Les fenêtres et la porte furent fermées. Nous étions à peine sur le point de prendre place quand la pluie avait commencé. Éric avait fermé son ordinateur et était parti le déposer sur sa table de nuit. J'étais assise dans le sofa au salon. Je voulais allumer la télé quand Éric me demanda de venir le voir dans la chambre à coucher. Je me suis rapidement dit qu'il avait toujours dans la tête cette envie de me faire l'amour et comme moi aussi j'étais prête à lui donner ce qu'il voulait, sans oublier cette fraîcheur naturelle qui avait envahi toute la chambre, j'étais partie le voir dans la chambre à coucher. Étant allongé dans son lit, il me pria de m'allonger aussi à côté de lui.
Une fois près de lui, j'avais commencé par trembler parce que déjà je me voyais dans ce que j'imaginais. Éric s'approcha de moi, tendit ses lèvres vers les miennes et commença par m'embrasser.
Je me laissai aller, et il avait commencé par me caresser. Il caressait mes cuisses, touchait mes seins, en ayant toujours mes lèvres emprisonnées dans les siennes. Moi aussi je le caressais, je ne savais même pas ce qui m'avait prise et j'avais commencé par toucher sa partie intime. Ma main glissait sur sa bite et lui aussi n'arrêtait pas de me caresser. Petit à petit, il avait réussi à ouvrir les boutons de l'habit que j'avais porté et le voilà enfin face à face avec mes deux beaux seins.
Il avait pris le temps de bien les caresser avant de faire sortir un de mes seins du soutien-gorge sans bretelle que j'avais porté et commencer par le téter.
Après cela, il fit sortir le second et fit la même chose avec. En ce moment, je n'arrivais plus à me contrôler, la seule chose que je faisais était de garder bien sa tête pour qu'il puisse bien me sucer les seins.
Complètement noyée dans le plaisir, je glissai ma main dans le short qu'il avait porté. Ma main était enfin en contact de sa bite et sans plus tarder, j'avais commencé par la caresser.
J'avais les yeux fermés et je prenais le goût de ce qu'Éric faisait avec mes seins et avec les gestes qu'il faisait, je remarquais que lui aussi prenait du plaisir avec ce que je faisais avec sa bite. Tout doucement, Éric m'enleva totalement l'habit que j'avais porté ainsi que mon soutien. Il ne restait désormais que ma jupe et mon slip. Nous étions là à nous caresser, je ne savais même pas quand Éric m'avait enlevé ma jupe. J'avais juste réalisé qu'il avait ses doigts qui se baladaient sur ma chatte. Je voulais arrêter, mais je ne pouvais pas car il me faisait voyager.
Éric m'avait ensuite enlevé mon slip et là j'étais complètement nue comme un ver. Il s'était redressé et m'avait bien positionnée dans le lit. Je tremblais de peur malgré le plaisir que je ressentais et lorsqu'il se débarrassa de son short, il s'approcha de moi et me dit :
– Mon bébé, sois sans crainte ; je ne vais pas te faire du mal.
La seule chose que je pouvais dire était : « D'accord, mon chéri, j'ai confiance en toi. ». Parce que j'avais pris goût et je ne voulais même pas qu'il s'arrêtât. Tout doucement, Éric écarta mes jambes et plongea sa tête entre...
Je n'arrivais pas à y croire, Éric commençait par me lécher la chatte. Je n'arrivais plus à supporter ce plaisir qu'il me faisait découvrir. Éric me faisait voyager dans un monde dont j'ignorais l'existence, il me faisait découvrir un plaisir que je n'avais jamais ressenti auparavant. J'étais toujours couchée sur le dos et caressais sa tête et en gardant aussi sa tête pour l'aider à bien me lécher la chatte qui semblait être tellement délicieuse pour lui car il la léchait avec amour et tendresse.
Pour me montrer qu'il n'avait même pas encore commencé, toujours en me léchant, Éric commença de nouveau à me caresser les seins toujours en ayant sa langue qui glissait et qui faisait des va-et-vient dans ma chatte. Pendant qu'il faisait toutes ces choses, je me contentais d'apprécier le moment, un moment tellement délicieux qui me plongeait dans un monde où tout est calme, un monde dans lequel la douleur n'existe pas et tout ce qui s'y trouve était rose. Oui, un monde d'amour, d'un amour fou. Tout doucement, Éric avait fait descendre un de ses mains entre mes jambes et l'autre main était toujours en train de caresser mes seins.
Avec douceur, je ressentis que l'un de ses doigts passait sur ma chatte. Tout doucement, il commença par introduire son doigt à l'intérieur de ma chatte et là, je sentis une douleur. Je voulus me lever mais il me fit allonger dans le lit en me disant : « Mon amour, désolé, je ferai avec douceur ; ne t'inquiète pas, je ne te ferai pas de mal. N'oublie pas que tu es ma reine, je sais que ça te fera mal, mais je ferai tout mon possible pour ne pas te blesser. ».
Sur ces mots, je ne pouvais rien dire à part « C'est compris, mon chéri ». J'avais pris goût et la seule chose que je voulais, c'était de franchir toutes les étapes. Ce qui me donnait encore confiance, la joie au cœur et le courage, c'est que je le faisais avec mon homme, mon cœur, mon Éric.
Je m'étais couchée sur le dos et il avait continué ce qu'il faisait, je fermais mes yeux pour savoir comment gérer ces douleurs que je ressentais. En introduisant son doigt dans ma chatte, il avait rabaissé sa tête et avec sa langue, il commença par secouer mon clitoris qu'il attrapait avec ses lèvres.
Je n'arrivais plus à comprendre ce que je ressentais, car malgré les petites douleurs que je ressentais, il y avait ce plaisir, ce goût de plaisir qui m'envahissait. Je répondais à son baiser avec des caresses, en le serrant très fort contre moi. Il m'embrassait en ayant toujours sa main qui glissait sur mon clitoris et ma chatte toute mouillée.
À suivre..
RICHY PLUME-RAM
OD'S INSPIRATION