Après son retour du lycée après six semaines qu'elle avait pris pour garde sa puce, c'est vendredi soir, elle décida d'aller sans l'accord de ses parents en boite de nuit.
Elle voulait se détruire et que la mort du seul garçon qui la prenait telle qu'elle était une victoire.
Refusant de boire et de fume mais de se détruire autrement.
Après le repas, et une digestion bien mériter, eux tous allaient se coucher pour attendre une nouvelle journée qui allait commence un bon samedi. Elle allait se préparer, d'une beauté angélique, Bibi croyait que ses parents étaient bêtes de ne pas savoir qu'elle allait sortir.
Le petit fait bien ses nuits ; pour elle : elle sera là avant que sa puce se réveiller tout était calculer. Comme les parents avaient mis une alarme à la porte de la maison, dans la journée fît monte un escalier sur la fenêtre dans sa chambre Bibi cherchait comment sortir de cette grande maison, sans se faire voir ?
Difficile de trouver la réponse était jeune et d'avoir une grande envie de sortir en douceur sans se faire remarquer était à être une détective privée.
Elle finit par voir l'escalier comme dans les comédies musicales les rois du monde, que la princesse attendrait son prince par la fenêtre pour l'embrasse.
Le père demandait au frère de suivre sa sœur, elle arriva à s'éclipser et une de ses amies l'attendaient dans une voiture qu'elle avait garé un peu loin de la maison, et Bibi très contente d'avoir fait les choses en douceur sans se faire repère, pour elle ; elle rentrera aussi à la pointe des pieds sans se faire prendre ses projets de nuit.
Elle et ses ami(es) dansaient jusqu'car 3 heures du matin et décideraient tous de rentrer se coucher, mais ils arriveront jamais à destination chez pour se coucher, ce lit qu'ils ont dormir longtemps, caresse dessus, le parfum de leur odeur, ses parents qui dorment tranquillement sans savoir que leur nuit va être bouleverser ; ceux qui vont enterre et ceux qui devrons se battre à reste en vie dans une rude épreuve qu'il faudra avoir une force mentale à accepter le changement de la destine de cet accident de voiture, ou les pompiers etc...Verront même s'ils sont déjà habituer de vivre ça sera toujours difficile de l'accepter.
Ce sont des vies, humaines, qui seront parfois déjà enterrer, même si nos yeux voient le contraire, combien de temps encore le prendre dans ses bras, et devoir lui dire au revoir.
Mais ce jour allait être un tournant pour Bibi pour sa vie qui allait être chambouler et tout remettre ses décisions de ses projets, son corps allait lui faire prendre une décision qu'elle-même sera au départ dans une prison d'un nouveau corps qu'elle devrait accepter, comment accepter ce qu'on n'est pas née avec ?
Eux qu'un d'eux dans la voiture ne savaient pas que sur cette route, leur destiné allait changer d'une seule seconde d'inattention sur la route, ils étaient en train de discute, étaient encore dans la soirée de la boite de nuit, avec les bouteilles à finir, le chauffard lui n'avait pas bu, il ne m'aimait pas l'alcool.
Était venu récupère sa copine qui était avec Bibi en boite de nuit après le travail , cet ami se retrouva dans une situation désagréable, qu'il avait la vie des personne qu'il avait porte dans sa voiture, à cause d'une traverse d'un animal et le verre glace, faisait en sorte que la voiture avait pris un glissement jusqu'car se faire frapper sur un poteau d'électricité, tous fissent presque vivant, sauf le côté de Bibi ou elle était assise côte passage de devant, sa jambe était reste confiée, les pompiers, les ambulancières qui avaient appelé le médecin pour leurs aider à sortir les deux jeunes filles dans la voiture ; eux tous avaient mis toute leur effort de leurs faire sortir de là avec sa copine !
-On les avaient transportées dans un grand hôpital à Paris le plus réputé pour les accidentés, les parents et certain de ses ami(es) fît à son chevet.
L'opération, avait mis des heures, prendre des décisions avec ses parents pour son pied qui était dans un état lamentable, qu'ils ne pouvaient pas sauver, malgré tout le possible qu'ils avaient fait pour le maintenir il y avait plus de chair on pouvoir l'os en évitant l'hémorragie interne et externe, c'était ou la laisse avec un pied qui lui aurait donné d'autres complication jusqu'car mourir, ou la donne un second souffle de vie à Bibi de vivre sans sa jambe.
-Très dure de savoir que tous les autres passages étaient sortis, qui l'avait laissé du jour au lendemain handicap d'un pied, ne voulant rien comprendre de la vie, plus vivre, au réveille, ce jour-là, se sont ses parents qui avait pris la décision de lui annoncer, la mauvaise nouvelle.
Bibi quand t'elle était sorti du bloc opératoire, dès son réveille, elle avait senti qu'il lui manquait quelque chose, elle se touchait voyait qu'il lui manquait une jambe et sa réaction fut si violente envers elle-même et tout le monde qui se trouvait là, leurs chassant de la laisse tranquille et qu'on vienne lui remettre son pied, elle criât mon pied je le veux veinez me le remettre, elle cherchait son pied ou était-t 'il passer ?
Dans le service, on entendait que ses pleurent, quand allez-vous me remettre mon pied, je suis née avec deux pieds et non une seule jambe qu'est-ce que je vais faire avec une seule jambe ?
On lui donnait des calmants mais ne font aucun effet, on aurait dit que c'était plus tôt le contraire qui se passait quand t'on lui administrée, une force d'une lionne et la rage.
-Qu'est-ce que je vais devenir ?
Tout le monde va se moquer de moi, plus de copain, à l'école on va me rejeter, je vais devenir le souffle douleur des autres élèves.
Bibi : maman aider moi je ne veux plus aller à l'école, même sortir je ne veux plus regarde les copains même mes ami(es) ne vont plus me considérer, les soirées je ne serais plus invite, qui va vouloir une femme sans l'autre jambe ?
Je ne suis plus pareil au lit comment vas-t'il faire sexuellement avec moi, il ne va pas avoir honte de mon corps à moitié tout fait ?
Je veux qu'on changer de pays même aller vivre avec les animaux pour moi sa serait mieux que de devoir voir les humains qui vont me regarder de travers en me jugeait tout le temps.
-Mes études, ma fille, mes ami(es), mes activités comment vais-je faire face avec un seul pied ?
Pourquoi je suis sortie ce soir-là à chaque fois que je veux l'oublie j'ai toujours des soucis : je te maudis Joël, j'ai voulu t'oublier regarde là où je me retrouve ?
-Elle ne voulait plus rien, même vivre, tout ce donc, on lui proposait ne pouvait pas faire le poids, à sa grande douleur.
-Le kiné, malgré toute proposition ne pouvait y rien faire, malgré qu'elle vît les autres être comme ; elle être dans sa situation...
-Bibi tenait un journal, ou elle écrivait tout son mal-être, ce qu'elle ne pouvait dire à personne. Quand sa fille était-elle changée tout d'un coup c'était la mère qui oubliait ses douleurs et n'était plus chiante.
Cet accident, pour Bibi était devenu une source de solitude sentimentale. Ne cessant de vivre, souriait comme toute personnes normales, comment se disait-elle, que le monde autour d'elle était en train de lui tourner le dos.
Ses parents faisaient tout pour l'aide à se relever, mais non, non se disait Bibi !
Sa mère demandait de l'aide phycologique pour toute la famille, elle voulait remettre de l'ordre dans la tête de sa fille Bibi, il fallait être très patiente dans les gestes, comportements ne pas brusquer pour ne pas avoir les frottements aux discutes quand Bibi était à l'hôpital elle devrait s'occuper de sa petite fille à la maison aller la cherche à la crèche, les balades aux parcs des jardins de la ville aller à la bibliothèque, ayant de perte de mémoire.
Bibi, regarde-moi, maman, papa vous préfériez regarde là-bas, vous n'y arrivez plus à me regarder, tout ce que je vois dans vos regards cette pitié, notre petite fille n'est plus comme on l'avait mis au monde !
-Putenne de merde vous n'êtes pas responsable de ce qui n'ait arrivé !
" Elle est profondément atteint. Et quand elle se sentait au bout, fatiguée, meurtri, anéanti, elle se retirait et ne parler plus à personne",
Vous êtes devant moi comme des statues, à peine vous arrivez à me toucher, sauf mon frère qui m'a enlacé dans ses bras tous les jours il aide les soignants à faire mes soins, il me douche, vous êtes là à compte vos fautes devant cette enfant que son corps à changer ?
-Ses parents étaient là, n'arrivaient plus à contenir les désarrois qu'ils avaient dans leurs cœurs qu'ils avaient contenir depuis l'accident comment parler à son enfant dans cet état ?
-Comment trouver des mots justes à ne pas le blesser, ni pleurer devant lui, ce courage et émotion comment l'exprimer.
Comment se mettre à la hauteur de la souffrance de son enfant de ne pas lui faire mal plus qu'elle en a déjà, plus de force de lui faire des reprocher ses écarts ; elle a payé le prix fort.
Comment blâmé ce qui ne va rien changer, il faudra seulement avancer et réapprendre avec un nouveau corps et oublier l'ancien corps le combat sera long mais juste à retrouver une vie stable.
Cédric le papa non je te regarderais toujours pareil comme ma petite fille que j'ai toujours admirée, mon enfant les yeux que les parents voient le corps de leur enfant après l'accident ne sera plus pareil, on veut que tu reprennes la vie de l'autre côté de la ligne, seulement je me posais des questions sur ton état mentale en ce moment ; pour la suite vue que tu ne crois plus à rien, tu ne veux même pas que je te touche comme si j'étais fautive de cet accident !
Bibi, regardez-moi dans quel état je suis devenu devant vous ?
Mes émotions ne sont plus comme avant, j'ai de la rage, si je pouvais me lève de là, je casserais tout, pour revente ma vie ; mais dans une tombe, je ne pensais pas me voir ici ?
Je suis en train de sombrer et, cette fois, je crains qu'il n'y ait personne pour me sauver même ma fille dans les bras ne me fait plus sourire, je ne saurais pourquoi vivre si mon cœur est vide se disait Bibi.
Maintenant, le jour saigne c'est mon tour de comprendre tout ce donc tu as traverse dans la nuit que j'ai vécu cette froideur de la nuit et tu n'es pas là pour m'aider à surmonter tout ça, moi je n'étais pas là, je voulais vivre sans plus trop m'interdire les choses de la vie, là je viens d'avoir une leçon de vie que je n'oublierais jamais l'insouciance c'est la vie et la mort qui ont le contrôler sur nous.
Elle a pris le risque et elle en ait paye le prix fort d'avoir chercher à tout changer les choses dans sa vie.
Bibi : J'avais baissé la garde de tout croyant que je pouvais être éternel rien pour une soirée je ne l'avais jamais fait, et puis tu m'as mis des bâtons dans les roues en partant pour ne plus rester envie.
Je m'habituais presque à l'idée d'être quelqu'un que tu aimais je m'habituais presque à l'idée d'être quelqu'un que tu aimais fort je n'ai pas su prendre ce que tu m'avais donné et j'avais tendance à fermer les yeux quand ça me faisait mal, parfois je tombais dans tes bras pour soulager les plaies dans mon cœur, ses épines qui piquaient cette chair qui vivait envie. Je ferais mieux d'abandonner et de prendre sur moi ; alors excuse-moi si je le fais je ne veux plus verser une goutte de larme pour toi ce soir parce que mon corps c'est lâcher pour toi, tu as refusé de partager tout tes soucis n'est pas la façon dont ma vie devrait être.
Bibi avec sa fille devant la fenêtre regardant le ciel et dit merci mon chéri Joël. Je ferais tout, je te donnerais mon monde !
« Cela étant, j'ai l'impression d'être devenue adulte. Je ne me suis jamais donné la possibilité de faire l'enfant et je n'ai pas eu d'adolescence."
Jusqu'à ce je revienne à moi, je serai en sécurité au son de ta voix les larmes aux yeux et la gorge serrée : "Tu aurais pu vivre encore un peu, je sais que nous nous reverrons un jour ou l'autre. Si seulement tu étais ici et ne sais pas comment vivre sans ton amour pour moi j'étais née pour te rendre heureux ce soir je sais que nous pourrions le faire bien ensemble avec notre puce. Je sais que j'ai été une imbécile depuis que tu es parti plus les jours passent on s'approcher de la mort.
« Cela étant, j'ai l'impression d'être devenue adulte. Je ne me suis jamais donné la possibilité de faire l'enfant et je n'ai pas eu d'adolescence."
Ce tout ou rien n'a vraiment le don me rendre fou je crois que j'aimais plutôt bien ta manière d'anesthésier toute ma douleur si tu étais encore là, je me sens coupable d'avoir pas vue que tu n'allais pas bien, ses rdv manquent que tu ne venais pas combien tu as souffert ces traitements lourds que tu as dû subir, et tu venais aussi me donner les moments de bonheur.
Je n'oublierai jamais et je sais que je la reverrais plus ma jambe. Je suis encore sous le choc, la tristesse était accablante".
J'ai besoin de quelqu'un à guérir, connaître, posséder et à retenir dans nos blessures on en veut à Dieu de tous nos malheurs injustement parce qu'on est impuissant devant l'acte commis à notre cœur, on veut que nos cœurs soient guéris par le créateur, celui qui vous fait mal réussir et vous qui faites le bien ; vous trimez même à vous demander ce que vous allez faire.
Bibi "Au bout" et "anéanti » « Je le fais parce que je veux les protéger des salissures que je me prends et que je vais me prendre dans les jours qui viennent. À partir de maintenant, je vis pour mes amis, ma famille, je quitte mon engagement, et je ne m'exprimerai plus.
C'est trop lourd payé !
Sans détour, avec beaucoup d'émotion. "Ce matin, j'ai l'impression de ne pas contrôler mes émotions. Je peux regretter d'avoir posté ça. Je ne devrais pas. Je ne sais pas en fait. Pas parce que j'évite le chagrin, je veux être honnête et vraie et ne pas cacher ce que je ressens. Je veux être aussi moi-même que possible en ce moment.
Votre vie est comme cette maison ancienne qui avait de la joie et qu'après leurs départs ; il y a plus de vie, la plupart se retrouverait dans la rue, ces vieux qui avaient données tous leurs vies à donner à l'état n'ont plus de repère, qui penser à eux cette alliance qu'ils ont porte deviendrait lourds à transporte dans la lumière. Comme ces bateaux qui partent en mer sans identité de chaque personne qui a été transporté, quelles familles viennent t'ils !
On les a retenus en les promettant une vie meilleure, notre vie est comme ces immigrants qui ont tout laisser chez eux derrière, on se bat sans savoir où le combats étant vivant va commencer, on aimerait briser ce mur que nous avons place en face de nous, on oublier ce onc on aimerait devenir, on devenir parfois le monstre le pire de la vie de l'autre.
Ces migrants voient la mort en face en traversant la manche de la liberté tous les jours de leurs vies, écrire les noms ils seront nombreux, moi je ne l'ai pas vécue se répétait Bibi quand t'elle voyait à la télé je ne le vivrais jamais ça, ils n'ont plus rien au savoir qui sont-t 'ils réellement comme nationalité on le porte parce qu'on est née quelque part : eux ils le vivent moi je n'ai pas pris le bateau ni traverse cette mer pour aller chercher une meilleure vie, je me rappellerais et parler souvent à ma fille de ce immigrant iranien de 28 ans, il tuait le temps en buvant du café et cette mère avec son bébé de deux mois dans les bras regardant la mer.
Le témoignage de ses immigrants permette également de mieux appréhender le rôle joué par les passeurs dans la Manche, "Oui, ils payent un passeur de 2000 euros. C'est impossible de faire le voyage sans eux se disent-t 'ils, Bibi est reste en contact avec l'association qui les aider.
Le jeune homme est arrivé illégalement sur cette l'île comme tous les rester, en traversant la Manche. L'Angleterre, ce serait mieux il y pas trop de différence la couleur peau ce ne sont pas leurs problèmes temps que tu veux travailler et bien dans la tête pas de soucis, il l'a atteint en faisant la traversée de Calais à Douvres avec ses autres qui ont payé une somme. Eux tous disent ceci : "J'étais dans l'eau pendant 14 heures. Il rejoint des amis et traverse la Méditerranée sur un bateau pneumatique : « Tu te vois mort. Le bateau où tu es assis est en plastique, et risque à tout moment de se percer. » J'ai vu la mort avec mes yeux" Car bien qu'ils arrivassent sain et sauf à destination, le voyage qu'ont entrepris se révèle particulièrement dangereux. La navigation dans la Manche se fait à bord de petites et fragiles embarcations, bien souvent surpeuplées. Certains lui ont dit que la traversée était sécurisée.
"Dans leurs propres pays ils sont discriminés à cause de leurs religions et de leurs identités. N'ont pas le droit de rien faire, même pas de parler dans leurs langues natales. Alors fuir était leurs meilleures options."
On a une convalescence quand on a eu une opération, quand on est malade, quand on accouche (heureusement d'ailleurs). On n'a pas de convalescence quand on a un gros choc émotionnel"
Ils sont plus d'identité nulle part dans ce monde qu'on leurs rejeter, moi on ne m'a jamais rejeté j'ai de la chance ; je regarde ces autres peaux de couleurs qui doivent se battre dans ce monde que le créateur nous a donner gratuitement c'est lui qui a tout créer et nous on le détruit au lieu de vivre on se détruit.
La mort ne sera pas une belle chose pour avoir une victoire, on aimerait gagner étant vivant, ses choix c'est la vie et la mort qui nous l'imposer qu'on ne peut contrôler, ces enfants qui jouaient sur des rues en oubliant la peines, pour nous les jeunes nous sommes devenus plus cruelle envers tous, on casser tout n brisant les rêves des autres.
Je suis limité à mes gestes comme un légume sur ce lit, pourquoi ne m'avez-vous pas laisser mourir pour que je ne puisse pas voir ce déchet que je suis devenu, Bibi ne voyait aucun issu à ses douleurs du cœur.
Quand la jambe ne veut plus être mien il faut faire avec, quand t'elle pensait ne plus la soulever j'aurais voulu que ta bouche te souvient encore du gout de notre amour.
Elle ne voulait plus se nourrit ; maigrissait à une vitesse tous les soins qu'on lui prodiguait ne lui faisait pas grand-chose : alors ils avaient pris la décision de la faire nourrit autrement.
Elle n'avait pas été en mesure de manger de la nourriture solide depuis plus de six mois en raison de toutes les opérations qu'elle a subies "Ses organes ont quitté son corps se demandaient ses ami(es) qui venaient la voir ". Elle n'avait pu ingérer de liquides qu'à l'aide d'une paille, et a donc perdu près de la moitié de son poids."
Les médecins et les soignants défilaient et faisaient leurs devoirs, c'était impressionnant de voir son état mental chute quand sa fille n'était pas là et la photo de Joël on aurait dit que sa force venait d'eux, limiter elle ne devrait jamais vivre, et même son corps donner la joie de recevoir les caresses d'amour.
Vous avez vos membres entière et moi non, vous avez pitié de moi, encore une fois c'est ma faute, regardez cette cicatrice sur mon visage, vous n'arriviez même plus à me regarde en face comme telle que je suis devenu, l'enfant que j'étais avant n'est plus ne me traitez plus comme la petite fille, je suis brisée de tout mon corps, regardez mon corps est sous des bandes, les soignants viennent me portent, comme si avant je ne pouvais pas marche, je vois dans tes yeux de la pitié et dans la vôtre aussi, vous croyez tous me cacher vos émotions, vous, vous tromper.
Alors est-ce que l'enfant que vous avez portez avec vos triées existerait-t 'elle encore avec ses membres que vous avez mis au monde avec toutes ses membres n'excisent plus, voyez-moi avec d'autres yeux maintenant, on ne peut plus remettre. Je suis devenu comme une statue devant la poser pour un peintre qu'il puisse me mettre sur l'un de ses tableaux.
Joël "Il était un éternel optimiste qui croyait que tout était possible. Dans ce même esprit. "J'aurais compris qu'il me quitte s'il m'avait dit qu'il souffrait dans son corps " les épreuves qu'ils ont dû traverser au fil de cette dernière année.
D'ailleurs, leur romance aurait pu ne jamais voir le jour : Bibi "Je l'aimerai, même chauve s'il était encore là, j'étais en train de perdre mon être le plus chère et de ne plus m'accepter, je n'étais pas complètement disponible à avoir une relation il c'était approcher de moi, comme j'avais peur de sortir avec les garçon de l'école, certains étaient si cruelle avec les filles certains avaient deux ou plusieurs filles les faisaient faire des choses affreux, comme pour rester avec eux des fellations dans des toilettes de l'école, anus, où de faire de coucher avec leurs copains à quatre où plus.
Certains garçons leurs donnaient une autres leçon vie dans la terreur de leurs faire peur en oubliant qu'elles avaient une dignité propre, les faisait faire toutes formes de violences qu'une femme peut subir, elles les subissaient quand les parents n'étaient pas là, ces filles cachaient leurs marques elles n'ont pas le temps de réagir ".
Ils leurs disaient que c'étaient leurs fautes, ils leurs poussaient à bout, ils leurs disaient qu'elles ne leurs méritaient (...) Elles s'excusaient à chaque fois qu'ils leurs brisaient leurs rêves, d'être la femme qui devrait être digne d'un homme, a genou toi devant moi, lèche mes pieds, ils leurs frappaient, Bibi refusaient ces relations toxiques que ces garçons faisaient subir aux femmes. Elles deviennent l'ombre d'elles-mêmes, les mauvaises notes ne dormant plus, ces garçons leurs harcèlent de de voler de trichent à leurs places.
"Ils les mettait des droites dans tous les sens que Bibi voyaient et signalait que parfois ça se retournait contre elle de vouloir aider ses filles qui étaient maltraitées (...) Elles commençaient à se pisser dessus devant eux sans qu'ils ne réagissent plus ils leurs enfonçaient leurs têtes dans les toilettes. Ils rouaient de coups (...). Avant de dormir, ils leurs disaient s'ils les entendaient respirer ils vont leurs tue. Ses filles disaient toutes : J'ai dormi dans ma pisse, par terre. Je priais pour ne pas mourir". "Ils les en mettaient des droites dans tous les sens (...) commencé à se faire pisser dessus certaines filles qui appartenaient à ces cons filmaient pour partager sur les réseaux sociaux. Ils continuaient à leurs rouer de coups (...).
Avant de dormir, ils dorment avec leur titré de fille et leur dit si je t'entends respirer je te tue. La peur au ventre elles vont dormi dans leurs pisse et sellé, par terre. Elles priaient pour ne pas mourir". Les titrés de ces garçons sont dans la joie de voir leurs camarades de classe vivre l'enfer, elles-mêmes sont dedans dans cette haine.
Bibi ne voulaient pas vivre ça, alors quand Joël l'avait abordé ; c'était difficile de le laisser dans son monde qu'elle avait construire, cette barrière de ne pas laisser qui que soit venir la rabaisser pour avoir du pouvoir. Se retrouver à aller à la police pour un con.
-Cédrie non je te regarde pareil ma fille, seulement je me pose des questions sur ton état mentale et physique en ce moment pour la suite vue que tu ne crois plus à rien, tu ne voulais même pas que je te touche comme si j'étais fautive de cet accident.
-Bibi je te demande pardon, je n'étais pas bien dans ma tête, tes câlins me manquent, même toi grand-frère tu es le seul qui ne s'est pas éloigné de moi, malgré le rejet que je t'avais fait subir.
Toute la famille l'embrassait à même temps, son grand-frère était très durs envers lui-même, avec les principes que la vie, malgré les difficultés dans la vie.
Plus de peur que de mal. Tomber dans les pommes et retrouver du sang derrière son crâne quelques minutes plus tard sans en savoir l'origine de cette tragédie, à chaque fois qu'elle se levait toute seule ; il y avait un bonbon sur elle : qu'on allait cherche à gère et soigner ...
-Qu'ai-je fait pour mériter ce mépris !
-Bibi a cru qu'elle vivait ses derniers instants. "La seule chose qu'elle voulait c'était que l'on lui donne un téléphone pour qu'elle puisse dire au revoir à sa jambe" Dans un premier temps, elle ne s'était pas rendu compte de ses nombreuses blessures.
"Je me rend compte que je n'ai plus une jambe au-dessous. J'ai vu mon squelette avant de tomber sur pomme. J'ai plus les os, j'ai plus les muscles, je n'ai plus rien."
« J'espère que le monde réalise qu'il n'y a pas de nouveaux objectives que je vois d'ici de mon lit comme une prison. » Mon corps est comme un gilet pare-balles pour ne pas être tuée : je ne pensais pas qu'elles aient eu à vivre ça (...) Nos vies sont différentes, un moment tu penses être envie, et la seconde d'après ta vie s'envoler sans que tu n'ais le temps de le rattraper.
J'aurais aimé avoir la même qu'elles ceux que j'ai vu dans le petit trou de leur chambre. Mais que faire contre le hasard qui vous a fait naître, « Les gens se bousculaient à l'hôpital, il y avait des enfants, des bébés, des femmes s'évanouissaient à bout de force et certains meurt. »
Au risque d'en périr. Je n'ai aucun espace parce qu'ils en veulent à ma vie, à mon sang ». Elle fait valoir le monde qui les sépare.
Cette marginalisait forcée alors que je suis belle et bien avec mes membres de la communauté des humains ?
Plus son handicap n'arrangeait rien dans son mal-être plus elle sombrait.
Comme dans un placard, elle commençait à fouiller dans son cœur afin de trouver ce linge sale qui serait l'amant qui attirait vers elle cette poisse.
Par moment, elle s'arrêtait devant le miroir de sa salle de bains qui avait été aménagé celons son handicap, elle ne voulait pas entendre parler qu'on lui changer de chambre, c'est là où elle a toujours dormi qu'elle y continuera à dormir, rien ne changera à ça, sa fille a déjà sa place avec elle dans la chambre, elle était devenue comme une diablesse comme si tout était encore pareil, examinait de fond en comble son visage, sa poitrine, son postérieure, sa jambe elle allait se battre avec sa fille dans le bras elle se promis de relevé ça tête si ceux qui traverse la manche arriver elle aussi ; elle y arrivera.
Tout est bien, se disait-elle. Comme toute jeune fille de mon âge, je dandinais imitant toutes les grandes stars de la mode et du cinéma. Le verdict serait sans appel, je suis belle. Alors, pourquoi diantre, personne ne s'intéresse plus à moi ?
-Ma vie était suspendue à quelque chose dont l'explication ne se trouvait pas loin. Mais où exactement ?
-Je ne pouvais m'aventurer à donner la réponse. J'avais cessé de vivre depuis un long moment dans mes peurs et dans mon corps abîme que j'avais mal pris. Je souriais pour cacher ma douleur intérieure et à l'extérieur je montrais la fille forte pour les mien et non pour moi.
A qui devais-je raconter ma situation ?
Bibi : Je n'ai plus été la même après cela. Je me détruisais." Le traumatisme est tel que je développais un syndrome de stress post-traumatique, et commence à perdre mes cheveux. "Je regardais mon corps, et je me disais qu'il allait s'autodétruire, se souvient-elle. Il ne réagissait pas bien à ce qu'il se passait. Mes cheveux commençaient à tomber.
J'avais des zones d'alopécie partout. Je me tenais près de la baignoire, et je comptais les cheveux qui tombaient (...). J'ai littéralement dû faire l'inventaire de mon corps. Je me disais : "Si je ne me ressaisis pas, je vais mourir.""
- Je vivais une vie morne, insipide. Toute raison gardée, je ne voulais pas jeter l'anathème sur les autres mon journal intime était sa moitié.
Quoi qu'il en soit, je suis responsable de ma vie. Mais dire que les autres s'éloignent sans raison apparente, il y avait de quoi se morfondre. Un examen de conscience s'imposait. Certainement, il fallait bien trouver au plus vite la raison qui faisait que tout le monde m'ignorait comme de la matière fécale. Sans avoir comparu, j'étais condamnée, par contumace, à la solitude.
Mes jérémiades ne pouvaient me sortir de mon angoisse ; elles devenaient mon pain quotidien et je perdais l'appétit même devant des mets exquis. Je perdais en l'espace de cinq mois, 5 kilogrammes. Personne autour de moi n'en avait cure. ''Chacun pour soi et Dieu pour personne'' comme l'a si bien dit François Kabue.
Je pense que c'est une fois que tu n'es plus avec la personne que tu te rends compte si tu l'aimais ou pas. Mais je pense n'être jamais tombé vraiment amoureux parce que le verbe même, c'est tomber. Donc tomber, c'est quelque chose que tu ne prévois pas », elle analysé avant d'ajouter qu'elle était sur le marché du célibat... Et qu'elle n'était pas contre trouver l'amour, le vrai ! « Je ne demande que ça : tomber amoureux. Même si ça fait peut-être mal quelquefois. » Mais mon cœur a été dans les tourbillons avec Joël après son départ dans ce monde, je ne sais pas je l'aimais vraiment comme on dit amour.