Femme battante
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Chapitre 4 Chapitre 4

Ce soir là là je n'avais pas eu des problème avec la femme de mon oncle, au moins j'avais dormi juste avec la douleur d'hier .

Comme tous les matins, je me levais qu'avec soit le fouet, soit de l'eau glacée sur sur moi, je commençais déjà à m'y habituer.

Pendant cette journée Théo me regardait et n'arrêtait pas de rire, je détestais son regard, je 'e voulais en aucun cas que son regard meurtrier coïncide avec le mien, je le voyais comme une autre personne, pour moi il n'était plus mon cousin, il n'était plus l'enfant de mon oncle à cause de ce qu'il m'avait demandé.

Je le détestais sans alors savoir qu'il avait un plan pour moi.

Ce même jour il m'avait croisé derrière là maison, je revenais de la douche, j'avais juste le pagne enroulé autour de moi, je n'avais ni soutien, ni slip à l'intérieur et mes cuisses de faisaient voir à des kilomètres, je venais de prendre ma douche et je partais m'habiller à l'intérieur.

Théo : tu as fais comment de mon offre ? Le temps passe hein, l'examen approche.

Moi : Théo il faut laisser, si c'est le prix à payer pour avoir tes cours, laisses je vais trouver une autre solution.

Théo : tu vas aller voir qui même ? Personne ne te connait ici et toi-même tu ne connais personne aussi. Seulement moi !

Moi : si c'est seulement toi hein, je préfère ne pas composer.

Théo : quand je parle tu penses que je mens, regarde toimême ton corps Safi, tu penses que quelqu'un peut voir ça et laisser ?

Moi : Théo pardon laisse moi tranquille ! Laisse moi passer s'il te plaît.

Pendant que je cherchais à passer et qu'il me barrait la route, la femme de mon oncle était sortie de la maison aussi.

Elle : il y a quoi ici derrière ?

Théo : c'est elle qui ne veut pas me laisser aller à la douche.

Je n'avais même pas eu l'occasion de me défendre, la faute était déjà sur moi, il venait d'inventer ce mensonge pour me faire porter le chapeau.

Elle : madame donc tu as déjà grandit jusqu'à tu veux séduire mon enfant ? Hein ?

Moi : tante ce n'est pas...

Elle : ferme là vite ! Tu parles de quelle Tante ? Je suis ta

tante ? Je m'appelle Fatoumata, je peux être ta mère tu comprends ?

Moi : ma mère est morte depuis !

Fatoumata : oui sache que tu es sous mes ordres ici et je ne peux pas tolérer que tu séduise mon fils, jusqu'à tu lui bloque la route ?

Moi : il ment ! Je ne l'ai pas fait, c'est lui qui...

Théo : tais toi menteuse ! Ce n'est pas toi qui as dit que tu veux qu'on couche ensemble ?

Fatoumata : hein ? Donc c'est arrivé jusqu'à ce niveau ? Ton oncle sera au courant ! Attends qu'il rentre, tu vas voir. Comme il te supporte toujours là, cette fois ci on t'a pris main dans le sac.

J'étais partie me rhabiller, j'attendais aussi que mon oncle rentre car avec lui je pouvais avoir le temps de m'expliquer et de donner ma version des choses.

La journée s bien déroulé, elle s'était passée sans incident.

Au moins pour une fois je n'étais pas trop mal à l'aise .

Mon oncle était rentré le soir vers 18h par là !

Je les observais et j'attendais seulement qu'ils ouvre la page pour que je m'exprime , mais rien, jusqu'à 20h rien ne s'était passé, personne n'avait oser ouvrir la bouche, mais moi je n'étais pas à l'aise, je voulais qu'il sache mais ce n'était pas à moi de dire quoi que ce soit ou de commencer.

J'étais obligé d'attendre mais c'était peine perdue.

Mon oncle avait constaté que j'étais gênée et m'avait demandé.

Oncle : Safi viens ici.

Moi : je suis là tonton.

Oncle : tu as quel problème ?

Je regardai sa femme assise de l'autre côté, puis son fils devant la porte, tous m'observaient avec beaucoup d'attention .

Je n'eût pas le courage de dire quoi que ce soit ou de dire quelque chose de contraignant.

Moi : rien de grave papa Bob.

Oncle : ça veut dire qu'il y a qu'en même quelque chose.

Moi : oui... l'examen approche, papa avait déjà tous payer et même mes dossiers avant de mourir, mais je n'ai pas les cours depuis et je ne sais pas comment faire. Je dois composer.

Oncle : ah je vois. Mais Théo fait 3ème aussi non, Théo ! Théo !

Il était sorti quand j'avais engagé le sujet, il savait que son père devait l'appeler.

Papa ! Répondit ce dernier depuis le derrière le la maison.

Oncle : il faut aider ta sœur avec les cours non ? Ou bien ?

Théo : d'accord j'ai compris.

Vu la façon dont il avait répondu, ce n'était pas une partie de plaisir.

Oncle : voilà, comment vous êtes dans la même maison et vous vous comportez comme des inconnus ?

Moi : merci papa.

Théo était rentré dans se chambre et était sorti avec ses cahiers qu'il m'avait donné ensuite. C'était clair, il n'était pas content du tout.

Et j'allais bientôt payer le prix.

Ce même soir j'avais fini de recopier les cours je géographie, j'avais fini vers 22h et j'étais vraiment fatiguée.

J'avais aussi constaté que Théo ne dormait pas encore mais je m'en foutais de son cas.

J'emballe tout et je pars me coucher, j'avais sur moi juste un long t-shirt de mon père, j'aimais porter ça pour dormir, pour moi il me protégeait du mal, sans soutien à l'intérieur puisque mes seins n'étaient pas assez gros pour que je porte le soutien tout le temps.

Je me couche donc et en quelques minutes le sommeil me prend, dans un profond sommeil, j'entends un bruit, comme le bruit de la porte qui s'ouvre !

Je me dis que je suis entrain de rêver, puisque je dormais, Après ce bruit je n'avais plus rien entendue d'autre, alors au fur et à mesure je me plonge en profondeur dans le sommeil et soudain, je sans comme un présence à côté de moi, je suis couchée sur le ventre et le sommeil est vraiment sucré !

Je sens quelque chose me toucher et puis rien.

J'ai éteint la lumière avant d'entrer me coucher, l'interrupteur est devant la porte, à l'entrée de ma chambre, donc pour arriver là-bas c'est loin, et de l'autre côté il y a une autre porte qui mène au salon, une porte sans battant. C'est juste le rideau qui l'a couvre.

Sans lumière, forcément tout est noir, mais je suis encore entrain de dormir.

Encore une fois de plus je sens quelque chose touche qui touche mes fesses, je ne bouge toujours pas, en tout cas je suis sûr que c'est juste le rêve c'est tout !

Ça continue ! Encore et encore ! Mais cette fois ci c'est différent, il y a une main qui me touche, cette main marche partout sur mes fesses. J'essaie de bouger et là ça disparaît.

Je me retourne donc et je me couche sur le côté, dos contre le mur. Et là je ne ressens plus rien.

Le matin je me lève comme les autres jours, à 5h j'étais déjà debout, je n'avais pas attendue qu'on vienne me verser de l'eau encore.

            
            

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