_ non papa ! Arrête s'il te plaît!
Se fût les mots prononcent à ce bourreau d'enfants ; sa victime l'implora cette nuit-là de toute ses forces mais lui, n'avais rien à faire de ses pleures. Elle n'avait que dix ans lorsqu'elle connues la douleur d'un viol par celui qu'elle considérait comme son père . Les larmes sur son visage ne cassaient de couler . Elle ne savait pas très bien ce qui se passait ,tout ce qu'elle ressentit ce jour-là fût de la douleur tant par le viol que par les coups infligés par son bourreau; en voyant du sang couler le long de ses frêles petites jambes, elle fondit une fois de plus en larme . Elle pleurait le ciel , sa mère morte trop tôt, son beau-père qui la maltraitait. Cela fût sa première fois et le début d'un calvaire sans fin.
À douze ans sonné , assise en cours; elle eut un malaise décisif pour sa vie future. L'infirmière fît appelé son beau-père qui s'empressa de venir à son école ; il était réputé pour être l'exemple même du père parfait, il montrait devant le grand public un visage angélique; personne ne pouvait se douter qu'il était en réalité une personne détestable.
À la suite de la visite dans un petit hôpital du quartier, on lui apprit que la fillette malgré son âge avait contracté une grossesse, il devint sévère à cette annonce ;prit la fillette et rentraient dans leur maison . Il la fait couché une fois le déjeuner prit et se rendit dans une pharmacie de rue où il acheta des médicaments peut fiables et rentra chez lui , monta dans la chambre de la fillette déjà éveillée.
- tiens! bois ceci . Dit-il à l'encontre de la fillette qui, sans trop posé de questions prit les médicaments et les avala les uns après les autres avant de se recoucher.
La nuit fût tranquille ;c'était presque inimaginables pour la fillette qu'elle puisse dormir sans que son bourreau ne fasse irruption dans sa chambre. Les sursauts l'a fît interrompre plus d'une fois son sommeil; les cauchemars de son bourreau lui vînt de temps à autre ;jusqu'à lui cause une forte fièvre . Le jour se leva sa fièvre ne se dissipait pas au contraire elle s'accroit au fils des minutes, les ressentit une forte douleur au niveau du bas ventre et du sang lui couler sur les jambes. Son bourreau arriva à cet instant et la conduisit jusqu'à l'hôpital de la veille où on diagnostiqua à la fillette une complication lors de l'avortement ; les médicaments qu'elle avait prit n'était pas de bonne qualité par conséquent, cela avaient affectés son utérus trop jeune pour ces pratiques; l'on craint même le faite qu'elle puisse enfanté un jour sans y laisser sa vie.
Après cet épisode de sa vie, son bourreau ne la touchait plus sexuellement , il se réfugia dans l'alcool , les jeux de hasard et la battait constamment, lui disant que s'était de sa faute si sa mère était morte et aussi qu'elle n'était pas une bonne fille par ce qu'elle n'arrivait pas à remplacer sa mère .Mareze connue l'amour par la violence car toute sa vie elle en a été victime.