Joël : le jour que tu liras ma lettre, peut-être que je ne serais plus avec ta voix douce à mes oreilles, malgré ton handicap pour que tu puisses me gronde dessous, les décisions que j'avais pris sans demande ton avis qui t'avaient emprisonné dans ta bulle de douleur, que je ne saurais pas si tu me pardonneras pour tout le mal que je t'ai fait subit dans ton cœur, ton âme, tout ton être !
-Je ne suis sorti avec personne que toi seule, c'est après deux mois qu'on n'avait diagnostique le cancer général qui n'avait déjà bien détruit mon corps à l'extérieur, j'ai demandé à ma sœur d'écrire tous les scénarios des films avec ta meilleur copine virginie, j'arrivais plus à écrire, j'étais devenu faible.
Ma chatonne pardonne-moi de ces malentendus, qui ont créé des épines dans ton cœur après tant d'échecs amoureuse que tu avais vécu avant ma rencontre, je sais que : j'étais le seul de t'avoir dé vierge.
-Le mal est déjà fait, j'ai moi aussi contribue sans contredire, les choses qui se disant sur toi, pour que tu ne puisses pas croire dans ton cœur qui saignais ; je ne sortais avec personne !
Ta meilleure copine à fait ce donc je lui avais demandé, je la voyais pleure de votre amitié qui était infecté à cause de moi, je sais que je m'étais mal pris pesant avoir le temps pour tout arranger et revenir vers toi, mais le destin en a voulu autrement....
Je te voyais à l'école, étant devenu l'ombre de toi-même comme ces élèves qui décidaient à céder à ta souffrance en ce mettait une corde à ton cou, pour te donner l'arme à te suicide pour abréger ta douleur et abréger ta souffrance à l'école, ils faisaient tout et décidant de rendre ta vie impossible.
Je pleurais de mon côté impuissamment, j'avais mes chimio et si tu revis en arrière, tu verras que parfois je n'y venais pas, je criais si fort que ma voix ne sortait pas à cause du trou qui se trouvait au niveau de ma gorge, en toussait le sang sortait, je ne voulais pas que tu me voies comme ça, ceux qui prenne la décision de quitte ce monde sans avoir tout traverser malgré les difficultés de la vie, il faut leur aime, accepter malgré toute ces épreuves.
Nous sommes des voyageurs sur cette terre on est là pour se rencontre, s'aimer ou pas mais le plus souvent ce serait de se du mal, j'ai vu ce que ce garçon Herve t'avait fait tu as été courageuse tu ne t'es pas rabaissé à son niveau, malgré ton handicap.
Je ne te garantis rien que ta vie te réservera une bonne étoile d'être toujours heureuse tout le temps, sache que même les riches ne le sont pas, la preuve comme moi, on dit : la pire maladie sur cette terre que l'homme à en soit qui construit autour de notre corps, même l'argent n'achèterait pas la mort à la vie.
Mais toi tu n'es ni riche ni pauvre, tu as une famille qui t'aime qui est là pour toi, il y a des familles qui sont des cassures, comme une vaste brise qu'on ne peut plus ramasser les morceaux même à colle. Ne vaudrait pas soude et refuser même à cause de leur cœur, l'homme serait difficile à comprendre, entre nous on manque de dialogue, tout le monde vaudrait changer un pays, le cœur des gens, pour arrêter la détruisions, mais personne ne veut voir la réalité en soit.
Les hommes ne m'aiment pas quand le changement dure et tarde à venir, ils veulent tout de suite leur accord du cœur, je veux te faire comprendre, il faudra que tu aies à prendre les gens comme ils sont pour vivre et avancer.
Ne chercher pas à changer leur cœur, Dieu seul à se pourvoir, tu ne pourras jamais satisfaire l'homme à lui-même, il est insatisfait dans son cœur dans tous les domaines de sa vie !
La souffrance que ces élèves t'avaient fait dans ton état c'était de la méchanceté incontrôlable, sache que ces élevés ils ont une jalousie et ont un mal-être en eux, on se demande pourquoi à l'école les professeurs, les directeurs ne font rien pour arranger ce mal que ces élèves se nourrit pour pousser les autres à se détruire, on voit que le mal et non le bien.
Je te voyais tous les jours de loin, à l'école, je ne pouvais pas me mélanger à vous ; vue mon état qui s'aggravait, je n'étais loin de toi, dans une autre salle, je ne voulais pas à distance, la chaleur humaine me manquait, tout le monde m'accompagnait avec la force qu'ils avaient en eux, ne prend jamais les médicaments pour mourir comme tu avais fait un soir quand j'étais venu te voir ce jour-là, tu étais dans ton bain moussant, tu étais comme une étoile brillante douce, j'ai caresse ton visage sur ma chaise roulante, je pleurais ma sœur m'avait accompagné, et ta meilleur copine aussi, j'ai vu tout de suite que tu portais un mauvais esprit de mort qui venait roder autour de toi, ne fais plus ça pour ton propre à amour, c'est pas tout le monde qui va t'accepte dans leur cœur conduit la vie de ta route comme tu peux avec l'aide de Dieu, tu es croyante ; tu sais bien que Dieu m'aime pas les suicides, tu te donnes la mort, tu iras enfer tu es croyante, ne bois plus pour soit disant calme ta douleur ou fume.
Apprend combien tu es là d'autres voudront avoir ta place rien qu'une seconde de vie, regarde ces enfants qui meurt, après leur naissance, ceux qui sont tues, viole, ceux qui décider de prendre une très mauvaise décision et dire ce sont les autres.
J'ai plus tellement de force pour me battre, mon âme va s'envole pour un repos et t'attendre à ton tour, après une longue vieillesse.
J'aurais beaucoup aimé te dire te dire les choses, mais j'ai plus de force à tout te raconter et te faire rire revis, même si ce n'est pas le bonheur parfait, le bonheur s'arranger, qu'importe ce qu'il t'arrivera, dis-toi que tu as une lumière très belle qui brille en toi, il y a ceux qui se batte jusqu'car leur dernier souffle parce qu'ils ont cru à une vie ce souffle qui est en toi, ne perd pas ta route traverse les même si ce n'est pas tous les jours le soleil.
Tu as un bébé notre jolie princesse Grace, moi je ne la verrais pas grandi, tu seras mes yeux, mon cœur, mes paroles, mon âme et mon Esprit pour l'évite à prendre les mauvaises décisions et bonnes dans sa vie, parfois elle va t'écoute parfois non, c'est nous les humains !
On ne choisit pas la vie des autres, c'est elle qui vient à nous pour caresse à vivre ce qui nous a été donne de vivre avec force et courage dans chaque coin de ton être que tu es, c'est à celui qui le vit qui décide comment il doit traverser son chemin de vie.
Je voudrais te demande une seule chose sourit à la vie, notre petite princesse c'est notre cadeau du ciel, sourit à ton bonheur, je sais que nous t'avons blessé, je n'ai pas voulu que tu me vois comme ça, je connaissais ton cœur, tu as un cœur gros tu es très sensible, très sentimentale, tu ne m'aurais pas supporté et je n'ai pas voulu t'inflige ce double de souffrance, quand tu m'avais annoncé la grossesse j'étais très content je voulais être là, ma santé comment te l'expliquer.
Je t'ai accompagné sans que tu le sache quand tu avais accouche j'étais là, j'avais vu notre princesse, et toi qui dormais comme quand tu étais dans mes bras, j'avais senti tes caresses sur mes joues, mon corps, mon cœur battait si fort, j'étais dans la même clinique que toi, c'est virginie qui me donnait toute les renseignements, je te jure que j'ai pas voulu ça, j'étais déjà malade, quand on c'était rencontre un jour bien avant de partir bien avant que la maladie ne se déclare tu m'avais promis que parti avant moi tu serais toujours là pour moi, mais je veux que tu trace ta vie elle est précieuse, embrasse notre ange, et ne pleure plus, ne te fait pas mal à aucun coin de ton être vivant elle est une vie qui doit respirer avec un souffle.
Au moins je peux dire que j'ai essayé de te dire, que je suis désolée, d'avoir brisé ton cœur. J'ai contacté que tu cacherais une profonde souffrance depuis des années...
Ton Joël qui t'aime je ne te dis pas au revoir seulement te dire que la mort nous séparer, croque la vie, aucune haine envers personne ; j'ai appris aimer ce que j'aimais, j'ai laissé que mon cœur soit réparé des choses que j'avais mis, nous ne sommes personne on se briser, pour mourir, pour ne pas savoir ou notre âme va aller au repos je voyais les choses que les autres qui sont vivant refuse de voir, la réalité, ça fait pitié l'homme qui détruit l'autre pour se faire enterre un jour comme celui qui aurait considéré comme son ennemi, les fleurs de la vie sont les empreintes de notre cœur; voici la photo !
Chanson de Joël avant sa mort en français et anglais !
-Et faire de ton corps entier un manuscrit, la fleur de ne pas me quitter
-Dont tu te rappelleras quand tu ne seras pas avec moi
Je voudrais te revoir danser avec tes cheveux
Je voudrais que même dans ma fatiguée de mon corps
Je puisse danse avec ton corps au mien
Réf-Je meurs tout doucement
Sauf mes larmes pensent à toi et ma princesse
Rappelle-toi toujours du bon côté de moi, je t'avais donnée !
Ne laisser plus ton âme s'endormir au-delà
Le paradis c'est toi et moi, mes souvenirs c'est maintenant
-Instruments de musique
Dans les quatre planches, je ne pourrais plus te voir
Partage ensemble ses moments
Soit mes souvenirs endormir
Ton repos se trouve au lit de mes pieds
Vie, et soit l'ange des bons moments de la vie
Laisser-toi réparer là c'était casse
Jusqu'à ce que tu cries.
Bibi soupirant après avoir lu la lettre de Joël, elle souriait, embrassait virginie, je souhaiterais une amitié sincère avec toi ; sans cachoterie comme avant ça amener trop des choses amers des on a dit l'autre l'a dit, et fait des divisions, j'avais déjà fait mon deuil, après un si long voyage avec moi-même si profondément pour oublier ce que j'avais endure, que j'ai voyage avec mes propres peines croyant être le mal incarner, aimer sur cette terre tous les démons qui sortiraient dans mon corps, mon handicap ; ma fille n'ont appris à me plus pleure sur mon propre sort, si fort sans coule une goutte d'une larme on aurait dit que sa souffrance venait de prendre fin !
Elle dit à virginie, le mensonge prend les escaliers et la vérité l'ascenseur !
On dit que le temps guérit toutes les blessures mais je ne m'en suis pas trop remise.
Comment se camoufle dans un corps qui ne l'appartiendrait plus, il faudrait toujours se battre pour trouver son identité, dans ce corps qui ne lui appartiendrait plus.
Bibi aimait faire du vélo, être mère étudiante, était pour elle, une autre vie, elle comprenait à la fin ce que sa mère avait endure en leur élevant.
Parfois la fatiguée pouvait tourne, comme à une dépression, manque de sommeil, elle voulait à tout prix avoir son bac, et puis tout revoir.
Dans sa tête, Bibi pouvait petit à petit visionner les deux personnes dans son corps pour pouvoir avancer.
Celle avant la jambe, et l'autre plus !
Elle s'assit dans son bureau écrivant une chanson et le chantait à voix haute devant sa fille en dansant !
-Tu me dis que tu as besoin de moi alors tu vas me couper, mais attends -Tu me dis que tu es désolé, je ne pensais pas que je me retournerais et dire qu'il est trop tard pour s'excuser ...
-Elle tombait amoureux de tout ce qui l'entourait
-Je ne serais plus jamais la même
-Cette chute libre me fait tant d'effet
-Je ne suis pas timide, tu ne te fais pas de soucis
-Je suis en train de flirter avec mes yeux
Réf- Ton combat c'est tout ce que j'ai toujours connu
-Je me perds dans la beauté
-Eh bien espérons que la haine s'apaise et que l'amour commence
-Ton combat c'est tout ce que j'ai toujours connu
-Instruments, flûte
-Échangé avec quelques visages que je ne connais jamais, concept
- Trouver la tonalité parfaite et il y a une inondation au sous-sol
- J'essaie juste de peindre une image de moi
-Si tu veux on se baigne, si tu veux on s'essouffle
-Et ton corps veut d'un baiser, nous nous arrangerons, si tu veux un raccourci!
-Tu me donnes l'impression de voler, comme si je manquais d'espace
" Je vais en profiter pour faire une grosse sieste..."
On avait appris plus tard qu'elle avait avalé "une très forte quantité de médicaments" et avait été retrouvée inanimée par son mari, se souvient qu'elle s'était approchée pour serrer une dernière fois le père de sa fille dans les bras qui était coucher dans le cercueil. Elle raconterait comment il n'avait même pas préparé ses affaires pour son incarcération de son corps. C'est physique, mais c'est aussi psychologique. L'enferment est aussi un enfermement sur soi-même. Il a eu une période à la maison d'enfermement psychologique que j'ai tellement mal vécu que j'ai voulu m'endormir, on va le dire comme ça, une deuxième fois".
Son frère qui avait tout entendu, se mire à sourire, il était au courant tout pour protéger sa sœur gardant le secret, il ne voulait pas que sa sœur l'en veut, et son ami Joël ne m'avait pas mentionné son nom dans la lettre, il partit, et dit qu'elle courage il a eu de lui écrire, et en plus il ne m'avait pas dit.
C'est son frère qui avait tout organiser, la rencontre de l'enfant avec son père, il sortait souvent avec sa petite nièce pour faire les choses, il était à l'enterrement de son meilleur ami, dans un silence un secret lourd à porte dans son cœur, quand il se retrouvait dans sa chambre il pleurait pour cette douleur enterre en lui, il avait promis à son ami de garder ce secret et de ne rien dire à sa sœur. Fit Joël à son meilleur à son meilleur ami : protéger là, elle et l'enfant, soit pour moi dans mon regarde des yeux mon amour pour eux deux, son ami était mort dans ses bras, ce jour-là il était rentre à la maison comme si de rien n'était, restant dans cette douleur ne pouvant rien dire ni à ces parents eux même. Il vivait avec eux comme si tout allait et comme s'il était au courant de rien. Quand virginie avait appelle, il savait tout devant toute sa famille, il fit comme si lui aussi il venait d'apprendre la nouvelle !
La mère de Joël : ton fils à l'air d'être le seul à se sortir d'affaire, il adore la musique, il est bien accompagné avec son prof qui lui a amené une certaine stabilité. La musique adoucit les mœurs. Tu disais que cela te faisait chier de ne plus être là pour pouvoir le voir grandi, mais tu pourrais un jour comprendre pourquoi je le dis.
Les deux femmes se tenaient les mains, la mère éclatait en sanglot, le père prit l'enfant ; la mère de Bibi la prit dans ses bras, ne trouvait pas de parole quoi lui dire dans ce grand chagrin si énorme (le deuil est une partie de notre être que nous portons en nous et partie de l'être humain que nous les mamans nous avons porte dans notre ventre) Après qu'ils c'étaient expliqué de tout, tard dans la soirée, la famille de Joël s'en allaient chez ils promit de rentre visite.
Il faudrait que je retrouve tout mon courage en moi dit -elle en ses paroles et que j'arrête de pleurer, ou de me faire du mal, couper les cordes qui m'empêches de bouger.
Oui il faudrait que j'apprenne à nouveau à danser sous la pluie pour que mon corps revive, mon âme et mon cœur, pour le bonheur de ma fille qu'elle me voit sourire que toujours triste, j'ai eu une révélation en moi l'amour ne s'arrêterait jamais de nous fait mal et souffrir mais on ne doit pas ce suicide pour quelque chose qui n'est plus à vos côtes. Il faudrait que je me souvienne en regardant en arrière, de la personne que j'étais avant toutes ces épreuves.
J'étais gaie insouciante, souriante, j'avais l'air d'un papillon, j'étais libre comme l'air. Un jour je me relèverais, j'aurais sûrement un peu mal au dos d'être resté si longtemps courbée pour éviter les bourrasques de la vie. Je pourrais enfin regarder le ciel qui sera redevenu bleu, je secouerais ma tête pour enlever toutes ces gouttes de pluie, et m'offrir ainsi à la caresse du soleil.
Il existe un arc en ciel pour tout le monde, pourquoi par pour moi ?
Puis un bruit sourd elle entendait un bruit aux escaliers, elle court et attrapait son frère par son bras, Janko mon frère !
S'il te plaît ne t'en va pas reste, l'embrassait, autour de son corps pleurait et lui remerciait de tout ce donc il avait fait pour elle. Il ne voulait pas montre son visage, et la serrait aussi fort dans ses mains contre la barre des escaliers, son cœur battait, sortir de sa bouche, mon travail de grand frère vient de s'achever de ce côté-là mais je serais toujours là si tu as besoin. Elle prenait son visage, dans ses mains le caressait, en lui donnant une baise aux lèvres, et puis elle murmurait : si tu n'étais pas mon frère c'est toi que j'épouserais sur le champ de cœur !
Toi qui es devenu si proche de moi sans que je ne te demande rien, il y aurait beaucoup des frères et sœurs qui ce seront la guerre dans ces situations, mais toi tu as laisse ton bonheur pour me sauve, par la force des choses. Qui m'a obligé à parler qui m'a mis dans des colères profondes mais qui m'a fait tellement de bien.
Je suis ton frère, c'était à moi de veille sur toi !
Je te comprends regarde-moi mon frère bien aime dans mon cœur, là par terre à genou devant toi, regarde; combien de fois tu as essuyé mes larmes grand frère, combien de fois tu m'as tendu la main pour m'aider à me relever tu m'as même pas pense à toi, je te voyais sans te voir dans ton regard cette tristesse que tu refusais de me faire voir, comme j'étais enterre dans toute mes peines et douleur, je voulais finir avec la vie, retrouve cette terre qui m'a fait naître dans le ventre d'une mère comme je l'ai fait aussi.
Il éclatait en sanglot devant sa sœur en laissant couler ses larmes qui ne voulait jamais montre à personne à causer de sa pudeur, sa sœur le prit dans ses bras, malgré qu'il ne voulût pas, mais cette phrase de son ami, lui revient dans sa tête et ce laissant berce pour la première fois et sa copine vit vers lui pour aider Bibi, et virginie fit un signe de la main de leur laisser toute seule que c'était pour eux de se retrouver.
Tu n'es pourtant pas un menteur, le délire du dimanche matin, si la situation n'était pas aussi dramatique j'en rirais. Mais là j'ai fini de pleure grâce à toi. J'ai toujours été la perdue sans boussole, la fille qui s'attachait trop vite et qui finit par se faire éclater le cœur. Jamais volontairement, pas de trou du cul ou de clicher trop utiliser...
Simplement que j'étais trop sensible et m'attachais extrêmement, uniquement à ça. Je m'efforce de voir le meilleur de chaque personne, ses faiblesses puis ses ambitions. Pendant que certain prononce les «je t'aime » précipités.
Je n'ai pourtant rien fait pour toi à part être là, je suis cette gitane qui va qui vient, qui ne sait plus vers qui se tourner, et quand je me tournais c'est ton visage ma sœur que je voyais en larme tristesse, je ne pouvais te venir en aider complètement, qui ne sait plus quoi penser. Je me perds dans tes douleurs, avec toi.
Bibi ne lui répondit pas tout de suite, elle le regarda un bon moment : j'avais composé seule ma vie, avec la peur au ventre, cette peur qui était devenue malgré moi mon compagnon de route et de vie, enterre dans une boue, ou j'arrivais plus à respire, ses morceaux de mon corps que je ramassais les miettes de chaque os sans pouvoir savoir ou les mettre, parfois je me trompais de tous les jours. Je me recroqueville comme si je m'apprêtais à recevoir des coups, que le destin me frappait régulièrement comme si je ne devrais plus jamais me relever, j'avais perdu mon identité, je ne trouvais plus forte et combative dans tout même mes entraiment je les avais mis à côte, je suis dans l'attente de je ne sais pas quoi. Je n'étais perdue sur un chemin au fil de ces années, égarée et déboussolée.
Elle restait dans un long silence, et pour finir sa phrase et mot : Demandez à mon cœur, corps tout entier, qui bouger, pourquoi ; mon cœur c'est toujours accrocher à ces voyageurs d'hommes sans projets d'avenir avec moi, j'ai tant fait de mal à moi-même à cause de non rendu à l'amour que je voulais !
Bibi pour moi c'est comme avoir un nouveau testament de vie, je ne vois aucune issue de sortir de là, à mon mal être dans mon cœur serre. Et ce n'est pas vers toi que je regarde au fond de moi que je vais me tourner.
Tu es devenu si inexistant pour moi, même mes larmes ne coulaient plus, mon cœur me souffrait plus, pour ceux qui se disait mes amis, j'en avais plus, je les avais déposés comme on déposerais des passages sur le bord de la route ; compte sur mes bouts de doigts humm, je les remercie de leur travailler envers moi.
Pour la première fois dans ma vie ; je vais prendre des antidépresseurs de mon propre corps et prière, je regarde ce médicament je sais que ça va aussi me faire mourir, comme tout ce donc que nous prenons devient excès et nous fait mourir, je suis là, ce matin hésitante la boite devant moi, je prends, je ne prends pas donc je préférais les jeter qu'ils ne deviennent pour moi un poison de d'autres ennuis, qu'il ne faudra pas en mettre dans ma tête, mon cœur, mon âme, etc....
Les prendre serait pour moi comme une prison, accepter ma faiblesse de ne pouvoir faire face à la vie, serait une façon de rester dans ma petite vie qui étais devenue bien trop étroite pour moi, et pourtant je serais responsable, de mettre mit dedans, nous sommes les seules responsables de notre propre dépression sur certain domaine, comme il aurait certain qui vous mettrez dedans que vous ne viviez dans la peur de tout, ses corps touchent sans autorisation, mutilé.
J'avais besoin de respirer, de redevenir moi, celle qui pouvait rire de tout et de rien, pouvoir retrouver l'insouciance d'un lendemain sans nuage de mauvaise humeur. J'ai du mal à retrouver mon chemin, en ce moment la paix commence à prendre place dans mon être, les dangers c'est tous les jours, les évites. Vu que j'ai eu un grand effort en moi et grâce à ma famille j'ai compris.
Je pensais que tu reviendrais me faire redescendre sur cette chaise avec tes ailes d'ange pour me rassurer dans les épreuves de la vie que je vis et subir. Je pensais que l'amour que tu avais pour ton enfant allait te faire franchir toutes les barrières même celles de l'au-delà. Je suis seule, à me battre, je dois faire face à tant de choses, et là j'ai mes forces qui m'abandonnent. Je tiens à peine debout. Je puise ma force dans le regard et le sourire de mon enfant.
Que va t'il m'arriver sans toi ?
Il faudrait faire la paix avec sois même, aller sur ta tomber que j'ai déserté depuis un an et demi. Je ne peux pas y aller sans pense à toi, toi qui dors pour ne plus te réveiller, m'agenouiller là devant une tombe en pierres combien êtes-vous là-dedans.
La vie serait tellement douloureuse pour sa part, la mort ne lui ferait pas changer d'avis autrement qu'elle ne changerait de liste de choses qui est passage obligatoire pour tous que nous oublions souvent dans nos mémoires. Cherchant du réconfort, sa vie est une porte qu'elle laisse fermée longtemps à la douleur de ce monde ou elle avait laissé les gens venir siège à l'intérieur pour danser avec ses tourments, au son d'une musique que les notes mélancoliques qu'elle-même laissant pénétrer ses ennemies les plus nombreuse, ceux qui l'avaient harceler, insultant sorte, rejeter bousculer, avait pas droit à pleurer sinon encore huer de coups, dans son silence m'était construit un mur de peur, dans mon cœur, personne ne voulait m'entendre j'avais des réponses toute faite et bien préparer que ceux qui croyait me comprendre me les donnait.
J'avais parcouru tant de chemin, j'y avais usé mes bottes, casser mes ongles à force de m'accrocher afin de ne pas chuter à une corde qui était déjà coupe au milieu de mon chemin de vie. J'en ai versé des larmes pour guéri mon cœur qui était rempli d'eau, qui ont creusé des sillons sur mes jours, des cernes que je garde constamment, que je parviens à cacher par un sourire que j'affiche tout le temps.
Je suis une éternelle optimiste, mais là il me fait défaut le bougre.
Je suis fatiguée. J'ai mal de partout. Je me sens lourde, je me traîne, je traîne toutes ses choses qui me tombent régulièrement sur la tête. Je n'arrive pas à me faire à l'idée que tout fini par s'user, que les gens puissent s'épuiser d'enlacer la même personne.
Elle n'arrivait pas à se faire à l'idée que des gens veulent se connaître là pour eux à tous les moment en s'oubliant comme une vielle maison abandonne ou personne ne voudrait venir habiter ou visiter, maître autant, s'aimer d'un amour excessif, puis tenter de s'oublier, de ne pas pourvoir plus se regarde, parfois à avoir de la haine vers l'autre, se déchires à l'intérieur on a envie d'avoir une lumière quelqu'un qui nous tiendra la main et mettre un tapis pour nous évite de chute de rentre ces gens qui vont nous détruire, briser notre cœur qu'on à partager avec eux, c'est comme une lampe qui c'éteint, pour ne plus se rallume dans notre corps déjà abîme des échecs, des coups, des humiliations, des rejets, des insultes de toute part, vous aimeriez être un ange en vous pour ne pas à avoir à subir ça. Mais quand tout s'écoule, on se retrouve avec nul autre choix que d'abandonner, puisqu'il sera impossible de faire revenir cette personne qui à décide de prendre son envol comme un aigle libre et vous à pleure de cette amour qui ne m'avait jamais commencé et que les fondements de cette aventure ne m'allait pas dure, malgré d'être battu de toute votre force, vous voyez le château de carte s'effondre devant vos yeux. Il faut se faire à l'idée qu'un jour, une autre prendra notre place...
Tout ce qu'elle avait pu supporter ces dernières années avait de fini par avoir raison sur elle. Plus de courage, de force à se battre. Avait hagarde face aux événements. Se demandait même si un jour elle parviendrait à retrouver le sourire, le vrai celle qui l'appartenait qu'à elle seule. Un sourire avenant, un regard bienveillant. Mon dieu elle était en train de s'éteindre, de ne plus se noyer aussi, ne parviendrait pas à remonter à la surface.
Elle avait le sentiment de ne plus vivre vraiment, mais seulement exister. Portait en elle une sorte de nostalgie qu'elle n'arriverait pas à décrire, la nostalgie de quelque chose qui semblait perdre. Avait l'impression de m'être arrêtée quelque part, d'avoir une part d'elle inachevée."
"Être née pour lui", pleure l'homme dont elle vantait la sincérité, la gentillesse. "C'était un mec bien".
"Cette maladie est pernicieuse elle est plus intelligente que l'homme. Mon homme aussi était épuisé il a tellement lutté il s'est tellement battu.
Elle était déjà très fragilisée mais encore vive intellectuellement. J'avais à lui montrer beaucoup de photos de sa vie pour qu'elle les commente et nous n'avons eu aucun mal à converser. Elle qui a toujours donné l'image d'une battante était maintenant dans un fauteuil roulant
« S'est rendu compte qu'elle avait besoin d'aide. On ne peut forcer personne à comprendre qu'il a besoin d'un traitement, il doit l'accepter lui-même « Profondément malheureuse depuis plusieurs années avec elle-même, elle était morte à l'intérieur ».