Chapitre 5 Au tour de la table

je refermais la porte derrière moi très fière de ce que je venais de dire néanmoins j'avais peur ,cet homme aspire la crainte à mille kilomètres à la ronde mais je venais à me persuader qu'il ne me ferai jamais de mal ,je me dirigeais vers la chambre qui était la mienne avant que j'accède à celle ci je pénètre dans une salle tout aussi ordinaire je fus surpris de voir une bibliothèque il y avait des livres de tout genre je m'assieds et opte pour Germinal d'Émile Zola je l'avais déjà lu mais pourquoi pas une deuxième lecture je pris le livre et commenca.

j'étais toujours dans la bibliothèque lorsque Cheryl est venue m'annoncer qu'il était l'heure du dîner je fus surpris d'avoir passer autant de temps dans la bibliothèque ce que j'adorais le plus c'était lire et danser j'exprimais mes ressentis dans la danse j'avais même participer à certains compétition de danse où j'étais la gagnante j'étais heureuse sur scène à me dehencher comme une malade matal j'arrivais à oublier ceux que ma mère et ma sœur m'avaient infligé

-oup je monte prendre mon bain d'abord je vous rejoins

-monsieur colombo désire vous voir à table dans vingt minutes et je vous signale qu'il n'aime pas le retard

-ouais c'est ca j'y vais maintenant avant que ton Cher patron ne s'énerve

dis-je en me dirigea vers la sortie une fois dans ma chambre je pris rapidement une douche me refais une petite beauté avant de porter mes habits je restais fidèle à moi même un pantalon utilitaire et un haut rose qui mettait en valeur mon sac à main qui était de la même couleur je descendis les escaliers avant de pénétrer dans la salle à manger où je trouvais William debout avec un costume noir très élégant des chaussures en cuir il me tendit la main que j'eus prendre il me fait assoir sur l'un des chaises de cette gigantesque table il y avait un peu de tout ca semblait très délicieux plusieurs personnes étaient au tour de la table

-mademoiselle Alvez je vous présente ma famille là il y'a mon père Yuri dit-il en me présentant un homme de la quarantaine tout au plus

il avait les mêmes traits de visage que celui ci sauf que il se faisait vieux mais restait toujours aussi beau Issus des yeux aussi vert que son fils lui aussi aspirait la crainte

-enchanté monsieur dis-je au monsieur qui acquiesça par la tête

-ici il y'a ma mère Angèle la maîtresse de la maison

celle ci me regarda de haut en bas elle était des femmes qui méprisaient je ne comptais pas me laisser faire si elle était méprisante j'étais une rebelle de renom

-enchanté madame vous êtes magnifique

elle ne prend pas le temps de me répondre et piqua dans son assiette sans adresser un mot de plus

-mademoiselle Alvez je vous présente mon oncle Albert et son fils Jason et juste auprès de lui sa mère Antoinette dit-il avec autant de faciliter et impassibilité

-vous avez de magnifiques yeux Alma dit son cousin jason en me regardant droit dans les yeux

-merci beaucoup je suis ravi de faire votre connaissance

le dîner commeca personne ne parlait Nous étions dans un silence de mort malgré que moi et ma famille ne s'attendait pas je ne restais jamais muette Lors du dîner

-Alors jason toi aussi tu es un mafieux

tous me regardèrent un rire s'éclate et c'est celui de Monsieur Yuri et monsieur Albert William lui était toujours concentrer sur son plan sans admettre le moindre son

-oui je suis moi aussi un mafieux

-oui ca je le savais juste pour mieux confirmer, dis tu es un espion ,un sniper où tu es juste comme ces statuettes à l'entré

des rire se retentir et même madame Antoinette avait rit

-je dirige la mafia ca se voit que tu t'y connais bien plus que tu parais

-non pas vraiment je suis une nouvelle tu vois où je veux en venir où tu vois pas

-mademoiselle Alvez je vois bien où vous voulez en venir ...

je voulais en rajouter mais William dont les yeux étaient rivé sur son assiette les dirigeants vers moi un silence lourd pesait dans la salle c'est comme si tout le monde le craignais alors que le parrain même était juste à côté de lui se tu par la même occasion j'étais vraiment bouche b comment une seule personne pouvait clouer le bec à toutes une colonie j'étais intrigué et je voulais en savoir d'avantage sur cet homme

-mademoiselle Alvez Nous ne sommes pas dans un cirque mais à table c'est la dernière fois que vous chamboulez l'équilibre de cette table avec vos commentaires déplacer rétorqua-il

-je ne vois pas ce que j'ai dis de mal j'apprends juste à connaître votre famille lui dis-je

-fermez la lorsque mon fils vous parle salle dévergondé de bas étage tu es comme toute ses prostituées sur la qu'elle mon fils est attiré mais celà se terminera au plus vite et tu quitteras cette maison pour ta vraie place gamine de mauvaise qualité délibéra sa mère en me regarda droit dans les yeux

-la bouche est fait pour s'exprimer madame, j'ai voulu être gentil avec vous mais vous me prenez de haut d'abord je ne suis pas une petite dévergondé ni une proposition je vaux Mille fois mieux que les filles que côtoient votre fils ,regardez vous dans un miroir avant de dire des bêtises surtout avec ce genre de coiffure grâce au seigneur que votre fils a prit les traits de visage de son père sinon ce serait une horreur dis-je

elle me regarda très choqué je m'en fiche je voulais juste être gentille avec elle et elle me prend de haut je n'allais pas me laisser faire je quitte la table et me dirige vers l'extérieur sur les nombreux rire d'entre eux je me retournais une dernière fois et William était resté impassible qui est cet homme

excusez pour les nombreux erreurs comment vous trouvez l'histoire surtout votez