Sacrifice d'une vie
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Chapitre 5 Chapitre 05

Célia **

J'ai attendu que maman s'en aille pour pouvoir respirer. Je peux enfin me lâcher étant donné de Méli n'est pas là. Et comme on a l'habitude de dire, ce qui se passe à Abidjan, reste à Abidjan. Tu n'étais pas là donc pas moyen que tu saches ce qui s'est passé.

J'ai demandé à Marcel de m'aider avec les tâches ménagères et je suis allée fouiller la Chambre de Méli afin de récupérer mon téléphone. Une fois la chose faite, j'ai directement appelé Alexis histoire qu'on se fasse un truc.

Alexis (hurlant) : Copiiiiine!

Moi (rire) : Tu vas finir par me percer les tympans!

Alexis (éclatant de rire) : Je pensais que je ne te reverrais que dans un cercueil...

Moi (pouffant de rire) : Je n'y suis pas passée loin. J'ai été privé de tout! Sauf que comme elle est allée à Tiassalé avec son mec, je suis libre.

Alexis (n'en revenant pas) : Elle ta laissé seule? Pour de vrai?

Moi (mangeant mes chips) : Nope! Elle nous a laissé avec Aminata et toi-même connais ta personne. Donc c'est quoi le programme ?

Alexis (baillant) : Bof, je ne sais pas!

Moi (roulant les yeux) : Y'a même pas un petite fête? Boîte de nuit?

Alexis (soupirant) : Maintenant que tu m'en parle, Maï fait un truck. Mais elle m'a dit que c'est en comité restreint.

Moi (faisant la moue) : j'ai envie de faire la fête et non aller assister à un enterrement. Je suis trop jeune pour ça!

Alexis : Ntk, pour l'instant c'est bad. Mais je peux contacter un mai pour nous fournir les cartes et accéder à la boîte de nuit.

Moi : Ok! Bon bye.

(...)

Ce soir-là, on n'avait rien fait. Ce qui a eu le don de m'agacer au plus haut point. Mais bon, comme j'ai pris ça comme ça venait d'autant plus que ce soir on va en boite. C'est un des brouteurs d'Alexis qui nous invite en nous prenant un salon VIP. Comme j'ai dit plus haut, je profite à vivre avant que Mélissa ne rentre à la maison.

Comme je l'imaginais, Ami n'est revenu que deux jours plus tard afin de déposer ses enfants ensuite elle est repartie dans ses histoires. Des fois quand je la regarde, j'ai envie de lui demander ce qui se passe dans sa tête. Pour avoir des réponses aux questions que je me pose depuis belle lurette maintenant. Je n'arrive pas à comprendre la manière dont elle fait souvent les choses.

C'est la raison pour laquelle, je considère Mélissa comme ma mère. Elle fait littéralement tout pour moi. Alors qu'elle n'est que ma grande sœur (Soupire). C'est peut-être risible dans la forme, mais dans le fond c'est triste! C'est triste la manière dont elle se comporte envers ses enfants, ses propres enfants.

Mais bon, comme Mélissa aime bien dire « On ne juge pas la personne qui t'a donné la vie » donc je me contente de le penser. Je m'assure toujours que ça ne sorte pas de ma bouche. Bien qu'elle mériterait d'entendre de temps en temps que c'est une mauvaise mère! Peut-être que ça lui ferais changer de comportement.

-

Je ne la déteste pas. Comment détester la personne qui t'a donné la vie? Je déteste simplement sa manière d'agir envers nous. A force de rester avec cet homme, elle commence elle aussi à faire la différence entre ses enfants. Et ce sans même s'en rendre compte. Je n'ai que Seize ans, moi aussi j'aimerais que mon père soit là! Qu'il m'emmène en balade ou qu'il me fasse découvrir d'autres villes. J'aimerais simplement avoir une vraie famille comme tout le monde.

Mais même ça, on me l'a enlevé. Je n'ai aucune photo de mon père, même son nom je ne connais pas. On est peut-être en Afrique, mais même ici les enfants ont besoin d'un certain équilibre. Le seigneur n'est pas bête d'avoir dit que pour avoir un enfant il faut un homme et une femme, car pour éduquer un enfant il faut avoir les deux! Un seul n'est pas suffisant!

(...)

Aujourd'hui je vais en boite avec Alexis et les autres du groupe. Manière dont j'ai attendu la sortie là...tout a été soigneusement préparé. J'ai mis les petits au lit puis j'ai attendu vingt-deux heures afin que Marcel aille se coucher lui aussi. Je me suis assurée que tout le monde soit bien endormie avant d'aller ma préparer.

J'ai mis une robe moulante noire que Céfora m'a prêtée et des talons aiguilles que j'ai piqués dans la chambre de Mélissa. Une touche du parfum d'Ami puis j'ai attendu qu'Alexis me fasse signe, ce qui n'a pas tardée. J'ai fermé la porte derrière moi et c'est partie pour la fête. Abidjan prend moi!

-

On est descendu pendant que les garçons cherchaient des places de parking. Pourtant ce n'est pas la seule boite de la ville mais le Pink est toujours plein! C'est devant l'entrée qu'on les a attendus puis nous sommes rentrés avec l'aide des fausses cartes que l'ami d'Alexis nous a fournis. On s'est placé sur une table qu'on avait réservée et c'est parti pour la fête.

La fête battait son plein, entre les couples qui ne faisaient que s'embrasser et les gens qui ne faisaient que se ploter les uns aux autres, on en a vu de toutes les couleurs. Tandis que qu'Alexis et moi étions en train de siffler nos cocktails.

Alexis (me fixant) : On dirait que tu as une touche...!

Moi (posant mon verre) : A bon? Ou ça?

Alexis (tournant discrètement sa tête) : A neuf heures...

J'ai tourné ma tête en évitant de croiser les regards afin de voir la personne dont elle me parlait et il n'était pas si mal sauf que trop vieux pour moi! Il devait avoir ses trente ans calés!!

Moi (secouant la tête) : C'est un papa man!

Alexis (me fixant) : Et alors? Profite avant que tu ne te retrouves encore caserné dans ta prison...

Moi (faisant la moue) : Je ne sais pas!

Alexis (allant vers lui) : Bouge pas j'arrive.

Moi (l'appelant discrètement) : Alexis mais qu'est-ce que tu fais !? (Insistant) Alexis....

Elle est allée dire je ne sais quoi au type en question avant de revenir avec un papier dans la main. Non la fille là est dingue!

Moi (la fixant) : Alors...?

Alexis (sirotant son verre) : Alors quoi? Là tu veux maintenant savoir hein....

Moi (la fixant en attente d'une réponse) : ....

Alexis (me donnant le papier) : C'est son numéro de téléphone!

Moi (pouffant) : Qu'il ne peut pas se déplacer hein? Genre c'est un roi (me levant) Tu vas voir ce que je vais faire de son numéro [Le mettant à la poubelle]

Alexis (ouvrant grand les yeux) : Le type est friqué man!

Moi (fixant le serveur) : Un autre s'il vous plait! (regardant Alexis) S'il me veut qu'il vienne lui-même !

Alexis (éclatant de rire) : Tu es folle toi!

-

Lorsque j'ai commencé à être un peu pompette je suis passé des cocktails à l'eau minérale. Je me suis assise dans un coin histoire de ne pas trop tanguer et je ne faisais qu'observer ce qui se passait devant moi.

Le type (me fixant) : Déjà fatiguée?

Moi (me retournant en sursaut) : Vois m'avez fait peur...

Le type (souriant) : Cyril Nguessan

Moi (levant les yeux) : Célia Tiacoh , enchantée...

Le type (me fixant) : Ça te dérangerais de me donner ton numéro?

Moi (souriante) : Pas le moins du monde.

Je lui ai passé mon numéro et pour se souvenir il m'a prise en photo. On a discuté un bon moment avant qu'avec les autres, on ne décide de rentrer. Cinq heures m'a trouvé devant le portail de la maison. On s'est dit au revoir et ils ont pris la direction de chez eux.

Je suis passé dans les chambres vérifier que tout le monde dormais et lorsque ce fut le cas, je suis allée faire de même.

(...)

Mélissa doit rentrer demain et je suis en train de nettoyer la maison de fond en comble. S'il n'y a pas de traces, rien ne s'est passé. Même si j'ai passé la semaine la plus belle de toute ma vie et j'ai fait une rencontre incroyable, il faut que je me reprenne. Bientôt les cours vont reprendre et il faut que je pense à cela.

[PING!]

J'ai laissé la cuisson en plan pour aller chercher mon téléphone dans la chambre et regarder le message qui venait d'arriver. C'était un de Cyril! A la simple vu de son nom sur l'écran j'ai eu comme des papillons dans le ventre (rire).

Cyril : Coucou, tu vas bien?

Moi : Coucou. Oui et toi...

Cyril : J'ai envie de manger quelque chose...Mais je n'ai pas envie d'y aller seul!

Moi : Tu es un grand garçon non...Tu vas aller bien!

[Sonnerie de Téléphone]

Ça m'a arraché un sourire. A peine j'ai décroché, il m'a fait sa voix de tombeur.

Cyril : Tu fais quoi maintenant?

Moi (souriante) : Je fais à manger.

Cyril (faussement outré) : Et tu me vois me plaindre de la faim et tu ne fais pas cas?

Moi (rire) : Tu es un grand type non?

Cyril (éclatant de rire) : Je peux te kidnapper maintenant?

Moi (intéressée) : Pour aller où?

Cyril (souriant) : C'est une surprise...! Soit juste prête, dans six minutes je suis devant chez toi.

Moi : Ok!

Click!

-

Je me suis laissé tomber sur le lit en commençant à imaginer notre vie à deux. (Rire) Je sais que je m'emballe vite mais bon, je suis une fille et c'est dans mes habitudes de faire ça. J'ai fini de cuisiner et j'ai fait le nécessaire afin de laisser la maison propre et rangée. J'ai dit à Marcel de garder les plus petits et que je n'allais pas tarder vu que j'allais chez une copine afin de travailler.

Qu'il le croit ou pas, ce n'était pas mon problème. Il fallait juste que je trouve une excuse pour sortir de là sans que ça ne soit bizarre. A dix-neuf heures trente, j'ai reçu un message de Cyril disant qu'il était là. J'ai pris mon sac puis je suis sortie en prenant le double des clés de la maison.

Moi (montant dans la voiture) : Bonjour...

Lui (le regard pétillant) : Bonjour Célia.

Il a mis la clé sur le contact puis on a démarré. Il a n'a pas voulu me dire ou on allait, donc je regardais tous les chemins qu'on empruntait à la recherche de l'endroit. Puis on s'est garé devant l'entrée du « Toit d'Abidjan » Quand je pense que j'ai jamais mis les pieds dans ce genre de restaurant....Me voilà maintenant excité comme une puce.

Il avait déjà réservé à l'avance, la serveuse nous a simplement conduit à notre table qui donnait sur une vue magnifique. Je ne pouvais pas voir ça sans prendre quelques clichés...Il m'a demandé de choisir tout ce que je voulais sur la carte donc je ne me suis pas gênée! Son portefeuille va saigner aujourd'hui oh! Il ne sait pas que n'est pas le genre de phrase qu'on dit à une ivoirienne.

Cyril (me fixant) : Tu vas manger tout ça?

Moi (levant les yeux) : Oui...Tu pleures déjà ton argent !?

Cyril (rire) : Même pas...Je suis simplement épaté par l'élasticité de ton estomac!

Moi (souriante) : Et il n'y a pas que ça qui est élastique...

Cyril (surprise par mon audace) : Ha d'accord...Je prends note. (Levant les yeux) Alors que peux-tu me dire sur toi Célia Tiacoh?

Moi (réfléchissant) : Déjà je m'appelle Célia Tiacoh, j'ai...Dix-huit ans et je suis en seconde au lycée municipal de Koumassi.

Cyril (surpris) : Tu as dix–huit ans?

Moi (me pinçant les lèvres) : Oui, pourquoi ?

Cyril : Tu ne fais pas tes dix-huit ans hein...Avec le visage d'ange que tu as là, on ne dirait vraiment pas.

Moi (soutenant son regard) : Il faut croire que oui.

Cyril (léchant sensuellement ses lèvres) : Quoi d'autres alors...

Moi (Croisant son regard) : C'est un interrogatoire Monsieur Nguessan?

Cyril (sirotant son verre en souriant) : Du tout mademoiselle Tiacoh, du tout!

Moi (soutenant son regard) : A ton tour maintenant.

Cyril (faisant glisser ses doigts sur le haut du verre) : Je suis Cyril, j'ai vingt-sept ans et je travaille comme consultant pour un cabinet de la place.

Moi : Marié, avec deux ou trois enfants?

Cyril (rire) : Non! Libre comme le vent...

Moi (fronçant les sourcils) : Ou est l'arnaque?

Cyril (éclatant de rire) : Il n'y a pas d'arnaque....Juste que j'aime cette liberté!

Moi (suspicieuse) : Beau gosse, célibataire et sans enfant...ici à Abidjan? C'est que tu étais bien caché dit donc.

Cyril (rire) : Si on veut.

-

La serveuse est venue débarrasser la table en laissant l'addition en même temps. Ca faisait cent milles et poussière. C'est la première fois de ma vie de je claquais cent milles franc comme ça...Enfin, heureusement qu'il a mis les moyens hein parce que je ne me voyais pas fringué comme j'étais allé faire la plonge.

On a un peu trainé dans les rues de la ville avant qu'il ne vienne me laisser à la maison vers vingt-trois heures. On s'est langoureusement embrassé avant qu'il ne me laisse m'en aller. Toute la nuit j'ai rêvée de lui et le fait que ça soit son message que je reçoive le matin en me levant n'a fait qu'empirer les choses.

(...)

Alexis (me fixant) : Donc...?

Moi (souriante) : Donc rien!

Alexis (me fixant les bras croisés) : Tu vas me laisser languir encore longtemps?

Moi (soupirant) : On s'est juste embrassé!

Alexis (excité) : C'était comment?

Moi (rire) : Un bisou normal quoi! En tout cas c'était mieux qu'avec Damien...

Alexis (levant les yeux) : Celui chez qui tu as failli passer la nuit-là?

Moi (hochant la tête) : Lui-même! Encore heureux que Mélissa soit venu me sortir de là. Parce que si on l'avait fait je ne saurais pas ou me mettre. Ses parents se sont chargés de lui faire passer un mauvais quart d'heure.

Alexis (me fixant) : Donc tu n'as pas peur?

Moi (la fixant) : De quoi?

Alexis (ouvrant les yeux) : De l'écart d'âge ! Du jour où il faudra passer à l'acte....

Moi : N'est-ce pas c'est toi qui me l'a fait remarquer? Et tu as maintenant peur !?

Alexis (avec un air sérieux) : Je te parle pour de vrai toi tu blagues.

Moi (souriante) : Respire Alexis...On avisera le moment venu.

Ensuite elle est rentrée chez elle afin que Mélissa ne la trouve pas à la maison. C'est à dix-sept heures que Mohamed l'a déposé à la maison. Il l'a aidé avec les paquets qu'elle transportait avant de rentrer chez lui. On est tous sorti pour voir ce qu'elle avait apporté et lui raconter la semaine sans elle.

Elle ne fut pas surprise de ne pas trouver Ami à la maison. On prend le chien avec ses puces comme on le dit, on n'a pas le choix. Supporte-moi ou quitte-moi et on a choisi de la supporter (Soupire).

** Mélissa **

Comment décrire autant d'émotion en un seul mot? Comment un seul mot peut –il contenir autant d'émotions? De sensations ? Impossible! C'est tout bonnement impossible. Une semaine seulement et tout le monde me dit que j'ai pris des joues et des couleurs aussi. Imaginez-vous un peu si je fais un mois comme ça?

En bref c'était super génial. On a fait du tourisme et on est descendu dans un hôtel super beau. On a vu des hippopotames et pleins d'autres animaux que je n'avais jamais vu en vrai (rire). Et en plus, Mohamed a été un vrai amour toute la durée sur séjour. J'en viens même à penser que la voix féminine de l'autre jour était simplement une hallucination.

-

Comme ça ne m'a pas surpris de ne pas trouver Ami en rentrant. Quelque chose me disait bien que ça devait se passer ainsi, mais c'est ma mère et j'ai voulu lui faire confiance. Quand je pense qu'ils ont passé la semaine tout seul ici, ça me révolte au plus haut point. La chance que j'ai eu c'est que Célia s'occupe bien d'eux! Si elle n'était pas là, je ne sais pas ce que se serait passé.

Et pour la féliciter de son comportement exemplaire, j'ai levé sa punition. Je lui ai rendu son téléphone et j'ai autorisé les sorties, mais toujours à des heures raisonnables en prenant le soin de toujours laisser l'adresse et le nom de la personne avec qui elle est.

-

Mohamed est parti aujourd'hui. C'est reparti pour un mois plein. A l'aéroport, j'ai pleuré à chaude larmes comme un gros bébé, il était obligé de prendre le vol qui suivait celui qu'il avait réservé. Il m'a dit que ça passerais vite mais aussi tôt que je ne l'ai plus eu dans mes bras, j'ai commencé à être triste. (Soupire)

Je suis directement rentré chez lui afin sentir sa présence le temps d'un instant. Comme ses affaires était pelles mêles, je me suis mise à les range. J'ai trié les affaires en mettant celles propres dans l'armoire et celles sales dans le panier à linge. Puis je me suis jeté sur le lit en serrant le té d'oreiller très fort.

C'est la sensation qu'il y avait quelque chose que l'oreiller à l'intérieur qui m'a fait me séparer de lui. J'ai enlevé le drap qui recouvrait le té qui a tout de suite laissé apparaitre un tissu fin qui semblait être un sous vêtement de femme! Je me suis frotté les yeux deux fois pour être sûre que mes yeux ne me jouaient pas des tours! Et ce n'était pas le cas, c'était bel bien un sous-vêtement de femmes!

                         

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