Son visage sombra sur l'effet d'excitation, il est un chasseur, avec une parfaite connaissance de sa proie. Sola était encore jeune, 10 ans de moins que lui. Léo savait ce qu'il faisait, il était expert dans tous ce qui est enquête sur terrain, devant ses adversaires, il était un vrai requin financier, il avait toujours une longueur d'avance. Il a appris toutes les techniques d'espionnage industriel.
Il se rendit au lieu de rendez-vous, il savait qu'elle allait venir. Depuis le jour où il l'avait vu, il était convaincu qu'il y avait une alchimie en d'eux. Alors il lui restait que le temps d'attendre, tranquille sur le trottoir. Après 20 minutes, il fit attirer par deux personnes qui venaient dans sa direction, il était 23 heures la rue était calme, seul le bruit de leurs pas résonnaient. Un sourire dessinait sur les lèvres de Leo quand il les a vu, Sola habillé d'une ensemble pyjama bleu pantalon et chemise, un peu grande à sa taille et suivi de sa meilleure amie qui était habillé très sexy, une robe de soirée noire décotée.
- Bonsoir, mes demoiselles, commença –t –il, désolé pour ce rendez-vous tardif
- Dis ce que tu as à dire, Ornella le coupa la parole
- Wow ! doucement, dit Léo en recula d'Ornella de quelques pas, ce que j'ai à dire est personnelle avec ton amie, ajouta –t –il en regardant Sola dans les yeux. Sola baissa directement les yeux
- Laisse-nous, supplia Sola à Ornella.
Cette dernière avança des quelques mètres d'eux.
- Que veux-tu ? dit Sola à Léo
- Toi dit –il sans aménagement
- Moi, Sola fixa ses yeux sur les beaux yeux verts de Leo. Elle mordu sa lèvre inferieure
- Oui, il avança de quelques pas vers elle
- Ne t'approche pas de moi, je te connais pas et qui t'a dit que tu m'intéresse dit Sola en recula
- Il est tard, il ne faut pas que les gens attendent notre discussion, dit –il en faisant un signe de la main pour calmer Sola. Je vais pas te dévorer là, même si l'envie ne manque pas, il sourit puis ajouta, je suis franc et j'aime pas passer par 4 chemins : tu me plais et je vais sortir avec toi... il laissant un temps pour admirer le visage de Sola qui était embarassé et ses joues devient de plus en plus rose, il savait qu'il était beau et c'était un atout pour ce genre de situation, et je vois aussi que tu es de mon avis alors ... ajouta –t –il
- Alors quoi, c'est comme ça que tu drague toutes les femmes, parce que tu es charmant, le monsieur a de l'argent, Sola s'énerva.
Léo remarqua le changement de son visage sous la lumière de lampadaire de la rue, cette expresse fit monter son désir, il avait envie de la prendre là, sur ce trottoir, au milieu de cette rue. Il passa sa langue sur ses lèvres pour l'humidifier.
- Détrompe-toi, je n'ai jamais passé autant de temps pour faire la cour à une femme et lui dire ouvertement ce que je désir, dit – il en fixa les yeux de Sola avec colère, il dégagea une aura autoritaire, une domination qui donnaient des frissons. Je rentre demain soir à Londres, mais je vais te voir avant. Je t'envoie un chauffeur demain midi. Bonne soirée dit –il en retournant et s'en alla, laissa la fille sans voix.
Léo parti sans regardé en arrière, quand il assit sur sa voiture, il vit de loin Sola resta immobile et regarda de sa direction. Il sourit, puis démarra.
En arriva chez lui, il se dirigea dans la salle de bain et prit une douche froide, il avait chaud et tout son cœur était comme un volcan en plein éruption. Après la douche, il alla dormir. Depuis plus de 2 semaines, il ne dort pas bien, des rêves érotiques, il n'arrive plus à se concentrer. Mais cette nuit, il dormi comme un bébé. Il était convaincu que son histoire d'amour avec Sola commençait cette nuit-là...
Le matin sa dernière jour des vacances, il s'est rendu à sa propriété sur l'île saint louis, un petit immeuble de trois étage avec une entrée partagée avec un voisin qui n'est d'autre que ses parents, c'est leurs pieds à terre parisien. L'immeuble était immense pour lui tout seul, la raison pour laquelle il préfère reste à l'hôtel de Trocadéro, au moins là-bas, il y avait du monde, des personnels et sa petite suite.
Il demanda à la femme de ménage de préparer un repas pour une invitée exceptionnelle, les domestique on tout nettoyer et remplacer avec de nouveau du rideau des fenêtres jusqu'au tapis d'entrée. C'était comme si on préparait l'arrivé de la maitresse de la maison, les employés étaient curieux d'accueillir la nouvelle miss Léo.
Vers une heure, la voiture rentra et le chauffeur ouvrit la porte à Sola, elle était seule sans Ornella, elle était habillée d'une simple noire avec de fine bretelle, des talons hauts noirs, elle n'était pas maquillée juste une paire de boucle d'oreilles créole dorée et un brillant à lèvres rose pâle. Avec une démanche de princesse, elle suivait le chauffeur, jusqu'à la salle à manger. Il y avait tout sorte des plats, équilibré et savoureux.
- Bonjour, vous êtes belle, prends place, fit Léo en tirant une chaise pour permettre à Sola de s'assoir, il tira une chaise à coté de Sola, tu as décidé de venir ? dit –il
- Je n'avais pas d'autre choix
Léo pris sa main gauche, la caressa et l'apporta sur sa joue.
- Tu n'y imagine même pas comment ta présence me rend heureux
- Je ne pense pas que tu comprends, l'amour ne se commende pas
- Je te n'ai pas commandé, bébé, mais je t'ai juste suggéré d'être en phase avec cette alchimie qui a entre nous deux
- Je suis désolée .., je ne te comprends pas...
Sola ne finit pas sa phrase que Léo l'embrasa sur les lèvres, un baisé doux et puissant, elle l'a voulu le pousser, elle n'avait pas de force. Ils étaient tous les deux emportés, les lèvres tendres, Léo avait l'impression que ç'avait le goût de miel, il pressa sa langue, la porte de délices lui fit ouvert sans hésitation, sa langue rentra, parcourra tout le recoin de sa bouche, il goûta au miel, il son rythme cardiaque s'acèrera, il lâcha les mais de Sola et posa ses deux mains sur les joues de Sola, comme s'il voulait aspirait tout son être. Leurs langues se rencontrèrent, une complicité inouïe, Léo ouvrit ses yeux pour admirer Sola « qui es –tu ? se demandait –il, elle avait les yeux fermés, contrôler sa respiration, une experte, oui experte ! Léo fit jaloux de toute personne qui a osé embrasser cette bouche sensuelle, tout le monde qui a qui a pu goûter à son rayon de miel. Un ange passa avec des ailes sombre, Léo subitement accéléra ses baisés et ses mains descendent vers son cou, ses épaules, ses seins et
- Non ! écria Sola en poussant fortement Léo, non
- Non quoi ? fit Léo, surpris de la réaction de Sola
- Pas là, je ne veux pas que vous me toucher ! fit –elle en se mettant debout et se dirigea vers la porte
- Suis-je écurant à ce point ? dit Léo en baissant sa tête, désarmé sans courage de lutter, d'un coup Sola arrêta d'avancer vers la sortie, elle se tourna et regarda Léo, en même moment ce dernier souleva sa tête. Ils se regardèrent un moment, puis Sola revient vers ses pas et se tient devant lui, ses yeux noirs billés, elle fixa son regarde sur Léo.
- Tu n'es pas écurant, au contraire tu es très attirant, elle mordu sa lèvre inférieure, c'est vrai que ta façon de séduire et un étrange, mais ce n'est pas ça.
- Alors c'est quoi ?
- C'est ... c'est que ... elle hérita, serra fortement ses mains, je ne coucherai qu'après le mariage, lâcha –t –elle en baissant sa tête
Léo fonça ses sourcils, il était entonné. « Comment peut –on parler du mariage dès le premier instant ? » se demanda –t –il, il avait envie de de sauter cette jeune personne, comme il avait l'habitude, majeur et consentant, se laisser aller au plaisir, flirter et s'accoupler, pas d'engament, la liberté. Mais quelle absurdité de tout perdre pour s'enchainer avec quelqu'un pour le reste de sa vie ! Léo avait de principe, la loyauté était la clé de sa réussite, tout d'abord loyal à lui-même.
Il était trop égoïste pour laisser ne fus qu'un instant à cette penser, il le chassa, il se mis debout et approcha de Sola.
- Je ne suis pas prêt à m'engager dans une sérieuse histoire, fit –il en tournant tout autour de Sola, tu es encore jeune, veux tu t'enfermer avec moi pour la vie ? c'est très long et je ne suis pas si facile à vivre
- Ecoutez, je sais que ce difficile pour toi de comprendre ma façon de voir les choses. J'ai un principe, c'est à prendre ou à laisser ! dit –elle fermement
- Wow ! on n'est pas ici dans un marché de l'offre et de la demande, je sais que tu as envie de moi et c'est réciproque, pourquoi veux-tu compliquer les choses ? il arrêta de tourner et se tient derrière Sola
- Je ne complique rien, monsieur ! dit –elle en se retournant vers lui, ils s'étaient si proches que son souffle fleurait la peau de Léo, dans ce monde il y a beaucoup de gens qui croit que le plaisir et le sexe suffisent et qu'on aura toujours le temps de sortir et de se prendre en l'air. Mais moi, je ne suis pas ce genre de personne, j'ai une autre philosophie. Alors arrêtons-nous là, ne nous faisons pas plus du mal. Merci pour votre invitation, au revoir, ajouta –t –elle poliment
- Pour commencer appel moi « Léo » et non monsieur, je comprends maintenant pourquoi le doyen t'a quitté
- Quoi ? qui t'a dit ça ? dit Sola surprise de savoir que Léo connaissait son histoire avec le doyen, elle se figea un moment.
- Je fais me propre enquête, comment une si jolie fille n'avait pas de petits amis ? bon, dit –il, je n'avais pas trouvé la réponse, mais je comprends maintenant. Au fait, je t'avais invité pour déjeuner, tu partiras d'ici qu'à près avoir mangé, ajouta –t –il en souriant. Il avait compris le raisonnement de Sola, mais il n'était pas de son avis et pour ne pas disperser son esprit, il changea son approche.
Sola n'a rien dit, elle se dirigea vers la chaise et s'assit.
- Madame Anne-Marie, peux –tu nous servir ?
La servante présenta les aliments, et Léo prit une assiette et mis des petites portions de chaque part de plats et donna à Sola, cette dernière était silencieuse, ils se regardèrent de temps à temps sans parole jusqu'à la fin du repas.
Léo regarda cette beauté, il réfléchit longuement à la question, mais son cœur n'était pas d'accord avec sa raison et au final, il craqua « un coup de foudre ? » pensa –t –il, il était déjà attaché à elle et ne voit plus comment il pourrait vivre sans elle. il décida
- Est si je disais oui à ta proposition
- Quoi ? acceptera tu de m'épouser, juste pour faire l'amour avec moi ?
- Je n'ai pas d'autre choix, mais ce n'est pas que pour faire l'amour ... il la regarda d'un air amoureux, quand dis –tu ?
- Eh..eh... il faut que je réfléchisse, c'est brusque
- Je te donnerai le temps que tu veux pour réfléchir, mais j'ai un avion à 20h ce soir et je ne sais pas quand est –ce que je serai de retour à Paris
- Et comment comptes-tu m'épouser alors que tu pars déjà...
- j'aurai du temps à t'expliquer prochainement, pour l'instant je dois savoir si tu es ok pour un engagement avec
- ce n'est pas un conte de fée où les choses se passent autrement, un mariage c'est sacré, on ne peut pas le faire d'un coup de baguette magique
- il suffit juste qu'on s'aime et ça on vient juste de le prouver, dit –il en passa sa main sur ses lèvres, ce geste fit rougir Sola
- et vos parents, ta famille, vont – il m'accepter ?
- Ne t'inquiète pas pour ça, dit moi juste si tu es d'accord
Sola ne dit rien, elle s'est mise debout, fait un signe qu'elle devait partir. Léo comprit, il ne voulait pas la brusquée même si c'était son idée au départ, Léo trouva que l'idée était bonne comme ça personne peut la partager avec lui... il conduit Sola vers la sortie et lui dit au revoir. Sola avança d'un pas tranquille jusqu'à la voiture, elle s'assit et regarda Léo qui lui fit un signe de baiser avec sa main, elle sourit et la voiture démarra
Léo resta seul devant le portail et regarda comme si la voiture était encore là et senti son téléphone entrain de vibrer, il le sorti de sa poche et un sourire se dessina sur son front « oui, je le veux ! Bon voyage mon amour »...