Oh, c'était juste de la magie. Je sentais un peu de douleur, mais ça ne m'était pas venu en tête d'arrêter parce que c'était tout simplement waouh. Je tournais les reins et Éric me caressait les seins, les fesses et autres.
Tout doucement, je me suis penchée sur lui pour l'embrasser et après l'avoir embrassé, il s'était accaparé de mes seins et avait commencé par les téter. Oh, c'était vraiment un plaisir qui n'avait pas son nom, je bougeais et vibrais.
Le plaisir montait et montait encore et encore et j'avais redoublé d'effort, j'avais commencé par bien bouger les reins, et mon Éric lui aussi avait commencé par donner des cris :
– Oh, ma reine !
– Oui, mon chéri.
– Tu es vraiment superbe, vraiment géniale.
– Tu es sérieux, mon chéri, tu aimes ?
– Oui, bébé ; oh tue-moi, ma reine. Oui, je veux vraiment visiter ce monde.
– Mon bébé, tout sauf ta mort, car je t'aime trop.
Je faisais les jeux de reins en fixant Éric droit dans les yeux et en répondant à ses mots. On dirait que j'étais devenue une autre Rosy, parce que déjà deuxième acte sexuel et on dirait que j'avais pris le goût. Je gémissais et Éric aussi donnait des cris. Nous jouîmes ensemble et je m'allongeai sur lui. Éric commença par passer sa main dans mes cheveux et me demanda si nous allions passer au second tour.
Je dis NON, parce que j'avais quelque chose à faire à la maison. Voilà qu'un seul tour avait duré au moins une heure et quelques minutes ; si j'allais encore me lancer dans le second voyage, je ne pourrais pas être à l'heure. J'avais bien envie de démarrer la seconde partie et pourquoi pas la troisième ? Mais j'avais du boulot qui m'attendait à la maison.
Après avoir passé quelques minutes sur le torse d'Éric, je me suis levée pour me rendre sous la douche pour m'apprêter à rentrer. Éric était allongé dans le lit jusqu'à ce que je retournasse des toilettes.
Avec sa mine, je me disais qu'il ne voulait pas que je rentre chez moi. Après avoir mis mon soutien, mon slip et mon collant, je m'approchai de lui pour lui demander ce qui n'allait pas.
– Mon amour, qu'est-ce qui ne va pas ?
– Rien, ma reine, je ne veux juste pas que tu rentres maintenant.
– Je comprends très bien, mon chéri, mais j'ai du travail à faire à la maison, je devais même rentrer après les cours. Comme tu es pris par ta soutenance et on ne se voit plus comme avant, tu m'as beaucoup manqué et c'était même pour ça que lorsque j'ai reçu ton message, j'ai décidé de venir te voir.
– D'accord, ma reine. Je t'aime, Rosy.
– Je t'aime aussi, mon chéri.
– Mais dis-moi, où as- tu appris tout ce que tu viens de faire aujourd'hui ? Sinon moi qui me disais que c'est moi qui allais t'apprendre ces choses que j'aime bien d'ailleurs, mais tu m'as surpris.
– Mon chéri, là où j'ai appris ces choses n'a pas d'importance, le nécessaire est que tu as aimé. Donc c'est déjà bon.
– J'ai vraiment adoré, ma reine ; tu es tout simplement un ange et avec toute ta belle forme, tu es inondée de plaisir.
– Merci, mon chéri. Bon, je suis prête, tu vas me déposer ou bien que je prenne taxi ?
– Bien sûr que je vais te déposer, dans ta maison même. Avec ce que je vois là, je ne permettrai à personne, à aucun homme de s'approcher de toi. Tu es ma richesse, mon cadeau du ciel. Bon, attends-moi pour que je me change rapidement.
Éric avait fini de s'échanger et après avoir passé encore quelques secondes à nous embrasser, nous étions sortis de la chambre. J'étais en train de fermer la porte quand Éric faisait sortir sa moto. Nous sommes montés sur la moto et nous nous sommes dirigés chez moi.
Après avoir passé quelques temps sur la route parce qu'il y avait des embouteillages ce jour-là à cause d'un accident de voiture, nous étions enfin chez moi. Éric m'avait déposée devant ma maison et décidé d'aller saluer mes parents.
Ma mère était dehors en train de faire la lessive et une fois proche d'elle, nous l'avions saluée et elle aussi nous avait bien répondu. J'avais laissé Éric en sa compagnie et étais allée déposer mon sac à l'intérieur afin de me changer pour rejoindre ma mère pour la lessive.
Éric avait pris siège et taquinait mon frère qui lui avait apporté de l'eau à boire. Lorsque j'avais fait ma sortie de la chambre, il demanda à rentrer et je le raccompagnai jusqu'au portail.
Arrivé au portail, Éric monta sur sa moto. Comme il avait déjà compris la raison pour laquelle j'étais pressée de rentrer chez moi, il n'avait pas trop duré avec moi au portail avant de rentrer chez lui. J'étais retournée à l'intérieur et avais commencé par aider ma mère à faire la lessive.
Quelques heures plus tard...
Nous avions fini de faire la lessive et j'avais fait mon entrée dans la cuisine pour pouvoir préparer quelque chose parce que ma mère était super fatiguée. J'étais dans la cuisine quand ma copine Gloria était venue me rendre visite. Cette dernière qui résidait un peu loin de ma résidence était venue me voir et je me dis rapidement qu'elle était venue voir son gars, parce que celui-ci résidait dans mon secteur de résidence. Comme Gloria n'était plus une étrangère dans ma maison, elle était venue me rejoindre dans la cuisine. Elle m'aidait et on se taquinait. Nous étions là à papoter.
Alors, je décidai de lui raconter ce qui s'était passé quand j'avais mis certains de ses conseils en pratique. Elle commença à nouveau par me taquiner :
– Ma copine, je t'ai dit non ? Il va forcément aimer, adorer même. Et j'espère bien que toi aussi tu l'as aimé, surtout quand il met sa langue dans ta chatte ?
– Oh, arrête Gloria, ne me donne pas envie, car je ne suis pas avec mon homme. Sinon, sans blague, j'adore vraiment ça et aussi quand il commence par me caresser les seins. Il me fait évader, je te le jure. Mais bon, arrêtons de parler de ça ici. Tu sais très bien que nous ne sommes pas à l'Université et que ma mère peut bien nous entendre.
– Ne t'inquiète pas, ma chérie, c'est même pour ça que je baisse le ton de ma voix.
– OK, aide-moi à couper les oignons, c'est même déjà prêt, le repas ; là, nous irons rester dans ma chambre. Je veux bien que tu me donnes encore d'autres astuces pour bien faire voyager mon homme. Je veux le rendre fou amoureux de moi. Je veux être la seule qui sera en mesure de lui procurer le plaisir qu'il n'aura jamais ailleurs.
– Hummm, ma copine, tu m'étonnes vraiment et sans te mentir, j'ai réalisé que tu as pris le goût. Mais, sois bien sur ta garde et sache aussi le faire, sans oublier les protections pour ne pas briser la confiance que tes parents ont en toi.
– Tu veux ...
J'étais sur le point de poser une question à ma copine quand ma mère avait fait son entrée dans la cuisine.
À suivre...
RICHY PLUME-RAM
GOD'S INSPIRATION.