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Frédéric, attrapant mes lèvres, les suçait. Moi aussi, je suçais les siennes comme on suce du chocolat. On se mélangeait les salives. Ah oui, il buvait ma salive et je buvais aussi la sienne. Mais attention ! Ce n'est pas qu'on buvait les salives comme on boit de l'eau ! Ah mais non ! Il y avait juste un petit échange de salives parce que quand ça devient trop, ça devient dégoûtant.
Les deux mains calées sur mes deux seins, Frédéric les caressait. Je poussais le « ouille ».
D'habitude, je vois en porno que les hommes lèchent la femme, quel qu'en soit leur charme, avant de passer à l'acte proprement dit. Mais malheureusement, je ne suis jamais tombée sur ce genre de mec. En voyant comment les filles s'étirent lorsqu'on leur fait ça, je pressens que cela devrait avoir du bon goût.
En effet, lorsque Frédéric m'a bien sucé les lèvres, il est légèrement descendu vers le bas pour se concentrer maintenant sur mes seins. Il fallait être présent pour voir comment l'enfant d'autrui tétait mes seins.
Attrapant le mamelon de mon sein gauche dans la bouche, il le suçait comme un enfant au lait tète sa mère quand il a avidement faim.
Oh non ! Frédéric aime trop les seins. Il me tétait et je poussais davantage de « ouille ». J'attrapais le drap et m'étirais parce que le plaisir était intense. Ayant fait le constat, il a légèrement déplacé sa main droite pour la diriger vers mon vagin bien poilu et, à l'aide de son majeur, il a commencé par me doigter. Et là, le plaisir était devenu encore plus intense.
Avec son doigt, il faisait un va-et-vient dans ma partie la plus sensible. C'est vrai que ça ne touchait pas l'endroit le plus sensible mais, c'était mieux que rien.
Sur cette pauvre natte, je me voyais au paradis, si cet endroit existe bien sûr.
Frédéric, ayant longuement sucé mon sein gauche, il s'est tourné vers celui droit. Avec tous ces plaisirs dont était l'objet tout mon corps, j'avais légèrement ouvert la bouche pour aspirer le goût.
J'avais les yeux légèrement ouvert mais moi-même, j'étais hors de moi-même. On dirait que mon corps était présent et mon âme était très loin.
Je recevais les plaisirs quand tout à coup, j'ai senti quelque chose me pénétrer.
Ah oui ! Le mec venait de longer son gros bangala dans mon vagin.
C'est en ce moment que j'ai écarquillé les yeux pour revenir sur terre.
Il fallait être présent pour voir comment un pauvre étudiant qui n'a rien, pile le mil.
Frédéric, avec son gros pénis, me pompait. Sur moi, il allait et revenait. Il me baisait tellement que je me demandais s'il serait d'accord qu'on baise ainsi sa sœur. En tout cas, ce n'était pas mon problème parce que toutes les femmes aiment qui baise bien. Et voilà que j'en avais trouvé un.
Non, en toute sincérité, Frédéric baise bien. Il me baisait et de ma bouche, on pouvait entendre : « aaaaa ; ooooh ; iiiiiii ; éééééé ; ouuuuuuuu ».
C'est étonnant non ? Moi, j'aime trop les voyelles en fait. Voilà pourquoi, je dis ça souvent. Et comme vous le savez déjà, les mots de jouissance passent aléatoirement. Quand l'autre vient et part, un autre vient encore.
Trois minutes ; cinq minutes et puis à la sixième minute environ, j'ai vu Frédéric qui a commencé par vibrer et trembler. Pas plus que quelques secondes, j'ai senti un liquide rouler à l'intérieur de mon vagin.
Eh oui, ce gars-ci venait de libérer du sperme ; par conséquent, je ne devrais plus espérer aucune pompe.
Et c'est la seule chose qui m'énerve chez Frédéric. Il ne dure jamais au lit. Pendant que moi je veux qu'il me pompe à longueur des heures, c'est à peine quelques minutes ; il n'atteint jamais dix minutes.
Quelques minutes après, Frédéric s'est lentement levé de mon ventre pour se coucher à côté de moi.
Bien que je ne fusse pas bien satisfaite parce que je n'avais pas encore atteint mon orgasme, au moins, j'étais heureuse de ce qui s'était passé.
Là-dessus, je voudrais dire aux hommes de bien nous pomper. Nous aimons ça. La femme aime qu'on la pompe correctement. Pour cela, quand il s'agit de pomper, n'ayez pas pitié. Pompez-nous correctement. Même si vous voyez la femme en train de pleurer sous votre pénis, n'ayez aucune pitié ; accélérez seulement ; nous aimons trop la baise. Ou ne savez-vous pas qu'à cause du fait de ne pas savoir bien pomper, les femmes divorces avec leur mari pour se remettre ensemble avec d'autres personnes qui pourront bien les pomper ?
À cause du fait de ne pas savoir bien pomper, beaucoup de femmes trompent leur mari et je ne leur trouve aucun tort.
Maintenant, vous les hommes qui avez de petits kiki, travaillez votre pénis pour le rendre bien long et bien gros. Nous les femmes aimons les pénis bien longs et bien gros. Le penis peut ne pas être gros mais quand il est long, nous aimons ça aussi. Parce que le chemin est long. Ha ha ha. J'espère que vous comprenez ! Et si le chemin est long, il faut un long bâton.
Calmement, bien n'étant pas bien satisfaite, j'ai pris mon mal en patience.
***
Dix heures et j'avais terminé tous mes devoirs domestiques.
Ce matin-là, Frédéric était allé au cours. Après m'avoir bien baisée la nuit, il s'est rendu sur le campus.
Assise sur la natte, j'ai composé un numéro, celui de Fred bien sûr !
Au bout de quelques secondes, il a décroché mon appel en répondant par : allô ma belle ?
– Oui, chéri, comment vas-tu ?
– Je vais très bien, ma belle !
– Dieu merci ! Je t'appelle pour te dire merci pour tout ce que tu as fait pour moi hier.
– Oh, tu n'as pas besoin de me remercier pour ça.
– D'accord ! Es-tu présentement à la maison ?
– Si ! Je reviens de la douche comme ça.
– Je vois ! Veux-tu sortir ?
– Non, non ! Il y a mon équipe préférée qui joue aujourd'hui et je veux suivre ça.
– Wouah ! J'aime aussi le foot ! Que je vienne pour qu'on le suive ensemble ?
– Ça me fera énormément plaisir parce que le match se suit en foule.
– D'accord, je serai là tout à l'heure. Manges-tu de la salade ?
– Wouah ! J'aime trop ce mets.
– D'accord, à tout à l'heure.
J'ai raccroché le téléphone et me suis dirigée vers le repas que j'avais préparé ce matin-là qui était de la salade. Je l'ai rapidement servi dans un plat
et l'ai mis dans un panier que j'ai acheté au marché.
N'est-ce pas que j'ai désormais deux maris ? Alors pourquoi après avoir servi le premier, ne pas servir le deuxième en retour ?
Je me suis dirigée vers la porte et l'ai rabattue. Je l'ai ensuite verrouillée à la clé et me suis dirigée vers le portail.
Dieu merci ! À peine que je suis arrivée sur le portail, j'ai vu un conducteur de taxi-moto qui m'a vite prise. De ma maison chez Fred, c'est cent cinquante francs et tout le monde sait. Inutile donc de discuter encore du prix.
Moins de douze minutes plus tard et me voici déjà en face du portail de la maison de Fred. Sur le portail, était debout un mec qui me regardait sans cesse. Son regard ne m'étonnait pas. On regarde toujours ce qui est beau ou belle. Donc pas la peine de me déranger ou de m'inquiéter.
– Bonjour monsieur, ai-je dit en le surpassant sans même attendre sa réponse.
Oui, sa réponse m'importait très peu.
Arrivée devant la porte de la chambre de Fred, j'ai tapé.
– Entrez ! m'a répondu une voix.
J'ai poussé le rideau et suis entrée. Fred s'est levé et venu me rencontrer. M'accueillant sur sa poitrine, il m'a fait un petit baiser.
– Allez, viens t'asseoir chérie !
– Merci, mon cœur ! ai-je répondu en le suivant jusqu'à aller m'asseoir là où il m'a proposé.
– Tu es bien arrivée j'espère !
– Oui, le trajet a été favorable !
– Super ! J'aime ta présence, mademoiselle Aïcha.
– Merci !
– Non, je suis sérieux ! Si je pouvais t'avoir comme épouse, je serai l'homme le plus heureux de ce monde !
– Vraiment ?
– Je te le jure ! Normalement, je ne devrais plus être célibataire. C'est parce que j'ai été déçu par la femme de mes rêves. Elle m'a trompé et à cause de cette déception, j'ai perdu le sens d'aimer. J'ai perdu le vrai goût d'aimer. Mais en toi, je vois que je peux remettre de nouveau ma confiance. Mais malheureusement, tu m'as dit que tu as un mec dans ta vie. Voilà que je ne peux pas te dire d'abandonner l'autre pour m'accepter dans ta vie. Sinon, je t'aime, Aïcha.
Devant ces propos, j'étais sans voix.
– Je suis désolée, Fred. Pour t'être sincère, je t'aime aussi. Je t'aime et sans te mentir, je ne sais comment faire. Mais ne t'inquiète pas, je vais trouver une solution. Il faut que tu saches ceci : La polyandre sait qui elle veut marier. Ceci étant, si j'arrive à trouver ma satisfaction auprès de toi, pourquoi ne pas te choisir pour le meilleur et pour le pire ? À toi de savoir comment prendre soin de moi. Si je trouve ma satisfaction auprès de toi, sache que c'est toi que je choisirai. Après tout, la balle revient dans ton camp. Sinon, aucune femme ne souhaite souffrir et c'est là où elle se sent à l'aise qu'elle préfère rester.
Devant mes propos, Fred était silencieux. Lorsque j'ai fini de parler, il m'a calmement appelé et m'a dit : « Que voudrais-tu que je fasse pour toi pour gagner ton cœur ? ».
– Je ne peux pas répondre à ta question, mon cher ! Tu n'es plus un petit et tu sais ce qui m'irait mieux ! Ou pas vrai ? Sinon, mon mec actuel est un pauvre étudiant. Imagine ma vie avec lui ! Lui, il ne gagne absolument rien ! Mais toi, tu es déjà autonome ! Gâte-moi et tu verras !
Fred a secoué la tête jusqu'à dire : « D'accord, merci pour cette précision ».
– Bien, viens passer à table !
– Ce repas, il faut qu'on le mange ensemble !
– Pas de souci !
J'ai pris le panier et me suis dirigée vers la table à manger. Fred, se levant sur ses pieds, m'a suivie et pendant que je sortais le plat du panier, s'est mis à me toucher légèrement.
Sa main était si molle et fraîche que je sentais une belle sensation. Tout de suite, j'ai abandonné le panier et me suis tournée vers lui. Nos fronts se faisaient face. Sur son visage, je lisais une sorte de peur. Oui, le mec avait peur de m'embrasser.
Doucement, j'ai tiré sa tête contre la mienne. Penchant légèrement ma tête, j'ai localisé ses lèvres et sans attendre une seconde, j'ai fermé mes yeux et bienvenu les baisers.
Seuls dans la chambre, on s'était mis aussitôt à se caresser et à se sucer les lèvres.
Ah oui, tout commence de là.
La peur de Fred continuait jusqu'au moment où j'ai attrapé, moi-même, sa main droite pour la caler sur mon sein gauche, l'excitant ainsi à me les caresser.
Moi qui croyais Fred timide, je l'ai vu me prendre sur sa poitrine pour m'emmener dans sa chambre à coucher. Arrivés là-bas, il m'a doucement déposée dans le lit comme on dépose un œuf. Revenant en arrière, il a enlevé sa chemise et son pantalon. Maintenant dans une petite culotte, Fred est revenu vers moi.
Couchée dans le lit, je m'impatientais à voir de quoi il était capable. Parce que la plupart des hommes qui s'agitent ainsi sont des gens qui ne font pratiquement rien au lit.
Fred s'est allongé sur le lit et a posé sa main droite sur ma tête. Doucement, il a commencé par me caresser les cheveux.
Fred avait une façon exceptionnelle de me caresser les cheveux et sans mentir, je sentais des frissons me parcourir tout le corps. C'était vraiment incroyable.
Avec la deuxième main, il s'était mis à me caresser l'oreille droite et avec sa langue, il me caressait la deuxième oreille.
Non, on dirait que ce mec était un diplômé dans le domaine sexuel.
Je dis, il me tuait d'envie. Ce que Fred me faisait sentir dans tout le corps étaient des choses que je n'avais jamais senties depuis que les gars me baisaient.
J'étais au cœur de mes émotions quand j'ai senti la langue de Fred atteindre mon cou.
Oh, ce gars voulait parcourir tous le périmètre de mon doux corps.
Après avoir bien sucé mon cou et ses deux mains me caressaient les cheveux, le voici maintenant arrivé sur mes deux gros seins. C'est à ce niveau que j'ai commencé par voir des couleurs.
Oui, diverses couleurs passaient au-dessus de mes yeux.
Fred, attrapant mes deux seins au même moment, les triait comme on trie le haricot.
Il les relevait et les soulevait bien qu'ils étaient encore dans mon soutif, cachés dans ma robe.
J'étais tellement pressée que je me suis levée moi-même pour enlever ma robe et mon soutien-gorge.
À présent, mon joli corps au teint clair était exposé sur le lit de Fred.
Visiblement, je voyais Fred grelotter. Il vibrait parce qu'il avait de la bouffe suspendue à ses lèvres.
Tout sourire, il s'est allongé sur moi et doucement, il a dirigé sa bouche sur le mamelon de mon sein gauche.
Fred avait une manière spéciale de sucer le sein des gens. Il ne suce pas le sein des gens jusqu'à le détruire.
Je me rappelle ! Un jour, Frédéric m'a tellement tétée que c'est du zoro que j'ai finalement passé sur mes seins avant d'avoir la paix des brûlures.
Mais Fred, il n'est pas comme ça ! Même ses simples caresses et lactation me faisaient jouir déjà.
Fred, ayant bien sucé le mamelon de mon sein gauche, est revenu maintenant sur celui droit et a exactement fait la même chose.
Je vous dis, j'étais morte de plaisir.
C'est en ce moment que j'ai réalisé que les baises que j'ai subies depuis que j'ai commencé par baiser étaient nulles. Oui, la vraie baise, c'est être bien caressée.
J'étais au milieu de mes sensations quand j'ai senti la langue de Fred s'approcher de mon nombril.
Ne vous avais-je pas dit que ce mec voulait parcourir tout le périmètre de mon corps ?
Le gars, le voici enfin arrivé sur mon nombril. Avec sa langue, il me le suçait. Il tournait sa langue autour du nombril, ce qui m'excitait encore davantage. Ses deux mains se promenaient sur mes deux cuisses et je vibrais chaque seconde.
Oh non, c'était du miel !
Les attouchements de Fred étaient spéciaux !
Après m'avoir bien tuée d'envies, le voilà enfin qui est en train de tirer mon caleçon vers le bas.
Oh, qu'est-ce qui va se passer ?
Je suis sûre que ce mec va me lécher ; ce que personne ne m'a jamais fait et dont je rêve un beau jour.