Chapitre 4 4

Bosco continuait de crier « « qui es-tu... qui es-tu ? » » alors que sa femme qui était juste à côté de lui ne voyait rien ...

- Mais qu'est-ce que tu as Bosco ? que vois-tu ? dis-moi je suis ta femme

- Non ça va... aide-moi juste à me relever ; j'ai cru voir quelque chose... haï ! ma tête !

- Quelque chose comme quoi Bosco ; tu as crié tellement fort que toute la maison a eu peur ; tes enfants sont devant la porte de la salle de bain et attendent : tu as vu quoi ?

- Puisque je te dis que ça va Zita !pourquoi tu insistes ?

- Ok alors, mais tu dois aller voir ton docteur einh

- Pourquoi ?

- Mais pour faire une radio nooon ; tu viens de tomber oui ou non ?

- Aaah Zita...

Sa femme l'avait aidé à se relever et une fois dehors, les garçons lui questionnaient :

- Papa tout va bien ? tu as eu quoi ? qu'est-ce qui s'est passé ?

- Je n'ai rien... j'avais juste glissé

Mira regardait sans rien dire ; elle avait entendu ce qu'elle voulait entendre, et était retournée dans sa chambre...

Zita n'avait toujours pas le cœur le net ; ce que son mari lui avait dit n'avait vraiment pas pris place ; une fois dans la chambre, elle l'avait encore interrogé ; elle avait tellement insisté que son mari avait fini par lui dire qu'il avait vu une vielle dame et qu'il n'était pas trop sûr non plus...

- Comment ça une vielle dame ?tu es sûr que tu vas bien ?

- Oui oui une vielle dame comme je te dis là ; bon ! oublions un peu cette histoire ; Dieu est au contrôle je suis son serviteur donc rien ne m'arrivera.

- Ah si tu le dis...

Bosco essayait de comprendre ce qu'il venait de voir mais c'était plus fort que lui... Il avait composé le numéro de sa sœur , celle-ci avait décroché...

- Allo Bosco ...

- Irène la femme dont tu nous avais parlé est-elle vieille ?

- Qui ? Ingrid ? non non pourquoi ?

- Stp ; réfléchi bien Irène...

- Mais puisque je te le dis ; c'est une jeune femme que je connais bien, mais c'est sa famille que je ne connais pas, je sais juste qu'elle vit avec son mari ici ; ils n'ont pas d'enfant

- Ok d'accord ; donc c'est quelque chose d'autre ;

- Mais tu ne me dis pas ce qui se passe ?

- Non ;il ne se passe rien Irène...

--------- --------- -------- -------- ----------

Au village, les jeunes s'étaient mobilisés ;ils avaient tout cassé et le plus courageux était descendu à l'aide d'une échelle et avait tiré momo qui était couvert d'excrément jusqu'au cou ; ils avaient étalé l'enfant et lui avaient versé de l'eau ; mais il fallait le conduire à l'hôpital qui était à 20km du village ; Ingrid avait un peu d'argent et n'avait pas hésité , elle avait tout de suite pris quelques vêtements de l'enfant et vite une moto et elle était partie...

Après son départ ; ses oncles paternels avaient continué le travail, ils avaient vidé la maison en déposant les affaires d'Ingrid sous un arbre qui était dans la parcelle.

Ingrid était arrivée à l'hôpital et quelle coïncidence ? c'était une ONG dirigée par Arnold ; Ingrid était tellement embarrassée qu'elle n'avait pas le temps de regarder qui et qui touchait son bébé ...

- Alors qu'est-ce qui s'est passé ?(avait demandé Arnold)

- Je ne sais pas monsieur, mais il y avait une petite dispute à la maison et il était par terre et jouait, je me suis rendu compte que plusieurs minutes après qu'il n'était plus près de moi et... et... voilà... il était au fond du trou...

- Quel trou ?

- --- ---

- Ah ! je vois... c'est courant ici car d'après l'odeur, je comprends déjà tout. Il faut toujours être prudente avec les enfants surtout à cet âge madame...

- D'accord Monsieur c'est compris...

- Mais avec toi je pense que tu en as l'habitude nooon ?

- De quoi parlez-vous monsieur ?

- n'est-ce pas que tu avais pris le risque de voyager avec un bébé brulant de fièvre ? et je peux mettre ma main à couper que c'est le même enfant...

Ingrid avait soulevé sa tête et avait bien reconnu Arnold

- Arnold !!!!

Elle avait commencé à bien expliquer avec les détails ce qui s'était passé en tremblant...

- Alors calme-toi ... c'est Ingrid n'est-ce pas ?

- Oui oui c'est cela... mais... vous encore ici ? mais comment est-ce possible ?

- Parle-moi d'abord de cet enfant...

- Que voulez-vous savoir sur mon enfant ?

- Il est où son père ?

Elle avait cité le nom d'un village qu'Arnold connaissait très bien...

- Ah ! donc vous n'êtes pas ensemble ?

- Non !

- Mais il prend quand même soin de son fils ?

- Non

- Et comment fais-tu ?

- Comment comment ?

- Ben... tu t'en sors bien ? Il doit avoir plus de 5mois si je ne me trompe pas...

- Exacte... Nsemo a six mois ... mais pourquoi ça traine comme ça ? que font-ils avec mon enfant depuis ?

- Ils prennent soin de lui Ingrid, et je pense que cette nuit tu ne la passeras pas chez toi,

- Pourquoi ? je ne peux pas dormir ici...je ne sais pas ce qui se passe chez moi en ce moment

- Tu veux qu'il se passe quoi ? tu préfères ta maison ou la santé de ton fils ?

- Quoi !quoi ! c'est grave ? est-ce que c'est grave ?

- Oui et non ; il doit suivre un schéma d'antibiotique, c'est encore un bébé et il est très fragile...

Cette nuit là ; Ingrid était restée à l'hôpital avec momo ; elle ignorait totalement ce qui se passait chez elle.

Momo s'était réveillé et cherchait à manger alors il pleurait... Arnold avait compris et il leur avait trouvé de quoi manger...

-------- --------------- ------------

De l'autre coté, la tante de Mira n'arrivait pas à dormir, son sommeil était tourmenté, c'était comme si sa petite case était visitée par des esprits car à chaque fois qu'elle fermait l'œil elle voyait une vielle dame qui lui disait de réparer ce qu'elle avait fait ; elle avait sursauté et avait vu comme une ombre d'une vielle au coin de sa case derrière ses calebasses, elle voulait crier mais sa voix était comme bloquée ; cette ombre lui disait :

- « « ma petite fille souffre à cause de toi ! elle est seule et souffre à cause de ce que toi tu as fait ! elle est privée de sa liberté à cause de vous ! aucun de tes enfants ne portera un enfant mal ! et ceux qui en ont déjà les perdront et toi ; tes nuits seront tourmentées, même ta confession ne te sauvera pas aussi longtemps que ce bébé souffrira et que ma petite fille manquera la paix ! » »

La vielle avait disparu ; Irène était sortie en criant en pleine nuit ;

- « « heeee ! heeeee ! c'est quoi ça ? je suis innocente oooh heeehaaa ! qui es-tu pour venir tourmenter mon sommeil oooh ! heeeeh Dieu ! qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça ?

Nous savons tous comment ça se passe dans des vrais villages, au moindre cri c'est tout le monde qui est dehors, cette nuit là c'était pareille, les villageois étaient dehors et se posaient des questions ;

Au même moment en ville, les parents de Mira non plus ne pouvaient dormir ; ils sentaient la présence d'une force surnaturelle dans la maison, Zita avait secoué son mari qu'elle croyait dormir...

- Zita , toi non plus tu n'arrives pas à dormir ?

- Ah tu ne dormais pas donc ?

- Je ne comprends rien Zita, je sens qu'il y a quelque chose qui ne va pas dans cette maison...

- Tu as raison, mais que ça peut être ?

- Tu sais, depuis le passage de ma sœur Irène dans cette maison, tout va mal

- Tu veux dire quoi par là ?

- Non...c'est comme si elle avait ouvert une porte... actuellement n'importe quoi entre et sort... Nous devons prier ... il faut réveiller les enfants nous allons prier et fermer toutes les portes invisibles qui ont été ouvertes dans cette maison...

Zita était sortie réveiller les enfants à deux heures du matin pour prier...

- Mais qu'est-ce qui se passe maman ? pourquoi à une heure pareille ? nous on a cour demain et on doit dormir...(avait dit Patrick)

- Eeeeh Patrick il n'y a pas à discuter, faire une prière n'a pas d'heure ; quand c'est nécessaire il faut le faire ; et toi Enoch debout ! tu dors comme un porc !

- Mais mamaaaan pourquoi on doit se réveiller ? moi je suis fatigué (Enoch ne voulait pas se réveiller)

- On ne discute pas debout ! votre sœur ne m'entend pas ? elle dort comme si elle volait la nuit... Eeeeeeh toi Mira sort de ta chambre on va prier...

Elle ne sortait pas et sa mère était allée elle-même la réveiller...

- Eh toi Mira avec tous les bruits qu'on fait toi tu dors ?

- Maman il est quelle heure pour que tu nous réveilles ?franchement cette maison ne peut pas être habitée par des humains

- Oui tu as raison, il faut plutôt qu'elle soit habitée par des sorcières comme toi ; c'est d'ailleurs à cause de toi qu'on est tous obligés de veiller et prier...

- Ekieeeeee maman ! moi quoi ! je ne sors pas ! allez chasser vos démons seuls !

- Imbécile ! tu vas venir avec moi idiote ! la prière t'a vraiment fait quoi ? as-tu un problème avec Dieu ?

Sa maman l'avait tiré du lit jusqu'au salon et tout le monde y était ; Patrick et Enoch somnolaient mais le papa avait déjà pris la position de la prière ; Zita avait tapé sur leurs têtes et les avait obligé à prier.

Après deux heures de prière, les enfants avaient regagné leurs chambres et le couple aussi devait dormir.

Zita et son mari Bosco avait à peine fermé les yeux qu'ils faisaient des rêves similaires dans lesquels, une vielle dame leur disait :

« « une goutte de larme de ma petite fille sera le double de la vôtre ! les gens sans cœur ! Vous allez payer pour ce que vous avez fait ! à cause de vous ma petite fille souffre ! Elle paie le prix de vos crimes... vous allez payer ! Vous lècherez ses pieds pour obtenir miséricorde ! cherchez-le avant qu'il ne soit trop tard !!! » »

Cette même nuit, la vielle les avait tous visité, meme Boris qui ignorait complètement l'existence de cet enfant avait lui aussi un sommeil trouble... lui par contre, dans le rêve qu'il faisait, il voyait une vielle dame entrain de lui remettre un bébé... en lui disant :

« « Tu es père ! tu es papa alors prend ton enfant ; cet enfant est à toi ; prends-le avant qu'il ne soit trop tard ; prends-le avant qu'un drame ne se produise » »

Bosco aussi s'était réveillé en sursaut ; pour lui ce n'était qu'un mauvais rêve et rien de sérieux...

Le lendemain très tôt, le papa de Mira avait essayé de joindre sa sœur Irène pour lui dire ce qui se passait mais son téléphone ne passait pas.

Dans tout ça, Mira ne se doutait de rien, elle avait juste un dégout de ses parents depuis cette histoire, elle commençait d'ailleurs à oublier et cette page était presque tournée...

Mira déjà en uniforme avec ses deux petits frère, Ils étaient tous à table avec leur parents pour leur petit déjeuné et le téléphone de Bosco avait sonné et c'était Irène qui était très angoissée ; elle parlait vite que son frère ne comprenait même pas...

- Ecoute Irène, je ne comprends rien de tout ce que tu dis ; respire un coup et reprends tout depuis le début stp ; que le chef t'aurait interrogeait sur quoi ?

- Il voulait savoir pourquoi j'avais crié cette nuit,(Irène au bout du fil)

- Et alors ? pourquoi tu ne lui dis pas ? pourquoi avais-tu d'abord crié ?

Irène lui avait relaté ce qu'elle avait vu de ses propres yeux cette nuit-là et Bosco était plus qu'effrayé ; tout le monde le regardait ; les enfants ne comprenaient rien ; de toutes les façons, ils n'en avaient rien à foutre mais, Mira suivait tout ; elle se disait peut être que le villageois avaient découvert le corps du bébé et qu'après une enquête ils avait su que c'était elle qui avait enterré le bébé... elle dévisageait son père qui tremblait avec le téléphone à la main ; et Irène poursuivait en disant :

- Et comme ça tu veux que je dise tout au chef ? as-tu seulement une idée de ce qui peut nous arriver ?

- Et qu'as-tu dit ?

- Mais j'ai juste inventé une histoire bidon pour qu'il me laisse tranquille, mais Bosco je pense qu'on doit retrouver cette jeune femme avant qu'il ne soit trop tard comme m'a dit la vieille...

- Non ! jamais ! chercher qui ? jamais !

Il avait quitté la table pour aller parler ailleurs car ses phrases dessinaient une histoire dans la tête de Mira ...

----------- ---------- -----------

Au village, Ingrid pouvait déjà rentrer avec momo à la maison ; il ne restait que son dernier traitement.

Les après-midis, Arnold lui avait proposé de la déposer chez elle question de voir aussi où elle habitait ; mais arriver sur place, Ingrid n'était pas surprise de trouver ses affaires dehors ; elle s'y attendait ; elle ne voulait pas en parler à Arnold mais celui-ci avait compris

- Alors c'est ici que tu habites ?

- Oui...

- Passe-moi une chaise on va bavarder un peu... et surtout avec un verre d'eau stp

Arnold demandait tout ça juste pour voir si Ingrid pouvait entrer dans sa maison, parce que c'était clair qu'elle était soit chassée de cette maison soit elle n'y habitait pas carrément.

Ingrid était entrain de tournoyer, elle avait couru chez les voisins demander de l'eau et une chaise.

- Et ta mère ? elle n'est pas là ? tu m'avais dit, si j'ai bonne souvenance, que tu venais chez ta mère n'est-ce pas ? (poursuivait Arnold)

- Heeeeuuuu oui... mais... elle ... elle n'est pas là... écoutez monsieur, vous devez partir... je dois m'occuper de mon fils...

- Stp appelle-moi Arnold ; tu es sure que tout va bien ? je peux t'aider tu sais ? je vois que tu as beaucoup de problèmes mais comment je pourrai t'aider si tu ne me dis rien...

- Non tout va bien mais c'est juste que , ici les gens parlent beaucoup et...

- Ingrid ! pas ça avec moi stp... je suis psychologue et je sais de quoi de parle ; laisse-moi t'amener en ville...

- Quoi ??? où ? en ville ? je connais qui là-bas ? Je n'ai aucune famille en ville j'irai faire quoi ?

- Je m'occuperai de tout tu n'as pas à t'inquiéter ; tu peux rester dans mon centre le temps que je te trouve du travail

- --- ---

- Ecoute la vie ici au village, je ne sais pas mais, je ne pense pas que ça soit bien pour toi et l'enfant... Je peux te laisser cette nuit pour réfléchir, et demain matin je reviendrai ; si tu es d'accord alors je partirai avec toi sinon, je te laisserai faire ta volonté...

- Ok... mais la ville là ...

- Reste réfléchir ...

Arnold était monté dans sa voiture et à peine disparu, Ingrid avait commencé à pleurer en se jetant par terre

- « mais où vais-je dormir cette nuit avec momo vraiment ? que vais-je faire ? où vais-je aller ? grand-mère pourquoi il fallait que tu partes au moment où j'avais le plus besoin de toi ? voilà comment ma réputation est bafouée dans ce village ; voilà comment je souffre avec momo depuis que tu es partie ; que vais-je devenir maintenant qu'ils ont jeté mes affaires dehors ? »

Elle pleurait mais personne ne se souciait, déjà pour les villageois, elle était une honte car d'après les rumeurs, elle avait fait un enfant avec un autre homme à l'absence de son mari...

Elle avait pleuré jusqu'à s'épuiser, elle s'était débrouillé pour faire à manger à momo et juste après les deux s'étaient endormis sous l'arbre...

Dans son sommeil elle voyait sa grand-mère enter et s'assoir à côté d'elle, celle-ci avait pris momo dans ses bras ; elle avait soulevé la tête de sa petite fille l'avait posé sur ses cuisses et lui disait ;

- « « Ma petite fille, le fardeau que tu portes est plus fort que toi je sais mais, que veux-tu ?le destin t'a condamné à ça ; C'est en ville que ton calvaire va commencer ; mais c'est là-bas que tu dois être malheureusement ; c'est aussi là-bas que tu seras déchargée de ton fardeau ; n'attend pas de récompense pour le bien que tu fais, fait le parce que ton cœur est bon... Moi je reste ici parce que ma place est ici , mais je ne serai jamais loin de toi... maintenant tu peux dormir tranquillement je suis là aucun mal ne t'arrivera, dort ma petite ...dort...dort... » »

Elle avait dormi tranquillement comme lui avait dit sa grand-mère et n'avait ouvert les yeux en sursautant que lorsqu'Arnold avait klaxonné ;

- Hein ? mais tu avais dit demain nooon ? pourquoi si vite ? tu m'avais dit de réfléchir alors pourquoi tu reviens encore aujourd'hui ?

- Quoi ? il est déjà 10 heures du matin et toi tu parles de quoi ? ne me dis pas que tu as passé la nuit ici ?

- Il est quoi ? 10 heures tu dis ? ce n'est pas possible !

Elle avait compris ce qui venait de se passer... elle avait pensé à tout ce que sa grand-mère venait de lui dire...

- Bon ; tu as enfin pris une décision ? tu viens avec moi ou pas ?

- Oui ...je viens avec toi...

- Tu as pris une bonne décision... je te garde dans mon centre aujourd'hui mais demain à la première heure j'irai te déposer là où tu dois travailler

- Et momo alors ?

- Il y a des gens au centre qui prendront soin de lui ne t'inquiète pas

« La personne qui a dit que le monde était petit était un prophète » ; la première nuit d'Ingrid en ville au centre était plutôt tranquille, le lendemain très tôt, Arnold était venu la chercher pour son premier jour du travail, elle s'était habillé comme elle pouvait et Arnold devait la présenter à la famille chez qui elle devait travailler ; elle montait dans la Jeep d'Arnold en supportant les pleurs de momo qui ne voulait de personne d'autre que de sa maman et criait :

- Mamaaaan mamaaaan mamaaaa

Et Ingrid qui essayait de le calmer en disant :

- Moooo cesse de pleurer ; maman est juste partie t'acheter des bonbons, reste avec la tantine elle sera gentille avec toi ; maman arrive...

- Noooon... mamaaan... nooon mamaaaan...

Elle n'avait pas le choix ; il lui fallait ce travail ; et avec des larmes aux yeux surtout que c'était la première fois qu'elle se séparait de son fils pour plusieurs heures, elle était montée dans la Jeep et ils étaient partis...

Ils étaient arrivés et Arnold avait cogné ; le jeune garçon qui leur avait ouvert était plutôt gentil, il s'était précipité de se présenter en leur disant :

- Bonjour... je suis Boris et bobo pour les amis haha haha, le fils unique de cette maison ... je suis sûr que c'est elle que maman attendait depuis ? je te souhaite la bienvenue chez nous... par contre je ne sais pas pour ma mère ; elle est déjà furieuse au salon car elle devait sortir...

#A suivre ...

• Coïncidence ou destin ?

• Pensez-vous que c'est vraiment la grand-mère d'Ingrid qui visitait toutes ces personnes ?

• Croyez –vous aussi aux esprits des morts ?