Chapitre 3 La libération

Une fois a l'école je me dirige vers ma salle sans faire attention aux remarques concernant mes bandages, j'allais rentrer dans le bâtiment quand un groupe me barra le chemin, c'est les autres de l'autre fois mais cette fois je peux me défendre, mes mains se n'est rien et mon bras est presque guérie.

• Garçon : Bon maintenant que Mason n'est plus là, on va aller s'amuser encore un peu.

• Fille : Tu n'auras plus autant de chance que la dernière fois.

• Moi : On verras.

• Garçon : Haha en plus tu crois pouvoir faire quelques chose avec tes mains ?

• Fille : On va l'emmener dans un coin.

Il m'emmène dans un coin et il y en a un qui me plaque contre le mur, mes bleue dans le dos me font mal mais ce n'est pas grave.

• Fille : Tu pensais pouvoir faire quoi sérieusement ?

Allez frappe moi en premier, c'est une règle, je n'attaque jamais la première. Il me donna un coup de poing dans la joue, j'aurais un bleue c'est sûr mais bon passons. Je donne un coup de genoux où ça fait mal, quand il se baisse et me lâche, je prend sa tête et lui donne un coup de boule et il s'évanouit. Les autres me regarde étonner, il foncèrent sur moi et ils me donnèrent tous des coups, maintenant je peux les frapper. Au bout de quelques minutes ils étaient tous par terre, je partit vers l'infirmerie et comme d'habitude rentre sans frapper.

• Infirmier : Déjà ?

• Moi : Oui, ils m'ont attendu devant le bâtiment.

• Infirmier : Et cette fois ?

• Moi : Bah ils vous attendent dans un coin.

• Infirmier : Haha très bien j'irais voir plus tard si ils ne viennent toujours pas. Qu'est ce que tu t'es fait aux mains ?

• Moi : Ah ça, c'est rien de spécial.

• Infirmier : Ton père ?

• Moi : Oui, j'ai fait trop de bruit en montant les escaliers a ce qu'il paraît.

• Infirmier : Fait moi voir ça.

Il enlève mes bandage et fait une grimace.

• Infirmier : C'est pas jolie a voir mais ce n'est pas des blessures grave, tu n'auras aucune cicatrice si tu les guérit bien, et ce n'est pas le cas. Toi... tu devrais apprendre a te soigner.

• Moi : J'essaye en vous regardant, mais je n'arrive pas a faire aussi bien que vous.

• Infirmier : Je t'apprendrais si tu veut, et n'hésite pas a m'appeler au cas ou.

• Moi : J'y penserais, merci.

• Infirmier : Bon aller on va refaire tous ça.

Il s'occupa délicatement de toute mes blessures et comme a notre habitude on parle et on rigole, il a toujours fait ça pour me changer les idées et il me raccompagne en classe pour vérifier qu'il ne m'arrive rien en route et faire un coucou a sa femme au passage, ils sont vraiment beau tous les deux, je me demande si ça m'arriveras un jour, mais je ne pense pas que je mérite un tel bonheur. Je me dirige vers ma place et je vois Mason rentrer, je me dis que je suis peut être trop dur avec lui. A la fin de la matinée, je me dépêche d'aller voir Mason avant qu'il ne parte.

• Moi : Je peux te parler en privé ?

• Garçon : Tu ne vas pas le tuer quand même ?

• Fille : Parce que tu sais, il est très sociable donc il essaye de faire ami ami avec tous le monde...

• Garçon : Ce n'était pas méchant hein !

Je les regarda et rigola un peu.

• Moi : Ne vous en faites pas, je vous le rendrais en un seul morceau.

• Garçon : Waouh...

• Fille : Oui... waouh...

Tous le monde sors sauf nous, une fois tous le monde sortis je le regarde dans les yeux.

• Moi : J'ai peut être oublier de te remercier pour la dernière fois, c'était gentil de ta part. Et merci d'avoir proposer de me raccompagner hier aussi.

• Mason : Ah eu... pas de problème !

• Moi : Voilà c'est tous.

J'allais partir mais il me retiens la main, je sers les dents et enlève ma main le plus vite possible.

• Mason : Attend ! Ah désoler.

• Moi : Pas grave.

• Mason : Qu'est ce qu'il t'es arriver a la main .

• Moi : Rien de spécial.

• Mason : Tu es sûr ?

• Moi : Oui sûr. Bon salut.

Je pars et les potes de Mason me regarde en souriant, je fronce les sourcils et m'arrête.

• Moi : Quoi ?

• Fille : Ah eu rien...

• Garçon : Si !

• Fille : Oui...

• Garçon : En faite on se demandais pourquoi tu ne souriait pas plus souvent... je veux dire... bah t'es mignonne quand tu souris...

• Moi : Qu... ?!

J'ouvris grand les yeux et je sentis mes joues devenir chaude, c'est la première fois que quelqu'un me dis que je suis mignonne... Je me ressaisit vite et me racle la gorge.

• Moi : Ça ne sers a rien de sourire. Bon salut, il ne devrait pas tarder.

Je partit vite et ma bouche s'étira en un fin sourire, je suis heureuse d'avoir entendu ça venant de quelqu'un... au moins une fois dans ma vie... Je vais a la cantine et mange toute seule comme d'habitude, ce jour là, j'étais plus heureuse que d'habitude, vous allez vite comprendre pourquoi. A la fin de la journée, comme d'habitude ma professeur me dit de rester un peu.

• Professeur : Aujourd'hui c'est les mains...

• Moi : Ne vous en faites pas madame, ça va.

• Professeur : Bon cette fois je ne te demande pas si je peux te raccompagner...

• Moi : Oui ne vous en faites pas.

• Professeur : Non cette fois ce n'est pas une question, je te raccompagne c'est tout.

• Moi : Quoi ?! Mais madame...

• Professeur : Ne t'en fait pas Mya, ça nous fait plaisir, vraiment.

Je lui souris et la remercie, on se dirige vers sa voiture ou Liam est déjà installer a la place du conducteur, quand il me voit un large sourire apparaît quand a moi, je me demande comment ils ont fait pour se payer une voiture aussi chic, je ne savais pas que les professeurs et infirmiers gagnait aussi bien. Je monte a l'arrière et la voiture démarre, nous discutons tous en rigolant, c'est avec eux que je me sens vraiment bien. Quand on arrive, beaucoup de voitures de police et l'ambulance est là, je descend et cours vers ma maison.

• Policier : Non petite, tu ne peux pas passer.

• Moi : Mais c'est chez moi !

• Policier : Alors c'est toi la petite qui se faisait frapper ?

• Policière : Regarde ces mains !

• Policier : Et son bras ! Mon dieu petite, heureusement que quelqu'un a appeler.

• Moi : Quoi... qui a appeler...

• Professeur : C'est nous.

• Moi : Mais je vous avait dit que je ne voulais pas !

• Liam : Oui mais nous on en pouvais plus de te voir tous les jours avec ces blessures... comprend nous...

• Moi : Mais qu'est ce que je vais devenir... et les employés !

• Policier : Ne t'en fait pas pour eux, tes parents vont passer la fin de leurs jours en prison.

• Moi : Quoi ? Pourquoi ?

• Policière : Je ne crois pas que c'est pour ton âge...

• Moi : Si dites moi.

• Policier : Tes parents... cachais des corps dans leurs caves...

• Moi : Quoi ?! Comment c'est possible...

• Policière : Je sais que c'est dur a accepter concernant tes parents mais...

• Moi : Non ce n'est pas ça, c'est juste que la cave est très humide donc avec des corps, j'aurais du le sentir...

• Policier : Qu...

• Moi : Même si ces corps étaient jeunes, avec l'humidité, au bout de quelques jours a peine j'aurais du le sentir sauf si...

• Policière : Cette enfant...

• Moi : Il ont fabriquer une pièces hermétique... c'est ça ?

• Policier : Oui... Mais quelle âge a-t-elle ?

• Liam : 9 ans.

• Policière : Quoi ?!

• Moi : J'ai 9 ans.

• Policier : Mais c'est un génie ??

• Professeur : La meilleure élève que j'ai jamais eu.

• Moi : Merci madame. Puis-je voir mes parents ?

• Policière : Eu oui bien sûr...

Ils me laissèrent passer et me guidèrent jusqu'à la voiture où se trouve mes parents. Il ouvrent la fenêtre, il y a des barreaux.

• Moi : Père. Mère.

• Père : Tu vas le regretter salope !

• Moi : Je n'ai rien fait de spécial.

• Mère : C'est toi qui a laisser la porte de la cave ouverte !

• Moi : Pourquoi dites vous ça ?

• Père : Si tu ne l'avais pas laisser ouverte ils ne l'aurais jamais découvert !

• Moi : Nos actes finissent toujours par payer.

• Mère : Tu vas le regretter ! Nous t'avons élever !

• Moi : Non. C'est Liam et June qui m'ont élever, vous, vous n'avez fait que me donner le financement. En parlant de financement, tous l'argent que mes grand-mères et que mes grand-pères ont laisser me reviendront, ils ne pourriront plus entre vos mains.

• Père : Espèce de sale gosse ! Tu me dois la vie !

• Moi : Non, je te dois ces cicatrices. Maintenant je vous laisse, vivez bien votre fin de vie, je vous dis au revoir. Je viendrais peut être vous rendre visite quand j'aurais mieux réussit que vous dans la vie, ce qui ne vas pas être difficile.

• Mère : Espèce de...

• Moi : Mère faites attention a votre langage, vous restez quand même une Jones.

Je partit vers Liam et June et leurs souris quand la policière et le policier de toute a l'heure viennent me voir.

• Policière : C'est donc grâce a toi qu'on a pu trouver les corps.

• Moi : On va dire que j'ai un peu aider c'est tous.

• Policier : Ne te sous-estime pas, si tu n'avais pas laisser ouvert la porte, on ne l'aurais jamais vu.

• Policière : Mais comment as tu su qu'on allais venir aujourd'hui ?

• Moi : Grâce a June et Liam, je savais que quand ils verraient mes mains, ils ne le supporterais pas et j'ai aussi écouter mon intuition.

• Policier : Tu es vraiment une fille incroyable, je croirais parler une fille de 16 ans.

• Moi : Merci.

• Liam : Nous avons déjà déposer une lettre d'adoption pour toi.

• Moi : Et elle va être accepter.

• Policier : Ton intuition ?

• Moi : Non, ma connaissance.

• Policière : Haha cette enfant est incroyable, elle aura un futur incroyable moi je vous le dit.

• Moi : J'espère bien.

• Policier : Bon allez nous avons du travail a faire, on te laisse.

• Moi : Attendez ! Et les employés, ou sont-ils passer ?

• Policière : On les a renvoyer chez eux, après tous, ils n'ont plus de travail.

• Moi : D'accord, aucun n'était blesser ?

• Policier : Non ne t'en fait pas, tous était sain et sauf.

• Moi : Combien était-ils ?

• Policière : 14 je crois.

• Moi : 14 ?

• Policier : Oui c'est ça ils étaient 14.

J'ouvris grand les yeux et fonça dans la maison, je fonce dans la pièce secrète de mon père et retrouve une servante allonger par terre dans une flaque de sang, c'était ma servante personnelle... Je m'approche en courant et met mon oreille sur son cœur, il bat encore ! Je cours dehors et appelle les ambulanciers, ils me suivirent et se dépêchèrent de s'occuper d'elle, la policière arriva en courant et me cacha les yeux.

• Policière : Ça ce n'est vraiment pas pour ton âge, aller viens.

Je la suis en angoissant, espérant qu'elle s'en sorte, je donne mon numéro a la policière pour qu'elle me dise dans quelle hôpital elle va être emmener et part avec Liam et June chez eux. Quand j'arrive, je remarque qu'ils ont une très grande maison, et la je suis sûr que leurs salaire ne suffit pas.

• Moi : Bon, d'où vous vient tous cette argent ?

• June : De notre métier.

• Moi : Et du quelle ?

• Liam : Je savais que tu allais le voir, tu es trop intelligente.

• Moi : Donc ?

• June : Ne t'en fait pas, on ne fait pas de trafic d'enfant.

• Moi : Les trafiquants d'enfants s'y prennent comme vous.

• Liam : C'est un peu méchant mais je comprend que tu sois méfiante.

• June : En faite notre nom de famille n'est pas Lowe mais...

• Moi : Daniels.

• Liam : Comment tu l'as su ?

• Moi : Vous croyez vraiment que je vais suivre des personnes sans avoir fait mes recherche ?

• June : Tu m'étonneras toujours.

• Moi : Vous êtes les PDG d'une chaîne de magasins de luxe.

• Liam : Exact.

• Moi : Je le savais depuis le début, je ne fais pas confiance a des personnes sans les connaître.

• Liam : Et c'est très bien, ne jamais faire confiance aveuglement.

• Moi : Oui.

On entre dans la maison et je vois beaucoup d'employés mais mes yeux sont attirer par quelques personnes, ce sont les employé de notre maison !

• Moi : Mais !

• June : On s'est dit que tu te sentirais plus a l'aise si tu voyais des visages familiers.

• Moi : Merci beaucoup !

• Liam : Ça nous fait plaisir ne t'inquiète pas.

• Moi : Mais ça doit vous coûter cher... je vais les payer moi même.

• June : Tut Tut Tut, ici c'est nous les parents.

• Liam : Ce n'ai pas a une enfant de 9 ans de payer le personnel, allons voir ta chambre.

Ils m'emmènent dans ma chambre, elle est grande et très spacieuse, je suis tellement heureuse d'avoir rencontrer des personnes aussi gentilles, désormais je vis enfin avec ceux que j'ai toujours considérer comme mes vraies parents. Ils me laisse pour que je m'installe, je fais ensuite mes devoirs et je repense a mon livre de mathématique, je descend donc pour le dire a June, elle me dit que ce n'est pas grave et je remonte. Après le dîner, des servantes de mon ancienne maison viennent me voir dans ma chambre.

• Servante 1 : On est heureuse que ça soit enfin finit !

• Servante 2 : Oui on est tellement contente pour vous !

• Moi : Je vous remercie de vous inquiéter comme ça mais maintenant, tous va bien.

Maintenant, chaque matin je viens avec eux a l'école, tous le monde est au courant pour moi mais je m'en fiche, je connais enfin le bonheur dont j'ai toujours rêver. Bien sûr, je n'ai pas changer a l'école, je suis toujours froide mais j'essaye de ne plus me battre pour ne pas faire honte a June et Liam, et la fin de l'année se passe calmement.

            
            

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