Je file à la douche ensuite, je me brosse les dents et repart dans ma chambre pour enfiler mes habits que j'ai minutieusement choisis la veille. J'ai opté pour un jean destroyed noires avec un t-shirt noir et des bottines noir. C'est plus facile pour moi, car au travail il y a un dress code. Enfin prête, j'entends que l'on cogner à ma porte. C'est étrange, qui peut bien venir à cette heure chez moi. J'ouvre la porte et je le vois.
Lui : Bonjour Kelia.
Moi. Bonjour Americk.
Lui. Je peux entrer ou bien ?
Je lui cède le passage pour qu'il rentre et son parfum remplit la pièce comme à son habitude. Il se dirige vers la cuisine qui se trouve à ma droite pour déposer les croissants sur la table. Puis il se retourne face à moi qui suis toujours debout devant la porte.
Moi : Qu'est-ce tu fais ici ?!
Lui : Je voulais passer la journée avec toi. Dit-il enlevant sa veste pour la poser au bord du canapé.
Moi : Je ne peux pas. J'ai cours très tôt ce matin, et je travaille cet après-midi. En avançant en direction de ma chambre.
Lui : OK, je comprends mais je veux juste passer la matinée avec toi. Dit-il en m'arrêtant pour me prendre dans ses bras.
Moi : Je ne peux pas, je ne peux pas rater mes cours ce matin...
Lui : mon cœur... Me regardant avec ses yeux doux.
Je quitte ses bras pour aller récupérer mon sac à dos dans la chambre et je le vois, qui me suit et il referme la porte derrière lui. Je me retourne... Il est tout proche moi, puis il m'embrasse. Je ressens des frissons tout le long de mon corps juste par le contact de ses lèvres.
Lui : Kelia, j'aimerais passer du temps avec toi aujourd'hui. Tu sais très bien que je n'ai pas beaucoup de temps sur Paris. Dit-il en m'embrassant encore une fois.
Moi (soupirant) : OK alors, Mais juste pour la matinée, ensuite tu me déposeras au travail.
Désolé, je n'ai pas réussi à lui dire non. C'est plus fort que moi. Il m'a proposée qu'on aille manger dans une boulangerie pas loin de chez moi. Nous sommes arrivés main dans la main, puis la serveuse nous a installés à une table tout au fond très loin des regards indiscrets.
Moi : Pourquoi as-tu disparu pendant une semaine ?
Lui : Je n'ai pas disparu, j'étais juste occupé.
Moi : Americk, Je sais que tu as des obligations à l'hôpital et envers ta famille. Mais où suis-je dans tout ça ?
Lui : Je ferais des efforts pour plus t'accorder du temps. Dit-il en buvant son expresso.
Il se lève sous prétexte qu'il doit passer un appel d'urgence. Je me sens déçu par sa réaction, car je pensais qu'il allait plus me rassurer. Je regarde ma tarte aux pommes en me demandant si je vais encore tenir longtemps dans cette relation... Il revient s'asseoir, et me caresse la main ce qui me fait sortir de mes pensées.
Lui : Je m'excuse, je devais passer cet appel....
Moi : Hum. Lui dis-je toujours la tête dans mon assiette.
Lui : Écoute Kelia, je t'ai fait la promesse que je ferais des efforts pour nous. Donc change ton attitude, je veux passer une belle matinée avec toi !
Moi : OK...
Après cela, je me suis tue, j'ai continué à manger. Lui, il était sur son téléphone sans faire réellement attention à moi. Je sais ce que vous êtes en train de vous dire. Qu'est-ce que je fais avec cet homme ? je mérite mieux. Mais il m'a tout appris cet homme. Si aujourd'hui, je suis si stable dans ma vie, c'est en partie à cause de lui, car il a toujours été là pour moi.
Lui : Chérie, tu penses à quoi ? Dit-il en me coupant dans mes pensées.
Moi : A rien ne t'inquiète pas.
Lui : Si tu as fini on peut y aller si tu veux.
Il était déjà 09h30 matin quand nous avons quitté la boulangerie. Il me proposa d'aller chez lui dans l'appartement qui loue quand il séjourne ici à Paris. Le trajet se fait en silence. Puis nous arrivons à destination dès qu'il rentre, il me tire vers lui.
****Americk Barrot****
Je l'attire à moi et commence à lui donner des petits bisous partout sur son visage tout en douceur. Je sais qu'elle aime ça parce qu'elle se met à sourire. Je continue à l'embrasser, et nos langues commencent à s'entre mêler petit à petit. Nous sommes debout au milieu de mon salon, mais je me détache d'elle en la conduisant vers le canapé pour que nous soyons plus à l'aise.
Mais elle me fait asseoir. Elle reste debout et commence à se déshabiller devant moi. J'admire son corps...J'ai toujours aimé les femmes très fines...Elle vêtue d'un ensemble en dentelle rouge.
Je me redresse pour mettre mes mains sur ses hanches. Et commence à lui faire des bisous au nombril, tout en levant sa culotte. Elle s'appuie sur moi pour m'aider à le lui enlever, et je profite de ça pour rentrer un doigt. Plus j'augmente la cadence des mouvements de mon doigt, plus j'entends sa respiration augmenter. C'est à ce moment-là que je choisis de retirer mon doigt d'un coup, elle me regarde d'un air surpris.
Moi : Tu as aimé ?
Moi : Oui. Dit-elle d'une voix timide.
Elle s'assoit sur moi, et je balade mes mains partout sur son corps. Je la sens réceptive à mes caresses, car elle commence à se déhancher très lentement. Delà, je commence à me sentir étroit dans mon pantalon.
Moi : Ibekelia, lève-toi ! Lui-dit-elle d'une voix rauque.
Elle se lève tout doucement avec un sourire au coin. Je la soulève pour l'emmener dans ma chambre, et l'allonge délicatement sur le lit. Je me redresse pour enlever ma chemise et mon pantalon....
Nous avons fait l'amour presque toute la matinée jusqu'à nous nous sommes en dormis dans les bras l'un de l'autre. Je me réveille, car j'entends mon phone qui sonne sur ma table de chevet. Je profite pour regarder l'heure, il est 12h30. J'essaye de me libérer de ses bras sans la réveiller pour répondre au téléphone.
Moi : allô ! Chérie ?
Ma femme : Oui mon cœur, tu vas bien ?
Moi : Oui chérie, tout va bien ?
Ma femme : Oui ça va. Je t'appelais pour te dire que ce soir, nous arrivons à Paris avec les filles. Tu nous manques....
Moi(surpris) : Je ne comprends pas Viviane !
Ma femme : Nous arrivons à 17h30. Il ne faut pas être en retard. Dit-elle d'un ton très calme.
Click !
Moi : elle m'a raccroché au nez !
Je me retourne et je vois Ibekelia devant moi, elle était déjà habillée.
Ibekelia : Je suis prête, on peut déjà y aller.
Moi : OK, laisse-moi le temps de me préparer.
Je veux me rapprocher d'elle pour l'embrasser, mais elle détourne la tête. Je la laisse pour rejoindre ma chambre et vite prendre ma douche. Dès que je finis, je la rejoins. Elle était assise au salon sur son téléphone. Je prends mes clefs sur la table et je lui fais signe qu'on pouvait y aller.
Dans la voiture, elle est très silencieuse....
Moi : Qu'est-ce qui se passe ?
Ibekelia : Il n'y a rien. Dit-elle tout en trafiquant son téléphone.
Moi : Je te connais par cœur Kelia, il y a quelque chose qui tracasse.
Ibekelia : Americk, Je suis juste fatiguée...
Moi : Ma femme arrive se soir avec les filles, donc je pense que cette semaine ça ne va pas être possible qu'on se voit seul. En me garant à l'entrée du restaurant.
Ibekelia : Très bien ! Dit-elle en ouvrant la portière.
Moi (la retenant) : Kelia écoute, je suis vraiment désolé pour ça... Ce n'était pas prévu tu le sais. Je te demande de me comprendre.
Ibekelia (soupirant) : Je veux aussi que tu comprennes que j'ai aussi atteint ma limite. Il faudra qu'un jour tu choisisses entre ta femme et moi. Dit-elle en descendant de la voiture.
Je suis toujours garé devant le restaurant le regard dans le vide. Tout a coup je me sens perdu, car je ne veux pas revivre ce que j'ai vécu dans le passé avec Khadija....
Je ne vous cache pas, cette double vie que je mène je n'en suis pas fier. J'ai toujours été correcte et droit dans ma vie. Je me suis marié jeune a 25 ans avec une femme que tous les hommes rêvent d'avoir. J'ai une vie rangée à 45 ans...mais Ibekelia, j'en suis tombé amoureux, sa pureté et son innocence mon attirer à elle. Je sais que je ne peux pas lui donner ce qu'elle veut. C'est peut être égoïste de ma part, mais je ne veux pas la laisser partir.
Chapitre 5 : Ma responsabilités
Dans l'autre monde.........
****Serge-Anthony***
J'arrive au travail, il est 7h40. Je cherche à ne pas garer trop loin de la sortie à ma place a habituelle. Surement, vous vous demandez pourquoi je viens si tôt ? En effet, c'est tout d'abord pour avoir la meilleure place de parking, ensuite, je suis le fils du DG. Donc, je dois montrer l'exemple, c'est-à-dire être le premier à arriver. Heureusement, je ne suis pas le dernier à partir, je laisse cette place à mon père.
Je rentre dans les locaux de la banque, et je profite pour saluer notre vigile Christophe. Puis, je me dirige vers l'ascenseur tout au fond pour monter au 5ème étage où se trouve mon bureau. Mon bureau se trouve juste en face de l'ascenseur.
Je reprends mes marques en m'installant sur mon fauteuil. Je vois que mon père est passé, car il y a une pile dossiers sur ma table que je dois analyser. Tout de suite, je mets au travail sans perdre de temps.
Ma porte s'ouvre d'un coup, je ne prends même pas la peine de relever ma tête, car je sais très bien qu'il y a qu'une seule personne qui peut rentrer dans mon bureau comme s'il était chez lui.
Xavier : c'est comment Man ? Dit-il entrant en se dirigeant vers mon comptoir pour se servir un verre.
Moi : Xavier, Je n'ai pas acheté ces bouteilles pour toi, mais pour mes clients !
Xavier : Détente toi frère ! Je goûte juste pour savoir si tu offres de la qualité à tes clients.
Moi (secouant la tête) : Toi vraiment ! Comment va Christiane ?
Xavier : Hum, elle est à la maison en ce moment. Dit-il en s'asseyant sur l'une des chaises en face de moi.
Moi : Bientôt à terme hein ? Tu te sens prêt ? En redressant pour le regarder.
Xavier : Apres, tout ce que on a vécu ?! Je me sens plus que prêt...
En même temps, la secrétaire de mon père se met à cogner puis rentre dans mon bureau. Elle me prévient que mon père demande à me voir immédiatement. Xavier attend qu'elle s'en aille pour y mettre en commentaire.
Xavier : Tu as vu cette beauté ? Mais comment ton père fait pour se dénicher des belles secrétaires comme ça ?
Moi : Reste focus Frère ! Lui dis-je en me levant en regroupant mes dossiers.
Xavier : Parce que je suis mariée Aujourd'hui, je ne peux plus me permet certaines choses, mais toi... Dit-il en me regardant du coin de l'œil avec un sourire narquois
Je vous présente Xavier Maureau, l'un de mes meilleurs amis. Comme vous l'avais compris de son prénom, c'est un franco-gabonais. Nous sommes amis depuis la classe de 6eme au Lycée d'Application Nelson Mandela, et jusqu'alors, nous sommes restés amis et nous travaillons ensemble.
Nous nous séparons à ma porte, et moi, je prends l'ascenseur pour aller au 7e étage qui est le dernier se où trouve le bureau de mon père. J'arrive à son étage, je longe le couloir jusqu'au fond se où trouve son bureau. Par politesse bien sûr, je cogne avant d'entrée, il était assis les yeux plonges dans ses dossiers. À mon arrivée, il releva la tête et enleva ses lunettes pour les déposer sur son carnet en face de lui. Il me demanda de prendre place, j'ai fait comme il m'a dit.
Moi : Monsieur.
Papa : Anthony, comment tu vas ? Dit-il en se redressant sur sa chaise.
Moi : Très bien, juste un peu fatiguer à cause du voyage.
Lui : OK, bon, je vais être très court. Je t'ai fait venir parce que je voulais que tu sois le premier à le savoir... Personne n'est au courant dans l'entreprise.
Moi : Je t'écoute...
Lui : Comme tu le sais bien, je compte prendre ma retraite bientôt... Donc, il est temps pour moi de céder ma place. Dit-il en se levant en me tournant le dos pour regarder à travers par la fenêtre qui donne sur le bord de mer.
Moi (me raclant la gorge) : Très bien. Et qu'est-ce que tu attends de moi ?
Lui : je veux que tu diriges cette banque après ma démission.
Moi : Papa, je suis obligé de décliner ton offre.
Lui : Et pourquoi donc ?! Dit-il en se retournant brusquement pour me regarder.
Moi(soupirant) : Je pense qu'il y a des personnes plus qualifiées pour ce poste que moi.
Papa : Tu es mon unique fils ! Dit-il d'une voix grave.
Au même moment, sa secrétaire nous interrompt pour lui faire savoir que son prochain rendez-vous était là. Il reporte son attention sur moi en me disant que nous allons en reparler ce soir.
Je me lève sans dire un mot, et quitte son bureau. Je comprends par c'est dire que je dois passer à la maison ce soir. Après ça, je rejoins mon bureau très énervé par la décision de mon père. Secrètement, j'espérais qu'il ne me demande pas de reprendre les rênes de l'entreprise.
Mon père est Jean-Pierre Francis Ogandaga. Un homme très influent dans le pays. Par moments, ce n'est pas facile d'être son fils, car lui comme les autres espèrent que je fais les choses comme lui.... De plus, quand tu es l'aîné et le seul fils.
On se ressemble physiquement, mais au niveau du caractère nous sommes très diffèrent. C'est un homme froid, distant et peu communicatif. Bon, pas avec sa femme, ni ses filles. Alors que moi très sociable et simple. Je pense que le seul point commun que nous avons, c'est notre colère excessive.
Ma secrétaire virginie, entre dans mon bureau me coupant dans mes pensées pour me prévenir qu'il y avait Alicia au phone. Je décroche rapidement le fixe...
Alicia : Babe, je ne pourrais pas venir déjeuner avec toi ce midi.
Moi (surpris) : Et pourquoi pas ?!
Alicia : J'ai un rendez-vous important avec client.
Moi : OK alors !
Alicia : Tu es fâché ?
Moi : Non, bon, je dois te laisser, J'ai du travail !
Alicia (soupirant) : OK !
Click !
À la suite de cet appel, je me suis concentré pour avancer dans mes travaux. Tellement, j'étais à fond que je n'ai pas vu l'heure passer. C'est seulement quand Xavier a fait son entrée habituelle que j'ai pu constater qu'il était déjà 12h00. Il me proposa d'aller manger. Nous avons choisi, bon plutôt il a choisi que nous allions au Le Phare du Large à Batterie IV. Nous sortant de l'enceinte de l'établissement pour se diriger à nos voitures respectives Après, 15 min de trajet, nous arrivons presque en même temps et chacun cherche une place pour se garer. Puis, nous faisons notre entrée et nous nous sommes tout de suite fait accoster par une serveuse qui nous installe à une table sur deux.
Xavier : Alors comment ça été ton séjour à Londres ? Dit-il en buvant sa bière.
Moi : Ça était merci. J'espère vraiment y retourner, s'il y a encore une autre formation de telle sorte l'année prochaine.
Xavier : Je vois, mais c'était quand même long, 3 mois !
Moi : Je te dis ! Mais bon, j'ai trouvé que c'était bénéfique pour nous, car le domaine européen est très avantageux sur l'évolution des banques.
Xavier : Je suis tout à fait d'accord avec toi !
Moi : J'ai une question, pendant mon absence, vous avez trouvé quelque chose d'anormal chez Alicia ?
Xavier : Pour ma part non. Pourquoi ?
Moi : J'ai des petits doutes. Depuis mon retour, je la sens changer.
Xavier : Tu te fais des films Frère ! Tout le monde sait que la petite est dedans ! Dit-il en rigolant.
En même temps, la serveuse arriva pour prendre nos commandes. J'ai opté pour un poisson braisé avec banane plantains et Xavier a choisi une brochette de viande avec riz rouge. Nous mangeons dans une bonne ambiance. Ensuite, Xavier, c'est excuser pour aller aux toilettes.
Pendant son absence, j'ai profité pour envoyer un message à Alicia, pour lui souhaiter bonne chance pour son rendez-vous et m'excuser de mon attitude. Oui, je sais reconnaître mes torts quand il le faut. Je pense que je vais commander un bouquet de fleurs. J'étais en train de passer ma commande quand Xavier a fait son retour. Il s'assoit tranquillement, mais l'expression de son visage était étrange. Il était aussi très calme, donc face à cette attitude qui ne lui ressemble pas du tout, je lui ai posé la question.
Moi : Man, c'est comment ? On dirait que tu as vu un zombie aux toilettes. Lui dis-je en rigolant.
Xavier (soupirant) : Je viens de voir Alicia assise a une table avec un homme.
Moi : C'est tranquille, elle est avec un client, elle m'avait prévenu ce matin.
Xavier : Tu es sûr ? Parce qu'ils avaient l'air vraiment proches...
Moi : Mais non, ce n'est rien. Lui dis-je en continuant à manger.
Après ça, nous avons changé de sujet et continuer à manger tranquillement. Je ne vous cache pas que sa réflexion m'a fait un truc, mais j'ai préféré garder le silence. Comme vous l'avez compris, je suis de nature très jaloux et possessive avec les femmes de ma vie. Et encore plus, celle qui partage ma vie... Il est déjà 12h40, nous devons retourner au travail. Je me propose de payer le repas, mais Xavier, me devance. Nous sortons du restaurant, et chacun se dirige vers sa voiture.
Arrivé au bureau, je me remets tout de suite au travail. Mais je ne me sens pas totalement concentrer, car je repense à la discussion que j'ai eu avec mon père très tôt ce matin. Je décide de me lever, et aller me servir un whisky avec des glaçons, puis je reviens m'asseoir. Détrompez-vous, je ne suis pas un alcoolique. Il a des moments comme ça ou nous avons tous besoins d'une pause...Dois-je encore me sacrifier et accepter la proposition de mon père ?
Il est 17h30, je quitte le bulot, je ne prends pas la peine de m'arrêter dans le bureau de mon père, car on se verra ce soir. J'arrive à la maison après 20 min de trajet, et je trouve Alicia assise devant la télé. Je dépose mes affaires sur l'une des chaises de la table à manger, puis je la rejoins et elle se blottit contre moi.
Moi : Xavier, il t'a vue aujourd'hui avec ton client au Phare du Large.
Alicia : oh ah bon ? Dit-elle en regardant toujours la TV.
Moi : oui, mais ne nous voulions pas te déranger aussi.
Alicia : Ah OK.
Moi : En fait, ce soir nous allons manger chez les parents.
Alicia : Quoi ?! Non, je n'y vais pas ! Dit-elle en se redressant pour me regarder.
Moi : Ce n'est pas discutable Alicia ! A 19h, je veux te voir prête. Lui dis-je en me levant pour aller dans notre chambre.
1h après, j'étais au salon pour attendre Madame. Elle sait que je suis très ponctuelle donc.... Je commençais à m'impatienter quand elle a fait son entrée. Elle portait un t-shirt vert accompagné d'un jean de la même couleur avec une verste en cuir noir. Nous avons pris ma voiture direction Louis ou reste mes parents. À notre arrivée, Madame boudée toujours. Je me suis garé, puis nous sommes descendues et comme par hasard, c'est ma mère qui nous ouvrit la porte.
Maman : Elle fait quoi ici, Anthony ?!