Chapitre 5 LE PARFUM DE L'INNOCENCE

-La mère trouvait sa fille allonger sur sa chaise.

Comment pourrais-je lui parler surtout en ce moment si délicate de sa vie, ma fille mon dieu dit-elle dans son cœur de mère désemparer ça va faire des mois que ça dure cette situation, je la sens si détruite, et j'ai pas des mots, j'ai essayé de lui parler impossible, celle qui me disait tout, c'est renfermer sur elle-même, comme un animal en prison, nous étions comme deux sœurs, et non une mère et sa fille, ma voix en ce moment elle m'entendrait rien, je laisserais au bon Dieu de lui trouver une bonne place à son cœur de trouver le bonheur.

Elle qui a tant donné, elle qui a tout fait pour que je conserve un toit sur la tête. Je donnerais ma vie pour elle. Je me rends compte qu'il faut que je prenne vite soin d'elle et sa chair, elle restait devant la porte elle se retenait de crier et de pleure en sanglot qu'elle ne puisse pas l'entendre, ou qu'elle sente sa présence, elle était impuissante devant tout.

Sortir faire de la balade, pratiquer la boxe, pour se ressource, son moral mental.

Bibi et son entraineur, l'entraimait à l'extrêmes, ne voulait jamais la laisser, se plaindre, l'écoutait à sa façon.

Elle pouvait se retrouve avec les autres jeunes qui se retrouvaient dans des situations de recherche de soi, courir, plonge, danser, composer ses chansons, elle s'achetait des vêtements sur les bons plans, plus à la friperie, elle se disait trouve des bonnes affaires.

-Devant les photos de son ex, Bibi laissait couler ses larmes sur ses joues, son ex s'appelait Joël le père de son future enfant, à quoi bon lutter dit telle si tu ne veux plus me voir c'était mieux de venir me le dire ?!

-Pourquoi laisserais-je mon cœur guérit si je ne peux plus t'aimer comme avant, pourtant tu as pris ma meilleure copine, que tu avais trouvé plus belle que moi et tu ne voulais pas devenir père ou quoi tous ses projets.

À quoi bon m'écrirais-tu si tu ne veux pas me croire, je voudrais que nous ayons à tous les deux, un bon souvenir de pourvoir te garde auprès de moi !

Pourquoi mentir si c'est la fin d'une histoire qui avait commencé sur des roses de bonbon aux rires comme on ferait des gâteaux de toute sorte avec des bouteilles de champagnes comme si on préparait une fête, des secrets tu connaissais mes parents et moi je ne connaissais pas les tiens.

Malgré tout ; j'avais besoin de toi pour avancer et je ne veux pas vivre sans toi...

Mais tu ne cesses de me faire souffrir dans mon cœur tes images sont dans ma tête, toute notre vie est là, et notre cadeau est là !

Juste après m'avoir embrassé et m'avoir dit " rentre bien " J'avais su que je ne serais plus à toi. Que je n'arriverais pas à effacer cet instant précis de ma mémoire ... La douleur prendrait une autre dimension. Elle se fait plus sourde et sournoise. Elle te frappe parfois sans prévenir d'un petit coup de poignard... un souvenir ... une image ... l'odeur de ton parfum...Le son de ta voix. J'ai tant de gratitude que tu sois le père de notre enfant, tu n'as choisi, Dieu en était d'accord, je le remercie de ce beau cadeau.

" J'aimerais tellement que tu sois là aujourd'hui, me dire et me retoucher comme avant " j'ai tellement besoin de te parler de te dire ce que j'ai perdu après ton départ, mais pas comme ça" Même sous le soleil le plus brûlant, j'ai froid, c'est la chaleur de ton corps qui pourra faire revivre mon corps, mort.

J'ai accouché je ne t'avais pas vu, comment se dire que ce bonheur je vais le partage qu'avec les miens, elle te ressemble c'est notre bonheur que je tiens là : on aimerait rester avec une seule personne tu es le coup de ma douleur et elle la fleur de mon cœur.

Combien cette puce est notre amour et avenir, je veux être la part de ton corps vivant.