Chapitre 5 Chapitre IV: la muette

Une semaine s'est écoulé depuis sa tentative de suicide . Clever qui ce soir là était Venu dans sa chambre lui demander un service, Fût choqué par la scène macabre qui s'offrait à lui. Il l'avait conduit à l'hôpital cette nuit sans trop s'attarder sur les tâches de sang présent sur les draps. La coupure n'ayant toucher aucune des veines de son bras, les médecins n'eurent pas besoin de grand chose pour la soigne . Clever le jour levé, avait demandé à son père des explications sur ce qui était arrivé à la jeune fille ; ce dernier répondit qu'il ne savait pas grand chose également.

- tu vois bien que cette enfant à l'air déranger mentalement. Vas savoir ce qui a bien pus lui Passé par la tête. Dit M. Fritz en sortant de son bureau, referma la porte, alla à sa voiture et se rendit à son entreprise ; laissant son fils avec ses inquiétudes pour l'adolescente.

- Maria faites moi une tasse de café. S'il vous plaît je sens que j'aurais besoin de force pour cette journée. Dit clever à l'encontre de leur domestique qui avait dû mettre fin à ses vacance précipitamment.

- D'accord monsieur . Elle va s'en sortir . Rétorqua t elle sur un ton compatissant .

Il monta dans sa chambre, prit une douche avant de redescendre boire son café et se rendre à l'hôpital où était Mareze. À son arrivé, le médecin en charge de cette dernière lui fait comprendre qu'elle s'était réveillé depuis une heure mais n'avait encore dit aucun mots . Elle était muette et pleurait à chaque fois qu'il se rendait à sa chambre ; par conséquent, on avait dû le retirer Mareze comme patient.

- mais Pourquoi réagit elle ainsi ? Questionna clever.

- je vous retourne la question très cher. Il est clair que cette jeune fille soit traumatisé par la gente masculine. Si vous voulez un conseil, il vaut l'amener voir un spécialiste. Dit le médecin

Clever était tout à fait d'accord avec le médecin depuis que Mareze était chez lui, il l'entendait pleurer tout les soirs et lorsqu'il venait pour inspecté ce qui se passait, il était surpris de la trouver endormie luttant dans son sommeil . Suite à la fin de sa discussion avec le médecin, il se rendit dans la chambre de l'adolescente voir par lui même comme elle se portait. Une fois les porte de sa chambre passé, il l'a vît coucher paisiblement, sa bouche en coeur d'un marron naturel, ses paupières close renferment ses pupilles couleur noisette. Il contempla sa peau chocolat douce aussi bien à la vue qu'au touché. Il prit place sur le siège en face de son lit la fixant toujours tout en se posant mille et une question à propos de ce petit être apeuré en longueur de temps ,timide et douce dans ses gestes. Il n'avait même pas idée de l'ampleur des maux qu'elle avait déjà eut

Il vit ses paupières bougent et s'ouvrir avec nonchalance ; il esquissa un sourire ravie qu'elle puisse se réveiller malheureusement, lorsque la

Jeune fille pivota sa tête vers lui, ses pupilles se dilataient et elle se mit à s'affoler comme ci elle était face à un monstre, l'un de ses fantômes . Il eu obligé de sorti de la salle et appela l'infirmière qui lui injecta un sédatif pour qu'elle se calme.

Les hommes étaient devenu sa plus grande peur et le silence le gouffre dans le quel elle sombrait.

Voici un mois jour pour jour que clever ne cesse d'aller à l'hôpital pour la voir et le même scénario se produisait encore et encore . Les examens sanitaire qu'on l'avait fait passé avec révélé à ce dernier que Mareze avait été violé plus d'une fois et également qu'elle avait été battue. Ayant appris cette nouvelle, Il s'était rendu chez son père questionner chaque emploies présent la nuit de l'incident pour savoir si c'était l'un d'eux le responsable ; Il alla même jusqu'à les menacé de poursuite judiciaire. Néanmoins, ses questions n'eurent pas de réponse escompter. Il était loin de se douté que s'était son propre père et le sien les responsables de ces faits odieux. Et que c'était à cause de sa ressemble avec son père qu'elle le craignait tant. Pour Fritz , Elle n'était qu'une garantie donc il ne se préoccupait pas d'elle mais part contre, Il se rendait très souvent à l'hôpital menacé la jeune fille de mort si jamais elle ouvrait sa bouche. L'épisode de l'hôpital fût de loin le plus traumatisant de toute sa vie car elle revivait les coups, les viols et les menaces incessantes. Pourrait elle un jour ou l'autre ressentir une façon différente d'aimer?

                         

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