AU CŒUR DU PLAISIR, L'ESCORTE D'UNE NUIT
img img AU CŒUR DU PLAISIR, L'ESCORTE D'UNE NUIT img Chapitre 5 Au cœur du plaisir 5
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Chapitre 16 Au cœur du plaisir 16 img
Chapitre 17 L'escorte d'une nuit 17 img
Chapitre 18 L'escorte d'une nuit 18 img
Chapitre 19 Au cœur du plaisir 19 img
Chapitre 20 L'escorte d'une nuit 20 img
Chapitre 21 Chapitre 21 img
Chapitre 22 Chapitre 22 img
Chapitre 23 Chapitre 23 img
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Chapitre 5 Au cœur du plaisir 5

Au cœur du plaisir, L'escorte d'une nuit 5

LE POINT DE VUE DE GABRIEL

Je l'ai ajoutée encore une centaine d'euros pour qu'elle dise que je suis l'homme de sa vie, encore une centaine d'euros pour qu'elle me prenne au sérieux. Mais elle était là figée dans ces pensées.

Je voyais clairement en elle qu'elle voulait accepter tout ces billets d'euros € mais, quelque chose l'empêchait. Je ne savais pratiquement pas quoi.

Mais ensuite, elle sourit.

Ce sourire aussi petit et court qu'il était, je voulais pas qu'elle arrête de sourire. Ce petit geste m'avait fait fondre.

_" je peux bien accepter tout tes billets d'euros. Mais je peux pas passer toute la nuit avec toi gentil homme, je suis navrée. Mais j'ai quelques chose de prévu, que je dois absolument pas laisser m'échapper cette nuit " avoua-t-elle.

_" Gentille homme, tu dis... Je m'appelle Gabriel Montana. "

_" enchantée Gabriel, tu peux m'appeler Rose-" murmura-t-elle en me tendant sa petite main que j'ai serré fermement.

_" Rose, tu as un joli prénom en plus de ce corps... Écoute j'ai assez d'argent pour te garder, je peux t'en donner assez pour que les autres hommes tu les oublies. "

Elle baissa la tête ensuite elle me fixa droit dans les yeux.

_" suis pas vendre désolée, et mon cœur non plus.

_" tu peux rester pour me piller, j'ai encore des € euros sur moi. S'il te plaît. Moi qui pensais que tu faisais chère pour la nuit, je me suis trompé sur toi. Dit-moi ça ferait combien pour toute une vie, je donnerai tout en soir. Je ne veux pas te laisser partir.

_" Gabriel, désolé mais je peux pas te donner ce que tu veux. "

_" mais pourquoi tu refuses. Donc tu préfères rester sous la fraîcheur à chercher des clients, alors que je peux te t'offrir tout ce que tu voudras, il te suffira de demander. ".

_" tu peux pas comprendre.

_" Si, explique moi juste ce qu'il y'a à comprendre. "

Elle inclina ces sourcils en serrant fort tous les billets que je lui avais remis. Très fort dans ces mains comme si ces billets représentèrent absolument pas grand chose que ce qu'elle voulait me faire comprendre difficilement.

_" merci pour tout ces euros €, tu es sympa. J'aurais aimé passer plus de temps avec toi mais, là il faut que j'y aille, désolée Gabriel. "

_" D'accord " dis-je timidement en la laissant partir" mais on pourrait quand même s'échanger les numéros. Tu peux bien me faire ce plaisir s'il te plaît."

Elle répondit en secouant la tête. Disant non.

Rose-Derline me lança un dernier sourire avant de quitter la chambre. Tandis que la porte se refermait doucement derrière elle, je réalisai qu'au-delà de mes propres désirs, chacun vivait avec ses propres responsabilités et batailles. Pour Rose- , sa priorité, je la connaissait pas. Mais c'était bien plus que quelques heures supplémentaires dans un hôtel de luxe.

Ce soir-là, ma rencontre avec Rose- était mémorable , une femme d'une beauté troublante, avec des yeux profonds bleus et mystérieux . Bien qu'elle s'était évaporée, on avait eu une soirée agréable dans une suite d'hôtel chic, nos échanges de mots légers et des sourires furtifs, allèrent me manquer à jamais.

Cependant, je me rappelais encore quelques heures en arrière, quand l'horloge frappa minuit, et je commençais à sentir une angoisse grandissante. Revivant chaque petite minutes dans ma tête.

Je ne voulais pas que cette nuit se termine aussi vite. Alors que je la voyait se préparer à partir, j'ai tenté de la convaincre de rester, en lui offrant plus d'argent, en lui promettant une conversation plus intime, voire même une connexion sincère, dans l'espoir de prolonger cette illusion de proximité.

Mais, elle n'en voulait pas.

Choqué...

J'étais rester silencieux. Après avoir compris à ce moment-là que je ne pouvait pas acheter ce que je cherchais réellement : une véritable compagnie, une connexion qui transcenderait les limites d'une simple transaction.

            
            

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