*Florence*
Depuis le jour où il y avait ce problème entre mon patron et moi, c'était Bienvenu qui était devenu ma seule compagnie, malgré que je lui détestais. Vraiment, Dieu était fort. Grâce à lui, nous nous étions finalement mariés. Depuis mon enfance, je n'avais jamais aimé une autre personne dans ma vie à part mon mari. C'était un gars très sympathique, très beau. La richesse n'était rien pour lui. Le jour de notre mariage, j'étais très contente, car j'allais me marier avec l'homme de ma vie. Le soir, nous étions de retour avec une énorme fatigue, mais lui aussi voulait qu'on passe notre nuit de noces cette nuit-là. J'étais à la fois heureuse et peureuse. J'avais hâte de le faire depuis, mais le jour j, j'avais tellement eu peur, car mes amies me disaient que pour la première fois, c'était un peu difficile pour elles. Nous étions allés dans la salle de bain pour prendre notre toute première douche ensemble. J'avais envie qu'il me fasse ça là-bas, mais ce n'était pas bon, donc j'avais gardé ma patience malgré que c'était difficile pour moi. Quelques minutes après, nous étions arrivés sur le lit conjugal tout en étant nus comme les nouveau-nés. Hum les hommes ! La façon dont j'avais vu la bite de mon mari, le degré de ma peur avait augmenté.
Bienvenu : oh bébé, ne t'inquiète pas, je vais te le faire doucement.
_ Es-tu sûr ?
Bienvenu : crois-moi chérie !
_ Est-ce vrai que la première fois semble un peu difficile ?
Bienvenu : bien-sûr !
_ Comment tu le sais ?
Bienvenu : as-tu oublié tout ce que je t'aie dit sur mon passé ? Grâce à toi, je me suis complètement changé.
Sincèrement, mon mari ne se comportait plus comme avant à cause de moi. Ma présence dans sa vie avait changé tous ses mauvais comportements. Je m'étais allongée sur le lit et il suçait mon téton gauche tout en frottant l'autre avec sa main. Waouh quel plaisir ! Je n'avais jamais fait l'autre-là, mais je préférais plutôt les caresses. Quelques minutes après, j'avais crié très forte avec les pleurs. Oh vraiment, on dirait qu'il voulait me tuer.
Bienvenu : je suis désolé. Ou bien que je m'arrête ?
_ Je ne sais pas comment je vais te répondre. Bienvenu : d'accord ! Je te comprends. Je vais te le faire doucement.m
Je sentais une douleur dans ma partie intime, mais je ne voulais non plus qu'il s'arrête, car c'était à la fois douloureuse, mais aussi très douce. Il me faisait les mouvements du va-et-vient doucement et dans un instant, il avait accéléré le rythme du mouvement. Je criais très forte, mais je lui demandais toujours de continuer ainsi. Finalement, c'était plus fort que moi et je l'avais stoppé. Je m'étais levée et à ma grande surprise, j'avais vu le sang sur le drap.
_ D'où vient ce sang ?
Bienvenu : haha mon amour, je t'aime plus que tout dans ce monde. Je te chérirai dans le moment pénible que agréable. Tu es une grande bénédiction pour moi. Ce n'est pas tout le monde qui peut garder sa virginité jusqu'à vingt-sept, vraiment je suis tellement heureux de t'avoir comme la femme de ma vie.
_ As-tu oublié ma question ? S'il te plaît, réponds-moi !
Bienvenu : c'est ce sang qui prouve que tu es toujours vierge.
Mes amies me racontaient des histoires, mais elles ne m'avaient jamais parlé du sang. Hum, c'était un peu bizarre pour moi cette nuit.
_ Donc, si je comprends bien, c'est à cause de ce sang que je sente la douleur ?
Bienvenu : bien-sûr mon amour !
Cinq ans plus tard.
*Hervé*
Dieu nous avait bénis avec une jolie fille appelée Darelle. Moi je croyais que j'allais finir ma vie dans le célibat, mais ce n'était pas le cas. Darelle était une fille très sexy, belle, bref elle était la plus exceptionnelle du monde malgré son âge. Un matin, je l'avais déposé à l'école avant de me rendre au service. Quelques minutes après, mon téléphone se mettait à sonner. C'était ma femme, j'étais un peu inquiet ce matin, mais j'avais gardé mon calme avant de décrocher son appel.
_ Bébé, il y a quoi encore ?
Clémence : s'il te plaît, reviens tout de suite, sinon je vais mourir.
_ Qu'est-ce qu'il se passe ?
Clémence : arrêtes de me poser des questions et reviens !
_ Hum ok, j'arrive dans quelques minutes.
Clémence : dépêches-toi !
Sans tarder, je m'étais vite rendu à la maison afin de savoir ce qu'il se passe. Je n'avais pas vu ma femme au salon. Je montais l'escalier avec des pensées bizarres avant de me rendre dans notre chambre. À ma grande surprise, elle s'était allongée sur le lit avec sa nudité avant mon arrivée. Vraiment, je m'étais dépassé par son comportement de ce matin-là.
_ C'est quoi le plan ?
Clémence : tu le connais déjà.
_ Hum...
Clémence : ça fait longtemps qu'on n'a plus...
Je ne lui avais pas permis de terminer sa phrase, car moi-même je savais ce qu'elle aille me dire. Je m'étais monté sur elle pour lui faire ce qu'elle désire. Elle criait très forte et me demandait d'arrêter, mais je m'en foutais d'elle. C'était en ce moment que j'avais augmenté le rythme du mouvement. Elle ne faisait que crier et finalement, c'était les pleurs très indescriptibles. Haha, c'était la première fois que ma femme ait pleuré lors du rapport sexuel. J'avais arrêté et elle m'avait poussé sur le lit. Vraiment, son comportement m'avait trop étonné ce jour-là. Après, c'était elle-même qui s'était montée sur moi pour faire le mouvement du va-et-vient lentement. Quelques heures plus tard, nous avions terminé le reste dans la douche.
_ J'espère que tu as aimé pour aujourd'hui.
Clémence : trop aimé, mais tu es très méchant.
_ Qu'est-ce que j'ai fait ?
Clémence : veux-tu me tuer ?
_ Oh non, je ne peux jamais te tuer. Seulement que je voulais te donner ce que tu aies besoin.
Clémence : mais, c'est trop.
_ Je suis désolé. Il est presque l'heure pour Darelle, donc il faut que j'aille lui chercher.
Quelques années plus tard.
*König*
Mon premier jour de la classe de seconde, je m'étais réveillé aux alentours de deux heures du matin afin de bien faire le programme personnel comme d'habitude. Moi, j'étais un peu intelligent, mais j'étais le chef des bandits. Tous les professeurs me haïssaient à cause de mon comportement, mais moi je m'en foutais d'eux. Mes parents étaient des riches, en plus mon frère aîné était un grand chanteur dans le pays, donc à cause de tout cela, c'étaient les filles mêmes qui me faisaient la cour. À deux heures jusqu'à cinq heures du matin, j'avais fini de faire mon programme. Dans un instant, mon frère aîné aussi m'avait appelé. Comme d'habitude, il m'avait juste donné quelques conseils et moi-même je ne faisais que sourire de l'autre côté. Ah oui, mon frère ne vivait plus chez nous depuis qu'il s'était engagé dans la musique. Grâce à la musique, mon frère Izzi aussi vivait très heureux. Quelques minutes après, je m'étais rendu chez mes parents au salon.
_ Est-ce que mon thé est déjà prêt ?
Florence : König, jusqu'à quand tu vas te changer ?
_ Qu'est-ce que j'ai encore dit de mal ? Bon, moi je suis en retard, donc on se voit à midi.
Bienvenu : tu ne prends plus le petit déjeuner ?
_ Je dois vite aller à l'école ce matin, donc ne vous inquiétez pas !
Bienvenu : ne continues plus tes bêtises cette année hein !
_ Papa, c'est toi que je ressemble, donc ne t'inquiète pas !
Florence : arrêtes-moi ça ! Tu ne sais pas qu'il s'est changé depuis ?
_ Ok laissez-moi tranquille ! Si mon temps est venu, moi aussi je vais changer moi-même.
Sur ces mots, j'étais parti avec mon vélo sans même prendre le thé avec mes parents. Ah oui, moi j'étais toujours comme ça. Je ne prenais pas de la drogue, ni le tabac et autres choses très dangereuses-là, mais j'étais le chef des bandits.
*Bienvenu*
König et moi, c'était tel père et tel fils. Il n'y avait aucune différence entre nous. Il draguait les filles comme de la pagaille. Son grand frère même qui était le plus grand chanteur dans le pays, ne faisait pas ça. Hum, c'était très triste pour moi et ma seule prière, c'était qu'il change du comportement très vite. Le premier jour qu'il aille débuter la classe de seconde, il parlait du retard, mais nous étions aux alentours de cinq heures trente minutes. Vraiment, moi-même je savais qu'il avait une mauvaise idée dans la tête ce matin-là encore.
_ Il va où à cette heure ?
Florence : lorsque tu étais petit, c'est la même chose que tu faisais ?
_ Moi aussi j'étais un grand bandit, un coureur de fille, mais pas comme ça. Le cas de König est à revoir.
Florence : haha, vous êtes les mêmes. Tel père, tel fils !
_ Donc, le comportement de notre enfant te plaît ?
Florence : non chéri, mais il faut qu'on lui accorde un peu de temps, lui-même va se changer un jour. Toi-même tu sais qu'on lui avait plusieurs fois parlé des conséquences de son comportement, mais il n'avait même pas considéré nos paroles, donc il faut qu'on le laisse. Tôt ou tard, il va rencontrer la vérité et lui-même saura quoi faire.
_ Ok c'est bien, tu as bien parlé.
*Darelle*
Depuis en classe de seconde, j'étais folle amoureuse de notre proviseur d'école. Ah oui, c'était ça. Je savais qu'il était un homme marié, mais je m'en foutais de sa femme. Il était âgé plus que moi, mais je m'en foutais également de son âge. La seule chose que je désire, c'était son amour. J'étais passée en première et le premier jour de la rentrée, j'avais tellement hâte d'aller à l'école afin de rencontrer mon amour. Malgré tout, mes parents n'étaient pas au courant que je sorte avec mon proviseur.
Clémence : es-tu prête pour partir ?
_ Oui maman !
Hervé : ok je vais te déposer en même temps.
Clémence : allons prendre le repas matinal ensemble d'abord !
Après le repas, nous étions partis. Quelques minutes après, mon père m'avait déposé et était allé au travail en même temps. J'avais aperçu mon amour de très loin, mais je ne pouvais pas me rendre chez lui, car il était super occupé ce matin. J'étais allée en classe et discutais avec mes copines. J'étais en classe, mais toutes mes pensées étaient sur notre proviseur. Quelques heures plus tard, on avait sifflé et c'était pendant la récréation. Immédiatement, je m'étais rendue chez lui dans son bureau.
_ Chérie, tu me manques beaucoup.
Daouda : oh ma dulcinée, viens dans mes bras ! Ta douceur m'avait également beaucoup manqué. Comment vas-tu bébé !
_ Je vais super bien et toi ?
Daouda : tant que tu vas bien, moi aussi je me porte à merveille. J'espère que tu as envie de mes baisers, mais je suis désolé pour ce moment ! À midi, on aura le temps pour ça.
_ D'accord ! Embrasse-moi encore avant que je ne parte !
Il m'avait encore embrassé dans ses bras et c'était vraiment waouh. Quelques minutes après, je m'étais rendue en classe pour suivre le reste du cours afin de revenir chez mon amour à midi. Notre relation avait fait un an, mais on n'avait jamais fait le rapport sexuel. J'imaginais comment cela allait se passer le jour-là.
*König*
Moi je restais là où il y avait des filles, donc je connaissais beaucoup de choses sur elles. En plus, si un garçon courait derrière les filles comme moi, moi-même je le savais aussi. Une belle fille très ravissante était en classe de première, mais sa forme m'avait tellement plu, donc j'avais décidé de la conquérir. J'avais également su le même jour qu'il avait un lien entre le proviseur et ma dulcinée, car pendant la récréation, j'avais vu quelque chose qui m'avait rendu triste. Moi j'étais très fort hein. Surtout dans le domaine des relations amoureuses. Dans tous les cas, je devais combattre notre proviseur afin de voir qui serait le gagnant entre nous. À midi, la fille était de passage pour se rendre dans le bureau de notre proviseur encore et je l'avais interpellé.
_ Coucou ma chérie !
Darelle : mais, tu es très bizarre hein. Tu ne sais pas que je suis ta sœur ? En plus, moi je te dépasse dans les études hein.
_ Lorsque moi je t'ai vu, tu m'as plu et c'est la raison pour laquelle je t'ai appelé, c'est tout.
Darelle : je suis désolée, car je ne suis pas ton genre.
_ Oui, je le sais très bien, mais tôt ou tard tu le seras.
Darelle : vraiment, tu es un vrai homme. Dans tous les cas, moi je ne peux jamais ressentir aucune chose à toi. Bye-bye !
Elle était partie et moi je m'étais vite rendu derrière la fenêtre du bureau de notre proviseur.
À suivre....