Ce rappelant de ce sentiment de vide quand il ou elle prononce l'irrévocabilité ?
Bibi était comme une jolie maison vide qu'il n'aurait jamais d'habitants dedans à y vivre, cette plaie qu'elle va s'infligé à elle-même pour vite grandir.
« Personne ne comprend donc que c'est un sentiment sain ?»
Bibi l'avait décidé, cette année elle ferait l'amour. Mais avant ça, c'est la rentrée, les copines, autant d'obligations qui l'empêchent de voir son amour comme elle voudrait ; les questions fusent dans sa tête.
-Est-ce que les préliminaires c'est faire l'amour ?
-Et est-ce qu'il faut qu'il y ait pénétration pour perdre sa virginité ?
-Est-ce que coucher avec quelqu'un c'est différent de faire l'amour ?
-Pourtant, les ruptures, si elles peuvent apparaître insurmontables, nous apprennent toujours. Larguée, délivrée raconte ces moments de la vie où il a été question de se réinventer pour vivre une vie plus belle encore.
Bien évidemment, je prends des conseils. Mais j'essaie, comme mon personnage, d'être dans une démarche de vérité. Cela étant, je fais le distinguo : il y a des codes à respecter et il vaut mieux être bien conseillé.
-Je crois qu'être soi-même est la chose la plus importante.
Bibi refermait son journal. Cette plongée à la rencontre de cette jeune fille lui avait donné un regard nouveau sur sa féminité, et sur son évolution.
En voyant les autres filles, bien coiffé, habillé on aimerait être comme les autres, faire partir de la bande des chics filles.
Bibi et Joël étaient souvent à "plan cul". Après les cours, ils prenaient le goûter et faisaient l'amour et comme si le monde leur appartenait et ils ne se protègent pas ils sont dans l'amour vrai de l'innocence des jeunes. Et pour essayer de le conquérir, Bibi s'essayait à des nouvelles pratiques sexuelles avec lui, : n'est-ce pas comme ça qu'on garde un garçon ?
Elle aimait mettre les 5 positions sexuelles en pratiquer pour une pénétration jouissive qu'elle pratiquait avec Joël : Il y avait les caresses et les baisers qui accompagnait tout ça. Mais pas seulement !
N'oubliant pas la pénétration pour éprouver du plaisir qu'avec Joël dans sa tête c'était lui son mentor celui avec qui elle voulait finir ses jours. Apprendre à rêver ce disant t'elle à chaque fois qu'elle faisait quelque chose.
Même le froid ne pouvait pas l'empêcher d'être dans ses bras, il lui donne les moments agréables que tout pouvant tomber même la guerre ne pouvait pas les empêcher de prendre du plaisir.
Le cadène Joël l'avait ouvert sur le corps de Nadine de s'épanouie, chaque jour Joël faisait l'amour avec Bibi comme si c'était la dernière fois pour eux deux.
Il aimait la provoquer pour qu'elle parler et sa lui faisait rire, il avait un sale caractère mais à côté d'elle il se faisait petit, s'il pouvait attraper le monde beau et donner à Bibi pour qu'elle ne puisse plus à avoir peur et se détruire il l'aurait fait pour la soulager.
-L'union de la pie est position d'une source de plaisir qu'elle aimait avoir, tous les ingrédients sont là pour vous offrir une belle pénétration.
-L'union du tigre qu'à laisser votre partenaire vous pénétrer en, pourquoi pas, lui caressant les fesses (vous n'avez que cela à faire de toute façon).
-La position de l'indolent elle aimait prendre les commandes sur lui, c'était une joue savourer un angle de pénétration digne de ce nom...
-Le missionnaire A courir après les positions extravagantes, on en oublierait presque le plaisir. Et le plaisir, cela passe d'abord par du confort. Ça ne fait pas de mal. Cela fait même du bien.
-La levrette pour accélérer l'extase, les autres ne bouderont pas leur plaisir. Et même votre partenaire en profite !
100% plaisir. Bibi avec Joël était bonne sexuellement au lit, salle d'eau et à la cuisine elle aimait écrire ses positions et partager avec ses ami(es).
Joël possédait un petit studio au-dessous de ses parents qu'il n'avait pas besoin de monter voir ses parents pour leur déranger.
Il n'avait rien dit à Bibi de sa maladie il voulait profiter.
Ils passaient souvent aux jeux du l'édging cette technique consiste à se caresser, seule ou à deux, jusqu'à atteindre un niveau d'excitation proche de l'orgasme, avant de... tout stopper !
Le but est de répéter cette manœuvre plusieurs fois, pour finalement jouir de manière plus intense et plus longue.
On débute donc seule, « allongée sur le lit, avec les jambes naturellement ouvertes.
Je fais partie de ces personnes qui travaillent d'abord sur eux. Je pars de mes émotions pour aller vers la vérité du personnage de mon corps qui avait été abîme par l'accident. Cette méthode de travail l'obligeait à un véritable travail personnel pour aller explorer ses émotions et ensuite pouvoir.
Elle était morte à l'intérieur, elle n'en a pas éprouvé ce besoin. " Elle voulut s'endormir une deuxième fois."
"J'ai vécu des choses personnelles difficiles que j'ai crus que mon cœur allait s'arrêter au bon chemin, on se bat avec des démons à l'intérieur de nous que nous ne connaissons pas du tout leurs pouvoirs sur notre corps qui porterait à notre âme."
-Elle ne voulait plus vivre ; étant vide à l'intérieur d'elle qui lui faisait peur en vivant l'enfer de ne pas savoir quelle direction prendre avec ses peurs qui pouvaient l'empêcher d'avancer.
-Élégante, croquante, malgré son handicap...
Elle ne voulait pas qu'on s'apitoyer sur elle, elle a un toit où dormir d'autres n'ont pas cette chance d'avoir un toit des parents qui seront là pour l'aimer et l'aider à avancer "Elle se souvient s'être retrouver cloué sur un lit d'hôpital et manque de peu de se faire amputer d'une jambe au départ de fuir ses problèmes » Mais par miracle, ou plutôt grâce à "un traitement chirurgical extrêmement lourd", elle parvient finalement à s'en sortir. "sa guérison est un électrochoc, une révélation pour elle ".
Lui disait-on. À chacun de ses passages les regards se posaient sur elle, quand -elle avait repris l'école et tout presque les choses de la vie, mais la danse non.
-Bibi marchait sur ses pieds qui ne touchaient à peine le sol après cette guérison.
Le menton relevé, le regard furtif sur le côté gauche ou droit, ses déhanchements, souvent mécaniques, ne laissait personne indifférent. On aurait dit les amortisseurs d'un véhicule américain. Cœur fragile s'abstenir comme elle se décrivait.
Au départ, elle avait beaucoup d'amis, très populaire dans on école qui ne la déplaisait pas. Tout le monde voulait l'avoir comme amie et ressemble, elle n'appartenait pas à une dynastie mais brillantait à l'école, plein de projet etc...
- Tu es très belle, lui disait ses parents son grand-frère était gaga d'elle ! Ainsi elle n'avait pas besoin de recourir à la beauté artificielle que lui proposaient ses ami(es) à vouloir être comme une maison figée qu'on ne devrait retaper avec les papiers peints et de la peinture, encore aujourd'hui les boutiques dites d'esthétique sont remplies du mal-être de ce que l'on voit et qu'on voudrait effacer à tout prix.
-Bibi devant son miroir dans sa chambre se mirait en se voyait pas belle comme les autres la voyait, pour elle ; il aurait des choses à changer, elle est née comme ça, mais cette belle fleure ne lui plaisait pas du tout non plus.
Il fallait réparer ce corps pour être parfait : je voudrais être plus populaire que les autres se disait certains étudiantes ; ces personnes que je croise dans la rue et dans mon école, mes résultats scolaires satisfaisantes, je devrais, mais involontairement la compétition était déjà lancée avec son esprit, quand je marchais dans les rues de Paris, cette insolvable vie, ces sdf qui mendiant ces jeunes filles qui ont refusent tout autorités de leurs paris, ces Arrondissements qui égorges pleines de ressources qui nous envie d'enquêtes de voir nos origines.
Le château rouge ce marche avec ce plaisir de voir les vendeurs de toutes origines, on voir la beauté de la créature de Dieu, ils ont oublié instant la guerre de ce déteste, et qu'ils voient qu'ils sont tous égaux, cette générosité d'aider l'autre marchant, et après ce marché le visage effacer cette générosité de certain.
Cette concurrence je les vois dans leur yeux, j'oublié mes soucis instants, j'aime observer pour faire plaire à mon âme cette acquissions de cette beauté, on dit qu'il faut des méchants pour faire tourner un monde sans eux le monde sera triste.
À Saint-Denis, ses rues que le trailway passe ces bus, quand je vais prendre le métro pour aller dans l'autre arrondissement je vois ma vie voyage parfois avec mes ami(es) on se baladaient, et quand ils ne pouvaient pas dans leurs occupations ailleurs, c'était avec un grand plaisir que je pouvais n'évader avec Joël il voulait tellement voyage.
Ces vendeurs ambulants qui chercher à s'en sortir, quoi de vendre du maïs bouillir ou braises, chacun cherche une sortir de liberté d'être au sommet de la richesse, ces jeunes qui se cachent dans des cagoules avec des armes, ceux qui ne se cachent plus pour vendre du coke.
Bibi : j'ai de la chance je suis dans une classe aise, ces immeubles insolubles que les ras, souris, accompagnent des cafards, l'eau qui filtre les murs de leurs appartements, en tasse dans ses immeubles, les pauvres dans des endroits insoluble, on les promet un monde qu'un jour ils seront relogées ; mais ils sont là dans la patience de croire que leurs vies vont changer.
On vie au l'apparence est une identité plus propre, ce café de des étranges qui ont tout laisser dernière eux pour venir cherche une vie meilleure en France, d'autres s'en sortir et d'autres non, quel sera la bonne place dans ce monde de poser ses bagages et valises sans laisser couler une goutte de larmes et comment savoir marcher au milieu des serpents vermineux sans être mordu jusqu'car l'os, sans perdre la vie.
Avec Joël, Bibi voyageait, ils sont allés au Calais voire ses immigrants venus des autres, ils partageaient le repas vêtements, ils étaient tous deux impliquer des associations, donc les voyages qu'ils prenaient pendant les vacances scolaires était pour eux une source de liberté de voir autres choses. Ils sont prêts à tout même à prendre leurs vies en mer prendre leurs jambes ils sont prêts, la vie ne leur dit plus rien ils sont oppressés dans leur mentale, leurs attentes sont si longues, les hauts placés s'accuser ne voyant pas réellement leur détresse de ces immigrants, cette mer qui sera leurs peurs qui leurs effraie qui sera peut-être leurs derniers voyages.
Les passeurs prenaient leurs argents pour leurs permettre une vie meilleure dans les autres pays sans leurs garantie une réussite certaine, ils font du markéting, chasses de tous les continents de cette terre ; ils veulent être accepter c'est là que la beauté de la vie m'a donné une chance d'être né dans une belle étoile, de ne pas traverser ça, de voir ces enfants qui ne sont pas sûr d'avoir un avenir incertain dans cette mer vont-t 'ils vivre ou être pris en charger ?
Ils prennent le risque de voler le bateau pour aller en mer, quand il y a du vent, ils craignent plus d'être pris, ils sont captifs et en prison dans des pays qui ne les acceptait ils dorment sur le pont au passer les voitures.
Ils pertes tout à cause de ses passeurs, qui leurs prennent tout même leurs vies, ils leurs briser moralement, physiquement et financièrement.
J'oubliais un instant que je souffrais et que mes souffrances n'étaient pas égales à ce qu'ils traversaient eux, moi j'ai un bon toit, j'ai tout, ils n'ont pas la moitié de ce que j'ai, rien n'a changer depuis la guerre et maintenant ; ça sera toujours la guerre entre humains.
-Je rentrais chez moi épuise de voir l'injustice humaine.
Ses accusations mensongères, la diffamation, la jalousie s'invitaient aussi dans le milieu scolaire au harcèlement pure et dure que même les adultes profs en font bave ses élevés parfois mal élève qui se croit tout permis, où elle allait au Lycée. Pire, se livrait déjà à des pratiques occultes et sataniques, alcool, drogue se faisait des binotages qui pouvait aller à se retrouver dans des situations horribles que certains parents se retrouvaient en deuil. Tous les moyens étaient bons pour taire les autres concurrentes.
Les cas de suicides souvent non élucidés étaient signalés dans l'école ; les disparitions de certaines filles jugées gênantes par la concurrence qui alimentait les conversations du corps professoral ; les viols en réunion étaient examinés par la commune où était implanté le commissariat de Police. A la vérité, les gains faciles constituaient des appâts pour ces filles dont la frivolité n'était plus à démontrer par des mots.
Les informations étaient souvent alarmantes qui n'avaient pas réussi à l'enlever l'envie de faire des études, ou de sortir. L'école c'est un choix dans la vie, se disait-elle. La réussite dans la vie en est parfois tributaire. Comme ses parents le lui avaient conseillé, Bibi ne pensait qu'à ses études. Tout le monde l'aimait pour ça, mais cette envie d'études, il y avait des sortir.
Elle ne voulait surtout pas vivre les histoires d'amour sans issue quand t'on désir un choix du cœur de refuser de souffrir, on se retrouver souvent piégé de ce choix temps voulu qui n'arriver pas comme on le voudrait, si on ne se bat pas on se dit flânant et qu'on attend tout qui viendrait du ciel, et si on se bat aussi les chemins seront si étroites avec des épreuves qu'on n'aurait jamais voulues les affrontes.
Celles que racontent souvent les livres à l'élan pornographique. On les a vus jurer fidélité devant monsieur le maire ; récitant un slogan devenu le lieu commun : Pour le meilleur et le pire, jusqu'à ce que la mort nous sépare''.
Tout cela n'est autre que la poudre de perlimpinpin ; c'est comme le serment d'Hippocrate prêtés par nos chers médecins qui s'est malheureusement mué en un serment d'hypocrites qui n'ont rien d'autre à réclamer que le pognon avant toute intervention chirurgicale. Les cas sont légion.
-Hélas !
Bibi commençait à accepter son handicap qui était en elle comme un poids, elle voulait recommence à danse, main sans son autre pied, s'allait être dure, elle le regardait se torturant par terre avec ce corps qu'elle n'acceptait pas du tout.
-Toute la haine montait envers elle-même, mais comment renaitre son corps entier qui n'était pas née, elle n'était plus satisfaite de son cœur, avait, la toute puissante Bibi n'existait plus, la prière, elle n'y faisait plus, la bible, elle l'avait mis à côte, elle n'arrivait plus, elle voulait tout jeter à la poubelle.
Pour comprendre pourquoi Bibi n'aimait plus son corps on va retourner au début de l'histoire, il y a une différence aimer la vie et la vivre, étant jeune, on pense que la vie nous appartient, on oublier le fil qui peut se casser.
-La vie est comme la boue dans l'eau.
-Bibi la jeune ado allait chercher l'eau pour enlever la boue sur son corps.
°°°
Les rumeurs circulaient à l'école : selon lesquelles que certaines filles, auraient sollicité les services d'un voyant-sorcier réputé dans la ville pour envoûter et lancer un mauvais sort à leurs concurrentes.
Le fil d'aplomb de son cœur, qu'elle voulait que Jésus l'architecte reconstruise son cœur et le remettre en état, mais comment reprendre confiance, et revivre une seconde foi ?
-Serais-je l'une de leurs nombreuses victimes ?
Bibi ne savait pas où mettre la tête, et de plus son pied, il fallait trouve une prothèse qui l'aidera à faire les choses, déjà, à l'hôpital ; elle ne voulait jamais quitte sa chaise roulante, elle ne voulait pas non plus les béquille, c'était hors de question d'envisage.
Elle commençait à avoir les pièces du puzzle qui expliquerait ma poisse. Toutes mes amies m'auront quitté brutalement sans raison. Les garçons aussi m'avaient prise en aversion. Le grand Alex était l'un d'eux. Il avait raconté beaucoup de saletés, des choses atroces et répugnantes à son sujet. Il suffisait qu'à entendre ses sottises pour que tout le monde s'éloigne d'elle.
Elle en mourait de colère car dans ce monde en crise socioéconomique il serait encore difficile d'avoir une oreille impartiale. On l'évitait comme de la peste. Était devenue un basilic que les gens redoutaient et ne souhaitaient plus rencontrer sur leur chemin.
Le venin de la diffamation d'Alex avait effectué son travail de sape.
Personne ne voulait plus l'adresse même la parole d'elle, sauf pour proférer des injures et accusations. Bibi lisait ses messages odieux, dans leurs regards qui s'entouraient de la haine envers elle était comme un fusil pointe sur sa tête, malgré son handicap, de la condescendance, mieux du mépris. Parfois ils la bousculaient en riaient à gorge déployée. Elle devenait ainsi leur victime toute en choisissant la méchanceté gratuite.
-Qui avais-je trahie ?
-De quoi suis-je coupable pour qu'on puisse traite de la sorte ?
-N'avait pas toujours été gâtée par Cupidon.
Bibi avait souvent eu affaire à des "princes charmants pas toujours charmants". "Qu'elle prenait toujours des situations compliquées.
-C'est-à-dire quand tu te jettes dans les bras d'un homosexuel notoire ou bisexuelle.
-Elle était persuadée que j'allais changer, ma mère c'était étouffant de voir que les gens avaient pitié de ma situation, et peut-être que moi aussi, je ne devrais pas leur laisser une place de me traiter autrement.
-Elle avait rencontres un homme marié, ça lui était arrivé.
-Elle lui avait posé cette question : es-tu persuadée que tu vas quitter ta femme ?
-L'homme marié restait devant Bibi sans répondre, partant sans un mot et se retourner.
N'étant toujours en plus ou à côté, mais je n'étais jamais au bon endroit. Une adolescente, avec ses coups de cœur et ses émotions c'est dure à gère.
La jeune fille était surnommée "la bombe », passait son temps à montrer ses fesses par la fenêtre de sa chambre aux garçons qui passaient même quand -elle se retrouvait en vacances avec ses parents.
Bibi se sentait dégoûte de cette méchanceté que les gens portaient envers elle, trahie par tous, au début c'était normal ; c'était possible de supporter, mais là, pour elle rien d'inquiétante ça ne lui disait rien elle s'en foutait de qu'on aurait dit-on sur elle, cette pression morale, certains élèves commençaient à la perse dans sa tête, c'était devenu pour elle comme un livre ouvert ou on lui passait toutes les mauvaises penses impitoyable invivable imaginable.
Elle commençait à se parlait à elle-même dans sa tête et son cœur, qui se noyait dans ses penses, s'écrivait des mots sur ses papiers à cahier dans un silence d'une douleur qu'elle ne voulait partager avec personne, c'est là qu'elle comprit le long chemin du calvaire qu'elle allait vivre et traverse à cause d'eux, et plus son pied.
-Il aurait des amitiés dans ce monde à éviter durablement moins durable semblable à un château de sable à y ne pas entrer.
Ces amis de cœur qui se montraient au début, très saint à son égard soi-disant de leur grand amour qui se sont retourner contre elle, seront devenu ses pires ennemies dans sa vie actuellement, personne ne m'arrivait à aller vers elle physiquement jusqu'au bout à cause de la réputation de son frère, et son handicap qui freinait leur jugement.
Son frère pourquoi ne quitterais-tu pas cette école ou tout le monde te salir te critique, t'insulter, t'humilier et te rejeter ?
Bibi je ne voudrais pas leur laisser l'occasion de me voir à moitié morte, qu'ils viendront voir leurs mauvais œuvres de leur cœur en faisant semblant, donnais la mort par lâcheté de venir faire en verser les fausses larmes de crocodile sur mon cercueil le jour de ma mort sur mon corps.
-Elle commet aussi des erreurs comme tout le monde, ne voudrait plus savoir ou entendre qui raconter toute sorte de malveillance sur elle, vu qu'elle en connait déjà un bon paquet de langue de vipère de serpent accrocher à leur lèvre pour détruire tout se croyait en avoir droit pour contrôle dans la vie.
-Depuis qu'elle avait fait son texte de grosse, bien qu'elle fût toujours en période de ses règles, c'était son manque d'appétit qui l'avait poussé à le faire, en plus, ne trouvait pas normal qu'à 3 mois ; avait toujours ses règles vues que ce n'était jamais arriver.
Grâce à ça, ne pouvait voir un semblant de bonheur, n'avait pas dit à personne qu'elle était enceinte mais ne savait pas comment les gens avaient appris avant sur elle ; concernant sur son corps qui avait changé même leur regard les rumeurs, sa mère même avait vu que le corps de sa fille avait changé son humeur.
La vie qu'elle portait déjà en elle, lui faisait comprendre, ses filles de son âge qui tombaient enceinte ne savaient pas jusqu'au bout qu'elles étaient enceintes qu'elles abandonnaient leur enfant, à cause parfois des décisions faites par les parents qui auront honte, ou autre raison, cette chair qui aurait grandir en soi cette déchirure qui ne finirait jamais jusqu'car la fin de vie, qu'il faudra porte le fardeau de la douleur, l'esprit ne sera jamais en paix, comment, l'enfant serait-t 'il ou elle, manger -t'il ou elle, Bibi ne voulait pas faire subir ça à son enfant, qu'importe son âge ou les difficultés lui donnera, tout son amour à ce petit être qui grandirait en elle, même si c'est un déni de grossesse.
Bibi dans sa chambre, revoyait les choses autrement, son pied n'était plus un souci, elle faisait tout pour reprendre la danser, la plupart des jeunes de 16 ans s'amusaient, vivant l'expérience de la vie universitaire au maximum. Ses amies, racontaient des potins sur les garçons avec lesquels elle aurait fait la fête, dansé avec trop de gars, les soirées où elle était trop ivre pour se souvenir de quoi que ce soit. Parce qu'elles se seront jalouses d'elle, elle se dis cela parce qu'elle les envie. Elle disait cela parce qu'elle était assise dans une chaise dans sa chambre le samedi soir, enceinte, entrain de maudire son nom pour se mettre dans cette situation, une seule fois et voilà le résultat, malgré les enseignements des professeurs, sur les dangers de tout, capote à porter. Pour arriver à savoir pourquoi Bibi a une jambe de moins allons au début de cette histoire.
Alors je déduis à l'intérieur de mon être qu'il y avait ceux qui viendrons vous rappeler combien votre vie ne tient pas à vous car c'est un bout de fil de souffre de seconde que tout peut basculer.
Croyant en vouloir à son extérieur que à Caroline, Virginie ses ex meilleures amies qu'elle les prenait comme ses meilleur ennemies, au lycée l'ambiance était froide, elles étaient comme deux doigts des mains des amies pour la vie, comme nous savons souvent bien le dire de notre bouche et puis le retire dès qu'un souci se présenterait devant nos yeux, nos émotions, et nos sentiments le plus qui nous amènerait dans une coloré de souvent se détacher de tout et c'est là dans une précipitation nous allions prendre une terrible mauvaise décision.
-Pourquoi m'expliquerais-je avec elles ?
Ce sont des sorcières, même le groupe de danse Bibi était quitté pour reste toute seule !
Le danger je ne l'avais pas vu venir d'aussi près comme un serpent qui rôdait autour de votre corps sans que vous le sachiez pour vous prendre votre vie, elles en avaient pris à mon égard cette décision, en me tournant leur dos. Dans une tristesse qu'elle adressait ces mots qui sortait à peine dans sa gorge pleine de larmes.
En ce moment précise, je souhaiterais être dans un bocal ferme ou le cerveau ne puisse plus réfléchir car faire du mal gratuitement comme ça à un être humain, je ne comprendrais jamais la jalousie, la haine dans le cœur, des gens que je rencontrerais sur mes nombreux chemins dans ma vie, est-ce que c'est pour le bon Dieu qu'on le ferait ?
Je croyais que les gens confondaient les réalités des choses de la vie bien aux yeux du bon Dieu dans leur pauvre vie qu'ils pensaient détenir pour l'Éternité sur cette terre, ou tout le monde se tuer en ce regardant avec une lettre d'amour, que nous apprenions à l'école comme dans nos familles que parfois on aimerait changer d'aussi tôt pour ne pas voir et entendre des conflits amers ingérable à avaler dans notre gorge si serre parfois par la nature de la vie.
Ceux que vous aimez pourrons vous surprendrez à vous emportant une image d'eux que même lire la bible, vous prendrait beaucoup de temps pour cherche quels pages, pour qu'il puisse avoir un jugement tout de suite devant tout ça !
Il y une fille à son école qu'elle avait chambre (Ma sœur, un jour il te faudrait regarder la réalité comment les gens cherchaient à se bouffer comme dans un terrain déjà mine comme toi tu le fais en ce moment avec moi, lui fît la fille. Elle n'avait pas compris sur le coup de cette parole, pour Bibi c'était de se faire voir, fille POPULAIRE qui pouvait écraser tout le monde à son passage, si les gens pouvaient savoir qu'elle essayait de sortir de sa timidité, maintenant elle comprend que c'était une mauvaise chose de vouloir être populaire, ne souhaitant pas à ce petit ange qui vivait déjà en elle.
-De devoir subir cette vue-là, elle donnerait chère et dans une force que personne ne devrait toucher à son cœur, et son être entier.
Mais je ne suis pas cette jeune fille Éloïse qui est dans ma classe que je voyais qui se faisait marche par-dessus par les autres élevés, Bibi avait pitié d'elle, de soi-même ; ne pouvait pas intervenir de peur de salir sa réputation, alors elle demandait à son frère Emmanuel en rentrant à la maison d'intervenir avec ses amis d'intervenir distraitement, tout le monde avait peur de lui, il avait un regard, tuant, pas si costaud que ça, il faisait le sport, qui lui donnait une allure de beau grosse, je lui demandais de l'aider distraitement. Elle n'existait plus pour être populaire dans leur saler poche à cœur. D'accord sœurette je te comprends je vais l'aide cette fille, lui répondrait son frère Emmanuel !
Ils rentraient à la maison comme d'habitude, avec un sourire amer dégoûter. Les talons aiguilles claquaient sur le sol de la maison, rien ne pouvait changer cette habitude, Bibi toujours le même refrain, sans arrêt, les mêmes histoires, cauchemar, et images qui défileraient chaque soir dans sa tête comme un calendrier qu'on connaissait déjà, avec le début de la date et par la fin, toujours aussi perdu dans ses pensées, s'écroulant sur le sol de sa chambre, elle se dit : je me sens si vide à l'intérieure de moi-même, comme si je n'étais pas dans le bon corps, ni à ma place de pouvoir respire et vivre.
-Elle ne sentait même plus rien, ni de joie que de peine qui prenait une grande place dans son cœur et dans sa tête.
-Laisse la pluie tomber sur elle, son esprit était en dehors son corps ne mentait pas de ce qu'elle ressentait.
Parce que son frère Emmanuelle, quand t'elle les voyait dans leurs yeux, comme la pétanque arrogante, même si dans son air de petite fille parfaite elle serait comme eux un peu elle croit !
-Le pire c'est qu'elle sentait comme si son cœur s'arrêtait de battre tout le temps.
-Se disait est-ce qu'elle valait la peine d'être dans ce monde ?
Où elle n'était plus importante pour personne qu'elle croyait comme ça, voyait combien un petit être qui vivait et grandissait en elle, se faisait rappelle combien la vie était précieuse, mais son cœur ne voulait pas s'attacher au positive de la réalité à la vie. Car son frère et ses parents, ne voyaient en rien se voyage dans son bien-être.
-Pourtant les gens venaient et finissaient par disparaître dans ma vie, sans arrêt, tout au long de sa puberté en la laissant avec ses bagages toujours à la main sans terminus d'un train ou d'un avion.
Elle restait assise là sur cette chaise qui se trouvait dans sa chambre, colorée en rose comme toute jeune fille de mon âge, là ; elle pensait à la mort et au suicide, pourtant les jeunes filles de son âge pensaient à l'amour, jouer, voyage, travailler et se faire des amis dans le monde entier.
-Elle était assise là triste à l'intérieur comme à l'extérieur sans donner de repose exact de son mal, comment crier cette douleur et ma peine qui brûler en moi quand je regardais leur images dans ma tête et je voyais leur cœurs sur leur visage, et pourtant la plus part ils étaient plus malheurs que moi; sa ce lisait sur leur visage d'ange en démon bien rôde autour de leur proie, on aurait dit des hommes habillent en vêtements de diable à l'intérieur et à l'extérieur qu'ils sont aimable sur leur visage de sourire d'anges. Rien ne pouvait d'écrire comment ils deviendront plus tard dans leur vie d'être vivant.
Comment tout le monde pouvait-s 'il sourire en portant sur leur visage qu'on pouvait lire les traits de leur vie des malheurs qu'eux même parfois ils en avaient construit avec leur cœur de méchanceté gratuit. Je d'écrirais dans mon cœur tous mes faux amis qui sont venu à moi avec une rose blanche douce et en bas piquante d'une autre couleur. J'aurais bien savoir avec qui je marchais à mes côtes comme amis à ce temps là pour éviter tout contact avec eux, je pourrais leur apporter quelque chose qu'ils en avaient brise dans mon cœur pour qu'ils comprennent le mal qui en ont fait à mon cœur.
Je quittais cette pièce de ma chambre pour aller dans une autre là je trouvais mon ordinateur sur mon bureau, mes cahiers, le rouge à lèvre, et mes crayons à yeux, c'est beau ce soleil que mes volets sont reste ouverte toute la journée, tous les jours quand je rentrais de l'école elles étaient toujours ouverte comme si cette douceur de vent qui traversait la pièce ou je me retrouvais était là pour me rappeler combien la vie était précieuse que certain ne pouvait pas y avoir dans leur vie, mon cœur était encore dans une noirceur de douleur de blessures amère que j'en voulais à tout le monde.
Bibi j'ai des parents formidables qui me laissaient faire tout ce donc j'ai besoin. Bien chouchoutée de toutes part, avant mes parents c'était triste auparavant, un grand frère qui est si beau du côté de mon père, qui c'était pour lui remariée après son divorce avec sa première femme après un mois de leur mariage il tombait sur ma mère dans un magasin il tombait follement amoureux d'elle comme il me racontait ça mille fois il tentait de l'oublier mais a vain, il finit par la quitte et cherchait à retrouver son grand amour de cœur qui n'était autre que ma mère, mon chère papa en racontait combien parfois on peut se trompe de partenaire dans la vie, c'est pas forcement celle qu'on aime éperdument dans son cœur qui est notre partenaire.
Bon j'ai bien réalisé un beau film de toute ma famille se disait-t 'elle dans mon journal de vie et ses secrets, en ce moment dans cette chambre assises sur la chaise, je me trouvais laide parfois quand dans ma tête tout n'y allait pas avec ce que les élèves me faisaient subir et vivre, est-ce que la vie est bien tracer, ou pas, ou c'est moi qui me faisais tant de mal pour rien !
Le monde des êtres humain comme elle leur appelait ; traitait de la beauté Éternel comme un jouet acquis, cherchant toujours l'amour qui s'échappait comme un vent qui passant pour venir caresser ses joues en oubliant ce qui était bien pour opter le mal. On aurait dit une ombre qui la caressait partout, d'autres diront c'est le diable qu'elle portait en elle et d'autres demanderont de jeûne et de priées pour chasser cette illusion d'une seconde qui venait leurs donner une envie de se sentir bien dans leurs corps pour cette flamme non consumer.
Son âme et son cœur qui étaient briser pour apporter une chaleur, si douce, qu'on poserait des questions est-ce que tout t'est péché devant Dieu ?
Comment ne pas faire semblant quand tout ce désir de notre corps nous amener à ce stade ou on a du mal en se défaire !
Et là, quand t'elle écartait ses jambes devant ce miroir, demandant pardon à Dieu de cette envie qui terrasse son être tout entier en continuant à se déshabiller comme une poussière qu'on dépoussiérait sur son corps, pour avoir du neuf, regardant ce qu'elle voyait dans ce miroir, se rejetant. Une fille qui se bat avec son corps, âme et son cœur, comme un jouet qui va se brise à tout instant ; comme un vaste qui se briserait aussi en mille morceaux que l'on ne pourrait le ramasser et le remettre à sa place.
Elle ne voulait pas que quelqu'un ne puisse lui faire du mal ; jeter les pétales de roses blanches en l'air seraient une liberté de jouir ce qui est beau dans le monde.
En ces années elle aurait déjà vécu et vivre des échecs amoureux des plus douloureuse dans sa vie, elle voudrait temps vivre le contraire, mais ces amours étaient dans sa tête, tellement épuise, fatigue, malgré sa douceur, son sourire portait à son cœur la douleur d'un sacrifier d'un amour qui c'était aller sans pouvoir lui dire au revoir, cherchant à comprendre pourquoi c'est à elle qui devrait tout subir ça, comment faire comprendre à un corps qui refuserait à répondre de faire comme ce qu'il veut ?
Tout se retourner contre elle, on aurait dit une malédiction, tout ce donc elle touchait était échecs, même ses prières ne répondaient plus, pleure, supplications ; tout autour d'elle, était devenu si noire qu'elle cherchait à qui parler pour vider son cœur, remplir de doute, crainte, parler à un ami, elle ne voyait pas l'issus de son combat envers tous ; malgré qu'elle eût beau cherche des résultats, des agendas pliés sur cette étagère dans sa chambre avec pleins des livres, qu'elle ne pourrait plus dire ou ce trouve les clés.
Bibi nous sommes devenu prisonnière d'un mal qu'on refuser de montre de donner aux autres, parce qu'on ne saurait ce donc on va dire les mots nous manquer, voir un psychiatre serait le mieux que possible ; elle ne voulut pas partager ses besoins secrets dans sa mémoire cache à une étrange cave. Elle se disait qu'ils auront autant des problèmes, qu'il faudrait qu'ils ressoudent leurs soucis sans s'enterre tous vivant, ce n'était pas pour elle qu'ils y arriveront à régler !
Dans les écrire ont dit garde ton cœur de toute choses !
Caressait son chien depuis qu'elle était née il est toujours son meilleur conseil et sa chatte gris comme des poils en or qui brillait sur le soleil, ses feuilles de printemps qui venait balayer ses moments qu'on aimerait abandonner, elle lui parlait comme un ami, elle se comparait à une femme habille en robe de mariée, assise sur un banc, pour attendre un chevalier comme dans des contes de fée, avec un bouquet à la main pour lui demande sa main, combien elle n'aimerait plus qu'on montre les histoires d'amour qui finirait bien dans les films et séries.
Pourtant, je suis encore jeune, la vie, est comme dans une guerre, ou l'amour est comme une poubelle qu'on devrait triées les bons déchets et les mauvais c'est comme ça sont les humains avec leurs cœurs.
L'amour c'est comme être dans cette situation ou tu as ou pas, tu regardes, et tu vois que les gens ne peuvent s'empêche de se mentir et de se faire du mal gratuitement pour gagner leur côté égaux.
Il y a ceux qui sont là que pour accomplir leur œuvres de cœur, détruit votre vie, et puis partir là où il était avant, le retour du passer, ceux qui vous montreront qu'ils vous aiment tellement et que à la fin c'était que des mensonges, l'homme passe plus de temps sur cette terre à détruire que à construire avec amour; donc vaut mieux enlever cette robe de mariée, et ce dire, que cette homme est rare, il ne faudra plus aime, fermer son cœur faire semblant, et plus ce dire que on est passé à côté de quelque chose sans savoir quoi!
Elle aimerait se réveille et ne plus pleurer et que son âme lui dise tu ne souffrirais plus jamais, ni avoir mal, de cette douleur qui sortait en elle et qui devenait une souffrance qui la déchirant à son cœur, à son âge, souffrant tant de fois, la jeunesse sont ceux qui aimeraient s'en sortir, vie de famille ; entreprise, et non avoir une vie de misère, vis d'échec qu'on aurait dit que faisait partir de ceux qui devrait se battre jusqu'car ce que Dieu lui-même leur faisait sortir, pour avoir une sortir de lumière.
"Souffrant d'anxiété de tout perdre autour d'elle. Elle n'avait aucune honte à parler de sa santé mentale autour d'elle et surtout à ceux qu'elle avait confiance. Surtout dans cette période marquée qu'elle ne saurait comment e dire. Certains jours elle se réveillait et se demandait à quoi elle servait (...) Heureusement elle avait sa famille à ses côtés et ami(es) de confiance."
Entendre ou pas, elle aurait aimé être cette personne à ce moment-là, peut-être, vis ou suivis, ne saurait pas si sur cette terre elle ne laisserait pas une bonne empreinte ou pas, entourer de ceux qui l'aimer ou pas, il y aurait ceux qui entre dans votre vie et reparte, elle n'avait pas de véritable ami d'hommes seul Joël comptait pour elle, mais dure d'être avec lui quand il était hospitalisé il disparaissait sans un mot et sa douleur était si lourd qu'on ne pouvait la soigner mais restant fidèle à lui, c'est avec elle-même qu'elle se battait pour être aimer, il y avait ce vide dans son cœur qu'elle n'arrivait pas à remplir et qu'elle en profitait ces moments avec lui, c'était comme si ce bonheur allait lui être enlever ce ressentir de peur de perdre celui qui nous donner cet amour qu'on chercher à vivre.
Cette amour qu'elle refusait d'attraper comme un fil de vent qui venait souffle sur son visage, où serait passer cette petite fille innocente ?
Mais elle avait une sensation très étrangère avec Joël comme si tout allait s'arrêter un jour, quand t'elle était avec lui ; elle faisait tout pour obtenir ce bonheur qui qui allait devenir centre.
"Je t'en supplie, reste avec moi pour la vie"
Quand je me réveille toute seule, je contacte qu'il n'est plus à mes côte rêverie ou un mensonge que je crois construire dans mes pensées inondé, et que je pense à sa peau parfum comment me détachée de toi si tu es l'ombre de moi-même je me souviens ce que tu m'as dit en me regardant dans mes yeux, dans ces moments agréable : commence à n'oublier à te faire une raison que je ne serais plus avec toi ; en faisait l'amour comment pouvais-tu me le dire je voyais en toi combien tu souffrais de me le dire : quel est ce secret que tu me caches et que tu ne voudrais pas me voir souffrir ?
Bibi : Je crois que je t'ai raté en t'appelant sur l'autre ligne d'ici et tu m'as manqué toute la journée et j'étais à 30 minutes d'ici, alors pourquoi n'es-tu pas là ?
Elle regardait sur la fenêtre de sa chambre voyants ces voiles fermes, l'amour fait mal et blesser comme réparer ce qui a été briser, on blesser le cœur de l'autre parfois parce que notre cœur ne veut plus aller dans cette direction pour des projets, et souvent pour des raisons plus cruelles pour faire mal et se réjouir de le voir souffrir. Je ne fais que réfléchir à toutes ces pensées dans mon esprit et voudrait qu'évade de ma tête comment retirer ce qu'on était déjà habitué à vivre avec.
Parler d'amour mais je ne peux même pas lire les signes sur ton visage, le mien je n'arrive même pas à le d'écrire, je vendrais mon âme pour un peu plus de temps avec toi pour l'éternité à ne plus souffrir pour rien. Tu es la couleur de mon sang, tu es la seule chose que je voudrais toucher en ce moment personne ne pourrait m'apporte ce calme dans mon cœur comme toi, quand je te regarde toute ma colère s'en va je ne saurais comment explique.
Fouiller mon cœur et tu verras que j'avais que toi, il n'y a pas d'âge pour aimer le plaisir d'être aimé à la folie, tu as souillé tout mon corps comme du vin rouge au putain d'acide de mon alcalin. Comment quitter cette l'ivresse d'amour que tu m'as faire boire, qu'importe le gout de ce vin je vais rester comme tu es pour moi la lumière et la nuit, tu fais glisser ton majeur de haut en bas de ma colonne vertébrale aime-moi comme tu sais le faire de chaque seconde de ta vie qui nous resteras sur cette terre. Tu es le remède, et la douleur de ma vie qui serait attacher à la poussière d'un cercueil.
Je suis désolée qu'il n'y ait eu personne pour s'excuser je suis tellement désolé, d'avoir été chiante en ne pensant car moi, mes yeux n'ont rien vue de ta détresse, tu as tout fait de me faire plaisir tu es la couleur de mon sang qui couler dans mon corps, je n'aurais jamais cru que tu serais si important pour moi au début j'ai joué quelqu'un et ça n'aide personne.
Et l'arithmétique de mon rouge à lèvres n'avait pas collé sur sa peau comme je l'aurais voulu pour que chaque fille voit mes empreintes sur lui et fuir, chaque centimètre de ta peau est un "gray" sacré que je dois découvrir et maintenant, je suis malade, je fais des crises je te laisserai mener la danse de nos vies
Parce que mes pensées sont en désordre que je ne savais pas trop comment me comporte avec toi. Je n'avais pas trop de repères sur l'avis de notre relation au départ c'était comme une vague que je ne pouvais le stabilisé, j'avais la tête qui tournant que je ne voyais plus clair un peu peur de ça, de savoir si les gens m'appréciaient, de l'image que je renvoyais quand j'étais avec toi ; est-ce que je te correspondais à l'image que tu véhiculais on se soucis de notre apparence qui va faire en sorte de voir qu'on est sur la même longue que l'autre, tu as tout pour que tu ailles loin : le message, les capacités et l'image. Forcément, tu es un adversaire redoutable pour mon âme.
Et ouais, je t'ai vu dans ma tête toutes les putains de jours depuis que je suis parti je craignais de ne pas réussir à faire ce ménage-là dans ma tête. Je craignais de ne pas exceller sans que l'on sente ma touche à moi. J'avais d'autant plus peur qu'il véhicule quelque chose de fort.
De se faire confiance à soi-même était le plus difficile de croire à l'amour de l'autre qu'il soit véritable pour nous à tout moment qu'il va nous respect et vivre avec nous jusqu'car la fin de. Notre vie, se dire que rien n'est acquit.
Je suis arrivé avec un style très propre à moi quand je me voyais sur une glace, j'avais du mal à vouloir me lâcher pour vivre que pour moi, je voulais être accompagner pour sentir l'être aimer à côté de moi. Je me suis dit que cela faisait mes années à moi de mon âge comme toute personne pourrait se retrouve dans ma situation que j'étais comme ça, cela n'allait pas me quitter je ne voulais pas que ça me quitter de peur de perdre cette sensation de sécurité qui me donnait la force de me protéger de tout. C'est en moi, je ne le perdrai jamais. Il fallait que respecte ce que l'on me demandait de faire.
Moins têtu et plus sculpté, je me suis assagi un petit peu sans plus trop pense que l'autre ne devrait pas être écouter ne pas toujours tout ramener à soi, ne plus se sacrifier pour l'autre et s'oublier soi-même. Je suis quelqu'un de très têtu et parfois, ça ne paie pas. Quand on met en application ce que l'on nous demande, on est bien notés. Il faut écouter, c'est comme à l'école.
Et je suis à terre et déprimé j'apparais, disparais et la peur, je m'en moque tu es sur le sol avec tes mains autour de ta tête "Jusqu'à la dernière minute, je n'étais sûr de rien" Je n'ai jamais été aussi bien tout ce que je veux, c'est ta tête sur mon torse en se touchant les pieds dans mon lit ; suis-moi dans l'obscurité tu pourras voir le monde que tu as réveillé.
Aux frontières du Paradis, toi seul peut embraser mon cœur dis-moi ce dont tu as besoin tu es le meilleur que je n'ai jamais eu et le pire que je n'ai jamais eu aussi "Je crois que tout le monde dérape dans sa vie"
Je pourrais te faire plus que ce que tu es ; j'étais assise ici, seule dans ma chambre en regardant une photo dans ma main que c'est ton image que je voyais et je repense à ce que nous avons traversé, ta force est cacher dans mon cœur même si tu ne viendrais plus à mon cœur-moi si je t'aime.
Viens et pose les roses sur le sol nous allons marcher sur ses pétales sur ce bateau être dans le plaisir de ramener nos beaux souvenir, les blessures ne se referment jamais si le pardon y est même notre cerveau et nos pensées nous en empêcher tous les dimanches, ne t'ennuie pas je voudrais juste me figer avec ses moments, tu l'espoir de mon cœur que personne ne viendrait chambouler je peux te donner plus que ce que tu es l'honneur de non cœur jour et nuit je revendique d'être pour toi à la fois dans l'éternité à la fois dans la vie comme à la mort.
Maintenant, je te vois debout tout seul, je te veux, je le sais ça ne serait pas facile je n'aurai jamais pensé que le monde se transformerait en pierre autour de nous deux, je regarde l'horizon la neige tombe d'un coup regarde même les fleurs sont figées de ne plus pouvoir avancer dans le miel de grandir dans l'abondance de fleurie un monde d'amour comme nous devrons le faire.
Il me la regardait plus dans les yeux en la parlant c'était comme si le temps le lui était compte un au revoir, il voulait l'épargner ne pas faire tomber les plumes qui l'aidait à voler vont être couper et la douleur à la cicatrice sera énorme comment guérir ce donc on m'a pas prévu qu'il devrait arriver, mais les mois passaient on était toujours ensemble je n'étais dit il voulait me faire souffrir pour rien, mais mes pensées ils les avaient mis dans un état de stress de trouver un nouveau compagnon que je ne voulais pas.
Trop effrayée de ce qu'elle verra plus tard que le monde pour Bibi est devenu un cimetière, quelqu'un qui la tenait, l'embrassait plus sur la bouche comme s'il voulait emporte ses lèvres dans un monde sans douleur.
Ce jour qui arrivera lui donnera un enseignement ; nous ne sommes pas des amantes seulement mais ceux qui sait s'aime sans se bagarrer, nous sommes juste des étrangères après c'est séparer un moment, nos valises sont remplies des souvenirs qu'on ne saurait comment les contenir sans blesser autrui dans cette âme qui a besoin de paix.
Avec cette même fichue envie il ne laisserait plus avoir le contrôle elle avait dû dépasser une ligne, et avait dû perdre la tête d'être touchées, d'être aimées, de ressentir quelque chose finalement car elle pense que c'est plus intime, puis elle pense ce qu'elle veut elle ne l'appelait plus au téléphone n'écoutait plus jamais, elle dit que c'est innocent, elle ne voulait plus comprendre ce qu'il l'arrivait de la traite comme ça même un chien serait bien traité.
Combien elle avait payé le prix fort pour être aime, tellement détester par certains garçons et hommes qu'elle donnait son cœur sans pouvoir les avoir dans son lit ni l'avoir touché que dans ses pensées envers ces hommes qu'elle avait même dans ses prières chacun d'eux l'échappaient il fallait tout le temps recommencer à chercher ; si elle avait la conviction que Joël allait reste avec elle, elle dormirait sans avoir la peur dans son ventre.
Quand on se regarde dans un miroir on voit une belle personne en face sans compter nos péchés dans notre cœur, des gens on commence à doute. Leurs regards nous renvois ce qu'on n'aimerait pas voir et accepter.
Les matins avec toi traînant dans mon lit me manquent, ces bras brûlaient qui répondant au mien je ne pouvais pas fuir ces moments agréables ces souvenirs se rejouant dans ma tête me manquent la pensée d'un toujours, toi et moi tout ce qui te manque est ton corps parfumé, allongée dans ce lac de baie Daumesnil qu'on va traverser à pieds où sur les chevaux avec dans nos bras nos chats, côte à côte en oubliant le monde un instant dans le panier on aura tout pour passer la journée, on va oublier les gens colérique, ténébreux dans leurs lois d'avoir dans leurs cœurs de tout détruire dans le cœur du raciste comme si c'était eux qui avait créé ce monde qu'ils devraient tout nettoyer.
Notre histoire ressemble à ces gens qui sont ensemble l'un est amoureux alors que l'autre ne veut que "son corps". Les deux être vont finir par ce séparées qui de nous deux correspond à ce donc je pense !
Dit la vérité et après elle voudrait enlever pour déchirer le non-pardon à soi, elle supplie des messages à DIEU ; pour voir son enfant qui m'avait créé et de lui pardonne de ne pas savoir comprendre cette souffrance, pourtant il y avait plein de monde qui souffrait plus qu'elle.
Dans son miroir de sa salle de bain qui se trouvait dans sa chambre, elle n'avait pas besoin de sortir pour aller dans une autre pièce, voulant être sauf dans les endroits qui ne l'appartenait pas que à sa famille ou eux tous se retrouvaient pour soupe et autre pour écrire sa journée d'une année.
Son corps bien mouiller qu'elle sortait de baignoire avec ses parfum de lavande des champs qu'elle aimait utiliser aux huiles essentiel de ses ancêtres qu'elle-même aimait fabrique avec sa grand-mère, revêtait dans sa tête ces voyage dans sa vie, d'un plaisir qu'elle ne voulait pas se défendre à faire et que les autres voulaient cache de le faire la honte de le dire: elle prenait le plaisir avec son corps si l'homme le refuse, elle-même elle va le savourer : La masturbation est pour elle une pratique sexuelle comme une autre, pleine de promesses et de terrains à explorer qu'elle pouvait toucher sans se défendre à le faire, il y a aucune honte d'aimé son corps les hommes devraient aussi le faire, et puisqu'il s'agit de se faire plaisir, voyant l'autoérotisme comme un bon plat de pâtes que l'on revisite au gré de nos humeurs et des recettes actuelles avec tous les condiments sans que l'autre à nous dire de stop au moment quand la jouissance arriver. Ce qui n'empêche absolument pas (un) d'ajouter sa note personnelle sans à avoir mal se plaire sans courir vite, et (deux) de revenir à ses traditionnelles coquillettes au beurre qu'on tartiner dans un bon pain chaud avec un boule de chocolat au lait chaud sur ces belles paroles culinaires et alléchantes, c'est un plaisir à ne pas avoir honte et de se dire qu'il y a trop de faute d'aimé ce qu'on nous a donner.
Si c'est un péché devant Dieu qu'il me pardonne, je n'ai personne pour me soulager, mon corps réclame qu'il me donner celui avec qui je ne vais pas pécher.
Le plaisir c'est d'abord avec soi-même avant de donner à l'autre, si on n'éprouve pas de plaisir avec soi, avec l'autre sera un échec.
Quand le cœur est commende comme une merde d'être le mal aime, elle aurait aimé reste auprès de ce Dieu qu'elle adorait tant sans faire de pèche auprès de lui et lui faire mal c'est lui son créateur la patience est pour elle une dure réalité dans la souffrance qu'elle refusait d'acceptait, son cœur soufflait à la douleur de na pas avoir toute les réponses à ses question cette torturer de ne pas avoir toute les réponse sur notre vie , souffrant le martyr insupportable sans plus supporter pour y vivre.
-Profondément meurtrie dans cette sensation d'envie à son corps"
Elle sortait de la salle de bain, s'assis sur cette chaise toute nu devant le miroir avec la guitare à la main, ouvrant les fenêtres de sa chambre pour laisser entrer l'air entre, elle ne craignait pas le vent qui balayait son corps dans sa grossesse et ses cheveux, dehors il y avait un vent qui faisait tombe les fleurs et leurs feuilles par terre et se mis à chanter ses propres chansons qu'elle-même composait.
Chanson écrit par elle
Avec chaque baiser que j'en veux plus je suis délirante sans toi
Une obsession, ma tentation avec chaque baiser que j'en veux plus
Ton corps contre moi va me tuer chaque dose de ta sensation corporelle
Chaque soir j'en veux plus accro à ce que tu me donnes si je déménage je sais lentement
D'où est ce que tu viens, tu sembles venir d'ailleurs que de ce monde, pour moi
Réf : -Une reine, une impératrice, ou une présidente, Bibi ait là pour revivre et faire bouger son corps
Des talons qui gonflent bien les formes d'un ange (une déesse)
J'ai envie d'espère et de prier !
Ne laissez personne ou quoi que ce soit pour vous empêcher de suivre vos rêves.
-Instruments de musique : J'ai vu que tes yeux étaient en train de m'appeler-Toi tu es l'aimant et moi je suis le métal.
Rien qu'à y penser mon cœur bat plus vite. Permets-moi de te dire des choses à l'oreille.
Après ses moments agréables, elle s'habillait et allait dans le jardin et continuait à écrire.
Parfois, elle se demandait jusqu'car quand elle verrait cette lumière pour être heureuse comment se battre avec soi-même ne pas blesser ceux qui nous entourer, quand Bibi renfaitait le film de sa vie il y a du bon et mauvais, en revoyait ses photos étant bébé sa grossesse qu'elle ne voulait que personne ne sache, puis une jeune fille est en elle quoi se construire, je suis reconnaissante qu'il n'ait temps donner une place dans sa vie toute cette confiance qu'elle avait en elle pour lui ce cadeau pour eux deux qu'ils vont accueillir.
Là elle voyait son corps et l'admirait, malgré son handicap qui était en elle, elle ne voulait pas de cette vie, elle arrivait à placer ses deux photos à la même longue pour pourvoir avancer ; elle se rendait compter combien cette chair que la plupart des yeux d'hommes posaient sur elle, ne pouvait tout voir même à la lumière du jour.
Qu'elle commençait à déteste tant que parfois dans leur regards qu'ils posaient sur elle lui blessait parce que pour elle c'était pas de l'amour mais de l'envie, ne lui faisait rien, pourtant d'autres filles en aimeraient vivre ça, c'était un cauchemars pour elle de le vivre, la plus part des gens disaient qu'être belle était un atour, de voir le bonheur auprès d'un homme qui va admirer qu'est-ce qui va admire votre beauté ou votre amour pour lui ?
Pour elle c'était la beauté du diable aux lèvres amer ; une vie de montre qui pouvait tourner autour du sexe, drogue et d'argent, est-ce qu'elle était devenue une esclave sexuelle à leurs yeux d'une fleur fane en cendre, sans pourvoir la toucher sans vouloir lui faire du mal.
Ah, ah à vous de trouver cette réponse, elle-même se posait sans trouver de réponse mais le sexe ça faisait partie de deux corps, quand t'on voyait les gens pensaient comment la beauté d'une femme devrait utiliser sa faisait peur.
On refuser de comprendre pourquoi l'autre ne nous aimer pas et pourtant on l'aime, pourquoi nous sommes rejetées pour ce que les autres portent en eux.
Surtout trompeur pour les mâles qui auront un petit cerveau à la place de leur joujou entre leur cuisse, tout le monde pensait qu'elle était un prostitué à cause de sa beauté fatale et de son habillement à coupe le souffle, mais là son miroir lui parlait après un bon bain, d'autres filles en rêveraient d'avoir ma place pourtant dans tout ça je suis la fille la plus malheureuse dans ma tête mon corps mon cœur en souffrait, quel remède en prendre, pour en guérir.
Ahah ma brosse à cheveux, comment tu connais ma vie mes pleure combien tu caresses mes cheveux par terre dans ses crises, là je vois que mon cœur battait à double chandelle. Je pouvais le savoir jusqu'au jour où j'appris que j'étais enceinte toute seule dans ma chambre ce déchirement de mon cœur, prenait mon âme, mon Esprit, j'avais l'impression d'être envoûte attacher et enterre vivante pour que tout ce que je choisis de faire à ne plus donner aucun plaisir, devaient plus qu'un calvaire.
Comme tous les soirs Bibi avait le cœur brise, on aurait dit une morte vivante qui faisait partir de ces gens que leurs âmes avaient perdu leur lumière dans le monde. J'ai de l'angoisse répétais t'elle, de la peine, cette peine profonde qui va et vient s'éloignait parfois un certain de celle que j'aime le plus au monde, ma fille. Rappel moi, je t'en prie mon amour tu es où elle pouvait change de sujet d'un coup on ne pouvait pas la suivre !