Chapitre 4 Chapitre III : suicide

-clever où est elle ?

- elle prend une douche .

Fritz Stone est un homme d'âge mûre grand entrepreneur dans les firme alimentaire ; il était de nature sérieux, droit et rigoureux en affaire. Il était craint de tous.

Hier il avait arraché une Fille à son père il trouvait que c'était la moindre des choses à faire s'il voulait avoir son argent , il avait prévue qu'elle serait sa domestiques le temps que la dette soit réglé au cas où Cela n'est pas fait elle demeurera sous ses ordres.

- trois mois avec une fille que je suis est en période de classe n'exagère tu pas. Papa ! Rajouta t il

- c'est à son père que tu devrais posé cette question. Il aurait dû penser à me rembourser avant que cela n'arrive. Dit fritz assis sur la terrasse prenant son petit déjeuner.

-Ça ne se fait plus ce genre de chose. Elle, elle n'a rien fait pour mériter ça donc il fallait la laissé en dehors de toute vos histoires ; en plus que compte tu faire d'elle ? Question clever indigne par la manie qu'avait son père de prendre des gens comme gage.

- Elle sera ma domestiques . Dit il simple portant la tasse Fument à ses lèvres.

- et tu fais quoi de Maria ?

- elle est en vacances le temps que cette gamine est là !

Clever retourna dans la chambre pour faire descendre l'adolescente au Salon pour une discussion avec son père. Mareze avait arrêté ses cheveux crépus en un chignon avec un morceau de tissu aussi noir que ces derniers. Elle portait un pantalon asse large pour elle et un t-shirt blanc l'accoste également long et large pour son petit corps. Elle tremblait de toute part, terrifier, apeuré par les nouveaux visages qu'elle voyait. Clever là poussa vers l'avant d'une main très lente mais, elle ne bougea pas et secoua la tête pour lui faire comprendre qu'elle ne voulait pas aller vers l'homme assis tous seul sur la terrasse. Alors, clever se mit à sa hauteur ,la regarda dans les yeux et lui dit très posément :

- il veux juste parler avec toi. Dit il pour la rassurer

Lors de l'entretien avec M. Stone, Mareze ne donnait que des réponses Bref et courte car il lui faisais peur et la rappela son bourreau. À chaque geste de main porté vers elle, elle se couvrait le visage pour se protégé .

Il aurait fallut être aveugle pour ne pas voir la souffrance de cette adolescente. À chaque fois qu'un homme émettait l'envie de la toucher peur importe comment , sa réaction était tout d'abord de se protéger le visage. La nuit chez elle était toujours de courte durée par peur de se faire agresser, les cauchemars ne l'a laissait pas de plus la parole disparaissait au fils du temps.

Ce jour là, les tâches ménagères étant terminé elle décida de remonté à sa chambre pour se reposer. Quelque minutes après, elle sentit une présence à ses côtés. Se réveillant en sursaut, s'est à son patron qu'elle fit face puant d'alcool.

Il s'avança vers elle en prononçant des mots incompréhensible ; exerçant de tout sa force pour la bloquer coucher sur le lit, après mainte protestation, supplication et s'être battue comme une folle contre lui, elle laissa échapper une larme qui démontrait que c'était la fin pour elle.

Aprés cet acte odieux, il était sorti de sa chambre la laissant là dans la douleur et recouverte également de sang. Elle revit tout se par quoi elle était déjà passé seulement à quinze ans de vie et décida d'y mettre un terme. Elle se leva, alla dans la salle de bain brisa le miroir en vase d'elle en le faisant tomber , prit un des morceaux et s'ouvrir les veines de son poignet gauche et convulsa .