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j'étais dans la salle de bain je comptais bien en profiter ,en plus il était comme moi je préférerais bien mousseux à l'eau de rose parfumé légèrement de fraise lorsque l'eau fut se refroidir je sorti de celle-ci je fus surprise de voir Cheryl encore plaqué elle s'est même pas permise de s'asseoir
-tu aurais dû te mettre à ton aise
-mais non je suis bien commenca mademoiselle je vais vous aider à vous habillez et maquiller comme mon bosse le préfère
-je ne suis pas la pute de ton bosse compris je m'habille comme je veux c'est mon corps et j'ai le choix de faire ce que je veux avec
-a votre place je me laisserai faire mademoiselle
-justement je ne suis pas toi et je ne veux pas être aussi coincé que toi tu fais le même âge que moi et tu me donne assez de supériorité
-mais c'est normal vous êtes l'inviter du patron veiller me laisser vous maquiller
-je ne suis pas l'inviter d'un mafieux et je ne vous laisserai pas me maquiller
je retirais d'elle et me dirigeais vers la penderie j'aimais pas m'habiller extravagante comme toutes les jeunes filles de mon âge j'étais pour la simplicité j'opterais pour un pantalon utilitaire bleu marine un tee-shirt blanc avec des escarpins noirs je me maquille très légèrement simple mais assez jolie
-vous devriez m'écouter même si vous ne savez rien de ce monsieur il peut être assez monstrueux c'est pour ca que c'est tout ses ennemis le craint autant c'est pas un simple mafieux non'm....
-cheryl détresse et arrête de paniquer ton idiot de bosse te virera pas compte sur moi ok
elle me sourit un peu gêné qu'est cet homme a bien pu faire pour que ses employés le craint ainsi j'étais pas du même avis je craignais personne moi je sortis de ma chambre et me dirigeais vers le bureau de mon kidnappeur sous les directives de Cheryl arrivé devant une grande porte blanche elle retourna le talon et s'en allant
je pris un énorme bouffé d'air avant de me décider à ouvrir cette porte j'entrais et retrouvais deux hommes l'autre était assez âge je dirais la quarantaine et d'autre bah il était plus jeune mais cruellement beau il était dans un smoking noir avec des souliers en cuire des cheveux noirs attaché en demi chion les lèvres rosés et pulpeuses de la je sentais la curiosité de cet homme j'eus même envie de prendre mes jambes à mon cou il plongeant ses yeux vairons sur moi ce qui me destabilisais encore plus je les avais trouvé dans une conversation qui a été interrompu par le plus jeune le vieux quitta la salle Nous laissant que nous deux
-mademoiselle Alvez enfin je vous rencontre
-je peux vous dire avec certitude que je ne suis pas emu de vous rencontrer
-oh mademoiselle c'est ainsi on ne peut pas toujours aimé ce que la vie nous offre
j'essayais de lire en lui mais je ne voyais rien il était impassible comme une âme sans vie tout ce que je voulais c'est de faire il contourna son bureau avant de me dire
-c'est vous qui vous amusez a jouer avec mes hommes combien de jours une semaine c'est ca
-huit jour est le nombre exact n'avez vous pas appris à compter où devrais -je vous l'apprendre
-vous devriez plutôt me craindre je suis loin d'être un enfant de cœur croyez moi
-je suis loin d'être une fille de cœur et surtout une dévoué j'ai pas peur de vous ni de personne d'ailleurs j'ai peur de personnes et ce n'est certainement pas de vous que j'aurai peur
-quel comique j'en meur de rire dit-il avec une voix glacial
à cet instant j'eus encore plus peur de cet homme c'était la première fois que je frissonne devant un homme toutefois je me laisse pas pour autant le percevoir
-que me voulez vous vraiment pourquoi je suis là
-j'avoue que mon plan de depart était de vous intégrer dans une maison close de l'un de mes associés mais j'ai changé d'avis je voulais rencontrer en personne la personne qui s'est joué de mes hommes depuis plus d'une semaine
-etes vous satisfait après m'avoir rencontrer
-non ,si votre venue était juste pour satisfaire mon desire le plus bestial mademoiselle Alvez .William Colombo le chef de tout les mafieux croyez vous ne pas toujours me craindre
je vois maintenant de quoi Cheryl voulait en venir néanmoins je ne laisse pas la peur me submerger celà pourrais être un sentiment qui se retournera tôt où tard contre moi
-j'y prendrais pas de plaisir William Colombo
dis-je avant de le contourner pour me diriger vers la porte très sure de moi avec une démarche imposante
-surtout que j'avais appris qu'il était minuscule
rajoutais-je avant de claquer la porte et de disparaitre de son champ de vision pour la vierge que je suis je trouve celà assez audacieux
point de vu de William Colombo
j'étais dans mon bureau lorsqu'elle est rentrée dans une démarche pas possible elle dehenchait son fessier juste devant moi lorsqu'elle fut assez proche je contournais mon bureau bien après que mon oncle fut loin de cette pièce
-mademoiselle Alvez je vous rencontre enfin
dis-je d'une voix impassible je voulais qu'elle me craint qu'elle ait peur de moi mais ce ne fut pas le cas car elle me tenait tête
-william Colombo crois tu vraiment ne pas me craindre
j'eus voir de la peur dans ses yeux mais ce ne fut qu'un instant de temps pas assez suffisant elle était décidé à me tenir tête
-j'ai peur de personnes surtout pas avec vous que celà commencera
-et si votre venue était juste pour satisfaire mon désir le plus bestiale
-j'y prendrais pas de plaisir surtout que j'ai appris qu'il était minuscule
dit-elle avant de disparaitre de mon champ de vision j'eus envi la rattraper pour lui faire avaler un par un ses mots mais j'étais trop fier je voulais qu'elle me craint qu'elle ait peur de moi et j'étais decider à lui faire regretter ses actes