*Clémence*
Mon mari se comportait comme s'il avait une autre fille dehors. Moi Clémence, la seule chose que je veuille avoir chez lui, c'était son amour, mais parfois il n'aimait pas à me satisfaire comme je désirais. Un matin, j'avais tellement souhaité qu'il me fasse l'amour, mais il avait carrément refusé. Le pire, lorsque j'étais allée lui rejoindre dans la salle de bain, il me caressait bien et je croyais qu'il allait me faire la chose, mais il m'avait juste mis dans un état très pénible. Il savait qu'il n'allait pas me faire la chose, mais il m'avait fait exciter et c'était cela qui m'avait beaucoup énervé. Nous étions sortis dans la salle de bain et moi je m'étais vite rendue dans la cuisine pour lui faire un café avant son départ. À ma grande surprise, il avait également refusé de boire le café avant de partir. Hum, je me demandais s'il allait sincèrement recevoir des invités ou quoi. Dans tous les cas, moi je ne pouvais rien faire que de lui attendre impatiemment dans la maison.
*Florence*
À cause de ce que mon patron m'ait dit, je m'étais réveillée très tôt afin d'aller lui attendre au bureau. C'était très bizarre pour moi ce jour, mais je ne pouvais rien du tout faire qu'obéir à ses ordres. Moi-même j'avais l'habitude de me réveiller à cinq heures du matin, mais à cause de lui, je m'étais réveillée à quatre heures dans le but de faire vite le ménage. Une heure de temps après, j'avais pris la route pour me rendre au service. Quelques minutes plus tard, j'étais arrivée et mon patron était là avant mon arrivée. Devrais-je me rendre chez lui dans son bureau ou quoi ? Je m'étais plantée à côté de sa voiture à l'extérieur pour bien réfléchir avant d'aller lui rejoindre. Quelques minutes après, j'étais arrivée dans son bureau.
Hervé : sois la bienvenue ma ravissante !
_ S'il vous plaît patron, pourquoi vous m'avez demandé de venir au travail très tôt ce matin ?
Hervé : c'est pour faire un travail très important.
_ D'accord ! Moi je suis toujours à votre disposition. C'est quoi le travail alors ?
Hervé : veux-tu qu'on le fasse ici ou dans ton bureau ?
_ Cette question est trop bête. Vous m'avez bel et bien posé une question, mais on dirait que vous avez juste parlé en l'air. Je suis désolée quand même hein.
Hervé : hum ok, on va le faire ici tout à l'heure.
_ D'accord !
Vraiment, nous les jeunes filles, nous souffrions beaucoup dans les mains des garçons. Mon patron s'était levé sur sa chaise et moi je croyais qu'il allait me montrer quelque chose, mais il m'avait plutôt embrassé. Je m'étais beaucoup énervée ce matin à cause de sa stupide attitude. Si je savais, je n'allais même pas venir au travail à cette heure. Je l'avais poussé par force et par malheur, il était tombé par terre. Haha, c'était à la fois très drôle, mais aussi très triste. Il ne parlait plus et directement, moi je m'étais rendue dans mon bureau avec mille pensées.
*Hervé*
Devrais-je la licencier dans mon entreprise ou quoi ? Je m'étais toujours planté sur ma position sans même réfléchir de me relever. Vraiment, Florence méritait le virement. À cause d'elle, j'avais refusé de faire l'amour avec ma femme. Je n'avais jamais imaginé qu'elle pouvait me faire ça, mais hum.... Quelques minutes après, je m'étais levé et rendu chez elle dans son bureau encore.
_ Qu'est-ce que tu viens de me faire ?
Florence : patron, je suis sincèrement désolée.
_ Gardes tes désolés pour toi seul et écoutes-moi bien ! Florence, je te donne une bonne semaine, si je n'ai pas eu le rapport avec toi, je vais te virer dans mon entreprise.
Florence : haha mon patron puissant ! Vous me faites trop rire quoi. Dans tous les cas, c'est votre droit de nous renvoyer, mais il faut le faire justement. L'injustice n'est pas bonne.
_ Si tu sais que l'injustice n'est pas bonne, alors je veux découvrir la chose.
Florence : avec le temps, je ne vais plus vous considérer comme mon patron à cause de votre comportement. Bon maintenant, il faut que je te parle sérieusement.
_ Moi aussi, je suis à l'écoute sérieusement. Je veux écouter une bonne nouvelle hein.
Florence : il faut savoir que toutes mes nouvelles ne sont que des bonnes. Bien, monsieur Hervé, moi Florence, je ne peux jamais vous écarter mes deux jambes. Si vous osez me forcer un jour, j'irai mettre votre femme au courant de tout.
On dirait que cette putain voulait me tuer. Comme de la pagaille, elle parlait de ma femme. Là, ce serait une guerre totale entre ma femme et moi. Malgré tout, elle ne devait jamais être au courant de tout ce que je fasse au dehors. Après sa parole, j'étais sorti dans son bureau avec beaucoup de colère. Je m'étais retourné dans mon bureau pour réfléchir sur les comportements de Florence. Elle dépassait même le diable. Au lieu qu'elle m'écartât ses jambes afin que j'augmente son revenu mensuel, mais elle jouait la conne en refusant. Dans tous les cas, j'étais le boss, j'étais le conducteur, donc les passagers ne pouvaient rien faire. Je lui avais donné une bonne semaine afin qu'elle puisse bien réfléchir sur ma demande. J'avais tellement hâte d'aller à la maison pour me réjouir avec ma chérie au moins.
*Clémence*
Je n'arrivais plus à me mettre à l'aise à cause de mon mari. Je ne faisais que penser à lui. Le soir, j'avais vite préparé avant son retour. Après la cuisine, je m'étais rendue dans la salle de bain. À dix-sept heures, il n'était pas de retour, on dirait que j'étais une vraie accro à la sexualité, mais ce n'était pas le cas. Parfois, nous les femmes, nous avions tellement envie de faire ça et c'était également mon cas. À peine trente minutes, il était de retour avec son beau visage. En écoutant le bruit de sa voiture, je m'étais vite rendue sur le lit pour me coucher. Comme promis, lui-même était venu chez moi sur le lit et je savais qu'il était prêt. Je ne bougeais même pas. J'avais gardé ma position toujours très calme. Dans un instant, j'avais senti sa main sur mon dos et moi-même je m'étais mise à sourire à cause du plaisir. Vraiment, mon amour était un dieu sur le lit. J'avais changé de position pour bien recevoir ses douces caresses. Du coup, j'avais un peu crié, car j'avais senti son doigt au niveau de ma chatte. On dirait qu'il m'avait drogué, car c'était en ce moment que j'aie bien écarté mes jambes afin qu'il ne souffre pas.
_ Vas-y en même temps !
Hervé : ne t'inquiète pas, je voulais te faire voyager un peu.
_ Ah vraiment, tu vas me tuer hein. C'est très doux....
Hervé : je t'aime ché....
Il avait terminé sa phrase dans mon bas ventre avec sa bite. Waouh, c'était très super cette soirée. Il fallait voir comment je poussais des cris de gémissements... Après cela, nous étions allés dans la douche pour nous rendre propre.
_ Je t'aimerai à jamais.
Hervé : tu as aimé pour ce soir ?
_ Oui, mais pourquoi pas ? Chéri, il faut savoir que j'ai tellement aimé. Surtout, la façon dont tu fais le mouvement du va-et-vient.
Hervé : haha, allons manger ensemble !
Une semaine après.
*Florence*
J'étais prête pour me rendre au service et du coup, je m'étais souvenue de ce que ce bandit de patron m'ait dit la dernière fois. Ah oui, le gars-là n'oubliait jamais ses décisions. Je me demandais si je devais lui livrer ma chatte afin de bien garder ma poste dans son entreprise ou bien quoi ? Sans mentir, c'était grâce à ce travail que moi aussi j'arrive à m'occuper de moi sans l'aide de personne. Hum finalement, j'avais décidé de ne plus aller au travail ce jour. Je m'étais couchée sur le lit et à peine dix minutes, quelque chose m'avait dit d'y aller. Hum, j'avais pris mon sac et directement, je m'étais rendue au bureau. Ce jour, je n'étais même pas allée chez lui dans son bureau pour le saluer comme d'habitude à causer de ses désordres. Vraiment, il était un grand imbécile malgré sa richesse. Tous les hommes qui couraient derrières les filles malgré qu'ils aient des femmes à la maison, hum.... Je me demandais si leurs femmes n'étaient pas belles ou quoi ? Et si elles n'étaient pas belles pour eux, ils avaient fermé leurs yeux avant de les marier ? Dans tous les cas, la vie était toujours comme ça. Il y avait quelques papiers que je doive arranger ce matin, donc je m'étais mise à le faire en même temps. Dans un instant, j'avais senti qu'on frappe ma porte. C'était lui ou qui ? C'était la question que je m'étais posée avant d'aller ouvrir la porte. Par malheur, ce n'était aucune autre personne que lui.
Hervé : pourquoi tu n'es pas venue me saluer ce matin ?
_ Eh bon, je suis désolée. Je suis un peu en retard avant d'arriver, c'est pourquoi.
Hervé : on dit quoi ?
_ Y a-t-il des papiers à signer ?
Hervé : imbécile ! Ne joues pas avec moi ! Ok ? _ Depuis quand les filles ont commencé à jouer avec les garçons ?
Hervé : Florence, veux-tu que je te licencie ou je t'augmente le salaire ?
_ C'est vous le propriétaire de cette entreprise, donc moi je ne peux jamais prendre une décision à votre place.
*Hervé*
Dans mon entreprise, elle était très forte dans le domaine de la comptabilité, mais la façon dont elle me parlait, je devais faire beaucoup d'attention, sinon sincèrement elle pouvait tout dire à ma femme. Elle et moi étions debout à échanger les mots et dans un instant, je l'avais embrassé par surprise. Heureusement, elle aussi avait bien répondu à mon baiser. Je l'avais plaqué sur la table qui était dans son bureau et je caressais bien ses tétons. Bizarrement, elle ne réagissait plus et moi-même je savais qu'elle aussi avait tellement envie de la chose. Quelques secondes après, je voulais enlever ses vêtements et au même moment, j'avais reçu quatre gifles. Vraiment, elle était très rapide ce jour-là.
_ Qu'est-ce que tu viens de faire à ton patron ?
Florence : patron, tu es un imbécile. Je dis bien un imbécile. Écoutes-moi bien ! Si tu ne veux pas que j'aille chez ta femme pour lui dire tout ce qui s'est passé, là tu es sensé me faire un chèque de deux millions tout de suite. En plus, il faut savoir que je ne vais plus travailler dans cette entreprise.
Je transpirais devant cette putain comme si la police allait m'enfermer. Immédiatement, je m'étais rendu dans mon bureau pour lui faire le chèque afin d'éviter le problème entre ma femme et moi. Elle avait pris le chèque et était partie en même temps. Hum...
Deux ans plus tard.
*Bienvenu*
Ce n'était pas facile pour moi, mais finalement j'avais gagné son cœur et grâce à elle, je ne courais plus derrière les filles comme avant. Deux ans après, nous nous étions unis jusqu'à ce que nous allions faire le mariage. Le jour du mariage, je m'étais réveillé avec une joie très immense. Quelques heures plus tard, le prêtre nous avait unis et nous avait déclarés mari et femme. Waouh, c'était une grande bénédiction pour moi de célébrer mon mariage avec Florence. Le soir, nous étions arrivés à la maison avec beaucoup de fatigue.
_ Chérie, qu'en penses-tu sur notre nuit de noces ?
Florence : on va passer ça aujourd'hui ?
_ Bien-sûr que oui ! Y a-t-il un souci ?
Florence : chéri, moi j'ai peur de ça.
Honnêtement, moi je n'avais jamais eu du rapport avec Florence depuis notre rencontre. Elle parlait de la peur, mais moi je ne comprenais absolument rien.
_ S'il te plaît, sois explicite dans tes propos !
Florence : mon amour, je n'ai jamais fait le rapport sexuel dans ma vie, donc j'ai peur de le faire cette nuit.
_ Non, dis-moi que c'est de la pagaille ! Comment une fille âgée de vingt-sept peut dire cela ?
Florence : contrôles bien ton langage afin de ne pas commettre un péché ! Si tu ne me crois pas, là c'est ton problème.
_ Ok je suis désolé pour tout à l'heure, mais je veux découvrir la chose cette nuit, car j'ai tellement hâte.
Florence : c'est ton droit, donc je ne peux pas refuser. Allons prendre notre première douche ensemble d'abord !
_ Je t'aime infiniment. Tu m'as vraiment rendu fou.
Florence : moi aussi je t'aime avec toute mon âme. J'ai également hâte de goûter la chose.
Sa dernière phrase avait complètement traumatisé mon cerveau.
À suivre...