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[...] J'étais allé vers elle un soir pour lui demander les nouvelles de Tantine Olivia. Elle me manquait beaucoup. Je maigrissais même. Ma mère m'avait dit qu'elle ne savait pas et que je ne devais plus lui poser cette question. Elle m'avait clairement demandé de ne plus la perturber avec ces questions. Elle n'avait jamais pensé qu'en tant que bonne mère, elle devait soigneusement enquêter sur ce sujet pour connaitre l'origine de mes multiples requêtes.
J'étais intelligent. J'étais très intelligent. Malgré l'abandon et la solitude, je me débrouillais pour travailler à l'école et obtenir de meilleurs résultats.
Cette envie sexuelle avait fini par se calmer. Cela m'avait pris près de 6 mois pour revenir à la réalité. J'avais même fini par oublier tantine Olivia et tout ce que nous faisions. Peut-être parce qu'il n'y avait plus de filles autours de moi.
J'avais 10 ans lorsque j'obtins mon CEP et l'entrée au collège. Mon père m'avait inscrit dans le privé pour plus de sérieux et de discipline. J'étais brillant et j'avais décidé me concentrer complètement dans mes études.
Je me souviens encore de ce fameux soir. J'étais rentré des classes très fatigué après avoir passé une journée à jouer. Je n'avais presque pas manger. Je n'avais pas mangé du tout. Après mon bain j'étais allé dormir. Il était 17h quand le sommeil me posséda. Quelques heures après, le sommeil quitta mes yeux. Je commençais à ressentir la faim. Et l'envie d'uriner en même temps. J'avais quitté mon lit. J'allais dans la cuisine lorsque j'entendis du salon, ma mère gémir. Je savais déjà ce que cela représentait. Je sais que ma mère prenait probablement un fou plaisir. C'est comme si à cet instant toute ma vie avec tantine Olivia revint dans mes pensées. L'envie de manger disparu. La curiosité domina sur l'envie d'uriner.
Je marchais sur la pointe des pieds jusqu'à la porte du salon et me cachait derrière les rideaux. Je voyais mes parents. Ma mère un genoux sur le canapé et l'autre au sol, recevant le gigantesque « zizi » de mon père.
--- Florence ne crie pas trop Papou peut se réveiller. Avait lancé mon père
--- Chéri tu penses que c'est facile de ne pas crier ? tu es trop bon. Mais il ne peut pas se réveiller. Il dort comme un porc celui-là. Pardon enfonce bébé.
Effectivement j'étais de nature à dormir comme un porc. Mais peut-on vraiment faire d'une remarque une conclusion ? j'étais bel et bien là. Les yeux grands ouvert. Regardant mes parents se livrer au sport le plus ancien.
Mon petit zizi était déjà debout. Je le touchais et le pressais. J'avais envie de faire comme eux. L'envie grandissait encore et encore. Mais je ne pouvais rien faire. J'étais retourné dans ma chambre. J'avais attendu qu'ils aillent dans la leur pour me lever et manger.
Ce que je vis ce soir-là, me troubla une fois de plus pendant au moins 1 mois. J'avais 10 ans. J'étais petit. Mais plus très petit.
J'avais 11 ans cette fois lorsque ma cousine vint vivre chez nous. C'était la fille à la grande sœur de mon père. Elle était de loin mon ainée. Elle pouvait avoir 25 ans ou même 27.
J'étais au salon lorsque j'appris la nouvelle.
--- papou mets les bagages de Miranda dans ta chambre. Elle vivre ici maintenant. Tu essayes d'arranger à chambre. Je te connais avec le désordre
--- Elle va dormir dans ma chambre ?
--- Tu veux qu'elle dorme dans la mienne ? il y a combien de chambre ici ? Le lit n'est pas à étage ? elle va dormir sur le lit du bas.
J'avais une nouvelle tantine. Mais cette fois c'était ma cousine. Je savais que c'est strictement interdit de faire les choses d'adultes avec les gens de la même famille. L'école m'avait déjà donné cette éducation. Tantine Miranda était belle. Un peu petite grande de corps et de taille que Tantine Olivia. Elle était très souriante et semblait très calme. Elle ne causait pas beaucoup.
Je croyais que c'était sa nature. Je croyais que c'était une femme imposante qu'on ne doit pas tenter. J'avais enlevé toute idée qu'entre elle et moi, il puisse avoir quelques « jeux d'adultes » comme avec Tantine Olivia.
--- Le gros Papou à grandit hein... tout beau et tout souriant. Avait lancé tantine à ma mère.
J'avais souri en ramenant ses affaires ans ma chambre.
J'étais devenu grand avant de comprendre. Peut-être j'étais simplement maudit depuis ma naissance. Peut-être on m'avait jeté un sort. J'étais petit. Mais il semblait que j'étais irrésistible. Comme si quelque chose en moi attirait naturellement ces femmes.
J'avais passé un mois dans cette même maison avec Tantine Miranda. Elle n'avait aucune activité. Elle restait à la maison toute la journée et s'occupait des tâches domestiques.
J'avais entendu ma mère dire à son amie un après-midi que sa nièce Miranda avait été chassé par sa mère parce qu'elle passait ses nuits dehors avec les hommes. Notre maison était donc pour elle comme un centre de correction. Sous les regards de mon père, elle devait mieux se ranger.
Elle était devenue la nouvelle domestique de la maison. S'occupant de tout et prenant soin de moi et de Rita ma petite sœur.
Il était probablement 22h une nuit lorsque couché dans on lit, j'avais entendu ses conversations téléphoniques. Elle souffrait. Je l'entendais dire à son destinataire qu'elle avait des désirs sexuels très élevés. Je l'entendais dire qu'elle voulait à tout prix recevoir en elle quelque chose de dure. Elle était sérieuse le disant. Elle le disait avec une voix assez sensuelle. Comme si ses paroles s'accompagnaient des gestes. Comme si elle sentait vraiment la présence de quelqu'un près d'elle.
J'étais reste calme. Comme mort. J'écoutais tout. Je rêvais déjà. Lorsqu'elle termina, elle mit des écouteurs et j'entendais des cris de gémissements venant de ses écouteurs. Dans la nuit noire, dans le calme total, je pouvais facilement écouter le son qui ressortait de ses écouteurs. Qu'est-ce qu'elle pouvait bien voir ? Je ne connaissais pas encore la pornographie. Je n'avais jusqu'ici encore jamais entendu parler. Mais j'étais curieux de savoir. Très curieux.
Je commençais désormais à regarder Tantine Miranda sous un autre angle.
Nous étions en week-end. Les parents étant au travail, je devais me charger de nettoyer leur chambre puisque Tantine Miranda n'avait pas l'accès. Du moins, elle ne voulait pas le faire.
Je rangeais les affaires lorsque je vis un lot de cassette posé sur l'étagère ou ma mère pose très souvent ses produits de beauté. Je m'étais approché dégageant la zone et je constatai qu'il s'agissait des vidéos pour adultes. C'était marqué interdit au moins de 18 ans. Et les dessins sur les pochettes, attirèrent largement mon attentions. Des femmes nues, des hommes nus. C'était des cassettes porno*graphiques.
J'ouvris les yeux longuement. Mon cœur se mit à battre. Je devais absolument les voir. Je ne pouvais pas les laisser là sans combler ma curiosité. Qu'est ce qui se passait bien dans ces vidéos ? Mes parents aussi visionnent ces choses ? je me posais milles et une question.
Mes parents avaient une télé dans leur chambre et un DVD. Un appareil qui ne restait que dans leur chambre et pas dans le salon car nous avions le cabale. Je me demandais là, comment j'allais faire pour visionner cela.
Tantine Miranda m'attendait avec les habits de mes parents à laver. Je me dépêchai donc de finir le nettoyage en quelques minutes. Je pris les habits sales que je lui donnai de laver comme elle me l'avait demandé.
Je n'avais plus à faire. J'étais désormais libre. Il était 10h. j'étais entré dans la chambre de mes parents et j'avais fermé la porte de l'intérieur. J'avais allumé la télé et curieusement l'une des cassettes était déjà dans l'appareil. Je mis le volume à bas et je visionnai.
Je prenais goût à ce que mes yeux voyaient. J'adorais ce qui passait. Ça me rappelait mes moments avec tantine Olivia. Ça me rappelait des périodes où elle et moi nous livrons à cette pratique.
Je ne voyais pas le temps passé. Je passais une cassette après l'autre. Je voyais des choses inimaginables dans mon petit esprit. Des pratiques que je refusais d'accepter et de croire. Je devenais addictif à ça.