Chapitre 3 Ep3

#VILLAGE_MYSTIQUE

#ÉPISODE_3😈

Auteur : 📝#PERGO_SANTIAGO📝

Kamela aussi avait vu l'enfant et avait juste remarquĂ© l'habillement, il s'Ă©tait tournĂ© et avait jetĂ© un coup d'Ɠil sur dimy et junior, ils se regardaient, mais ne disaient rien. Une fois prĂšs de l'entrĂ©e de la chefferie, ils ont garĂ© et Kamela est aller voir le chef en compagnie de dimy et les autres les attendaient dans la voiture.

Ils avaient longé toute la piste qui menait à la chefferie à pied.

Le chef étai assis dans un coin de sa grande cour avec ses épouses, kamela s'était dirigé vers eux et dimy l'avait suivi.

Kamela : bonjour sa majesté.

Chef : bonjour mon enfant, je ne vous connais pas dans ce village.

Kamela : effectivement sa majesté. En ffet moi, c'est Kamela et voici dimy nous sommes des ingénieurs venant de la ville, nous avons été envoyé dans ce village pour des travaux de construction et de rénovation des voies et des infrastructures.

L'une des femmes du chef avait sursauté et avait ouvert grand ses yeux.

- pour faire quoi faire vous dites ? ?

Chez : des travaux, je crois vous avoir déjà parlé de ça noon.

- oui, mais....

Chef : je comprends on va arranger ça. Mais vous aussi, il fallait annoncer votre arrivée avant noon!! je veux dire le jour exact.

Kamela : nous sommes désolés sa majesté, nous avons cru que nos chefs s'en étaient en chargé de le faire.

Chef : pas du tout, mais ce n'est pas grave, puisqu'il se fait déjà, tard, vous allez passer la nuit ici à la chefferie et demain, je vous montrerai l'endroit qui avait a été prévu pour vous.

Kamela : d'accord sa majesté.

Chef : oĂč sont les autres ?

Dimy : dans la voiture en route majesté, nous allons aller les faire venir.

Ils sont répartis à la voiture tous les deux, dimy avait remarqué le comportement étrange tu chef et de ses épouses, mais il n'avait toujours pas en parler.

DÚs leur départ, le chef s'était mis à réprimander l'une de ses épouses celle qui avait brusquement réagir.

Chef : je t'avais demandé depuis le mois passé de chercher a enlevé ton totem sur la route nooon , a cause des travaux?

- oui, mais tu ne m'avais pas dit quand ils venaient exactement.

Chef : puisque je ne savais pas moi aussi. Mais puisque tu as encore du temps, chercher a enlevĂ© ça cette nuit mĂȘme.

- d'accord c'est entendu mon mari je le ferais.

Kamela et ses techniciens étaient entrés en groupe dans la cour de la chefferie et le chef s'était levé et leur avait montré plusieurs concessions de la chefferie vide, ils avaient séparé les chambres de telle sorte que tous les 50 travailleurs présents plus kamela puissent trouver une place a coucher et c'est grùce à leurs outils de campement qu'ils avaient dressé des places à coucher.

La nuit tombĂ©e puisqu'ils n'avaient pas de quoi s'Ă©clairer, le chef les avaient distribuer dans chaque chambre une lampe-tempĂȘte.

Ce n'Ă©tait pas facile pour certains d'entre eux de trouver le sommeil facilement. À une certaine heures de la nuit, dimy et junior ne parvenait pas Ă  dormir aprĂšs tout ce qu'ils avaient vĂ©cu en journĂ©e ,ils Ă©taient en train de bavarder Ă  voir basse pour ne pas rĂ©veiller les autres qui avait enfin pĂ» dormir lorsqu'ils ont entendu des murmures et des personnes marchĂ© Ă  l'extĂ©rieur.

Junior : tu penses que ça peut ĂȘtre qui dehors ?

Dimy : nous sommes dans une chefferie, ça peut ĂȘtre des guades.

Junior : Ă  cette heure de la nuit, ils ne dorment pas aussi?

Il avait regardé à sa montre et il était 1 heure du matin.

Junior : il est 1 h, tu te rends compte ? ... Attends je vais regarder voir.

Il s'était levé et guetté par un trou sur la porte et avait aperçu la femme du chef à l'extérieur avec plusieurs autres femmes qui parlaient en pointant leur chambre du doigt, puis il était retourné se coucher.

Junior : c'est la femme du chef et plusieurs autres femmes.

Dimy : hmm, que font-elles dehors Ă  cette heure ?

Junior : je ne sais pas et apparemment, elles parlent de nous.

Dimy : comment ça, tu as sûr ça comment ?

Junior : je l'ai vu parler en montrant ici. Apparemment elles partent.

Junior s'était de nouveau levé pour guetter et il les avaient vu partir vers la sortie de la chefferie.

Junior : oui, elles sont parties.

Dimy : dormons, on risque de commencer avec les travaux demain et on doit ĂȘtre en forme.

Junior : tu as raison.

Ils sont entrés dans leur couverture et forcÚrent le sommeil. Ils avaient enfin réussi à s'en dormir lorsque soudainement junior Tomba dans un horrible cauchemar dans lequel il vit le jeune garçon de la route( ranie).

Il s'Ă©tait retrouvĂ© dans ce cauchemar couchĂ© sous un arbre en plein milieu de la route et en pleine nuit les mains et les pieds ligotĂ©s, le jeune garçon Ă©tai debout devant lui avec une machette en main et deux autres hommes bien colosses vĂȘtus t'elle des guerriers.

Sur l'arbre étai attaché une corde pour le pendre.

Junior : (en pleurant) s'il vous plaĂźt, ne me faites pas de mal.

Narie : je veux juste t'apprendre Ă  ne plus te moquer des gens que tu ne connais pas.

Junior : je suis désolée, mon intention n'était pas de me moquer de toi.

Narie : mon intention Ă  moi est de te tuer et c'est ce que je vais faire.

En lui parlant le jeune garçon s'était transformé en une vielle dame de la soixantaine.

Junior : (en hurlant trÚs fort) oh mince c'est quoi ça mon Dieu au secours.....

Narie : tu peux crier autant que tu veux, personne ne t'entendra aller mettez-le a la corde et qu'on en finisse. Ce village ne vous a pas demandé de développement.

Les deux hommes se sont rapprochĂ©s de lui pour le transporter a la corde. Il essayait de se battre pour les empĂȘcher de le faire et l'un d'eux l'avait assommĂ© un coup-de-poing sur le visage, plus prĂ©cisĂ©ment sur l'Ɠil. il s'est calmĂ© et ils l'ont accrochĂ© Ă  cette corde par la tĂȘte et le lĂącher. Puis, il se battait en vain car il avait les mains ligotĂ©.

*A la chefferie,

Il sonna 3 h du matin lorsque dimy qui n'était pas profondément endormir a entendu de nouveau des bruits à l'extérieur, il s'est levé pour aller guetter.

Il avait aperçu la femme du chef et ce mĂȘme groupe de femmes, mais la femme du chef tenait autour de son cou un Ă©norme serpent.

Il n'avait pas pu supporter et avait crier le plus bas possible en arrĂȘtant sa bouche, il s'Ă©tait prĂ©cipitĂ© de rĂ©veiller junior.

Dimy : (en le secouant) junior... Junior.. LĂšve-toi et viens voir.

Ce dernier avait sursauté trÚs brusquement de son sommeil en hurlant.

Junior : au secours.. non laisser moi......

Ce qui avait réveillé Loïc qui était couché pas loin d'eux.

Junior : calme-toi que se passe t'il junior, viens voir.

Junior : il.... Elle a voulu me tuer, tu m'as sauvé Merci.

Junior : il.. elle c'est qui?

LoĂŻc : les gars, c'est quoi, vous faites un peu trop de bruit lĂ .

Junior : gars vient voir, guette par ce trou.

Ce qu'il fit, il avait regardé par le trou et la seule chose qu'il vit était le dos de la femme du chef entrant dans sa concession et toute seule.

LoĂŻc : ce n'est que la femme du chef, tu parles de quoi ?

Dimy : tu n'as vu qu'elle seule, elle n'avait rien ?

LoĂŻc : elle Ă©tait toute seule, je l'ai vu de dos entrant chez elle.

Dimy était de nouveau allé guetter et il n'avait plus vu personne. Il s'est retourné et avait remarqué junior tout en sueur.

Dimy : toi, tu dis que quoi ne vas pas ?

Junior : tu te souviens du jeune gamin de la route chez qui ont s'est renseigner ?

Dimy : oui, qu'a-t-il faire ?

Junior : je l'ai vu dans mon rĂȘve et il voulait me tuer, en effet il m'avait mĂȘme dĂ©jĂ  Pendu sur un arbre quand tu m'as rĂ©veillĂ©.

Dimy : ( d'une voix inquiĂšte) encore lui !!!

LoĂŻc : ce n'Ă©tait qu'un rĂȘve l'ami rendors toi, on commence les travaux dans peu de temps.

Dimy : il y a vraiment quelque chose qui cloche dans ce village.

LoĂŻc : il y a rien frangin vous vous faites juste des illusions c'est tout.

Loïc ses tout de suite rendormir. Dimy et junior étaient restés là éveiller jusqu'au petit matin.

Il sonna 7 h lorsque tout le monde fut réveillé.

Junior s'Ă©tait levĂ© avec un Ɠil gonflĂ© et des traces de corde bien visible sur son cou, il avait atrocement mal et se tordait de douleur... Il avait tout expliquer ce qui s'est passĂ© aux autres, mais personne ne le croyais.

De mĂȘme pour dimy, il a expliquĂ©, mais personne ne le croyais sauf kamela.

Kamela : hey vous, allez ùpreté le matériel; et toi junior viens avec moi.

Il l'avait emmené à la concession du chef.

À_SUIVRE

            
            

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