Comme tous les matins, Bibi se préparait pour aller à l'école en retrouvant un semblant de bonheur dans son cœur grave à son réveille ; de savoir la présence de sa fille Grâce, ces parents lui avaient donné le goût de vouloir réaliser sa vie ; les combats dans la vie, tout le monde ne peut pas avoir les mêmes blessures dans le cœur, que d'autres savaient comment s'en sortir.
La vie de tout le monde ne serait pas écrite de la même façon, et tout le monde n'aura pas les mêmes combats et la même réussite.
Quand on décider de recommence à zéro dans sa vie, ou de ne plus regarder en arrière, le passer qui a été construit par des douleurs, comme une poussière ; il faudrait le balayer pour reconstruire une autre vie, la mère de Bibi lui conseillait du mieux qu'elle pouvait à sa fille : lui racontant sa vie, ses déboires amoureux, comment son père l'avait sauve grâce à Dieu, très pieuse, de ne jamais abandonne même si c'était douloureuse de supporter le mal à son cœur, même si donc on croyait souvent atteindre.
Elle se décrivait au départ comme brisé et rongé par la dépression, incapable de surmonter la négativité. J'ai une âme solitaire.
Je ne sais plus comment ne pas tracer avec des bons crayons, des chemins de vies que les hommes emprunteront te seront parfois doux sans tacher ou avec tacher, d'autres je ne sais quoi te dire, tu aurais l'impression que tous les hommes ne savent plus ce que c'est le bonheur sur cette terre. Tous les ennuis de ce monde arrêter de porter le poids du monde sur ton dos avec les sucettes qu'on aimerait ne plus s'en détacher avec cette sucrerie qui ne serait plus.
Vivre avec les hommes, c'est le prix que tu ne pourrais contrôle. Leur cœur et dite leur conduite, empêcherait cette gourmandise énorme dans leur pense fou et cruelle, si quelqu'un voudrait te quitte ou de te détruire c'est à toi d'être forte et de te protéger, comme tu verrais les choses, tu as ta fille Grace qui est notre petite fille.
Nous serons toujours là pour toi, avec ton handicap ; ça ne va pas t'empêche de te reconstruire, il faudra cherche en toi toute la force pour te faire une place d'abord pour toi-même, et après celle de ta fille, sinon ; ma chérie tu ne pourras pas soulever le poids de la détresse d'une fille en femme en toi.
Qu'importe le poids que tu porteras, le fardeau où tu croiras que le soleil ne brillera que sur ta vie et ne s'étreindra jamais, c'est comme cherche à garde le sable dans tes mains, qui ne devrait jamais tomber
Mais c'est à toi de trouver la force en toi de conduire le corps de ta vie qui est le train ou une voiture bien garée ou mal garée. Elle prenait son sac, s'allant à l'école.
Être mère en toute fois, et jonglé le tout ne te sera pas facile, parfois le rôle te sera épuisante, mais beau aussi à la fois, on aimerait tant que femme de se lâche, aller danser, dans un bar prendre un verre avec des ami(es), ciné, se balade, et voyage.
Ta forme quand tu iras cherche du travail, certains patrons te regarderons, ils voudront parfois une belle blonde aux gros seins, ou brune avec petit sein, sexy, travaille 24 heures sur 24 tellement épuisé que tu ne voudrais attendre aucun bruit autour de toi.
Même te douche te sera impossible, le travail pour paye les factures, loyer si tu as pris un crédit, le paye, crèche plus tard école, l'avenir de tes enfants, tu es crève, la fin de la journée là temps que tu résisteras à tous les cracra de la vie de ta journée de chaque jour, dit merci Seigneur de n'avoir accordé un souffle de vie, santé etc...
Appelle toujours Dieu à ton secours, à tout temps, la vie c'est comme ton handicap, tu dois le dépasser et ne pas regarder tous les jours en toi, et te dit j'ai échoué, on échoue quand on refuser d'avance, on gagner quand on ne baisserait pas les bras.
Après des mois sans soucis de cœur ou de malheur et autre, elle était revenue normalement éprenait même une vie d'ado. A ce jeudi d'après-midi ou le soleil brillait dans le capital, dans une joie de tranquillité elle se baladait avec sa fille dans le jardin de la propriété, la chaleur leur empêchait de reste trop dehors, elle rentrait avec sa fille et le reste de membre de la famille fit aussi pareil avec leur boisson à la main, et voilà que tout d'un coup après des mois que personne ne l'appelait plus, ne connaissait plus son numéro, qu'un coup de fil allait venir remettre en question cette tranquilliser.
Le téléphone sonnait plusieurs fois avant que la maman de Bibi se déplaçait pour le décroche.
-La mère prenait la combine, allô qui est sur le fil ?
Madame, excuse-moi de vous dérange je suis Virginie pourriez-vous me la passer s'il vous plait ?
La mère de Bibi oui attendez, ma fille c'est pour toi !
C'est qui maman, je ne sais pas la personne ne m'a pas donné son nom elle ne veut que parler à toi, je ne sais pas qui sait !
Bibi prenait sa fille donnait à sa mère, qui elle l'emmenait loin de la conversation que sa fille allait entretenir, c'était une mère qui ne se mêlait jamais des décisions et conversations de la vie de sa fille !
-Bibi allô qui est ce qui veut me parler ?
-Tu ne me reconnais plus ?
Bibi non je cherche dans ma mémoire et je ne trouve pas où j'ai déjà entendu cette voix !
-Je suis la sœur de Joël, virginie !
Bibi quoi c'est aujourd'hui que tu m'appelle depuis que vous m'aviez abandonné ton frère et toi et ta famille, tu as été vache, tu as donne et conseille ma meilleure copine de sortie avec ton frère que je ne voudrais plus en parler en plus c'est t'une belle journée aujourd'hui pour moi que d'entendre des voix comme la tienne !
Virginie je sais que, je t'ai fait tant de mal mais écoute moi s'il te plaît !
Bibi je ne veux rien savoir de vous tous, vous m'aviez blessé !
Combien de fois es-tu venu essuyer mes larmes ?
Virginie soi-disant ma vraie copine pour la vie ?
Combien de fois m'avais-tu tendu la main pour m'aider à me relever quand ton frère est parti ou j'avais fait l'accident et j'avais perdu ma jambe ?
En ces moment-là, j'avais besoin d'une amie de qualité comme toi de voir à travers ma fille Grâce après un long voyage que j'avais fait avec moi-même le pas de refaire ma Grace à ma famille tu étais où ; et puis elle éclatait en sanglot ne m'appelle plus jamais et éteignait son portable !
La mère a couru auprès de sa fille qui l'avait entendu pleure, son frère Emmanuel restait au rebord des escaliers comme un prince qui attendait sa bien-aimée pour aller à un bal ou autre ; puis descendit prit le téléphone dans la main de sa sœur Bibi qui restait comme dans un vide ; qu'elle avait éteint l'appelle, vue le visage à laquelle sa sœur qui ne voulut pas répondre à ses questions qu'il lui posait, il recomposait le dernier numéro !
Le grand-frère Emmanuel, je voudrais savoir pourquoi tu appelles encore ma sœur ?
Je suis Virginie, je m'excuse de tout le mal que j'ai pu lui faire et comprends sa réaction à sa place j'aurais la même réaction !
Le grand-frère Emmanuel je m'en fou de tes excuses, qu'est-ce que tu veux à la fin après tout le mal que vous aviez fait à son cœur, l'humilier, l'insulter, la rejeter, même l'écouter tu avais dit ; soi-disant sa meilleure copine et vous lui avez tourner le dos !
Virginie je demanderai encore pardon à toute ta famille s'il le faudrait seulement je souhaiterais lui annonce que !
Le grand-frère Emmanuel Ahah oui j'ai compris parle merde à la fin pour que nous puisons en finir !
Virginie je voulais seulement annonce à ta sœur que Joël est décédé d'un cancer !
-Le grand-frère Emmanuel quoi il est mort quand, je ne savais pas qu'il était malade ?
Virginie il y a de cela deux jours, je ne savais pas comment faire mon cerveau en a souffert, réfléchissant, comment faire ; est-ce qu'on ne parlerait pas à soi-même ?
C'est dure de prendre son courage à deux mains pour l'appeler et elle me manque déjà beaucoup, je t'assure qu'il voulait la revoir mais il craignait sa réaction si elle apprenait qu'il ne pouvait pas s'en sortir, même ses parents ; ils leur avaient manquer le courage on ne savait pas comment vous alliez le prendre cette soudaine disparition et apparition après tant de douleur que nous lui avions faire subir!
Bibi qui était revenu sur ses pas, avait entendu l'annonce de la mort du père de sa fille, retournant dans sa chambre, tristes, prenait sa fille dans ses bras, m'ouvrait la bouche pour parler car sa fille, moi je vais te protéger, maman sera toujours là, les larmes coulaient tombaient sur sa fille qui elle à son tour se mit à sangloter ; berçait sa fille, dans ses bras, sa mère voulu le lui la reprendre elle refusait, elle commençait à chantonner, sa fille se calmait et s'en dormait côte à côte.
Restant pendant des jours sans dire un mot à personne refusant de quitter sa fille Grace, reste là n'allait plus à l'école ; on aurait dit que la vie lui avait tout prit refusant même de reprendre les excises pour son maintien et de surfe dans l'eau en dansant, ne voulut plus vivre, travaillait dans son cœur un grand vide qui c'était installer dans son cœur, on aurait dit que la fin du monde était arrivée dans son monde à elle.
-Après cette annonce, elle restait dans une tristesse inconsolable, elle ne pleurait pas, mais son silence perçait dans la maison.
Et puis écrivait sur son mur de chambre : Même si je ne savais pas et je ne t'ai vu et tenu dans mes bras une dernière fois dans mes bras pour te dire à Dieu "Ton petit corps est devenu bien trop fatigué. Je n'y croyais pas mais j'ai senti la vie s'éteindre" "le cœur brisé" : " Joël s'en est allé́ sas que je ne puisse n'excuse l'embrasse une dernière fois, ses lèvres et son corps je ne pourrais plus les toucher. Ce jour tragique est arrivé́ alors que nous avions fini par croire que Joël serait plus fort que la maladie se disait ses parents, ils ont perdu leur fils et moi mon amour. Mais le cancer ne l'a pas lâché́ depuis quatre ans hormis quelques périodes de répit".
J'ai eu tellement de chances d'avoir croisé́ ton chemin et être la mère de ta fille. Cela a été un honneur pour nous. Nous sommes entrées dans ta famille et toi dans notre vie. Je veux croire que tu es apaisé quelque part. Et tu resteras éternellement dans notre cœur. Mais nous sommes si tristes". Quelle injustice et quelle tristesse, tu avais 22 ans. Tu as été tellement courageux".
A tout ceux qui meut de cette maladie et d'autres poison qui ôter la vie à l'âge de fleur.
-Quand t'elle rentrait, se mettait directement à étudie s'occupait de sa fille, c'était un grand vide, dans son cerveau, cœur, qui restait devant son portable comme si elle attendait un coup de fil de vie d'une personne, voulant y croire que la terre allait se retourner pour elle pour recommence à zéro ou il aura aucun méchant, aucune mort.
Avait tendance à s'oublier, tout le temps, des moments où elle voulait arracher la terre de toute cette souffrance, ses morts, comment les oublier, on les a parler, prit en photos difficile de reste qu'avec une image d'une photo. Cela fait très longtemps qu'elle ne suit pas montée voir ce qui se passait, qu'elle appelait on lui répondu que le numéro m'excitait plus. Trois ans et demi qu'elle se battait, toi tu es où ?
Bibi je crois au fond de moi que je t'en veux beaucoup, j'ai plus envie de parler du côté de ce moi qui est tout le temps en conflit avec moi-même, est-ce que tu prendrais soin de ton enfant Grace de là où tu te trouves ?
Souhaiterait là à trouver une bonne solution à ces questions, que je me poserais tout le temps.
Je ne méritais plus tout cela dans ma vie, je suis comme une plante qui ne veut plus être arroser du tout. Ta fille Grâce est aussi comme tu disais que tu l'aimais quand j'étais enceinte, tu serais venu me voir si tu l'avais su on est reste plus de temps à se fâche que de passer plus de temps à se donner plus. Si tu ne crois pas qu'elle en avait asse aussi d'avoir tout donner quand tu étais malade je crois même si tu es (PARTI) je le dis, avoir donner des mois de sa vie pour sauver la nôtre à tous les deux moi dans ma dépression que je n'arrivais pas à me remonter.
Elle la regardait derrière un sourire, Bibi cachait sa peine, sa colère, voulant montre qu'elle était forte dans cette épreuve, mais elle n'y parvenait pas souvent au cache, Bibi je suis arrivée à un point ou je n'arrive même plus à lever la tête, ce matin je suis "vaincue abattue dans mes épreuves de fille et femme, celle où celui qui dira que la chance vient à tout moment : je lui jetterais mes injures que je n'aurais jamais dit et oublier mes bonnes matières !
Pour la première fois de sa vie elle va peut-être prendre des antidépresseurs, ce qu'elle ne voulait pas du tout y associer à sa vie. Bibi était là le matin hésitant à boite devant tous, se regard sa mère là connait à l'hôpital ; je prends, ou je ne prends pas se la posait la question, j'avais commencé à prendre le dessus sus mes douleurs, j'ai l'impression de n'avoir jamais guéris de ça. Les prendre serait pour moi accepter ma faiblesse de ne pouvoir faire face à la vie.
Ne pas les prendre serait une façon de rester dans ma petite vie qui est devenue bien trop étroite pour moi, Bibi jetait la boite à comprimes par terre, et s'en allant sa chambre était devenue une sombre vie, c'est son frère qui arrangeait sa chambre quand -il pouvait.
Ça là déchirait, tuant, à ne plus vouloir manger, ne dormant même plus vraiment, elle avait toujours envie de s'écroulait de ne plus pleurer, de ce suicide, avoir cette idée c'est comme dire j'irais retrouver satan et non le bon Dieu, la croyance pour elle serait capitale à s'accroche à quelque de puissant, d'autres sont ne le sont pas, je craindrais et de voire combien beaucoup souffrait de ne pas avoir le car de vie que moi, et que moi je ne plaindrais pas, à ce demande si l'homme en lui-même serait satisfaite un jour dans sa vie qu'importe ce qu'ils auront, et de voir que le cœur de l'homme serait plus pousse à faire du mal car faire du bien en soit même.
Je les hais, je les croyais, je suis tombé en amour, et maintenant que l'amour est parti avec lui, je suis juste tombée, écroulée. Mon sang bouille de l'intérieur, il s'agite jour et nuit. Mon cœur et mes poumons ce compresse.
Savoir que pour lui, ce sera qu'une de plus à avoir déjouer, me tuer. Il disait vouloir qu'aucun autre me fasse de mal, c'est plutôt ironique -puisque j'avais frôlé la mort, à l'idée qu'il ne vaudrait plus de moi, puisque pour lui, je ferais tout. Puisque personne, pourrait crée autant de douleur en moi, que lui la ferait. A bien y penser, mon histoire au complet avec lui est ironique.
Le père et la mère étaient inquiété pour leur fille qui avait besoin d'aider, aidons là le peu de force qu'il nous reste à l'accompagner encore dans cette folie, je maudirais cette journée là c'était encore mieux qu'elle ne nous appelle pas pour annoncer cette bombe, elle avait repris le souffle du bonheur, qu'est ce qui ne va pas chez les gens qui partent et débarque dans la vie des gens pour détruire une belle vie. On lui doit bien ça. On ne doit pas la laisser en cette état-là, je sens son cœur meurtri, la douleur dans ses yeux.
Je sais bien qu'elle est en train de se détruire et qu'elle risquerait de perdre pied un jour ou l'autre encore son handicap, puis la mère retournait la question vers son mari, toi aux faites tu laisses faire tout cela et tu me demande de faire quoi là si elle ne veut plus l'aider de personne. Dormir et oublier notre fille qui serait en train de suivre ses traces je l'entraînerais avec moi si je la laisse se détruire, ou bien est-ce elle qui m'entraînerait avec elle au fond du trou ?
Qui sait !
Le père je sais que c'est aussi ma fille elle n'est pas seulement tienne. Je vais lui prendre la main comme un père en fait quand il voir le désespoir dans les yeux de sa fille, je l'amènerais là ou toi tu n'as pas été capable de le faire je crois mais je sais qu'en ce moment tout le monde veut l'aider sauf elle-même qui ne demande rien.
Je sais qu'on demande toujours beaucoup à une mère pourquoi son enfant est comme ça, est devenu comme ça, si l'enfant se détruit ne réussir pas ça serait la faute de la mère, comme nous la plupart des hommes mauvaise graine !
Alors fait le moi bien savoir si j'ai bien échoué mon rôle de mère, Je sais qu'un jour elle serait heureuse, pleinement. Le bonheur tu sais ça se connaît au pondeur du de nos entrailles de notre cœur. Je n'ai besoin de peu de choses comme avec toi.
Crois-tu qu'elle me verrait chéri, pardonne-moi mes propos ce n'est pas toi la responsable, si je commencerais à enseigner pour être heureuse, penserais-tu d'abord qu'elle accepterait que tu ne fusses pas aller vers elle pour lui faire des reproches en l'aidant. Qu'elle accepterait que ce père qui l'aimait tant, ne lèverait pas le petit doigt pour elle, si elle ne voulait pas écoute mes conseils.
-Terrible pour un homme qui disait "je reviendrais "Il suffirait de pas grand-chose juste un petit coup de main pour lui redonner espoir d'un lendemain meilleur.
Bibi mais ça c'est une autre histoire n'est-ce pas papa ?
J'ai en moi autant de soleil que de pluie dans ma vie que je ne vois pas où je refuse que j'aie été gâte par la vie, en moi autant de compassion que de colère. J'ai en moi autant de bons sens que de folie. Le temps ma rattraper, je suis tannée de courir, essoufflé et déboussolé, ne voudrait plus jouer, c'est plus drôle, je m'ennuie, c'est terrible comme la douleur, d'être loin de toi je veux dire. Ta chaleur, ta voix, tes mots me manquent, mon cœur chatouille quand je pense à tout.
Ce matin, pourtant l'orage gronde en elle, il y avait tant de choses qu'elle ne comprenait pas sur sa fille, un ange devant elle malgré tout, mais Bibi souffrait à l'intérieur d'elle ; n'arrivait pas à s'exprimer. Elle voudrait se réveiller sous un nouveau soleil ou les choses ne seront plus pareil, elle voudrait renaître, qu'est-ce que je voudrais le faire ?
-Le bain, la fatigue, faire attention à ses mots envers sa fille, ne pas lui donner l'impression qu'elle ne serait jamais, travailler sur soi pour ne pas flanche.
-Viens dans mes bras petite sœur, je t'aime je suis désole pour ton cœur si je n'étais pas ton frère, je t'aurais pris et je ne t'aurais jamais fait mal ; tu es une fille formidable !
Je vous remercie tous sans vous et ma princesse je n'aurais pas vue tout ça, peut-être qu'il faillait me poser cette question en moi, je me retrouve sans voix sans réaction, après ce que vous m'avez fait voir, je voudrais quoi ?
-Que tous mes problèmes seraient réglés, il faudrait que je leur prenne dans mes bras merci !
-Un jour virginie m'appelait, pour rencontre toute ma famille et voir l'enfant et de me remettre une lettre écrite par le père de mon enfant.
Sa mère qui était reste à la maison ; acceptant l'invitation sans demande l'accord de sa fille, pour elle sa serait bénéfique pour sa fille Bibi pour qu'elle puisse tourne la page de tout ça !
Le soir venu, toute la famille se retrouvait, comme d'habitude à table, la mère très confiante, prit la parole elle dit : ma fille je ne sais pas si ce que je vais te dire tu prendras ça bien ou pas, je souhaiterais que et j'ai accepté d'invite virginie et sa famille ici demain comme tu n'aies pas à l'école !
Bibi ne répondit pas restant dans son coin en regardait sa mère dans un regarde vide et dit à un seul mot : faite comme vous le sentez moi, je suis morte à l'intérieur comme à l'extérieur de moi.
-La mère de Bibi se levant, prit la combine et appelant pour confirme le rdv pour demain.
La maison était devenue, froid sans vie, tout le monde avait peur d'adresse la parole à Bibi, de peur qu'elle se renferme encore plus sur elle-même. Personne dans la famille ne savait plus comme la prendre. Elle quittait la table sans un mot prenait son assiette et tout comme si elle ne voulait plus exister sa jambe, restant devant le frigo, tremblait de tout son corps avec cette assiette et mit dans le frigo, sans un regard en arrière ni à sa fille et allant se couche.
Enfermer dans sa chambre, Bibi se retrouvait dans un délire à résoudre ces vieux démons dans cœur qui voulut encore s'installer en elle : Un jour avant de partir et que la maladie ne se déclare tu m'avais promis que : parti avant moi tu serais toujours là pour moi.
Quand tu es parti, j'avais souvent le sentiment de senti ta présence, un reflet d'un souffle, mais je n'aurais jamais essayé de te retenir ici-bas. Je me souvenais trop à quel point j'avais pu t'aimer, et à quel point la vie avec toi était belle. J'étais heureuse.
-Quatre ans que je suis seule à tout assumer, et toi tu es où ?
-S'être là en secret en prenant soin de nous, dans un endroit où je ne puisse te retrouver ?
Son frère Emmanuel éclatait en sanglot, comment faire pour qu'elle puisse sortir de sa détresse : comment je vais aller à l'église ; ce soir j'y vais, il sorti en sanglot et il allait à l'église, fermait son portable ne voulait parle à personne, il restait à l'église jusqu'au matin !
-Le matin venu toute la famille venue à la maison ou vivait Bibi.
Tout fit au contrôle sans problème Bibi aussi belle, préparant cette venue avec beaucoup d'amour, et oubliant à la fin sa tristesse, elle avait tout préparé quand tout le monde n'étant pas lève, on aurait dit que l'ange était venu le visite la nuit et lui parler !
A midi, tout le monde se mit à table ; Bibi parlait dans une joie immense, elle avait pris sa fille avec elle, tout le monde la regardait, son frère était content de la voir ainsi, ils s'excusaient auprès de la famille de virginie, de leur acte.
-Virginie prenait Bibi à côte pour lui parler.
Elle prit sa fille Grace le confiait à sa mère qui acceptant volontiers, et Bibi acceptait l'invitation de virginie comme si ces blessures était fini. Les deux filles s'en allaient dans la chambre de celle-ci, en courant laissant le reste de la famille dehors. Les deux filles s'assiéraient sur le lit de Bibi, commençaient à parle de tout, rigolaient comme s'il n'y a pas eu de problème entre elle.
Je dois t'aide à tourne la page, lui fît virginie, j'ai une lettre à te remettre et tu dois forcément le lire là où tu voudrais, pour que tu puisses comprendre et de pardonne à nous tous si tu voudrais !
Bibi pardonne après tout ce donc vous m'avez fait, je l'ai déjà fait, c'est vous qui croyiez que je suis fâche, je suis passe à autre choses, tu as vu ce que j'avais traverse plus que le problème de l'amour !
Virginie : oui je sais prend lis le s'il te plaît !
Bibi tu as de la chance aujourd'hui je suis différente je ne sais pas pourquoi, je vais prendre ta lettre !
Son frère Emmanuel et toute la famille restant devant la porte pour écoute les deux filles sans faire de bruit !
Bibi prit la lettre et le lisant à haute voix !
Dans son handicape elle comprit combien la mort lui avait été épargner en lisant cette lettre.
C'était un soulagement pour elle, elle pourra revivre ; ses choix, ses amours, cette envie de vouloir vite grandir, maintenant elle pourra faire son deuil, son cœur pourra s'ouvrir aux nouvelles choses, laissera son corps s'adapte à une belle histoire.
Elle pourra danse compose, faire des tournois dans le monde entier, reconstruire se projets d'avenir.
« Je suis fracassé » la voix chargée d'émotion. Je suis bouleversé. »
« C'est un ami que j'ai eu un enfant, que je perds » « Pour moi, c'est un vide terrible » « Il était cool, il était ouvert à tout. Toutes les crises de fous rires que j'ai eues avec lui. [...] On avait une relation tellement particulière. [...] où j'ai rêvé, ri, tremblé. Aujourd'hui, je suis malheureuse.
« C'était un être beaucoup plus complexe qu'on ne le croit. Il avait un sens de la tragédie. [...] C'était un homme qui avait un cœur énorme, un goût et une jouissance de la vie. Il me faisait des coups invraisemblables. Le gamin, et en même temps l'homme, et l'adulte. Il avait un sens inouï de la famille et de l'amitié »