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Encore une baise s'il te plaît

Encore une baise s'il te plaît

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Résumé

On m'appelle Milie, je suis une grande fille. J'aime ce prénom et je suis très contente de l'avoir. Je suis élève dans un lycée. Dans ce lycée, j'ai eu des amies, des amies que je ne devrais pas fréquenter ; des amies qui m'ont appris à aimer le sexe. Oui, le sexe. Avec mon proviseur, chaque jour était un nouveau jour de sexe. On se mangeait sexuellement. Mais un jour, quelque chose s'est passée. Quoi donc ? Lisez mon histoire ! Et de grâce, c'est une histoire conseillée aux +18ans.

Chapitre 1 CHAPITRE 1 : Qui suis-je ou qui sommes-nous

Je veux vous raconter mon histoire. Que ça ne vous étonne pas. Je vais me présenter et présenter aussi mes camarades, les autres principaux personnages de cette histoire. Faut-il présenter nos parents ? Non, ça ne vaut pas la peine parce que c'est nous, notre histoire et non la leur.

Moi, on m'appelle Cathy. Le vrai prénom que m'ont donné mon père et ma mère, c'est Catherine. C'est un bon prénom selon eux mais moi, j'aime plutôt qu'on m'appelle Cathy. À l'école, sur mes feuilles de compositions, c'est Cathy. J'ai tellement aimé ce prénom qu'un jour, j'ai brûlé mon propre acte de naissance et me le suis renouvelé. Ça vous a étonnés n'est-ce pas ? C'est comme ça je suis ; je suis femme récalcitrante. Je ne suis pas une femme à problème mais il y a de l'intelligence qui circule dans mes veines et à chaque fois que je désire quelque chose, je l'obtiens.

En fait, je suis orpheline de père. Mon père était un grand homme militaire. Mais un jour, il a été terrassé par une terrible maladie et la mort s'en est suivi. Voilà comment je suis devenue orpheline de père. J'ai une mère. Après la mort de mon père, elle a plié ses bagages quelques mois plus tard pour aller se remarier. Ma mère, on dirait qu'elle adore bien le truc des hommes sinon, comment ne pas patienter pendant un an au moins avant d'aller se remarier ? En tout cas, là n'est pas mon problème. Lorsqu'elle partait, elle m'avait confiée à sa sœur. Sa sœur est donc ma tante. C'est auprès de ma tante que j'ai grandi. J'ai poussé les seins dans la maison de ma tante à l'âge de seize ans. Petit à petit, mes seins avaient pris de volume. Lorsque je penche la tête et me regarde la poitrine, j'en suis très fière. Oui, quand une jeune fille commence à pousser les seins, façon elle est contente ! C'est cette joie qui m'absorbait moi aussi.

Ne savez-vous pas que quand nous commençons par pousser les seins, c'est l'heure de notre gloire qui commence à sonner comme ça ? Si vous ne le savez pas, sachez-le dorénavant.

Alors, je vous parlais de mon acte de naissance que j'ai brûlé pour m'en faire un nouveau. Maintenant, puisqu'il n'y a personne pour me gronder dessus, je fais des choses comme elles me passent à la tête. Ma tante est qui pour me gronder dessus ? Façon je vais la dévorer. Son mari est également qui pour me faire de reproche ? Façon je vais le fumer.

Donc je suis libre dans la maison. Mais ce n'est pas parce que tout m'est permis que je peux faire tout ce qui me plaît ; ah mais non ! Avant que je ne pose un acte, j'évalue d'abord les résultats que cela pourrait avoir.

En effet, j'avais brûlé l'acte de naissance pour avoir un super prénom. Le mari de ma tante, c'est un monsieur d'une quarantaine. C'est un jeune très riche. Occupé par ses affaires, il n'a jamais le temps pour rester à la maison. C'était d'ailleurs la raison pour laquelle lorsque je leur mentais au jour du renouvellement de mon acte de naissance, ni lui ni ma tante, personne ne savait que je modifiais mon identité.

Donc vous connaissez déjà l'origine de mon prénom Cathy. Alors nous pouvons continuer l'histoire. Donc on m'appelle Cathy. Je suis la classe de troisième dans un collège privé ; non, un lycée. On m'a emmenée dans ce lycée à défaut de mon insuccès l'an écoulé. Mais lorsque je suis arrivée dans ce lycée, la rigueur du proviseur a changé aussitôt ma nature de paresse. Pouvez-vous imaginer ce qui se passe quand on obtient une note en dessous de douze ? Mon vieux ! Toujours est-il qu'on regrette d'avoir accepté de mettre les pieds dans cette putain de cour. Oui, on vous rosse comme on rosse un voleur. Vous vous alignez en rang et passez chacune dans le bureau du proviseur. Debout avec sa grosse lanière et un bâton en main, il vous donne des fessées et pour finir, il vous donne deux coups de sa lanière dans le dos. Au premier trimestre, j'avais fait partie des bandes des paresseuses. Mais au second trimestre, vite je m'étais donné au travail. Ah oui, je n'aime pas la chicote. Ce maudit homme qui se prenait pour superviseur du lycée où m'avait inscrite ma tante était un homme sans cœur. Il frappe ses élèves comme si elles étaient des chèvres. Avant que n'arrive le tour de celles qui ne sont pas encore passées à sa table de correction, on pleure. Oui, on s'imagine la douleur des coups dans le corps et dans tout l'os. Dans les deux premiers mois de l'année, je m'étais ressaisie des coups et m'étais donné aux cours. J'étais devenue la plus studieuse de la classe. Et comme vous le savez, l'effort paie toujours. J'ai réussi à admettre dans une classe supérieure grâce aux coups de fouets du superviseur du lycée.

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