« On ne connaît pas la vie d'une personne qui était bien avec tous ses membres et se retrouverait du jour au lendemain handicape qui arrive en haut, qui arrive à concrétiser son plan avec une seule jambe et un bébé. On ne connaît pas le début, la base, les fondations de comment cette personne à vécue. On regarde souvent la maison mais jamais les fondations »
Les fondations, ce sont ces années de galère avant de percer ou sa vie.
Notre corps est comme un rond-pond qu'on ne sait pas si ce corps qu'on protéger temps va nous reste intact.
Nous sommes tous sans maison intact dans ce continent malheureux, on échoue tout le temps, à quoi sert le succès qui nous rend parfois malheureux même si on a tous on souffre et ceux qui n'ont pas et qu'ils chercher ils veulent ce bonheur que ceux qui ont tout et qui pleure ils se disent souffrir.
Un personnage atypique, cette blonde aux jambes interminables longues, moulées dans un jean slim neige sur un beau manteau bleu.
-Très fine, d'une forme athlétique qu'on aurait dit une gazelle.
Bibi à 16 ans très courageuse, opiniâtre, téméraire avec un caractère bien trempé, de nature introvertie, rêveuse, romantique et séductrice qui se montrait très effrontée qui habitait avec ses parents dans un bel quartier chic de Bordeaux.
-Elle avait une âme d'une leader, très fragile à l'intérieur marcher sur la terre épineuse serait dangereusement piquante à supporter la douleur.
-Dès qu'on la voyait, avec ses yeux qui brillaient aux milles couleurs de l'année qui accompagnait à ses cheveux longs brune tombaient sur ses épaules, qu'on croirait une fée avec une beauté étincelante.
-Battante dans tout ce qu'elle entreprenait même dans ses études, elle ne voulait pas lâcher malgré les dérélictions.
-Elle faisait toute sorte de sports pour maintenir son corps en bonne santé, pour sortir de ses ennuis de jeune fille d'ado, malgré l'entourage qui lui montrait leur soutient; téléphone à ses ami(es), serviable avec ses parents ce n'était pas asse, elle avait l'impression d'être emprisonner dans son Esprit de ne plus pourvoir résonner, attacher à un arbre la bouche bander d'un tissu qu'elle n'arrivait pas à défaire pour sortir le son de sa voix, comme si elle était invisible au milieu de tout ce beau monde qui la regardait, et non par la beauté de son cœur qui était devenu comme un glaçon.
Très bonne élève, il n'y avait rien à dire sur ses notes et comportements de petite fille un peu sage aux yeux de tous, cette petite fille sage pouvait cache leur côté sombre, quand les autres élèves en récréation formaient des petits groupes de gangsters, cigarettes, drogues, à la prostitution, et la rocaille, Bibi avait d'autres ambitions de vouloir être reconnu par les gens.
Dans leurs innocences de la liberté que les filles s'habillaient comme elles voulaient sans qu'un garçon leur embêtaient sur ce qu'elles avaient à mettre sur elles, c'était la génération rebelle, ils pouvaient chantés danser l'imprudence de ne rien à craindre le danger.
Les mini jupes, ses jeans trouvent ses vêtements anciens qu'on aimerait qu'ils reviennent au gout de la mode.
Cette fille un peu brute de décoffrage, avec des convictions tellement fortes qu'elle est capable de déplacer des montagnes, son besoin vital de vérité.
Bibi "J'ai joué de malchance en voulant tout faire vite. J'étais déjà très fatigué l'été dernier, a été bien soigner, j'avais cru que je n'allais jamais revenir à la vie (...)
J'avais frôlé la catastrophe avec mon propre corps que je tenais temps en oubliant qu'elle pouvait aussi se briser en morceaux comme un verre"
Parfois on ne peut pas prendre tout sur ses épaules, avoir une culpabilité sera un poids.
-Celui qui cache le crime est semblable à celui qui tuer.
Aucune faiblesse dans mon corps ne devrait freine temps que je crois que je ne pouvais me relever au-delà de ces manquements de ma force.
Aucun combat dans la vie pour la victoire que je cherchais, ne te sera donner facilement !
Sa vie se résumer à un petit papier froissé que l'on aimerait y vivre et ne plus sortir, après avoir tout vu et vécu avec elle comme elle savait le dire sur sa propre vie ; dans ce bout de sa vie se trouvait des trésors bien cacher qu'elle n'avait pas encore exploiter. On aimerait vivre sa propre vie sans danger à parcourir obtenir tous ses rêves à un seul clin d'œil, et non pour les autres !
Des absinthes sont des fleurs du mal, comme le cœur de l'homme, c'est comme être au « Café des Colonnes » quand elle arrivait en retard, se dirait-Bibi comme toujours, pour dîner, elle se souvient de l'immense effort qu'elle devait faire pour ne point donner libre cours à des propos incohérents.
Seule sa sensibilité au froid était déjà décrite par les Égyptiens L'absinthe serait un arbrisseau très odorant, amer, dure, cannelée, rameuse, grisâtre, remplie d'une moelle blanche.
Malgré des coups de cœur, qu'elle avait vécu sur plusieurs idylles passionnées mais toujours mêlées de désillusions, sans sexe et après un seul qui lui offrira un beau cadeau.
Le regard que les hommes avaient sur elle à la draguer, bafouant la réalité de l'amour qu'on pensait avoir.
« N'avait jamais vraiment trouvé son âme sœur au départ, sa perle rare d'ange quel cherchait au fond d'elle. Visiblement lassée des déceptions amoureuses, elle avait oublié que dans ce monde il y avait un homme qui l'attendait sur un chemin de rails avec plein de passages.
Ne jamais oublier, l'importance de chaque jour, ni que la joie des uns peut-être peine pour d'autres, elle y réfléchissait comme sortir dans ce train bonder de passage.
Même si tout allait bien comme le montrait son visage, derrière son sourire cachait des combats noirs à l'eau trouble tiède, gardant un peu d'euphorie pour « demains » ...
Elle avait marre de tout, que son destin avait changer pour les autres, les hommes lui promettaient un futur agréable qui ne l'était pas.