#VILLAGE_MYSTIQUE
#ĂPISODE_4
Il l'avait emmené à la concession du chef, Ce dernier était encore endormir. il avait frappé à sa porte et il vint l'ouvrir.
Kamela : bonjour votre majesté.
Chef : bonjour mon fils, y a t'il un souci ?
Kamela : oui majesté ( en montrant à quoi ressemble junior).
Chef : que s'est-il passé, il s'est battu avec quelqu'un ?
Kamela : pas vraiment, je voulais juste que vous voyiez, c'est tout.
Chef : je ne comprends pas.
Kamela : d'accord dans ce cas, ce n'est pas grave, je voulais Ă©galement vous informer que nous sommes prĂȘtes pour aller voir lĂ oĂč nous devons vivre pour le reste de jour que nous avons Ă faire ici.
Chef : d'accord.
Kamela Ă©tai aller dans la chambre oĂč il avait passĂ© la nuit et de son sac, il avait fait sortir une Ă©corce et junior l'avait mĂąchĂ©, dix minutes environ, son visage Ă©tait de nouveau normal et lui mĂȘme n'avait rien compris.
Kamela : la prochaine fois, je vais agir, allons retrouver les autres.
Effectivement les autres et surtout dimy était stupéfait en voyant junior.
Dimy : wao ton visage est.... Que s'est'il passé ?
Junior : monsieur Kamela ma donné un morceau d'une plante sécher là que j'ai mangé et puis bamm tout est revenue à la normale.
Dimy : hmm gars j'ai déjà vraiment peur on nous cache beaucoup de choses ici.
Le chef les avaient rejoint peu de temps apres et leur avaient montré un endroit un peu reculer de la chefferie. il y avait plusieurs autres maisons inhabité.
Chef : vous allez utiliser ses cabanes durant votre séjour ici.
Kamela : d'accord Merci majesté.
Chef : ok j'aimerais qu'on parle un moment, qu'es-ce que vous essayez de me dire ce matin ?
Kamela : que l'un des vÎtres a touché l'un de mes hommes comme vous l'aviez vu, mais c'est bon, j'ai déjà résolu ce problÚme, mais la prochaine fois, je vais le résoudre d'une autre maniÚre.
Chef : cet-Ă -dire ?
Kamela : que nous sommes venus ici travailler et non en guerre, en d'autres termes vous aidez mais vous voulez nous nuire.
Le chef avait regardé junior et avait remarqué qu'il n'avait plus aucune égratignure sur le visage.
Chef : comment vous avez fait ça ?
Kamela : je l'ai soigné et c'est tout.
Chef : ok... J'aimerais savoir quelle sont les plans de votre chantier avant que vous ne commencé les travaux j'aimerais les voir !!
Kamela : je devais l'afficher aprÚs notre conversation, tenez les voilà . (en lui donnant un grand format sur lequel était mentionner tout le détail du travail et les plans)
Chef : pourquoi terrasser la forĂȘt, et pourquoi celle ci ?
Kamela : nous aurons besoin d'espace pour construire une école et cet endroit a été choisi.
Chef : non, vous ne toucherez pas Ă cette forĂȘt. Et en ce qui concerne la route vous allez travailler de lĂ Ă lĂ et d'ici jusqu'ici. ( en pointant du doigt ses endroits sur le plan qu'il avait en main)
Kamela : mais votre majesté, que sommes nous venue faire ici si nous ne pouvons pas faire notre travail comme il se doit ?
Chef : je vous ai dit comment faire, c'est mon village et l'école ne sera pas construit là -bas. Et aussi, vous pouvez toujours retourner en ville hein si vous ne pouvez pas travailler comme j'ai demandé.
Kamela : je suis dĂ©solĂ©e votre majestĂ©, mais nous allons suivre notre plan comme nous l'avions reçu, la route serait complĂštement goudronnĂ©e et la forĂȘt dĂ©truite pour en faire une Ă©cole.
Chef : ok, vous voulez faire le bras de fer ?
Kamela : non majesté ce n'es pas ce que vous pensez, mais......
Il n'avait mĂȘme plus voulut Ă©couter kamela et s'Ă©tait retourner pour partir.
Chef : c'est ce qu'on va voir.
Il s'était en suite en aller tout furieux et n'avait plus répondu à l'appel de Kamela.
C'est à partir de ce moment que tous les problÚmes du village avaient débuté. Kamela avait ainsi mis lui et ses travailleurs en danger sans le savoir.
Le chef avait convoquĂ© ce jour un conseil de notables pour exprimer son mĂ©contentement et c'est en ce moment que sa femme avait compris lorsqu'il parlait et Ă©tai aller informĂ© ses amies et collĂšgues de sorcellerie. Elle Ă©tait arrivĂ©e ce jour dans leur Temple situĂ© dans un arbre en plein milieu de la forĂȘt.
- mes sĆurs, mĂȘme le chef, mon Mari est contre ses travailleurs en ce moment que je vous parle, ce qui nous donne un gros avantage donc nous devons agir avant que notre forĂȘt ne soit dĂ©truite, avait dit la femme du chef.
Notons que parmi ses sorciĂšres, il y avait narie.
Narie Ă©tai en effet une vielle sorciers, la cheftaine des sorciers qui utilisait l'apparence d'un enfant pour facilement atteindre ses cibles.
Narie : ça, c'est une bonne nouvelle, je vais enfin avoir la peau de ce type, de se moqueur et bien d'autres parmi eux en plus nous avons besoin de sang pour rajeunir nos organes. Soit ils partent de ce village, soit ils subissent les retombées de notre colÚre.
- il le faut, car ils m'ont obligé à enlever mon totem sur la grande route pour mettre à la maison et ce n'est pas prudent là -bas.
Narie : la guerre est déclarée et nous devons agir avant les hommes.
Les hommes mentionner par narie Ă©tai le clan des sorciers du chef et ses notables.
Kamela et ses hommes avaient enfin lancer avec les travaux et tout se déroulait plutÎt bien. Le chef avait refusé d'exécuter la mise de la premiÚre pierre et aucune autorité compétant n'avait accepté entrée a mbakou.
Plusieurs jours sont passés et les travaux continuaient d'avancer.
Tout allait bien jusqu'au jour oĂč narie avait dĂ©cidĂ© d'agir.
Ce jour, junior Ă©tait en plein dans le travail et quelques jeunes du village leur regardait travailler. Il maniait tranquillement son engin jusqu'Ă ce qu'il lĂšve la tĂȘte et son Ćil frappa sur l'un des jeunes qu'il remarqua, s'Ă©tait encore narie.
Il a arrĂȘtĂ© l'engin pour mieux voir et le petit n'y Ă©tait plus comme par magie, il avait disparut. Junior avait remis la machine en marche et continua son travail, mais il n'Ă©tait plus concentrĂ©.
Il regardait dans la mĂȘme direction et il avait vu une fois de plus narie qui se rapprochait de lui et dĂšs qu'il voulait sauter de son vĂ©hicule pour s'en fuit, il ou elle l'avait possĂ©dĂ©. Il ou elle Ă©tait entrĂ© en lui et il est remontĂ© dans son vĂ©hicule comme si de rien n'Ă©tait, ce qui avait Ă©tonnĂ© ses collĂšgues car ils ne pouvaient pas voir narie. Il a continuĂ© le travail jusqu'Ă la fin.
Ils avaient pointé cette journée et en soirée tout les techniciens étaient rentré au camp. L'attitude bizarre de junior avait attiré l'attention de Loïc, et il s'était rapprocher de lui.
Loïc : hey junior ça ?
Il n'avait pas répondu, mais sur le champ. Mais aprÚs plusieurs insistances de Loïc il avait juste répondu avec une ton bref et bizarre.
Junior : oui, ça va, c'est juste la fatigue.
AprÚs cette réponse, Loïc est aller rejoindre dimy. Ils avaient cuisiné de la viande de brousse ce soir là et chacun s'était régalé Sauf junior.
Ils se sont racontés des histoires autour d'un feu de bois cette nuit avant que chacun ne regagne son petit matelas qu'il avait lancé par terre pour dormir.
C'est en ce moment que narie était passé à l'action a travers le corps de junior. Il était 22 h à peine, puisque chacun d'entre eux était suffisamment fatigué aprÚs les travaux difficiles de la journée, ils dormaient donc tous à fond.
Junior s'était levé et avait ciblé plusieurs d'entre eux et les avait étranglés avant de se transformer en hyÚne puis leur manger quelques parties de leur corps (testicules, oreille, nombril et un peu de chair au niveau du cou etc...) il avait en somme tué 10 de ses hommes en une seule nuit.
AprÚs cela, la hyÚne s'était remétamorphoser en humaine, junior toujours posséder par narie. Il avait pris la peine de bien se nettoyer avant de regagner sa place lui aussi en douceur.
Ă SUIVRE