Iris;
Iris se leva de son lit, étrangement elle n'avait mal nulle part, les médicaments qu'ils ont dû lui donner devaient être surpuissants. Elle s'aventura dans la pièce, regarda de droite à gauche, fouilla dans les tiroirs mais rien, seulement quelques seringues sous emballages, il y avait un frigo, seulement, impossible de regarder à l'intérieur, il était cadenassé. Alors, toujours en manque de réponses, Iris s'aventura plus loin encore, avec précautions, elle ouvra la grande porte de l'infirmerie, dans le but de sortir de comprendre, puis de s'enfuir.
La porte s'ouvrit et Iris découvrit un immense domaine, elle était à ce qui semblait être le deuxième étage sur trois. En face d'elle, il y avait un grand escalier en marbre blanc, une rembarde de la même matière puis des portes fermées pour la plus grande partie. Elle déambula devant les portes regardant toujours si les pièces étaient vide ou non. Quelques secondes après avoir commencer son enquête, Iris tomba sur une porte ouverte, elle donnait sur ce qui semblait être un bureau. Qui dit bureau dit papiers. Sans perdre de temps Iris rentra et ferma la porte à clefs derrière elle. Elle s'approcha du bureau où des piles de documents s'entassaient. Elle commença à feuilleter quelques unes et c'est avec surprise qu'en regardant sur sa droite elle vit son portable et son portefeuille. Elle courra vers ses biens. Son téléphone a été la première chose qu'elle a prit, mais surprise, plus de batterie. Son portefeuille contenait toujours son permis de conduire, son argents sa carte de crédit mais surprise, sa carte d'identité n'était plus là. Elle retourna sur la pile de documents, et continua à fouiner. Les documents ne l'aidaient guerre. Puis en regardant dans les tiroirs, elle tomba sur l'acte de propriété du domaine. Visiblement elle se trouvait dans une ville bien loin de la sienne, elle n'avait jamais entendu parler de cet endroit, Sighisoara. La porte retentis, quelqu'un était derrière et essayait d'ouvrir, elle n'avait plus le temps, la fenêtre ne s'ouvrait pas alors elle se réfugia dans un placard, au moment où la porte se fit défoncée.
-Iris, je sais que tu es là, je te sens.