- Patron je suis là ; patron... je ne sais pas ce qui se passe avec madame elle est dans la chambre...elle cri depuis tout à l'heure
- Toi je t'ai confié ma femme et c'est comme ça que tu as fait ?
- Patron moi je n'ai rien fait oooh heeehaaa
vite ; Hervé était dans la chambre et avait pris une bouteille d'eau qui était quelque part dans la chambre et avait aspergé partout den disant ce que lui-même comprenait ;à l'instant meme la femme avait disparue et Marie s'était calmée, elle avait quitté le lit et s'était jetée sur son mari essoufflée et disait :
- Hervé s'était quoi ça ? c'était quoi Hervé ; c'était qui cette femme Hervé ? weeeeeeh je dois quitter cette maison ! Hervé qui es-tu ? déjà la nuit était mouvementée ; j'essaie de me reposer ce matin et je vois je ne sais quoi ; pardon Hervé je ne suis pas bête ; je sais ce que j'ai vu...
- Marie calme-toi stp ... Fatoumaaaaa Fatoumaaaa !
- Oui patron ... je suis là...
- Je t'avais dit quoi ? ne t'ai-je pas confié ma femme ? ne t'ai-je pas dit de veiller sur elle ? tu étais où ? tu peux me dire ce que tu faisais pour ne pas avoir le temps de veiller sur ma femme ? tu vas quitter ma maison et tout de suite ! tu vas voir Nico pour ton salaire et tu quittes ma maison !!!!!
- Patron ! patron ! pas ça patron ! je suis désolée patron ; madame se reposait voilà pourquoi ... je pensais que... Patron je vous demande parton ; j'étais juste à coté ; madame il faut parler au patron svp je suis désolée !
- Tu sors de ma maison Fatouma !!!!! Nicoooooo !!! Nicooooooo !
Nico était venu en courant et une fois dans la chambre, Hervé lui avait donné des instructions qui devaient être mises en exécution à la minute qui suivait... Fatouma ne faisait que pleurer en disant
- Patron où vais-je aller ? que vais-je devenir ? pitié ! pitié !
Marie avec son drap dans la bouche regardait son mari furieux et avait eu pitié de Fatouma...
- Chéri calme-toi un peu... mais pourquoi cris-tu sur elle alors qu'elle fait bien son travail ? elle n'est pas responsable de ce qui vient de se passer Hervé arrête !
- Marie !!! je n'aime pas des irresponsables et des négligeant !! elle était sensée veiller sur toi et non faire la cuisine ! elle est payée pour une tache bien précise et elle le sait bien !elle va quitter ma maison et maintenant même !
- Hervé là tu es entrain de m'embrouiller ! laisse cette femme tranquille, c'était quoi cette chose ? c'était quoi ? qui caches-tu derrière cette porte Hervé ????si tu ne me dis rien je quitte cette maison maintenant même !!!
- Marie tu te tais toi aussi ! tu veux t'en aller ??? oook alors fais tes valises et sors de chez moi !!! je t'avais dit qu'on allait parler oui ou non ? il fallait que fouine partout ? laisse-moi te dire une chose ! il y a beaucoup de chose que tu ne sais pas de moi ! alors tu vas te calmer et si tu veux t'en aller la porte est grandement ouverte !tu oublies déjà que cette place que tu as devait etre à ton amie Armande ?tu étais venu à moi de toi-même alors assume!!!
- C'est à moi que tu parles comme ça Hervé ??? ok ! je vais partir d'ici ! et ne mets pas tes pieds chez mes parents pour me demander pardon parce que je ne reviendrai pas !!
Elle avait pris deux ou trois trucs et était sortie de la maison, une fois dans la parcelle ; elle ne savait pas où aller ; la parcelle était tellement grande qu'elle ne savait pas par où commencer ; les gardes la regardaient faire ; elle avait marché dans toute la parcelle et ne voyait ni porte, ni grille ! Fatiguée, elle avait jeté son sac et étais assise à même le sol et pleurait...
• « « où suis-je ? c'est quoi cette maison mon Dieu ! Hervé qui es-tu ? » »
Quelques minutes après, une dame qu'elle n'avait jamais vu était venue prendre son sac en lui disant
- Madame ; il faut retourner à l'intérieur ; ça ne sert à rien tout ça ; vous direz quoi à vos parents une fois rentrer chez vous ?
- Mais qui êtes-vous ? et que faites-vous ici ?
- Je suis la remplaçante de Fatouma madame... et je m'appelé Nadège
- Quoi ? puisque Fatouma est déjà partie ? et par où est-elle sortie puisque que je suis là depuis ? et à quel moment toi tu l'as remplacé ?
- Madame tout ça ne vous regarde pas et cela ne vous avance en rien, je suis là et c'est tout ce qui compte... levez-vous et venez avec moi... c'est moi qui vous dirai tout ce qui se passe dans cette maison et de comment vous devez vous comporter ici
- Heeeehaaaa ! puisqu'il y a des conditions en plus ?
- Oui madame...
Marie avait obéi et une fois au salon ; Nadège lui avait dit des choses bidon juste pour l'embrouiller ; mais concernant la femme aux longs cheveux, elle n'avait toujours pas une explication claire mais elle était décidée de découvrir la vérité ...
Hervé était sorti et était revenu avec un collier en or avec des diamants qu'il avait offert à Marie pour se faire pardonner de lui avoir crié dessus et cette nuit-là ; Hervé l'avait correctement fait l'amour, tout était réglé ; très tôt le matin, Hervé avait réveillé marie et lui avait dit
- Marie on peut parler ?
- De cette nuit ? sache que j'ai passé une très belle nuit, tu étais comme un Dieu Hervé
- Non je ne veux pas parler de cette nuit ; ce que je t'ai fait n'était même rien, je te réserve des surprises
- Hum ! alors de quoi veux-tu parler alors ? Je t'écoute...
- Marie , il y a des choses que tu dois savoir sur moi ; je suis un homme riche et même très très riche ;et je ferai de toi une femme célèbre ; tout le monde parlera de toi ; une femme d'affaire sans pareille ; ta famille ne manquera de rien, d'ailleurs ton père doit aller en Inde pour son traitement ;je te donnerai tout ce dont tu as besoin mais à une seule condition... je ne veux pas que tu foutes ton nez partout ; tu dois faire tout ce que Nadège te dira ; reste calme et ne va pas toucher à tout ; ne déplace rien dans la maison sans au préalable parler avec Nadège ; comme tu sais déjà ; pas de téléphone dans la maison ; si tu respectes tout ça, tu seras tranquille !!!
- Hervé je ne comprends pas... tu es qui au juste ? Et je me tue à te demander qui était la femme que j'avais vu, tu ne me réponds toujours pas
- Je viens de te dire, ne cherche à rien savoir si tu veux etre tranquille dans cette maison ; je te donne une chance de décider, soit je te ramène chez tes parents aujourd'hui meme, soit tu acceptes toutes ces conditions et tu restes ici mais tout en supportant tout ce que tu verras ou entendras ici ! déjà je te montre où tu pourras prendre l'argent à chaque fois que tu en auras besoin, (il lui avait donné la clé d'une armoire où était classé des billets d'argent) et si tu poses ta main sur ces billets d'argent, ça voudra tout simplement dire que tu es d'accord de rester ici avec moi
Marie avait vu l'argent et après avoir réfléchi, elle avait préféré rester avec Hervé en touchant les billets et vivre comme une reine.
Quelques mois plus tard, Marie était enceinte et Hervé l'avait changé de chambre ; elle avait une autre chambre même plus grande que la première.
Elle ne voyait plus la femme aux longs cheveux ; mais toutes les nuit, elle rêvait que son bébé sortait de son ventre et se promenait dans toute la maison et revenait dans son ventre avant le levé du jour ; elle n'en parlait à personne...car elle était consciente de ce qu'elle avait accepté.
Un matin après 6 mois de grossesse ; le papa de Marie dormait sur une natte dans sa cour et avait fait un rêve bizarre, il s'était réveillé et avait appelé Aminata sa femme
- Oui Youssouf... il y a quoi ?
- Comment va ma fille ? ça fait quand même 8mois depuis qu'elle est partie de la maison einh ?
- Oui mais elle est mariée maintenant Youssouf, tu veux quoi ? l'argent elle nous envoie ; les réserves elle envoie tu veux quoi d'autre ?
- Mais elle n'a pas été offerte à ce type là einh Aminata ; je sais qu'on vient souvent nous déposer l'argent et la provision de la maison mais ça fait 8 mois que ma fille est mariée comme tu dis là mais nous n'avons aucun contact ;
- Youssouf ; tu penses que c'est comme ça que ça se passe ? ta fille n'est pas mariée à n'importe qui ; son mari est un grand homme et je suis sure que les visites sont sur rendez-vous ; ah !
- Aminata je m'inquiète pour ma fille, je sens qu'elle ne va pas bien ; c'est mon sang qui est là-bas donc je sens que ma fille ne va pas bien Aminata
- Pas bien que quoi ? elle ne mange pas bien ?
- Tu penses que manger suffit pour être heureux? Ma fille ne va pas bien je le sens...
- Stiuuuups donc c'est pour ça que tu m'as appelé ?pour pleurnicher ? tu n'as qu'à prendre ta valise et aller habiter chez elle pendant qu'on y est nooon ?
Ils parlaient de marie et à l'instant de l'autre coté, Hervé avait brusqué une visite ; pendant que le papa de Marie s'inquiétait, ils avaient entendu un klaxon ; et Davila avait couru ouvrit et avait crié
• « « Mariiiiiiiiie !!!!» »
Les parents avaient entendu le nom de leur fille et le papa malgré ses douleurs des pieds, il avait fait un effort de se lever et aller vers sa fille en pleurant...
- Marie ma fille ! ma fille Marie ! c'est quoi cette marque que tu as sur la figure... Marie je suis là, ton papa peut te sortir de cette prison( il pleurait)
- Papaaaa de quoi tu parles ? quelle marque ? je suis là et je suis venue spécialement te rendre visite et te montrer ton petit fils qui est dans mon ventre ;
- aide-moi à m'assoir stp ma fille...
- Papa il ne fallait pas regarde comment tu as du mal à marcher...pourquoi tu t'es levé alors ? (disait marie en prenant son père dans ses bras)
- Aaaah ma fille ! à peine ton père parlait de toi , vous étiez déjà en route ! (disait la maman de Marie)
- Hervé tu entends ça chéri ? alors que tu pensais à mes parents eux aussi avait mon nom sur leurs bouches ; papa je suis la maintenant alors dis-moi...
- Marie On va quand même s'assoir ? (avait dit Hervé en souriant)
Ils avaient pris place et parlaient ; Hervé avait évoqué l'idée de faire venir Laurianne chez eux mais la maman de marie avait catégoriquement refusé...elle avait appelé sa fille à l'intérieure de la maison et avait commencé à dire
- Toi ; je savais que tu étais bête mais là je vois que tu es complètement folle ! donc avec tout l'argent que ton mari a là, c'est ta cousine que tu as choisi pour bénéficier ? Tu n'as pas de sœur ?
- Mais maman je lui avais dit que je voulais que ma propre petite sœur vienne vivre avec nous mais je ne sais pas pourquoi il insiste à ce que ça soit Laurianne ; peut-être qu'il se souci de vous, comment allez-vous rester seuls ici ?
- Seuls là ça veut dire quoi ? avant que vous ne veniez au monde on n'était pas seul ? la présence de ta petite sœur meme nous donne quoi dans cette maison ; marie tu es bête ! tu es vraiment bête ! d'ailleurs tu rentres avec ta petite sœur aujourd'hui meme ! idiote !
- Maman je ne peux pas l'amener avec moi si mon mari ne me le permet pas...
- Mais tu es quel genre de femme toi ?
Interrompu par Davila qui boudait déjà ; elle non plus n'était pas d'accord que son beau-frère pense à Laurianne qu'à elle
- Marie ; tu trouves ça normal que Laurianne aille vivre avec vous pas moi ? ce n'est plus elle qui était jalouse de toi avant ton mariage ? n'est-ce pas elle qui disait que tonton Hervé était mauvais ? donc c'est quelqu'un comme ça que vous voulez prendre chez vous ?
- Davila ne viens pas envenimer les choses pardon, d'ailleurs personne ne viendra vivre avec nous ; ni toi ni Laurianne ! j'en ai fini !
Marie était sortie de la maison en colère et son mari l'avait remarqué, et il lui avait dit
- Si ta mère insiste alors ta petite sœur peut venir avec nous
- Tu en es sûr Hervé ?( s'était exclamé Marie)
- Mais puisque c'est ça qu'elles veulent les deux-là :
Le papa ne disait rien, il regardait Hervé comme si il avait des mots dans la bouche ;
- Papa, tu as besoin de quelque chose ? ( avait dit Hervé)
- Non mon fils, ce que mes yeux sont entrain de voir, la bouche ne peut expliquer ; bien qu'ils soient ensembles sur un même corps
- papa... je suis d'ailleurs entrain de voir comment te faire voyager pour des soins bien appropriés de tes pieds...
- Ah mon fils ; je n'ai plus besoin de tout ça à mon âge
- Non papa j'insiste !
Hervé causait avec son beau-père, et dans la maison, la maman de Marie donnait des conseils à sa fille qui faisait ses valises toute contente
- Toi ! tu vas dans un paradis sur terre alors sois sage oooh ! tu as vu comment ta sœur a changé ? nous sommes pendant les vacances alors économise ; ne vas pas bouffer l'argent comme les cacahouètes ; et ton impolitesse tu la laisse une fois franchis le portail de cette maison-là ! ne va pas toucher à tout là-bas oooooh
- Mamaaaan je ne vais pas chez un président de la république hehaaa !
- Ferme là et écoute ! ne va pas gâcher tout là-bas ! sois juste un peu civilisée ; tes sales habitudes pardon laisse-les ici ! si ta sœur te chasse de sa maison à cause de ton insolence je te préviens déjà ; ne reviens pas dans cette maison !
- Weyeeee ! adieu maman oooh
- Adieu de quoi ?fais des bêtises là-bas et tu verras
Davila était tellement contente de quitter leur petite maison ; elle avait informé toutes ses amies qu'elle partait vivre dans un paradis et leur avait promis d'envoyer les photos de là-bas une fois arrivé. Hervé avait laissé une enveloppe importante à ses beaux-parents et ils avaient pris la route...
Ils étaient arrivés devant le portail d'Hervé et Marie avait dit à sa petite sœur d'éteindre son téléphone celle-ci n'avait pas bien compris et continuait de parler et envoyer des messages à ses amies... Marie s'était retournée et avait pris le téléphone de sa petite sœur en disant :
- Ici les téléphones n'entrent pas jeune fille ; donne-moi ça ...
- einh grande sœur... que les téléphones ne font pas quoi ? Et pourquoi ? vous avez un problème de réseau ici ? et pourtant mes messages partent sans problème ; grande sœur ; pourquoi je ne peux pas avoir mon téléphone avec moi ?
Marie n'avait pas répondu ; ils étaient entrés et Davila avait la bouche ouverte de voir la maison où habitait sa sœur, toutes ces personnes qui travaillaient pour elle , elle ne faisait que s'étonner ; on lui avait montré sa chambre au fond du couloir ; elle n'avait besoin de rien, tout y était , la télé ; un petit frigo dans lequel il y avait tout ; de sa chambre, elle pouvait voir la piscine qui était derrière la maison .
Sa sœur était entrée dans sa chambre pour lui demander si sa chambre lui plaisait ou si elle avait besoin d'autre chose... elle avait juste ouvert la porte et était accueillie par des éloges ;
- grande sœur weeeeh !mais chez toi c'est un paradiiiis !!! dire que des endroits comme ça existent dans notre petite ville-ci ? on se croirait aux Etats-Unis ! grande sœur pardon ne quitte jamais tonton Hervé, avec une maison pareille je n'aurai même plus envie d'aller à la fac weeeh , ma chambre est plus grande que notre salon elle est même climatisée !regarde mon matelas ! je peux même parier que nos parents n'ont jamais eu un lit comme ça !! est-ce que je vais même me réveiller le matin avec un lit pareil ???
- Huuuum ! je suis juste venue te demander si tu as besoin de quelque chose d'autre pour ta chambre, et bientôt nous passerons à table ; stp, ne me fais pas la honte là-bas pour tout ce que tu vas voir sur la table einh
- rien ne me manque oooh seulement mon téléphone pour prendre tout ça et envoyer à mes amies ; vous mangez les choses des blancs ? et cette piscine je vais me ragaler !!
- eeeeh non ! pas à la piscine Davila ! oublie ça ! cette piscine est pour les employés pas pour nous alors n'y vas jamais !!
ce jour-là, même à table sa petite sœur ne faisait que s'étonner ; il y avait tout et elle ne savait pas quoi manger...
Quelques jours plus tard, Davila s'habituait petit à petit avec sa nouvelle vie ; son seul problème était son téléphone ; elle ne comprenait pas pourquoi elle ne devait pas l'avoir ;
Un matin alors qu'elle était devant sa fenêtre et regardait la piscine comme elle faisait tous les jours ; elle avait vu une femme plonger dedans ; une femme avec beaucoup de cheveux...
• « « hum ! qui est cette femme ? ça ne peut pas être ma sœur ; en tout cas pas une employée non plus !! tonton Hervé aurai-il deux femmes ici ? j'y vais. » »
Sans même chercher à savoir où se trouvait sa sœur, elle était allée discrètement derrière la maison sans que personne ne la voie et regardait dans la piscine, et comme par envoutement elle avait enlevé ses vêtements et voulait se baigner ; Marie de sa chambre avec son gros ventre avait vu sa sœur autour de la piscine et commençait crié :
- Nadège ! Nadège la pisciiiine ! Davila va plonger !!!! vite viiiite !
• Que pensez-vous de la décision de Marie de vouloir rester chez Hervé alors qu'elle était libre de partir ?
• Et c'est quoi cette marque que le papa de Marie a vu sur sa fille ?
• Davila Va-t-elle entrer dans cette piscine ?