lendemain, elle se réveilla dans une pièce si grande qu'elle avait de la peine à croire que
cela n'était qu'une chambre. Perdue, elle se mit à regarder autour d'elle se demandant où est-ce qu'elle pouvait bien se trouver. Elle prit courage et s'avança vers la porte qui, était verrouillé à son plus grand désarroi. Elle ne s'affolait pas mais se mit plutôt à se balader dans cette grande et très luxueuse chambre. C'était une première fois pour elle de se trouver dans un endroit aussi beau. Lorsque le verrou bougea, elle courue en vitesse se replonger sous les draps et ferma fort ses yeux.
-Bonjour petite ébène. Dit l'inconnu venant de faire son entré dans cette chambre. La voie de ce dernier était douce à l'oreille et suave un timbre particulièrement jeune ,calme à basse modéré.
- tu sais, Si tu te réveille pas tu pourras savoir qui je suis et ce que je te veux. Reprit ce dernier en s'asseyant sur le rebord du lit . C'est donc péniblement qu'elle ouvrit les yeux, s'assit sur le lit en collant son dos au mur et ramenant ses draps jusqu'à son jolie, petit et innocente visage. Elle ne parlait pas , l'homme se repositionna de telle sorte qu'elle puisse voir son visage. Afficha un sourire chaleureux et dit :
-ré bonjour ! moi c'est clever et toi petite ébène comment tu t'appelles ?
La concerné ramena ses genoux vers son menton, regarda vers le bas et répondit d'une voie timide et pratiquement sourde.
- Ma..re..ze John..son. Balayait elle
Clever se leva, s'approcha d'elle la main tendue ; Mareze par habitude d'être battue cacha son visage de ses mains et se recoquilla tel un escargot.
- je voulais juste de serré la main. Petite ébène.
Mareze resta cacher tétanisé par la peur de se faire frapper dessus. Il s'éloigna donc d'elle et alla chercher des vêtements qu'il prit soin de mettre sur le lit .
Clever Stone était un jeune homme qui fessait son entré dans la vingtaine, sa beauté masculine était singulièrement attirante. Ses yeux d'un noir profond avait le don de déstabiliser ses interlocuteurs, d'un Charisme troublant, il parlait à cette adolescente avec toit le calme possible car il été peiner que son père est recommence à confisqué les gens pour des dettes.
- quand tu finiras de te cacher, vas prendre Un bain. Dépêche toi je reviens te chercher après ; le nécessaire est dans la salle de bain et Voici quelques vêtements, désolé s'il son trop grand . Ils m'appartient. Dit-il gentiment en s'avançant vers la porte de sortie
- attendez monsieur clever. Émit la jeune fille. Le concernée se retourna l'air de rien.
- Oui petite ébène.
Elle prit une grande inspiration et dit :
- vous allez me tué ? Questionna t elle
voie tremblante pour toute réponse clever émit juste un léger sourire.
- je viens te chercher quand tu auras finie. Rétorqua t il avant de refermer la porte .mareze n'avait pas d'autre choix que de faire ce qu'on lui demandait si jamais elle voulait sortir de cette chambre.