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[...] Je me dépêchais pour finir ma nourriture qui semblait désormais interminable. Ce riz qui semblait peu lorsqu'elle me servit, devint subitement beaucoup à mes yeux. Je poussai le plat de côté pour nourrir ma curiosité.
Je m'étais dirigé vers ma chambre. La porte était couverte mais pas bloqué. J'entendais tantine Olivia ressortir le même cri de la dernière fois. Ce cris que je compris plus tard qu'il s'appelait du gémissement. Je me mis à sourire. Je m'étais agenouillé et je guettais l'intérieur par la fissure que laissait la porte non bloqué.
Je pouvais voir cet homme prendre tantine Olivia dans diverses position, elle criait et le tirait les draps. Elle coulait de la sueur et adorait le moment. J'étais heureux de ce que je voyais.
Elle se retournait constamment et suçait l'appareil de l'homme. Ce gros bonbon que j'avais vu ma mère sucer sur mon père. Je sentis comme du dégoût. A mon âge je savais que son utilité seul c'était pour uriner. Je ne pouvais pas imaginer qu'une personne pouvait sucer « le pipi » d'un homme.
Cela dura près de 30mn jusqu'à ce que je sente cet homme grogner comme un porc et se coucher.
Je ne voulais pas qu'ils remarquent ma présence. Je m'étais une fois de plus discrètement levé. Là, j'avais constaté que mon « pipi » était tendu et droit comme pour le tonton de tantine Olivia. Je ne comprenais rien, mais ça me faisait plaisir d'avoir évoluer jusqu'à lui ressemble. Je croyais dans mon cœur que c'était déjà un signe qui prouve que je deviens adulte.
Une heure après, ils étaient sortis de la chambre. Ce tonton s'en alla et tantine Olivia s'assit comme si de rien n'était. Elle avait une très petite tenu et un simple soutien-gorge.
Je ne cessais de me questionner sur ce genre de jeu qui faisait si plaisir aux concernés, pourtant semblait être une torture.
Le lendemain dimanche, j'étais presque triste. Tantine Olivia avait remarqué me demandant ce qui n'allait pas.
--- Tu avais dit que tu vas me montrer comment on joue les jeux d'adulte, mais jusqu'à présent tu n'as rien montré. On n'a pas joué
---Oh ! Mon papou c'est pour ça que tu es fâché ?
--- Oui. Et hier tu as joué avec le tonton là
--- Comment tu as su tu nous as vu ?
Je m'étais mis à sourire jusqu'à en rire au final
--- Oui j'étais venu guetter et j'ai tout vu
Nous avions ri. Elle avait ri. Celle qui était sensée prendre soin de moi et m'éduquer avait ri et semblait heureuse après avoir su que j'avais vu toutes ces parties.
--- Tu sais quoi ? allons dans la chambre je vais te montrer quelque chose.
La joie me posséda à cet instant. L'envie de savoir ce qu'elle voulait me montrer. Je savais qu'on allait jouer et qu'elle allait me rendre très vite adulte.
Ma petite sœur Rita dormait sur le canapé. J'ai suivi tantine Olivia dans la chambre.
--- Papou je veux que tu me promettes encore maintenant que tout ce qu'on va faire ensemble tu ne vas jamais dire ça à qui que ce soit. Même si c'est ton ami, tu ne lui dis pas. Ça sera notre secret à nous deux
--- Tantine je ne vais jamais dire je promets
--- Tu es sûr que si papa ou mama demande tu ne vas pas dire ?
--- Non je ne vais rien dire tantine je jure.
Pour me faire maintenir ma promesse, elle fit quelque chose de symbolique pour me faire promettre une fois de plus dans la peur. Elle prit une aiguille et me piqua le doigt
--- je vais sucer le petit sang qui sort si et ça sera notre accord. Le jour que tu dis, tu vas mourir tu as compris ?
J'avais accepté à cette alliance. Je ne devais jamais dire, et je devais maintenir notre accord.
Ce qu'elle me fit ce jour fut la mauvaise semence planté dans une bonne terre qui, au fil du temps germa et donna de très mauvais fruits en quantité.
Tantine Olivia se mit nue comme au jour de sa naissance. Elle me demanda de me déshabiller moi aussi. Ce que je fis sans hésiter et avec enthousiasme.
--- Waouh ! C'est quoi ça papou ? Ton pipi est déjà debout ?
J'avais honte. J'avais ri.
J'étais jeune. Je n'avais que 7 ans.
--- Même hier c'était comme ça quand je vous voyais jouer.
--- Super ça montre que tu es un vrai homme. Couche toi je vais danser un peu devant toi, tu vas voir et si tu veux tu me touches partout d'accord ?
--- Ok tantine.
Elle avait dansé. Je ne savais pas ce quel plaisir j'allais ressentir. J'étais juste heureux pour la confiance qu'elle avait envers moi. Elle s'approchait constamment de moi et secouait ses fesses devant ma face et me demandait de les toucher.
Elle se mit à genoux et prit mon « pipi » dans sa bouche.
Je reçu à cet instant comme une autre force entrer en moi. Je commençai à ressentir du plaisir. Un réel plaisir
--- C'est bon ? tu aimes notre jeu ?
--- Oui tata j'aime trop c'est bien.
Effectivement je prenais du plaisir. Puis je l'avais entendu dire : « est-ce que son truc ci va même entrer ? »
Elle m'avait demandé de lui caresser son « pipi » à elle, et elle semblait aimer. Elle me demandait de continuer et elle se tortillait de plaisir. J'étais heureux car elle criait de la même manière que les moments où elle était avec son ami tonton.
Elle s'était levée
--- papou je vais faire quelque chose avec toi hein... tu vas aimer. Tu veux qu'on fasse ?
--- Oui tata je veux.
--- Ok je vais enfoncer ton pipi qui est debout là dans mon pipi
--- Comme papa avait fait sur mama ? Tu vas te tourner ?
--- Comment ça ?
--- Je voyais souvent quand papa et mama jouaient ensemble. Papa envoyait son pipi dans pour mama
--- Merde tu as beaucoup vu pour un enfant hein. Oui c'est exactement ça. Mais je ne vais pas me tourner maintenant. Tu vas te coucher et c'est moi qui vais m'asseoir sur toi.
--- Ok on fait alors.
Enthousiaste, curieux... je voulais être comme mes parents. Faire comme eux. Tantine Olivia s'était assise sur moi. Je crois que je pourrai dire que je perdis ma virginité à cet âge. J'avais la verge que j'appelais « pipi » qui chauffait lorsqu'elle entra dans son « pipi ». Je pouvais la voir prendre plaisir. D'ailleurs elle n'avait pas caché son plaisir
--- Merde Papou je ne savais même pas que ça pouvait faire quelque chose. Pourtant c'est bon. Je comprends que ce n'est pas la taille ou grosseur qui importe. J'aime bien.
Je ne pouvais rien dire. Elle faisait valser ses seins sur ma figure et me demandait de les toucher.