Marie : je te dis que ça ne va pas et tu dors toi seulement hein ?
Dimy : oui, je fais comment alors je suis debout maintenant.
Elle est descendue du lit et avait des difficultés à marcher.
Marie : bé, s'il te plaßt, tiens ma main et accompagne-moi a la douche, je vais faire pipi.
Dimy : ça fait déjà au moins dix fois que tu urines en une seule nuit et il n'est que minuit, j'espÚre qu'aprÚs tu vas me laisser me reposer, allons-y.
Il a aidé marie jusqu'au toilette, elle avait fait pipi et ils ont retourné dans leur lit.. Nicole avait dormi à peine trente minutes et s'était relevée.
Marie : dimy, j'ai chaud.
Dimy : mon Dieu, avec la climatisation allumé, tu as chaud ? Non, tu déranges déjà moi, je pars dormir au salon.
Il avait pris son oreiller et est allé se coucher sur le sofa au salon, comme les femmes aimes la sorcellerie-là , quelques minutes aprÚs elle l'avait suivi.
Dimy : on t'a seulement envoyé cette nuit Marie ?
Marie : allons dans la chambre chéri.
Dimy : non, je ne pars pas là -bas, je te rappelle que je travaille demain comme tu me déranges là .
Marie : ce n'est pas moi qui fais, je te jure que je ne me sens pas bien du tout. Comme tu ne veux pas aller dans la chambre, je me couche avec toi ici pousse toi alors bé.
Dimy s'était tranquillement reculé, heureusement pour lui le canapé était assez grand pour deux, elle avait allumé la climatisation du salon avant d'aller entré dans les bras de son chéri et avait réussi à s'endormir jusqu'au petit matin sans plus se réveiller.
Le réveil de dimy avait sonné à 6 h, il s'était levé et Marie était encore profondément endormir... Il a pris la peine de bien la positionner sur le canapé et était allé chercher une couverture pour la couvrir.
Il lui avait fait un bisou sur son front. Elle s'est retournĂ© lĂ©gĂšrement, mais sans se rĂ©veiller. Dimy l'avait regardĂ© dormir un moment avant d'aller s'apprĂȘter pour le boulot...
Il a pris sa douche, s'habiller puis est aller Ă la cuisine ĂąpretĂ© son dĂ©jeuner lui-mĂȘme, il avait par la mĂȘme occasion faire des omelettes pour marie et avait pris du gĂąteau au frigo et l'avait servir dans un plateau.
Il lui avait amené son déjeuner au salon et cette derniÚre était déjà réveillée.
Marie : Îh Merci mon amour, c'est trop chou, tu es un homme chéri, un vrai.
Marie : ok ma fille (en riant). Je suis dĂ©jĂ prĂȘt pour le boulot et je vais devoir partir.
Marie : (en riant Ă©galement) qui est ta fille ?... Ok Ă ce soir mon amour.
Dimy : toi, puisque je te prépare à manger.
Dimy avait remarqué de la fatigue en elle et s'était rapproché.
Dimy : tu as l'air pĂąle que se passe t'il ?
En prenant sa température a l'aide du verso de sa main.
Dimy : tu es brûlante, c'est sûrement une fiÚvre.
Marie : non, c'est bon chéri ne t'inquiÚte pas pour moi, tu peux aller au boulot.
Dimi : non, je vais appeler au boulot pour dire que je ne viendrai pas aujourd'hui.
Marie : dimy, je t'ai dit de ne pas t'en faire ça va aller, au cas contraire, je vais t'appeler.
Dimi : ok, ça marche, mais tu vas aller à l'hÎpital en journée.
Marie : d'accord chéri, je le ferai, tu passes une agréable journée.
Il lui avait remis un peu d'argent a marie pour aller Ă l'hĂŽpital et il s'Ă©tait en suite en aller.
Il avait passé ce jour a son lieu de travail tellement distraire, sa pensée était seulement à la maison. à l'heure de la pause, il était assis à la cantine Lorsque, ses deux meilleurs amis l'ont rejoint.
Loïc : hey bro tu penses à quoi comme ça ?
Junior : j'espÚre que ce n'est pas à d'autres femmes déjà hein ?
Dimy : laissez-moi comme ça les gars, ma femme ne vas pas bien, je rĂ©flĂ©chis mĂȘme comme ça il y a aussi la fatigue sur ça.
LoĂŻc : elle a quoi encore ?
Dimy : Je ne sais pas encore en quittant à la maison le matin, je lui ai demandé d'aller à l'hosto.
Junior : c'est sûrement rien de grave, toi aussi a seulement six mois de mariage, tu réfléchis déjà comme un vieux ?
Loïc : gars pardon senta(l'aise) d'abord l'autre dossier-là comme ça, moi j'ai faim. La mÚre envoyez nous quelque chose à manger ici.
Ce qu'elle fit et ils ont manger pendant quelques minutes, trente environ.
AprÚs la cantine, les trois amis sont rentrés chacun à leur poste de travail...
Ils étaient en plein travail lorsque l'un de leurs supérieurs hiérarchiques était venu leur passé une information.
- s'il vous plaĂźt, je peux avoir l'attestation de tous??....
- Ok Merci. Je suis ici pour vous donner une bonne nouvelle ; nous venons de gagner un marchĂ© public et ce marchĂ© permettra Ă notre entreprise d'Ă©voluer dans tout le sens du terme. C'est le plus gros marchĂ© qu'on ait gagnĂ© depuis l'existence de la sociĂ©tĂ©. Nous parlons ici d'un marchĂ© de plusieurs milliards, il s'agit de faire des rĂ©novations dans un village Ă l'ouest du pays. Nous allons refaire en gros les routes, l'Ă©lectricitĂ© et bien d'autres comm terrasser des forĂȘts pour ou crĂ©er des routes et agrandir le village.
- c'est oĂč exactement monsieur ? Demanda un des techniciens.
- attendez je regarde, répondit leur chef hiérarchique.
Il avait feuilleté les documents qu'il avait en main et avait répondu.
- voilà c'est a mbakou. Ce village est un peu mystérieux raison pour laquelle le directeur a fait appel à un ingénieur du Bénin qui fera partie de l'équipe qui ira dans ce village. Une liste officielle des personnes qui iront sera affiché dÚs demain soir au babillard. Et notons qu'à la fin de ce chantier chacun recevras une prime d'une valeur de plusieurs millions et une hausse de grade au sein de l'entreprise.
AprÚs l'annonce de ce dernier les employés se sont mis à applaudir et des murmures se faisait entendre.
- tu penses qu'il prendrons mĂȘme combien de personnes pour ce chantier c'est qu'Ă mĂȘme un marchĂ© public.
- attendons seulement la liste pour nous Ă©claircir, il ne reste plus qu'Ă prier pour ĂȘtre sur cette liste.
- c'est toi qui a raison ĂŽh.
ainsi Ă©tait la conversation de plusieurs techniciens de l'entreprise aprĂšs l'annonce de leur chef, chacun voulais ĂȘtre dans le groupe des travailleurs qui iront dans ce fameux Village.
Cette Journée était enfin passée et comme tous les jours, les trois amis se retrouvait à la sortie de leur société pour rentrer.
Ils papotaient en cheminant.
Dimy : j'espĂšre que nos noms vont figurer sur la liste des personnes qui iront Ă mbangou lĂ hein ?
LoĂŻc : (en riant) on dit mbakou.
Dimy : ah peu importe, je veux ce grade et cet argent. Tu imagines, ton grade et ton salaire augmente automatiquement et on te donne encore de l'argent dÚs ton retour, c'est de ça qu'il s'agit.
Expérience expirant expire espérons
Junior : espérons seulement.
Loïc : ça vas aller les gars nous irons tous.
Dimy : que Dieu t'entende frangin.
Ils se sont séparés en chemin et chacun avait pris la route de sa maison.
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Nous sommes à Douala. capitale économique du pays ; Plus précisément à Bali, un quartier trÚs populaire et respectant la construction hippodamien. c'est dans ce quartier que vivent dimi et femmes merie.
Jeune couple marié il y a à peine six mois. ils sont ùgé respectivement de 25 ans (marie.) et de 28 ans (dimy).
Issue d'une famille chrétienne ferveur marie est l'aßné d'une fratrie de trois. Elle a recontacté dimy au lycée et c'est de là que tout est parti jusqu'au mariage.
Dimy lui est l'unique enfant de ses parents, il a arrĂȘtĂ© les Ă©tudes aprĂšs l'obtention de sa licence en Ă©lectrotechnique pour se lancer dans la vie active a fin de subvenir aux besoins de sa famille. Il est cadre dans une grosse entreprise de construction de la ville qui recrute les techniciens de tous les domaines confondus.
LoĂŻc et junior sont ses meilleurs amis depuis le collĂšge, ils ont le mĂȘme niveau scolaire et travaillent dans la mĂȘme entreprise. ĂgĂ© de 27 ans loĂŻc lui Ă©tait spĂ©cialisĂ© dans les travaux de construction des routiers, junior lui, Ă©galement ĂągĂ© de 27 ans Ă©tait conducteur d'engins tandis que dimy son domaine Ă©tait l'Ă©lectricitĂ©.
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Ce jour a son arrivée à la maison, il avait trouvé sa femme et la premiÚre chose qu'il fit était d'aller l'embrasser et poser de nouveau la main sur son front pour prendre sa température.
Dimy : ça a l'air d'aller, tu étais à l'hÎpital princesse ?
Marie : oui oui et j'ai une Ă©norme surprise pour toi mon amour.
Dimy : avant que je n'aille me laver, dis le moi d'abord chéri ( en riant)
il s'était assis a ses cÎtés et elle avait pris son oreille
Marie : ( a voix basse) je suis enceinte.
Dimy : tu blagues n'est-ce pas ?
Marie : pas du tout voilĂ les examens et le texte du docteur.
Dimy a sauté de joie, il allait dans tous les sens dans la maison en dansant et hurlant de joie.
Dimy : je suis l'homme le plus heureux au monde grùce à toi chérie, viens dans mes bras.
Il avait serré sa femme trÚs fort dans ses bras et l'avait dit.
Dimy : tu es désormais la reine hein, donc tu ne fais plus rien ici. DÚs demain je vais engager une ménagÚre pour tout fait ici.
Marie : mais bébé toi aussi, je ne suis qu'à deux semaines de grossesse et tu veux déjà que je reste sans rien faire ? Non. D'ailleurs, je ne veux pas de ménagÚre chez moi, je connais trop leur score.
Dimy : hmmm, je sais ce que tu penses, tu me pense capable de faire ça ? En tout cas c'est la mort qui va nous sĂ©parer, je te le promets sur la tĂȘte de mes ancĂȘtres.
Marie : ok, je te crois, et je t'adore chéri, tu es ce qui m'est arrivé de plus beau dans cette vie.
Ils s'Ă©taient encore pris dans les bras.
Dimy : je vais aller prendre mon bain et je reviens.
C'est en chantant qu'il s'Ă©tait dirigĂ© dans sa chambre. Ătant dans la chambre, il avait envoyĂ© sa tĂȘte par la porte pour regarder au salon et avait dit.
Dimy : mon amour.
Elle avait regarder en lui faisant un sourire d'amour.
Dimy : tu peux me déranger toutes les nuits comme tu l'as fait cette nuit et je serai toujours là à prendre soin de toi, si seulement j'avais sûr que c'était des signes de grossesses hahahahah.
Ils ont éclatés de rire.
Ce jour était passé et le lendemain au boulot la liste des travailleurs qui devaient allés à mbakou était sortie et il y avait leurs noms à tous les trois sur la liste. En haut de cette liste était mentionné les meilleurs cadres de la société.
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