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#VILLAGE_MYSTIQUE👻
#ÉPISODE_2
Ils étaient encore devant la liste pour manifester leur joie lorsque leur patron est arrivé.
- mes félicitations à vous les gars, vous êtes parmi les cinquante personnes choisies. Donc commencer déjà a vous âppreter vous allez partir dans une semaine exactement, le temps que l'ingénieur Béninois arrive.
Dimy : d'accord boss.
Junior : merci boss
- ok, vos primes de mission vous seront versées le jour de votre départ et vous aurez au moins un mois à faire là-bas et dès votre retour une autre équipe prendra la relève. Surtout, n'oubliez pas ; vous êtes mes meilleurs employés ici donc vous vous devez d'assurer là-bas, faites du bon travail.
Dimy : vous pouvez compter sur nous boss.
- ok, j'ai confiance en vous, vous pouvez regagner vos postes.
Ce qu'ils firent, cette journée était passé. De retour à la maison le soir, dimy avait annoncé la nouvelle à sa femme et elle n'avait pas apprécié.
Marie : jusqu'à pour un mois, c'est beaucoup chéri et entre temps qui prend soin de mois ici et notre bébé.
Dimy : je serais toujours là mon amour.
Marie : comment alors que tu pars ?
Dimi : dans ton cœur et ton esprit, tu n'auras qu'à penser à moi et tous tes problèmes de tristesse seront résolus.
Marie : non, arrête ça dimy je ne blague pas pourquoi ils vous envoient aussi loin pour autant de temps ?
Dimy : c'est le travail mon amour que faire ? Mais je te promets que s'il y a le réseau là-bas, je te passerai un coup de fil tous les jours jusqu'à mon retour.
Marie : ok, c'est bon, mais tu vas nous manquer, tu sais.
Dimy : vous allez aussi me manquer mon amour, mais profitons du temps que je suis encore là, qu'en dis-tu ?
Il s'était rapproché d'elle et ils ont commencé à s'embrasser langoureusement et se caressant passionnément.
Bref, ils avaient faire l'amour e jour et Marie avait passé cette nuit tout au chaud dans les bras de Dimy.
Une semaine plus tard l'ingénieur Béninois était enfin arrivé, une réunion des cinquante travailleurs qui partait à mbakou avait été convoqué et les présentations fut fait par le directeur de la compagnie.
- je vous présente Monsieur kamela, il va être comme moi là-bas, donc il il va le représenter lors de votre séjour dans ce village. puisqu'il est ici présent, je vais lui passer la parole.
Kamela : comme le directeur disais tantôt, je serai comme votre protecteur ou votre guide donc exécuter juste mes instructions et je vous promets nous allons terminer notre travail dans ce village et rentré tous, est-ce que c'est bien compris ?
Eux : oui bien reçu Monsieur.
Le jour du départ avait été programmé dans deux jours, l'entreprise avait permis aux cinquante hommes de rentrer et de ne revenir que le jour du départ, donc le deuxième jour.
Sur le chemin de retour, les trois amis papotaient concernant leur départ pour mbakou.
Loïc : les gars, vous ne pensez pas qu'on nous cache quelque chose concernant ce voyage dans ce village ?
Dimy : moi également, j'ai cette impression-là, mais bon, c'est juste un sentiment, ça peut être rien du tout.
Junior : peu importe ce qu'ils caches hein moi, je suis seulement fière de faire partie du groupe des personnes sélectionnées.
Dimy : moi la seule chose qui m'a un peu fait réfléchir comme toi Loïc, c'est la venue de ce type. En tout cas, je pense seulement à ma vie après la fin de ce chantier.
Junior : moi de même.
Dimy est arrivé à la maison ce jour et avait informé marie de tout comme toujours. ils ont parlé un moment mais elle n'était toujours pas très d'accord du départ de dimy malgré tout.
Dimy : mon amour, tu reviens encore sur ce sujet-là, on en a déjà en parler.
Marie : j'ai juste un mauvais pressentiment chéri.
Dimy : tu as raison mon cœur, je pouvais écouter ton pressentiment, mais c'est le boulot, je n'ai pas trop le choix dans les cas si oui je perds mon travail.
Marie : c'est vrai, tu as raison, mais s'il te plaît fait attention à toi.
Dimy : ok mon amour, c'est compris, je ferais attention à moi et je te reviendrai en un seul morceau t'inquiète, c'est juste le boulot ce n'est pas comme si j'étais un militaire et que je partais en guerre.
Marie : ok.
Elle était allé se coucher sur dimy et posé sa tête sur sa poitrine.
Le jour du départ dimy était quitté chez lui tout triste pour marie, car elle ne voulait pas le laisser partir, il avait même pensé renoncer un moment, mais il était tard pour ça en plus il était le meilleur parmi les meilleurs.
Elle lui avait donné ce jour avant son départ un chapelet sur forme de bracelet.
Marie : tu dois toujours le garder sur ton poignet chéri ok ?
Dimy : ok promis chérie, je vais m'en aller les autres seront déjà sûrement en train de m'attendre.
Marie : mais on va dire une petite prière vite fait avant.
Dimy : ok, allons-y.
C'est ainsi que marie avait fait une prière de protection pour dimy.
Marie : seigneur, je te prie de bénir mon homme, il s'en va de ce pas loin de la maison pour le travail et pour ça, j'implore ta protection sur lui durant tout son séjour à cet endroit, en ton nom et nom de ton fils seigneur Jésus-Christ, j'ai prié amen.
Dimy : Amen. Merci mon amour, tu vas trop me manquer, prend bien soin de toi et notre bébé ok.
Marie : ok.
Il a pris sa femme dans ses bras quelques secondes et avait enfin pris la route sous le regard triste de cette dernière, elle était presque en larme. Elle était resté là debout devant la porte à le regarder partir jusqu'à ce qu'il disparaisse de sa vue.
Il était arrivé à son lieu de service et tout le monde était déjà prêt pour le départ.
Junior : mais gars comment tu nous fais encore attendre comme ça noon ?
Loïc : je m'apprêtais même déjà comme ça à t'appeler.
Dimy : gars laisser seulement comme ça, c'est Marie qui m'a encore traîner com
Kamela : puisqu'il est déjà là partons maintenant.
C'est sur ces mots qu'ils avaient enfin pris la route pour mbakou a bord d'un grand bus de transport en commun de l'entreprise. Plusieurs autres camions transportant les outils de travail, les grumiers transportant les engins de terrassement, de bitumage et autres ; les suivait par-derrière.
Suivant le plan qui les avait été donné, la route ne leur avais pas pris assez de temps, puisqu'ils étaient en Convoi. Trois heures avait été largement suffisantes pour y arriver.
C'est un panneau posté en bordure de la route qui avait indiqué le l'arrivée a tous le reste du personnel.
#BIENVENUE_A_MBAKOU⚠️
Bienvenue a mbakou était la phrase inscrite sur ce grand panneau a l'entrée de ce village. Kamela avait stoppé le convoi pour donner quelques consignes avant de continuer.
Kamela : vous devriez savoir une chose avant que nous entrions dans ce village ; nous sommes des étrangers ici et nous sommes ici pour une mission. Accomplissons là et partons, c'est tous.
Ils ont répondu qu'ils avaient compris et c'est comme ça qu'ils ont franchi les frontières du village et circulaire dans les premiers quartiers.
Les villageois étaient très surpris de voir leur Convoi, ils sortaient tous de leur cabane et se postait devant leur entrée pour voir ce Convoi de technicien passé comme s'il s'agissait du Convoi présidentielle.
Dimy : ils ont l'air étonné de nous voir.
Loïc : ils sont sûrement juste surpris de voir des voitures, car ils n'en voient pas très souvent.
Junior : je suis d'accord avec toi, c'est sûrement ça.
Dimy : monsieur Kamela où allons nous camper pendant notre séjour ici, car ce village est vraiment très déserte à vue d'œil ; même une seule boutique ou buvette, je n'ai pas encore aperçu dans un coin.
Kamela : je n'ai aucune idée, nous nous rendons comme ça a la chefferie et c'est de là que le chef nous montrera un endroit où loger.
Dimy : d'accord, mais ici sûr le plan que j'ai en main, la destination finale était à l'entrer du village.
Kamela : je sais, nous allons nous renseigner pour connaître la chefferie.
Leur Convoi avait débordé les premières maisons d'habitation, tout ce qu'ils pouvaient voir était des arbres et la route continue sur laquelle ils roulaient.
Ils ont longé cette voie déserte pendant plus d'une heure, et même pas une personne, ils avaient vu pour se renseigner. Il était à peine 17 h, mais l'obscurité s'approchait déjà a grand pas lorsque soudainement, ils vit un gamin d'à peine de dix ans environ vêtu d'un haut rouge et bas noirs, il marchait sur la route tout seule dans un sens opposé à eux, donc le gamin montait et eux, ils descendaient.
Junior : voilà un enfant là-bas et c'est le seul que nous avons rencontré depuis, il peut connaître la chefferie.
Kamela : ok arrêté la voiture et demandons lui voir.
Ce qu'il fit, ils ont garé de l'autre côté de la route. Dimy et junior étaient descendus du véhicule, traverser la route en se dirigeant vers l'enfant.
Junior : hey petit attend.
L'enfant s'était arrêté, mais n'avait mot dire.
Dimy : bro on dit au moins s'il te plaît noon.
Junior : ah, toi aussi, ce n'est qu'un enfant.
Dimy n'avait plus répondu.
Junior : mon petit, tu parles français ?
- je parle toutes les langues.
Junior : (riant) ok, tu t'appelles comment ?
- je m'appelle ranie.... Tu te moques de qui ?
Junior : non, je ne me moque pas. C'est ton prénom qui a semblables à celles d'une femme. ( Toujours en riant) ok rani la chefferie se trouve où d'ici ?
Le petit garçon n'avait pas parlé. tout furieux il avait juste montré du doigt la route et ils se sont tournés pour voir ce qu'il montrait, et dès qu'ils ont retourné la tête pour demander ce que l'enfant montrait, il n'était plus là.
Junior : quo..... Djesouuu !!!! Où il est ??
Dimy : il.... Mon Dieu.
Ils ont regardé de tous les côtés et le petit n'y était plus, ni en haut ni en bas. Ils se sont dépêchés à la voiture en courant à toute allure...
Ils sont arrivés en respirant rapidement et fort, les autres étaient surpris de leur réaction.
Kamela : c'est quoi ? Il vous a indiqué ?
Dimy : le petit s'est évaporé dans la nature comme la fumée..
Kamela : quoi ? Ok entrez on part.
Ils sont entrés dans la voiture et le chauffeur avait continué, tout le monde était paniqué après ce qui venait de se passer et chacun posait des questions a dimy et junior pour en savoir plus.
Ils avaient roulé encore plus de trente minutes puis ils ont vu une autre plaque en bordure de la route un peu plus loin et déçu était écrit ""bienvenue à la chefferie de mbakou"" , lorsqu'ils se rapprochaient peu à peu de la plaque, il avait remarqué un enfant en dessous et il s'était retourné et entré dans la brousse après les avoirs vue les voitures se rapprocher.
Dimy et junior se sont régalés
Junior : dimy.....
Junior n'avait pas eu le temps de terminer sa phrase et dimy le coupa.
Dimy : oui, c'est lui, je l'ai Vu, mais ne fait pas peur aux autres.
A_SUIVRE