*Daouda*
J'étais un homme marié et j'avais une fille qui était au collège. Elle était très belle plus que toutes les filles de mon établissement scolaire. On ne pouvait jamais même comparer ma fille et Darelle. Ah oui, c'était absolument vrai. Moi j'étais le proviseur et je ne faisais que draguer les belles filles de mon lycée. Parmi elles, il y avait une qui m'intéressait beaucoup et je ne blaguais pas avec elle. Après la beauté de ma fille, Darelle était la deuxième plus belle fille. Pendant la récréation, j'avais envie de sucer ses mielleuses lèvres, mais j'étais occupé par quelques tâches. Depuis que nous nous étions mis en relation, je n'avais jamais couché avec elle, donc je comptais lui faire l'amour dans mon bureau un midi. Quelques heures plus tard, elle était venue chez moi avec ses gros seins. Vraiment, ses tétons étaient très gros et à cause de cela, je ne les avais jamais frotté avec une seule main.
_ S'il te plaît, donne-moi une minute !
Darelle : prends ton temps ! D'ailleurs, moi je veux que les gens partent d'abord avant qu'on ne fasse la chose.
_ J'espère que tu es prête pour le rapport sexuel non ?
Darelle : toi il faut vite faire ton travail seulement.
Sur cette phrase, j'avais perdu de conscience et j'avais serré sa bouche contre la mienne. Vraiment, c'était un grand péché de ma part. Malgré qu'elle soit dans la tenue de scolaire, mais je ne m'étais même pas inquiété pour elle. Elle aussi était une imbécile, sinon elle allait refuser. Je caressais bien tout son corps et au même moment où je voulais ouvrir la fermeture de sa jupe, quelqu'un avait raclé la gorge et frappé la fenêtre très fort.
_ Toi vas te cacher là-bas !
Darelle : s'il te plaît, il faut que je parte en même temps.
_ Oui, je le sais, mais je dois veiller sur toi, donc attends d'abord !
Darelle : dépêche-toi !
J'étais sorti pour aller voir qui avait frappé la fenêtre, mais je n'avais pas vu aucune personne. C'était un fantôme ou quoi ? Hum vraiment, cela était très bizarre pour moi. J'étais allé de nouveau chez Darelle dans mon bureau. Haha, elle aussi s'était cachée sous la table avant mon arrivée. Vraiment, c'était très drôle.
_ Tu peux sortir maintenant.
Darelle : c'était qui ?
_ Je n'ai pas vu aucune personne.
Darelle : non, c'est incroyable. Il n'y a aucune personne derrière la fenêtre ?
_ Il n'y a personne. Ne t'inquiète pas, on oublie ça et on continue la chose !
Darelle : s'il te plaît, je dois partir tout de suite.
_ Hum donc, c'est parti pour quand encore ?
Darelle : je ne sais pas encore.
Moi je croyais qu'on allait terminer ce qu'on ait commencé, mais hélas. Mon penis était très dur dans le pantalon comme le fer. Darelle était quittée dans mon bureau avec ses gros seins et ses grosses fesses. Vraiment, cette fille était une déesse. Tout était très joli sur elle. Même ses lèvres aussi étaient très agréables à sucer durant une année sans se fatiguer.
*König*
König le plus bandit, c'était mon nom. Le dragueur des meufs en une minute, c'était mon boulot. L'empêcheur des coureurs de filles, c'était ma spécialité. Le proviseur voulait manger la même nourriture que moi, oh non, cela ne pouvait jamais être possible. Au moment où il voulait aller sur le terrain, je lui avais donné un carton rouge afin qu'il ne joue plus le match. J'étais un arbitre très intelligent. Je savais que s'il avait mis ses sales pieds sur le terrain, le propriétaire du terrain allait l'aimer plus que tout le monde, donc j'avais vite joué mon rôle en tant qu'un arbitre intellectuel. Après avoir frappé la fenêtre, j'étais vite allé me cacher derrière un bâtiment. À peine dix minutes après, la fille était sortie dans son bureau. J'avais pris mon vélo pour me rendre chez elle avant qu'elle ne parte.
_ Salut princesse !
Darelle : vraiment hein, ce n'est pas toi que je vienne de rencontrer tout à l'heure ?
_ Ah oui, c'était moi. Y a-t-il un problème ?
Darelle : combien de fois vas-tu me saluer ?
_ C'est l'amour que j'ai pour toi qui me pousse comme ça. Qu'est-ce que tu fais jusqu'à cette heure ?
Darelle : petit frère, j'ai faim, donc laisse-moi partir ! On se voit après.
_ Merci chérie ! C'est quoi ton nom ?
Darelle : Darelle et toi ?
_ König, l'empêcheur....
J'avais vite fermé ma bouche et j'étais parti. Si elle était au courant que c'était moi qui les avais empêché, cela pouvait créer un problème entre le proviseur et moi, donc j'avais décidé de ne plus continuer ma phrase. Quelques minutes après, j'étais arrivé à la maison. Heureusement, mes parents étaient en train de manger avant mon arrivée. J'avais pris place à côté d'eux et pris la fourchette en même temps pour manger avec eux.
Bienvenu : tu ne salues pas ?
_ J'ai appris qu'on ne salue jamais à une personne qui mange. Après le repas, je vais vous saluer.
Florence : vas enlever ton kaki d'abord non !
_ J'ai également appris que si on a faim et qu'on soit de retour au moment où quelqu'un mange, on déguste avec cette personne en même temps afin de ne pas mourir de faim.
Bienvenu : König, je vais te taper.
_ Un père responsable ne tape jamais son enfant devant la nourriture.
Florence : qu'est-ce que tu as appris aujourd'hui à l'école ?
_ Notre professeur d'éducation civique et morale nous avait dits qu'on ne doit jamais questionner nos prochains au moment où ils mangent.
Mon père m'avait donné un coup sur la tête et ma mère se mettait à rire. J'avais envie de pleurer, mais un vrai bandit ne coulait jamais ses larmes, malgré tout. J'avais gardé mon silence et je m'étais concentré sur la nourriture. Ils me posaient encore quelques questions très inutiles, mais je n'avais même pas ouvert ma bouche pour leur répondre. Dans un instant, mon père m'avait donné un autre coup très fort. Cette fois-ci, c'était un peu dur.
Bienvenu : mais, réponds-nous non ! C'est quoi ton problème ?
_ Papa, as-tu oublié ce que tu m'aies dit la fois passée ?
Bienvenu : qu'est-ce que je t'avais dit ?
_ Ce n'était pas toi-même qui m'avais dit qu'on ne parle pas en mangeant ?
Florence : hum...
Le jour suivant.
*Darelle*
Je n'avais fait que penser à ce que ce petit m'ait dit. König l'empêcheur ? Pourquoi il avait ajouté l'empêcheur ? Ou bien c'était son vrai nom ? Du coup, j'avais fait une idée que c'était lui qui nous avait empêchés de faire le rapport sexuel. Hum, je m'étais réveillée ce matin dans la tristesse, car la manière dont j'avais prévu la chose, n'était pas la même. Moi qui voulais me réjouir pour ma première avec mon proviseur, ce petit avait gâté tout. Après avoir pris la douche, je m'étais rendue chez mes parents au salon dans le but de prendre mon petit déjeuner avec eux ensemble.
Hervé : il faut te mettre au travail comme d'habitude hein.
_ D'accord, j'ai compris.
Clémence : pourquoi tu étais en retard hier ?
_ Je n'avais pas vite trouvé le taxi.
Hervé : ok dorénavant, moi-même je vais venir te chercher chaque midi.
Oh merde ! Mon plan ne pouvait plus marcher avec mon amour. Vraiment, c'était fini pour moi. C'était à cause de ce bandit qui s'appelait König, sinon j'allais goûter la chose. Hum ok, dans tous les cas, j'allais trouver un autre moyen un jour. Quelques minutes après, nous étions partis.
Hervé : bonne journée à toi !
_ Merci papa chéri !
Hervé : je viendrai te chercher à midi.
_ D'accord !
C'était un peu compliqué pour moi, mais je n'avais pas d'autre choix que d'accepter sa volonté. Directement, je m'étais rendue chez mon amour dans son bureau. Une fois arrivée dans son bureau, j'avais claqué la porte avant de prendre place sur ses cuisses. Il avait pris quelques minutes pour bien sucer mes lèvres et moi aussi je lui faisais la même chose. La seule chose qui me faisait trop rire sur lui, c'était qu'il était incapable de bien frotter mes seins avec une seule main. Souvent, c'était toujours avec les deux mains. Bon, il avait raison, car mes tétons étaient bien en formes.
Daouda : j'aurai aimé qu'on continue, mais c'est impossible.
_ Il y a un sérieux problème.
Daouda : lequel ?
_ Je ne peux plus venir chez toi chaque midi.
Daouda : pourquoi ?
Je lui avais expliqué tout et il n'était même pas inquiet. Finalement, il m'avait dit qu'on pouvait le faire pendant la récréation.
*König*
Le premier jour de la rentrée, elle était allée chez lui pendant la récréation, donc sûrement, elle allait également se rendre chez lui le deuxième jour. Pendant la récréation, je m'étais rendu chez le proviseur pour faire sa connaissance. Ah oui, j'étais le nouveau dans cette école, donc on ne se connaissait pas. Une fois arrivé, j'avais bien fermé la porte afin qu'aucune autre personne ne sache pas qu'il y avait quelqu'un chez le proviseur.
_ Bonjour monsieur le proviseur !
Daouda : s'il te plaît, je suis occupé actuellement, donc il faut revenir après.
_ Mais, je dois vous parler sérieusement concernant une affaire très importante hein.
Daouda : c'est quoi ton nom ?
_ König, je suis en seconde scientifique.
Daouda : merci ! Maintenant, il faut sortir, moi-même je vais te chercher après.
_ Mais....
Haha, le pauvre proviseur avait crié très fort sur moi. J'avais un peu souri avant de sortir dans son bureau. Comme il ne connaissait pas encore qui était König, le bandit du lycée, c'était la raison pour laquelle, il faisait tout ça. Une fois sorti dans son bureau, à ma grande surprise, j'avais rencontré ma chérie Darelle. Le jour-là, j'avais également décidé de gâter leur deuxième plan. Tant que je ne quitte pas dans ce lycée, ils ne pouvaient jamais être libres dans mes mains.
_ Ma chérie, tu vas où ?
Darelle : c'est quel genre de question ça ?
_ Non, c'est parce que le proviseur n'est pas libre actuellement. Il m'a même demandé de te dire quelque chose.
Darelle : non, je ne te crois pas.
_ Ok, il faut aller chez lui, mais il faut savoir qu'il est avec un professeur.
Elle avait tellement eu peur et moi j'avais envie de rire, mais je faisais comme si de rien n'était. J'étais allé en classe et sûrement, je savais que Darelle ne pouvait pas aller chez lui dans le bureau. Quelques minutes après, elle s'était retournée en classe et je m'étais mis à rigoler dans la salle. Mes camarades avaient posé leurs sales yeux sur moi, mais je m'en foutais de leurs sorcelleries. Dans un instant, je m'étais rendu chez Darelle dans la classe de première. J'étais allé prendre place à côté d'elle et ses camarades ne faisaient que nous regarder. Moi j'étais très bizarre quoi.
_ Il y a quoi entre vous ?
Darelle : König l'empêcheur, c'est ça ton nom ?
_ Oh non, mon nom c'est König.
Darelle : pourtant, tu avais ajouté l'empêcheur hier non ? Ok, il n'y a pas de souci. König, arrêtes de me poser certaines questions ! Ok ?
_ Je te dérange ?
Darelle : trop même ! Qu'est-ce que tu veux au juste ?
_ Je veux ton amour. C'est la seule chose que je désire chez toi.
Darelle : si tu continues, je vais mettre le proviseur au courant que tu me harcèle.
_ Je n'ai pas peur de lui, car nous sommes dans le même bateau.
*Daouda*
J'avais donné un rendez-vous à Darelle, mais ce petit qui s'appelait König voulait gâcher mon plan. Il voulait me déranger, mais je l'avais chassé dans mon bureau. Je ne savais pas s'il était un sorcier ou quoi. Après son départ, j'avais bien arrangé la table pour accueillir mon amour. Ah oui, j'allais lui faire ça sur la table. Quelques minutes après, elle n'était pas venue chez moi. J'étais vraiment choqué, car elle ne pouvait jamais me faire ça. Finalement, j'avais décidé d'aller dans leur salle moi-même. Merde ! Donc, c'était ce petit qui nous empêchait ?
König : monsieur le proviseur, est-ce que vous êtes libres maintenant ?
_ Non ! Eh Darelle, viens je vais t'envoyer !
König : s'il vous plaît monsieur, il n'est plus bon de déranger les filles, donc il faut m'envoyer à la place de Darelle.
_ Tu ne peux pas m'acheter la chose.
König : c'est quoi, la nourriture ? Oh, vous n'avez pas la chance, on a déjà sifflé.
Mais, qui était ce bandit dans mon lycée ?
À suivre....