faut que je quitte la ville, surtout maintenant que je n'ai plus de protecteur.

Je me dépêche de rentrer au dépôt toutefois, quand je l'atteins, il fait déjà nuit. Les quelques personnes qui restaient au moment de mon arrivée ont disparu à l'instant où je sors de ma douche. Cela me va, je ne veux discuter avec personne. Je ne veux pas expliquer ma démission, je ne veux pas parler de ce que je vais devenir avec des gens qui de toute façon sont heureux que je m'en aille...

Je veux juste m'enfuir, mettre autant de kilomètres que je peux entre moi et cette ville maudite, avant que la situation ne s'aggrave encore. Épuisée, je me sèche, passe un jeans, un t-shirt ainsi que mon sweat à capuche préféré tout en essayant de réfléchir uniquement à la suite de mon voyage et pas à un certain loup bringé.

Absorbée par mes pensées, j'entends vaguement la porte automatique ce fermer derrière moi avec un claquement sec tandis que je m'avance dans la rue comme un zombie.

_ Alors petite chienne ? S'élève la voix glacial de Carlos. Tu ne réponds plus au téléphone !

Je tourne la tête, tremblante de la tête au pied, avant de voir mon beau père ainsi que quatre de ses hommes. Manquait plus que lui à ma soirée cauchemardesque.

_Tu sais que je n'aime pas attendre pourtant ! Me fait-il remarquer en me montrant son téléphone, un air méchant placardé sur sa face de rat.

Horrifiée, je me rend compte qu'il a dû m'appeler pendant que j'étais coincé dans mes problèmes avec les loups garous. Si mon cerveau avait été alerte, j'aurais compris que mon temps était compté et j'aurais fuis plus tôt. Je m'insulte intérieurement de tout les noms en me décomposant devant lui.

Adieu ma belle assurance de ces derniers jours, je suis de nouveau seule face à lui. Il va me tuer... Ou pire, il va me vendre ! Je recule en déglutissant difficilement, mais je butte contre un autre de ses sbires. Avant même que je ne puisse faire quelque chose, il attrape mes bras, les tirant violemment en arrière. À deux doigts de la panique, je ne peux pas m'empêcher de gémir alors qu'il me fait mal.

_ Garde tes couinements pour tout à l'heure, et tâche de me rapporter le pactole ! Glousse Carlos en appuyant sur ma tête pour me faire baisser les yeux. Tu seras mon plus beau lot à ma vente aux enchères ce soir !

Son rictus me glace le sang alors qu'il reprend de sa voix rauque.

_ C'est la seule raison pour laquelle mes hommes ne te déchiquetteront pas tout de suite ! Rappelle toi en, tout à l'heure ! Soit tu repars avec un non-humain... Soit tu joueras avec eux pendant le prochain mois !

Mes jambes me lâchent, toutefois je ne peux pas m'empêcher de ricaner : ce n'est pas ma journée...

            
            

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