J'ouvris la porte et je la poussée avec mon pieds violemment, comme si la porte était contre mes intérêts ou qu'elle m'empêchait de prendre plaisir.
Alors qu'on s'embrassait négligemment comme deux toutou réaux, et s'empressa d'enlever mes boutons l'un après l'autre. Ça m'étais de voir qu'elle avait envie de moi, même si c'était son travail de couché avec tous les hommes, je m'en foutait royalement. Tout ce que je voulais c'était elle et personne d'autre.
Mon torse était nu, elle me poussa d'un doigt et je me retrouvai instantanément allongé sur le lit bien dressé, il était recouvert d'un drap en soie.
Elle enleva sa robe ensuite son mentaux.
La courbure de ces formes étaient plus que fascinant. Jamais j'avais vu une femme avec un tel corps. J'étais l'homme auquel aucune fille n'échappait, mais celle là était plus qu'une fille de nuit, elle était plus qu'une escorte.
Non.
Je tuerais pour l'avoir toute la nuit s'il le faut jusqu'au petit matin.
Elle portait une bikini rouge, totalement rouge se soutien gorge et sa culotte avaient la même couleur.
Mais je l'avais pas prise pour admirer ses sous-vêtements, c'était pour jouir en elle qu'elle était là. Lentement elle se glissa sur le lit, comme un lionne en marche. Oui. Ça devenait encore intense.
Elle effleura sa main sur mon érection qui se gonflait sous mon pantalon, et ce geste me donna des frissons dans tout le corps. Si sa main posée sur mon pantalon pouvait transmettre autant de vibration dans mon corps, alors qu'adviendra-t-il si sa peau était contre ma peau ou si ma queue se retrouvait entre son entre jambes, chair contre chaire...?
Mais, j'allais le découvrir la minute suivante.
Elle m'embrassa avec fougue comme si c'était le premier baiser que j'avais reçu pour la première fois dans l'histoire de mes rencontres. Elle s'écrasa contre ma peau, sa poitrine était enflée compressant mon torse tout chaud.
Mince...
Je voulais me lever pour prendre le contrôle de la séance, mais hélas ! Elle m'a repoussé, disant : "laisse moi faire gentil homme" murmura-t-elle d'une voix mélodieuse, douce comme les caresses qu'elle me faisait...Elle me rendait dingue de plus en plus. C'était comme si Dieu me l'avait envoyée spécialement cette nuit. Je voulais ardemment une fille et je l'avais trouvé.
Ensuite, elle me tira par la tête d'une manière tendre et ferme, caressant mon visage tout en me fixant au fond des yeux. Promenant un doigt presque perceptible sur mes lèvres, sur ma pulpe comme si elle cherchait un truc précieux caché au fond de moi. Elle descendit sur mon torse, déposant un dernier baiser, et ce baiser fut comme une étincelle de flamme sur ma peau musclé et tendre.
J'étais chaud bouillant.
Cette fille aux yeux bleus était bonne. Pas seulement physiquement, mais elle savait faire son travail, elle connaissait chaque centimètres de mon corps, chaque fait et geste qu'elle me donnait me faisaient fondre de désir. Elle savait s'y prendre en préliminaire. Elle donnait l'impression de me connaître.
J'étais prêt à doubler son argent et multiplier les heures que je devais passer avec elle. Je l'embrassai d'abord sur son cou, sa nuque en frôlant son oreille et je caressait ces cheveux.
J'ai posé ma bouche contre la sienne en cherchant le meilleur angle, caressant toujours sa poitrine et j'ai enlevé les crochets de son soutien gorge, ensuite ses seins arrondies se trouvaient juste sous mes yeux. J'ai salivé durement en les suçant.
Cette fois, j'ai pointé ma langue, écartant délicatement ses lèvres pulpeuses, ce délicieux finit rouge qui m'était offert. C'était ce moment où je voulais que cette scène soit inépuisable, qu'elle se reproduise à l'infini toute ma vie, que l'émotion se joint à l'excitation et qu'elle puisse enfin me désirer autant que je l'a désirais.
J'ouvrai l'écrin, protégé de ses chairs gourmandes. J'éprouvais le roc de ces dents, je la sentais, s'écarter pour me laisser entrer et pénétrer cette première intimité avec délice et fermeté. J'ai plaqué ma bouche plus fermement contre ma parfaite inconnue, en plongeant ma langue à la recherche des siennes. Dès que je l'ai trouvé, j'ai testé sa forme, ses arrondis, sa fermeté en m'enroulant autour d'elle.
Ensuite elle gémit doucement.