#VILLAGE_MYSTIQUE
#ĂPISODE_5đ
Auteur : đ#PERGO_SANTIAGOđ
Le lendemain dimy et Loïc se sont levés en premier et avait constaté le désastre, ils s'étaient mis à crier pour réveiller les autres
Dimy : ĂŽh mon Dieu les gars levez vous levez vous....
Ils ont sursautĂ© du lit et chacun Ă©taient scandalisĂ©, apeurĂ©. ils se posaient tous la question de savoir ce qui s'Ă©tait rĂ©ellement passĂ©, mais personne n'avait la rĂ©ponse, mĂȘme pas Kamela... C'est Ă partir de ce moment que tout le monde avait commencĂ© Ă croire Ă ce que dimy et junior racontait il y a quelques semaines plutĂŽt.
La peur avait envahir tout le monde.
- comment es-ce qu'un animal peut-il entrer dans une maison fermĂ©e et manger des humains parmi tant d'autres et rĂ©parti sans mĂȘme fait un moindre bruit?; s'interrogeait l'un des techniciens Ă voix haut.
Dimy : ça devient de plus en plus compliqué cette affaire et si sa continue ainsi, on risque d'y passer tous.
LoĂŻc : je ne veux pas laisser ma peau dans un village que je ne connais mĂȘme pas, il faut vite rĂ©agir. Je ne croyais pas Ă la magie noire jusqu'Ă ce matin hmm.
Dimy : monsieur Kamela, je pense que nous devrions appeler en ville pour signaler ses décÚs et nos préoccupations.
Kamela : soyez calme s'ils veulent la guerre, ils auront la guerre, j'ai déjà averti à ce chef, mais il fait semblant de ne pas comprendre.
Dimy : monsieur, vous parlez de quoi ?
Kamela : ce qui s'est passé cette nuit n'est pas simple, ce sont les habitants de ce village qui veulent nous freiner dans nos travaux, mais je ne vais pas accepter ça.
Dimy : vous me faites peur lĂ , nos travaux comment ?
Kamela : oui. Mais tu n'as pas de raison d'avoir peur nous allons arranger ça, contentez-vous juste de travailler.
Pendant qu'ils Ă©taient lĂ Ă parler, junior Ă©tait juste debout Ă cĂŽtĂ© d'eux bouche bĂ© il n'avait ni chaud ni froid, tout ceci ne le disais absolument rien car il n'avait plus aucun contrĂŽle de lui-mĂȘme.
Kamela, lui, Ă©tait dĂ©contenancĂ©, mĂȘme articuler une parole lui Ă©tait impossible, il voyait 10 corps devant lui tout dĂ©chiquetĂ©, il se sentait vraiment touchĂ©, coupable et offensĂ©, car il avait la responsabilitĂ© de les protĂ©ger.
Et le comble est qu'il n'a rien vu venir. Il avait pris l'une des voitures et il est allé en ville juste pour passer un coup de fil à la société pour informer le décÚs de ses dix hommes au directeur de la société, mais il avait effectué ce déplacement pour rien. Car il n'avait pas pu joindre la direction tout désolé dans l'optique de retourner plus tard.
Il est arrivé à leur campement et avait annoncé la nouvelle aux autres.
Dimy : je pense que nous devrions rentrer en ville.
Kamela : il nous reste juste une semaine et demi. finissons la route cette semaine et la semaine prochaine on dĂ©truit la forĂȘt avant de rentrer, les autres viendront construire les bĂątiments.
Loïc : monsieur Kamela a raison, nous avons passé trois semaines ici, ce n'est pas une semaine qui va nous dépasser.
Kamela : ce qu'on va faire est que cinq personnes vont prendre le bus avec lequel nous sommes arrivés ici et rentrer a Douala avec les corps de nos coéquipiers.
Dimy : d'accord, l'idée est bonne.
Ce qui fut fait, cinq personnes avaient Ă©tĂ© dĂ©lĂ©guĂ© et dimy avait profitĂ© pour envoyer un message Ă sa femme par une lettre qu'il avait Ă©crit puis le mĂȘme soir. Les cinq hommes sont partis un jour aprĂšs.
Ils avaient passé deux jours sans travailler. Une maniÚre pour eux de pleurer le deuil de leur collÚgue, mais pendant ses deux jours Kamela dans ses recherches des potentiels raisons qui auraient pu causer la mort de ces hommes. Il avait remarqué le comportement bizarre de junior et il s'y était attardé discrÚtement, il l'avait observé et avait tout compris.
Ce soir-là , il leur avait donné un travail banal juste pour leur faire sortir de la maison. Une fois seul, il avait sorti une poudre magique de son sac et avait aspergé au alentour de leur campement, il avait encerclé tout le lieu avec cette poudre.
La particularité de cette poudre était que ; une fois qu'un sorcier la traverse et se retrouve dans ce cercle il n'en ressort plus discrÚtement ou alors facilement.. Et ce produit avait un pouvoir remarquable et une notice d'utilisation limité.
Ils sont rentrés ce jour et tout le monde était entré dans la cour qui avait été entouré par ce produit puis il a attiré leur attention.
Kamela : Ă©coutez-moi tous.
Ce qu'ils firent, leurs yeux étaient tous braqué sur lui.
Kamela : Celui ou alors celle qui a tué nos collÚgues est ici parmi nous.... Montre-toi tout seul car si c'est moi qui te déniche de cette foule, je vais te tuer.
Dimy, LoĂŻc et les autres ne comprenaient rien Ă ce qu'il racontait.
Dimy : il nous accuse ou quoi ?
LoĂŻc : moi, je ne comprends rien.
Junior n'avait pas bougé, narie en lui cherchais une issue pour s'échapper.
Kamela : ok, tu l'aurais voulu.
Il se dirigeait vers la foule Lorsque junior a décalé et avait pris la route pour partir en courant.... Il n'avait pas débordé la cour lorsqu'il s'est écroulé par terre.
Tout le Monde était étonné en voyant junior s'en fuit comme un voleur.
- donc c'est junior, c'est lui qui a tué nos collÚgues... Murmurait d'autre en regardant Kamela.
Kamela : non, ce n'est pas junior qui agit en ce moment, son corps est habitué par un esprit qui le commande.
Kamela était allé à l'intérieur sortie une petite bouteille de son sac et était revenu et se placer a coté de junior.
Kamela : tu sors ou je te fais sortie de ce corps ?
Il avait sorti de sa poche une autre poudre de couleur rouge qu'il a mélangée à la premiÚre puis il a versé sur junior.... Les autres avaient la bouche presque ouverte tellement ils étaient concentrés à regarder ce que kamela faisait.
Junior s'était d'abord transformé en narie la vieille femme et en suite en narie le jeune garçon qu'elle possédait et enfin elle était sortie de junior sur cette apparence de jeune garçon.
Voulant fuit, il n'y avait pas moyen. Voulant disparaĂźtre, il y avait non plus moyen.
Kamela : tu peux toujours essayer, parce que lorsqu'on vous parle doucement vous pensez toujours que vous maĂźtrisez la situation... Viens lĂ vilaine sorciĂšre.
Il a recouvert ses mains avec ses deux poudres mélangé et avait touché narie, celle-ci a disparue aux yeux de tout le monde excepté Kamela, il l'avait ramassé narie comme un poussin dans l'espace et la mettre dans la bouteille qu'il tenait en main.
Kamela : j'attends les autres venez toujours... Dimy et LoĂŻc aider Junior Ă se relever.
Junior : qu'es-ce que je fais lĂ coucher par terre ?
Dimy : tu étais hanté par la sorciÚre de ce village.
Junior : quoi ?? (en ouvrant les yeux et en faisant des grimaces) Elle est oĂč mon Dieu ?
Loïc : calme-toi, elle a été capturé et emprisonné.
Junior avait par la suite pris son bain et Kamela lui avait demandé de dormir pour se reposer. Comme tous les autres jours, Ils s'étaient organisés et préparer a manger pour tous... Le chef leur avait rendu visite ce jour, il avait appelé Kamela dehors pour lui parler.
Kamela : bonsoir votre majesté.
Chef : (trĂšs bref et direct) oui Bonsoir, j'ai vu vos travaux sur la route et vous ĂȘtes presque Ă l'endroit oĂč je vous ai demandĂ© de ne pas toucher.
Kamela : oui et nous avons bien l'intention de continuer et terminĂ© avant le week-end. ET on attaque la forĂȘt la semaine prochaine avant de rentrer en ville. Tant que vous ne me donnez pas une raison de ne pas continuer je le ferais.
Chef : je suis venu vous mettre en garde, vous ne pouvez pas arriver sur mon territoire de commandement et me menacer.
Kamela : c'est vous qui me menacer majesté.
Chef : je suis parti faites comme vous voulez.
Kamela : d'accord.
DÚs qu'il s'est tournées pour partir, sa femme était arrivée dans le camp des techniciens et le chef était surpris de la voir là .
Chef : que fait tu ici.
- il tient narie prisonniers ici mon mari, et je veux qu'il la relĂąche.
Chef : quoi ? Vous avez qu'elle droit de gardé des gens prisonniers ici.
Kamela : vous mĂȘme vous voyez trĂšs bien que je n'ai pas de prison ici, c'est vos maisons vous pouvez entrer fouiller. Je veux dormir, je travaille demain bonne nuit. (en partant)
Chef : je vous parle, vous me tournez le dos ? Vous allez me voir passer vous exagérer un peu.
Kamela : je n'ai pas peur de vous, je suis ici pour un travail et je le ferais. Je détruirai qui conque se mettre sur mon chemin.
- d'accord, c'est ce qu'on va voir. RĂ©pondit la femme du chef.
Ils sont partis et Kamela est rentré dans Sa chambre à coucher, ils se sont endormis ce jour tÎt pour pouvoir relancer les travaux le lendemain.
Cette mĂȘme nuit aux environs de minuit la femme du chef a envoyĂ© son totem dans le camp et ses derniers Ă©taient dĂ©jĂ complĂštement endormir.
Son serpent Ă©tait arrivĂ© cette nuit et avait traversĂ© la chambre de Kamela et ce dernier n'Ă©tait pas tellement endormir il avait ressenti cette prĂ©sence Ă©trange mais il ne s'Ă©tait pas directement levĂ©.. Le serpent Ă©tait partie dans la chambre oĂč Ă©tait dimy LoĂŻc et junior. Il avait traversĂ© sur eux et avait commencĂ© a avalĂ© celui qui Ă©tait couchĂ© prĂšs de junior.
Peu de temps aprÚs, dimy avait ressenti comme quelque chose de gluant sur lui, il s'était réveillé aussitÎt et avait aperçu un énorme serpent boa sur eux avalant l'un des l'un des leurs.
Dimy : ( en hurlant aussi fort qu'il pouvait) les gars... les gars... levez vous voilĂ un serpent
Ce bruit avait réveillé kamela.
#A_SUIVRE