Le froid mordait son visage, et Kent ouvrit les yeux, surpris de constater qu'il ne se trouvait pas sur un sol de béton comme il s'y attendait, mais sur un tapis étonnamment doux. Ses mains s'étaient tendues, cherchant la surface autour de lui, mais leurs mouvements étaient vains. Il était bien attaché, ses poignets liés par des menottes en cuir, doublées de fourrure. Un sentiment étrange d'inconfort envahit son corps, mais il n'arrivait pas à se concentrer sur ce détail. La situation était bien plus complexe.
Les murs de la pièce étaient sombres et ornés de meubles lourds, presque antiques, qui semblaient appartenir à un autre âge. L'air était épais de mystère, imprégné d'une lumière tamisée provenant de chandelles disposées un peu partout, projetant des ombres étranges. Ses yeux se sont immédiatement posés sur des meubles décorés de rouge et des commodes en or, créant une atmosphère aussi envoûtante qu'effrayante. Ce décor... il avait déjà vu des pièces similaires dans les romans paranormaux qu'il dévorait. Cela ressemblait à un lieu où des vampires se réuniraient.
Un rire nerveux échappa de sa gorge. **Dieu.** Il semblait avoir perdu tout contrôle de lui-même. Kent devait se ressaisir, mais c'était plus facile à dire qu'à faire. Il devait sortir d'ici. Tout de suite. Mais pour ça, il avait besoin de comprendre où il se trouvait, et surtout, qui l'avait enfermé ici.
"Tu veux partager ta petite blague avec moi, petit loup ?" La voix qui s'éleva du coin de la pièce était aussi glacée que le vent d'hiver. Légèrement éclairé par les bougies, Kent aperçut une silhouette élégante, drapée dans un costume gris charbon. Ce détail frappant ne fit qu'accroître le mystère qui l'entourait. Cette silhouette semblait... presque intemporelle. L'homme portait une veste ornée de fines broderies d'or, et ses lèvres, d'un rouge vif, brillaient dans l'ombre. Kent eut une brusque bouffée de chaleur. Ses yeux ne pouvaient se détourner de cette bouche sensuelle, capable de tout avec un simple sourire cruel.
"Qui diable êtes-vous ?" Les mots avaient échappé à Kent avant qu'il ne puisse les retenir. Il aurait voulu se taire, mais c'était trop tard.
L'homme s'approcha alors, ses pas mesurés. Un ricanement bas, presque charmeur, s'échappa de ses lèvres. Il se pencha et, dans un mouvement rapide et assuré, asséna une claque sèche à Kent. Le contact fit frissonner son corps tout entier, et quelque chose dans cet homme, dans sa présence, enflamma son désir tout en l'effrayant profondément. Les chaînes qui tenaient Kent se tendirent à cet instant précis, et il sentit quelque chose se raidir sous les draps.
"Langue, petit loup," murmura l'homme d'une voix basse, pleine de menaces et de promesses.
Kent ferma les yeux un instant, essayant de reprendre son calme. Il se concentra sur les détails de la pièce, mais malgré la faible lumière, il devinait la silhouette imposante de l'homme devant lui. Il portait un costume qui semblait valoir une fortune. Ses traits étaient toujours flous, mais Kent apercevait la pâleur de sa peau. Ce visage mystérieux... Il en avait vu des centaines dans ses rêves, mais celui-ci semblait appartenir à un autre monde. Kent frissonna, bien que l'inconnu n'ait pas encore révélé la totalité de son pouvoir. Il savait juste une chose: il était piégé. Et cet homme était son captif, tout autant qu'il était le sien.
Kent n'aurait jamais imaginé se retrouver dans cette situation. Perdu dans la pénombre d'une pièce étrange, il fixa l'homme devant lui, son cœur battant la chamade. Un vampire. Bien sûr. Il serra les dents, sa lèvre inférieure tremblant sous l'intensité de la scène. « Où est Skull ? » dit-il, sa voix trahissant une touche d'agacement.
L'inconnu ne répondit que par un sourire énigmatique. « Voilà la première question que tu choisis de poser ? »
Kent se redressa légèrement, ses yeux scrutant l'homme qui se tenait là, imposant, presque mythologique. Il était grand, bien plus grand que lui, probablement un mètre quatre-vingt-dix ou plus, son corps sculpté dans un costume parfaitement ajusté. Ses cheveux, d'un blanc presque irréel, encadraient un visage qui aurait été classé comme celui d'un dieu dans les légendes. La pâleur de sa peau ajoutait à cette aura surnaturelle, et ses yeux... Ces yeux. D'un rouge profond, presque incandescent, comme si le sang lui-même avait pris résidence dans ses pupilles.
Kent avait entendu les rumeurs, les murmures qui circulaient à propos des vampires. Des créatures capables de tout, y compris changer la couleur de leurs yeux sous l'effet de l'émotion. Mais ces pupilles... elles étaient d'un rouge carmin, hypnotiques, menaçant de l'engloutir.
Le vampire s'approcha lentement, ses mouvements empreints d'une grâce presque irréelle. Il s'assit sur le bord du lit, si proche que Kent pouvait presque sentir la chaleur de sa présence, mais il faisait attention à ne pas frôler sa peau nue. Comme s'il mesurait chaque geste, chaque mouvement, avec une précaution infinie.
Kent, de son côté, ne pouvait détourner les yeux. Il sentait une pression étrange monter en lui, un mélange de crainte et d'attraction, et il se maudit pour ne pas pouvoir résister à cet envoûtement. « Tu ne te souviens pas ? » Le vampire murmura ces mots, sa voix douce mais chargée d'une étrange autorité.
Kent se sentit piégé. « Souvenir de quoi ? » balbutia-t-il, comme s'il cherchait une réponse dans les abysses de ses pensées. Ses yeux ne pouvaient se détacher de ceux du vampire. C'était comme si ces deux orbes de sang étaient en train de lui voler son âme, l'enserrant dans une toile invisible.
Sans un mot, le vampire tendit sa main. Lentement, il écartait la couverture du lit, ses doigts effleurant la peau de Kent avec une délicatesse effrayante. Chaque mouvement semblait chargé de quelque chose de plus, comme si Kent pouvait sentir l'ombre d'une promesse dans l'air.
Une voix intérieure lui cria de repousser cette main, de se battre. Mais une autre, plus profonde, plus instinctive, l'incitait à céder. À se laisser faire. Ses pensées se mélangeaient, se confondaient, comme si elles perdaient toute logique sous l'emprise de cette présence envoûtante.
« Pourquoi... » Kent n'osa pas terminer sa question. Ses lèvres tremblaient alors qu'il se battait contre une attraction irrésistible. Ce n'était pas normal. Ce vampire, cet homme... tout cela était malsain, dangereux. Mais il ne pouvait s'empêcher de frissonner sous la caresse de ses doigts, parcourant sa peau avec une lenteur exaspérante.
Les doigts du vampire glissèrent sur sa cuisse, remontant, s'arrêtant à la limite de son aine. Kent savait ce que l'homme essayait de faire, mais une partie de lui ne pouvait que frémir à l'idée d'y céder. Un frisson parcourut sa colonne vertébrale alors que le vampire restait là, son souffle presque inaudible, mais suffisamment proche pour faire battre son cœur encore plus fort.
Qu'était-il en train de vivre ? Était-ce l'ombre d'une trahison ? Ou simplement le jeu cruel d'un prédateur ?
Kent n'aurait jamais imaginé se retrouver dans cette situation. Perdu dans la pénombre d'une pièce étrange, il fixa l'homme devant lui, son cœur battant la chamade. Un vampire. Bien sûr. Il serra les dents, sa lèvre inférieure tremblant sous l'intensité de la scène. « Où est Skull ? » dit-il, sa voix trahissant une touche d'agacement.
L'inconnu ne répondit que par un sourire énigmatique. « Voilà la première question que tu choisis de poser ? »
Kent se redressa légèrement, ses yeux scrutant l'homme qui se tenait là, imposant, presque mythologique. Il était grand, bien plus grand que lui, probablement un mètre quatre-vingt-dix ou plus, son corps sculpté dans un costume parfaitement ajusté. Ses cheveux, d'un blanc presque irréel, encadraient un visage qui aurait été classé comme celui d'un dieu dans les légendes. La pâleur de sa peau ajoutait à cette aura surnaturelle, et ses yeux... Ces yeux. D'un rouge profond, presque incandescent, comme si le sang lui-même avait pris résidence dans ses pupilles.
Kent avait entendu les rumeurs, les murmures qui circulaient à propos des vampires. Des créatures capables de tout, y compris changer la couleur de leurs yeux sous l'effet de l'émotion. Mais ces pupilles... elles étaient d'un rouge carmin, hypnotiques, menaçant de l'engloutir.
Le vampire s'approcha lentement, ses mouvements empreints d'une grâce presque irréelle. Il s'assit sur le bord du lit, si proche que Kent pouvait presque sentir la chaleur de sa présence, mais il faisait attention à ne pas frôler sa peau nue. Comme s'il mesurait chaque geste, chaque mouvement, avec une précaution infinie.
Kent, de son côté, ne pouvait détourner les yeux. Il sentait une pression étrange monter en lui, un mélange de crainte et d'attraction, et il se maudit pour ne pas pouvoir résister à cet envoûtement. « Tu ne te souviens pas ? » Le vampire murmura ces mots, sa voix douce mais chargée d'une étrange autorité.
Kent se sentit piégé. « Souvenir de quoi ? » balbutia-t-il, comme s'il cherchait une réponse dans les abysses de ses pensées. Ses yeux ne pouvaient se détacher de ceux du vampire. C'était comme si ces deux orbes de sang étaient en train de lui voler son âme, l'enserrant dans une toile invisible.
Sans un mot, le vampire tendit sa main. Lentement, il écartait la couverture du lit, ses doigts effleurant la peau de Kent avec une délicatesse effrayante. Chaque mouvement semblait chargé de quelque chose de plus, comme si Kent pouvait sentir l'ombre d'une promesse dans l'air.
Une voix intérieure lui cria de repousser cette main, de se battre. Mais une autre, plus profonde, plus instinctive, l'incitait à céder. À se laisser faire. Ses pensées se mélangeaient, se confondaient, comme si elles perdaient toute logique sous l'emprise de cette présence envoûtante.
« Pourquoi... » Kent n'osa pas terminer sa question. Ses lèvres tremblaient alors qu'il se battait contre une attraction irrésistible. Ce n'était pas normal. Ce vampire, cet homme... tout cela était malsain, dangereux. Mais il ne pouvait s'empêcher de frissonner sous la caresse de ses doigts, parcourant sa peau avec une lenteur exaspérante.
Les doigts du vampire glissèrent sur sa cuisse, remontant, s'arrêtant à la limite de son aine. Kent savait ce que l'homme essayait de faire, mais une partie de lui ne pouvait que frémir à l'idée d'y céder. Un frisson parcourut sa colonne vertébrale alors que le vampire restait là, son souffle presque inaudible, mais suffisamment proche pour faire battre son cœur encore plus fort.