Chapitre 6 Chapitre 6

Marlo: Le chat n'est pas à la maison chérie!

Kem: Dansons alors ma grande souris. (En allumant une musique douce).

A peine dansé un seul morceau et elle me force de manger. J'ai tout fais pour la dissuader mais elle gagne toujours. Elle m'a fait mangé comme un bébé. Assis entre ces jambes, elle me mettait un a un des coupures d'igname dans la bouche. On n'a finit je voulais me lever et elle me garde dans cette position avec force et pencha ma tête derrière pour que mon visage puisse être face au plafond, a son tour elle se courba ensuite et sa tête a elle vint me fermer la vue du plafond. Elle m'embrasse. On n'a pris un bon baiser chaud tendre pendant quelques minutes. Je me suis relevé enfin.

Moi: Merci b, pour ce beau après midi que tu m'a offrir mais j'ai... (Interrompu)

Elle: Qui t'a dit que la danse est finir. Action ou vérité?

Moi: (Surtout pour ne pas à répondre à des questions bizarre donc je préfère). Action!

Elle: Enlève moi ma robe.

A ces mots je ne sais plus si c'est à moi elle parle ou à quelqu'un d'autre. J'étais troublé moralement au point où je suis aller me coucher sur mon lit. Elle aussi fait pareil et vient de coucher sur mon dos;

Elle: Kem je me sens bien avec toi, tu es la meilleure chose qui me soit arrivée. Quand je ferme les yeux, je vois ton sourire et tes beaux yeux. Quand je te vois je me sens bien mais quand tu n'est plus là, je ne suis plus moi même. Si tu n'existait pas je t'invantentrai. Je t'aime plus que des mots que je ne pourrais jamais dire, cet amour croit dans mon cœur chaque jour. (Commence avec des caresses de main le long de toute mes côtes au cou), Kem Je veux être totalement à toi, ça c'est ce que je veux par dessus tout. J'aimerais être une larme pour naître dans tes yeux, vivre sur tes joues un peu pamplemousse et mourir sur tes lèvres sucré salé. (Dit-elle en m'embrassant profondément).

Je suis tombé dedans, en matière d'amour on fait pas la bouche, prisonniers de ces mots doux. Au moment ou je lui ôte sa robe j'étais plus conscients, c'est comme Tee-gang l'a dit . Ces lèvres contre la contre la mienne, sa langue au rythme de ma vitesse cardiaque balayait l'entrée versée de ma bouche. Mes mains sur sa taille avec des attouchements chatouillants dans le dos et son ventre totalement crispé contre le mien. Sa peau si lisse, douce et délirante. Je descends ma bouche dans son cou au moment elle envoyait ces mains dans mon dos. Ensuite mes lèvres sur ces nichons entrain de la sucer et l'une de mes mains dans son entrejambe mon majeur dans sa chatte faisans des aller retour pour pour activer toute les hormones, et l'autre sur ces seins pour des pressions de carresse tendre. Elle gémit tellement si fort au point ou son orgasme est atteint, elle crie;

Elle: Kem, J'en peux plus pénètre moi.

Kem: Tu ne sera plus vierge, et moi non plus, a Dieu ma chasteté.

Elle: je m'en fou. C'est toi je veux en moi!

Marlo: Je m'en fou... C'est toi je veux en moi.

L'occasion fais le larron. Je réfléchissais a comment m'y prendre. Elle me poussa sur le dos et se met sur l'anal, mon sexe dans sa main d'un moment a l'autre, elle l'introduisit en elle et pousse un de ces cries vraiment effrayant et a bout de plusieurs efforts avant que je me sente vraiment en elle. A un moment j'ai voulu tout arrêter mais elle à insister et commencer pas si habitué.

Elle: Quelle sensation étrange douloureux et passionnante en même temps... Jamais je ne me suis senti comme cela auparavant.

Moi: T'as raison moi aussi.

Je suis resté bouche b ensuite à la regarder à faire des allers en haut et revenais en bas sur moi. Elle qui était un peu nulle en twerk, elle déhanchait grave et tellement si fort qu'elle m'a fait sentir des plaisirs au calme. Un désir d'uriner me prend d'un coup mais c'est pas comme les urines, cette urines étais si différente que sa donnait une sensation étrange, c'était la plus belle chose qui m'ai t'arriver depuis toujours. Après avoir jouir, mon sexe dans le sien, pris par la fatigue on sait endormi dans cette position l'un sur l'autre...

(Une heure après)

Moi: Marlo reveille toi J'ai mal au ventre tu es restée trop longtemps sur moi.

Elle: (avec une voix lourde) Quoi?

Moi: Relève toi, s'il te plaît...

Elle: D'accord c'est bon, colle moi la paix.

Moi: Putain un plus, il est presque 16h, merde...

Elle: Quoi? Il y a quelques choses? D'abord tu ne me suffit pas. Donc arrête de m'énerver.

Moi: Sérieux, mon club joue contre les Cobras du quartier voisin. J'ai une demie finale qui m'attend là, aller ouste a tout à l'heure.

Elle: Je peux venir? Je serai ton fan numéro une, de toute façon tu vas dans le quartier de cette vermine non.

Moi: Non pas besoin! J'en n'ai tellement déjà, je suis le 03 l'axe gauche reconnue de toute la compétition. (En allant sous la douche)

Elle: Mais ça ne me dérange pas voyons (en criant)

Moi: (Sous la douche) Non! J'évite au maximum ta maman, elle ne sait même pas où tu seras. Voilà que je ne suis pas à la maison, donc tu vois ce que je veux illustrer non, (en sortant de la douche) en conclusion Mlle Kouton restez a la maison pour faire le jeu. Toi et moi on s'entend plus d'accord.

Elle: D'accord mais tu en met trop des coups, tu ne vois pas b.

Moi: (En sortant de la chambre avec elle) Ouais! Mais bb c'est ce qu'il faut faire pour le moment, il n'est marqué nulle part pour l'humanité que des enfants d'un même parents doivent tenir de relation donc restons sur nos garde. (En partant).

Elle: Attend! Tu as oublié quelque chose non?

Moi: Non! Ah oui! Mon sac de sport merci.

Elle: Tu es fou ou bien chéri? (Et viens m'embrasser si fort).

Moi: Ah ça! (En prenant ma jambe au cou pour le terrain).

En pleine course pour le terrain et me voilà face à ma marâtre ou belle mère dois-je dire sur le portail.

Moi: Bonsoir maman Marlo.

J'ai pas eu de réponse, elle m'a dépasser t'elle qu'un vent. Je reprend ma route par de temps à perdre. Et je suis hyper content d'une chose de ce coup de chance de plus être avec sa fille en ce moment.

*** Marlène ***

Ma Marlo: (Entre dans la chambre de Marlo sans tapé). Marlo!

Marlo: (Intérieurement) Seigneur, Jésus Marie Josèphe heureusement il avait un match.

Ma Marlo: Marlo tu rêve debout ou quoi?

Marlo: Non mère. Bonne arrivée.

Ma Marlo: Je viens de croiser ce bâtard au portail

Marlo: C'est quoi? Il était déjà de retour? (Faisant geste d'aller le voir)

Ma Marlo: Reviens par ici abruti, il est encore repartir. C'est un voyou, il l'a des copines n'est ce pas?

Marlo: Non! Non! Je le tuerais si je l'apprend, il n'a qu'une seule petite amie.

Ma Marlo: (Intérieurement) Je peux donc me servir de ça et aussi engagé des petites pute et un petit Gang pour salir Kem avec des preuves une fois de bon.

Marlo: Tu ne dis plus rien! Maman!

Ma Marlo: Oui! Oui! Et c'est qui sa petite amie?

Marlo: Moi, évidemment sa ne se voit pas?

Ma Marlo: Quoi?

Marlo: Ayiiii! Non, Maman c'est une salopette de semi française du nom de Jeannita de notre classe. Je la déteste.

Ma Marlo: Je vois avec ces dents pourries, c'est une blanche qui sort avec lui, Dieu est pervers quoi, chérie... Fournit moi tout les informations possible sur cette fille sur un papier. Merci.

(Sur le terrain de foot des Cobras)

*** Jeannette***

Je suis venu avec mon équipe et voilà Kem dans l'équipe adverse qui vais-je supporter, bon le mieux c'est de supporter les deux. Heureusement sa sorcière de sœur n'est pas avec lui. Je peux donc en profiter quand son équipe va gagner ou l'encourager quand il va perdre. Le match, à peine commencer et son équipe et mon équipe joue froidement comme ça. Concentré sur le match et voilà une voix dans mon dos;

Lui: Bonsoir Jeanni!

Moi: Bonsoir, Ah Styves comment vas-tu?

Lui: Mal et toi?

Moi: Mal pourquoi?

Styves: Malgré tout ce que je t'ai dit, tu préfères ce blanc bec sur le terrain toujours occupé et suspendu à sa sœur!

Moi: Tu veux que je te dise, c'est mon choix, ou est ton problème? C'est vrai qu'il ne me voit pas encore mais je te jure ça finira pas arriver. Marlène est juste sa sœur et l'autre fois dans ces bras j'ai su qu'il ressentait quelques choses pour moi aussi. J'attendrai le moment. Vieux fou je suis pas pressé.

Styves: Tu le regrettera, je te jure. (En prenant une autre directive et part).

Moi: Ouais! Vas-y casse toi...

Publics :( cries de joie)

Je n'ai rien vue ce pinoclat viens de me gâcher un moment prestigieux. Putain mon équipe à marquer un but à la 41eme minutes. Merde mon Kem.

À suivre...

Bientôt chapitre 7