Je lui ai fait faire toutes les cochonneries possibles cette nuit sans la pénétrer. Je ne supporte pas de savoir que ce Junior de rien du tout ait pu la faire sienne. Comme je le lui ai dit, à notre retour ici, je lui ferai payer le mal qu'elle m'a fait au centuple. J'enverrai mes protégés militaires la défoncer à leur guise pour commencer. J'ai désormais en ma possession des moyens puissants pour faire pression sur elle. Cette nuit, je lui ai fait lécher et sucer toutes les parties intimes de Florica.
Au début elle faisait sa difficile alors je l'ai menacé de montrer leurs vidéos à ses parents. Florica dit qu'elle a pris son pied pendant qu'elle pleurait comme une madeleine et bah ! C'est tant mieux. J'ai baisé l'autre comme je le voulais sous les yeux d'Elisa en l'obligeant à nous regarder et à stimuler Florica qui est aussi coquine que salope. Je comprends pourquoi Junior n'a jamais réussi à l'aimer. Je n'ai pas eu du mal à la convaincre de trahir l'homme qu'elle jurait aimer par tous les dieux.
J'avais pensé qu'elle ferait sa difficile alors, j'ai demandé qu'on me déterre tous ses secrets inavoués pour lui faire du chantage mais au final, je n'en ai pas eu besoin. Dès qu'on aura fini avec le procès de l'autre idiot et qu'il sera condamné, je me débarrasserai d'elle. Pour le moment, qu'elle profite de la vie de luxe que je lui offre. Encore que cela me distrait et m'évite d'aller courir en ville après d'autres filles pour assouvir ma libido de vieux pervers (sourire).
Ce qui me fait enrager le plus c'est la trahison d'Elisa. Pour cette femme j'ai fait taire mes pulsions et mes envies de dominateur masochiste juste pour la garder près de moi. Je sais que certains ici ne comprendront jamais quel plaisir l'on ressent en voyant la peur et la souffrance dans les yeux d'une femme qu'on prend. Mais pour moi, c'est le meilleur moyen pour prendre mon pied. A ceux qui ne connaissent pas mon passé, je ferai une confidence. J'ai eu une enfance des plus malheureuses à cause de la mort prématurée de ma mère qui m'a laissé à la charge de son frère.
Un homme pervers, pédophile et homosexuel. J'avais 12 ans quand mon oncle m'a souillé. Il prenait un malin plaisir à me battre pendant qu'il me défonçait l'anus après avoir bu à satiété son vin de palme. Sa femme l'avait quitté et emmené avec elle leurs enfants. Alors, je suis devenu son conjoint. Il ne se gênait pas pour me rejoindre toutes les nuits. Il prenait soin de toujours me bâillonner pour m'empêcher de crier pour alerter les voisins. Jusqu'au jour où je fus transporté d'urgence au centre de santé parce que mon cœur avait cessé de battre.
Je me suis réveillé ce jour à l'hôpital et las de supporter cette tortue j'ai tout avoué au médecin qui a aussitôt rédigé un rapport adressé à la Brigade de Protection de l'Enfance et saisi le Procureur. Mon oncle qui fut emprisonné à vie pour détournement de mineur, viol aggravé sur mineur et tentative d'homicide. Mon père qui jusque-là était démissionnaire dût me récupérer. Sans le savoir, j'avais fait mon entrée dans un autre monde : celui des pervers sadomasochistes. N'allez pas croire que ces choses n'existent qu'en Europe, en Amérique ou en Asie.
Des pédophiles pervertis et sadiques se cachent bien sous nos tropiques et nuisent en silence à des âmes innocentes sans être dénoncés ou pris sur le fait. Six mois après mon arrivée chez mon père, sa femme poussa sa curiosité en me rejoignant dans la salle de bain. Elle observa longuement mon engin avant de poser ses mains dessus et de le saisir. Pour elle, j'étais trop pourvu à mon âge. Je devais avoir 14 ans quand elle-même se mit en l'idée et ensuite à l'œuvre de me pervertir davantage. Elle m'obligeait à coucher avec elle quand mon père partait en mission.
Le seul hic c'est qu'elle adorait se faire cogner au cours de l'acte sexuel. Cette femme était en fait du genre extra masochiste et appréciait la violence pendant le coït. Elle m'obligeait tous les jours, à lui faire mal au cours de nos séances de jambes en l'air. Au début, je voyais ce que nous faisions comme une manière de prendre ma revanche. Après tout ce que mon oncle m'a fait subir. J'appréciais de faire mal à cette femme pour une fois que les rôles étaient inversés, cela m'amusait parce que je me sentais fort viril et dominateur pour un garçon de mon âge.
Elle disait que c'est seulement ainsi qu'elle jouissait et que j'étais doué pour faire la chose. Je suis ainsi devenu son protégé, son objet de plaisir, sa douceur personnelle, son gadget privé. Mon père était contre ce genre de pratique alors, elle se donnait à cœur joie avec moi quand il était absent. Je jouais au maître et elle à l'esclave, plus tard elle décida de divorcer d'avec mon père pour que nous puissions vivre librement notre relation.
C'est elle qui m'a incité à me faire enrôler dans l'armée. Elle m'appelait affectueusement mon petit soldat et elle était pour moi ma belle esclave. Quand j'ai épousé ma première femme, la mère de ma fille aînée, je n'ai pas su contrôler cette manie qui était désormais, ancrée en moi. Faire souffrir ma partenaire sexuelle pour en tirer du plaisir au lit était instinctif chez moi. Cela a aussi été le cas avec Pamela qui d'ailleurs est dure à cuire au lit. Il m'arrivait de la transformer en mon cendrier.
Avant de mourir, elle avait sur tout le corps des traces de brûlure. Je prenais un malin plaisir à fumer au cours de l'acte sexuel, je la brûlais par moment avec le mégot de cigarette et cela me procurait un plaisir intense, voire fou. Au début elle voulait partir, divorcer tout comme l'autre mais j'ai su jouer mes cartes et elle est restée. Avec moi c'est tout ou rien. Et cette Elisabeth s'en rendra bientôt compte. Depuis que nous sommes en couple, je l'ai battue quelque fois au lit mais ce n'est rien de bien grave.
Vous me direz que c'est le karma et que si Junior me prend mon épouse aujourd'hui, que ce n'est que justice. Eh bien, je vous dirais que vous avez tort. Mon père ne s'est jamais occupé de moi comme un père l'aurait fait avec son fils. Lui prendre son épouse avec laquelle il n'avait aucun enfant était ma manière de lui faire payer son irresponsabilité. S'il avait été là pour moi, à la mort de ma mère, mon oncle n'aurait jamais abusé de moi.
Avec Junior c'est tout le contraire, sans l'avoir aimé comme un fils, je me suis occupé de lui-même après la mort de Paméla. J'ai payé entièrement ses études et tous les frais y afférents. J'ai fait mon devoir de beau-père et pour moi, rien ne justifie sa trahison.
-Tu as de la visite, Samuel dit Elisa en me faisant sursauter. Je ne l'ai pas vue entrer dans la pièce.
-Qui donc ?
-Il n'a pas voulu donner son identité, il dit qu'il a quelque chose de personnel à te remettre. Il attend au portail.
-Ok, je vais voir ce que me veut cette personne en attendant demande au chauffeur de ranger les valises dans la voiture, nous partons dans quelques minutes.
-C'est entendu.
-Pour toi, je suis mon amour, ou mon chéri comme autrefois, plus de Samuel dans cette maison, je n'ai pas ton âge ni l'âge de l'autre abruti qui te sautait, est-ce compris ?.
-Oui Sa ......... heu Chéri.
-C'est très bien, tu commences à comprendre, où se trouve mon invitée ?
-Dans le jardin, Chéri.
-Ok, préviens-la de notre départ imminent, entre autre, je ne veux pas te voir emporter plus de deux tenues pour ce voyage. Les femmes de mauvaise vie comme toi n'ont pas besoin de s'encombrer avec des vêtements de luxe comme ceux que je t'ai toujours offert. Nous achèterons deux ou trois tenues bon marché que tu mettras là-bas au cours de notre séjour. De toutes les façons personne là-bas ne sait qui tu es. Il faudra aussi me rappeler d'aller voir ton ivrogne de père qui m'a appelé hier pour me demander de l'argent comme si j'étais sa banque personnelle. Je ne veux pas que tes parents se doutent de quelque chose. Tout doit continuer comme avant.
-C'est entendu Sa.. Chéri.
-Maintenant dégage de ma vue.
Elle sort presque en courant ce qui a le mérite de me faire éclater de rire. J'adore l'effet de cette revanche que je prends sur cette femme. Elle n'aura plus que ses yeux pour pleurer désormais. Elle apprendra à ses dépens que la vie n'est pas du lait.
............... Anatole AZONOU...................
Je suis rentré chez moi à toute vitesse quand mon informateur que je tenais posté non loin de chez moi m'a averti il y a quelques minutes de la présence de ce jeune effronté dans ma maison. Je n'ai toujours pas trouvé la force de revenir à la maison malgré les supplications de mes enfants et les multiples messages d'excuses d'Hermine que je prends maintenant plaisir à lire. Pour Ruth, je suis en instance de divorce, elle croit avoir trouvé le bon mec à plumer et se donne déjà des airs de grande femme. Pour le moment, je prends du bon temps avec elle en réfléchissant à la manière de lui faire mal car je compte lui donner une bonne leçon.
Revoir Hermine si défaite, négligée et amaigrie vient de m'ouvrir les yeux. Au-delà de tout, j'ai délaissé mon épouse et perdu de vue l'essentiel. Hermine ne mérite pas ce que je m'apprêtais à lui faire. Elle a toujours été là pour m'épauler dans les bons comme les mauvais moments, je ne sais vraiment pas à quel moment, j'ai perdu de vue les nombreux sacrifices qu'elle a dû faire pour que nous réalisions nos rêves. Hier encore, je cherchais des excuses pour la blâmer, mais aujourd'hui, je ne peux m'empêcher de me condamner car je m'aperçois que c'est mon manque d'attention qui a poussé la seule femme que j'aime et que j'aimerai de toute ma vie dans les bras de ce jeune ambitieux qui lui a fait miroiter quelque chose qui ne sera jamais tant que je serai sur mes deux pieds.
Personne ne se mettra entre mon Hermine et moi. Cette femme est la mère de mes enfants, mon épouse et mon associée. Alors je dis bien que personne ne pourra faire dissoudre cette union qui, pour moi, est la chose la plus sacrée. Je scrute du regard mon face à face et je me dis qu'Hermine a dû beaucoup lutter pour ne pas aller dans un lit avec ce jeune homme qui est vraiment trop bien bâti.
Jeune, je n'étais aussi bel homme. Il a tout pour faire tomber une femme à ses pieds. Plus je le regarde et plus je me dis qu'il faut vraiment que j'éloigne mon épouse définitivement de ce jeune homme. Il est habillé simplement mais il est agréable à voir et dégage une fraîcheur que je ne connais pas à beaucoup de jeunes gens issues de familles aisées. Ses yeux bridés, sa bouche charnue, super bien dessinée et sa coupe de cheveux parfaite lui donnent une allure de mannequin. N'allez surtout pas croire que j'ai également une attirance pour les hommes, non ! Je suis juste un fin observateur, un hétéro bon teint qui s'intéresse de très près à la mode et tout ce qui est beau.
Je commercialise des pagnes et bien d'autres articles de beauté pour femme. Donc je suis un connaisseur, une qualité fort indispensable dans mes activités. Il me suffisait d'observer de près mes clients et de vanter leurs meilleurs atouts physiques pour les fidéliser. Il m'arrive encore d'avoir la nostalgie de ses moments où je parcourais la ville à moto pour aller proposer mes articles dans les structures de la place. Tout ceci est loin maintenant. A cause de ma notoriété et de tout ce que j'ai amassé comme fortune, je ne peux plus m'afficher comme un simple citoyen et c'est parfois ce qui me dérange dans le fait que je sois devenu un riche et très réputé homme d'affaires.
Tous mes faits et gestes sont scrutés par mes concurrents. Et c'est qui me met le plus en colère. Quand je pense que quelqu'un aurait pu voir mon épouse avec ce jeune homme et mal l'interpréter ou simplement le répandre en rumeur... Seigneur !
- Comme cela c'est toi qui convoitise mon épouse, jeune homme ? Dis-je en le regardant intensément.
- Non Monsieur, je........
- Pourquoi elle ? Ajoutai-je en l'interrompant. Avec toutes les femmes de ton âge qui sont disponibles dans cette ville, pourquoi c'est sur mon épouse que tu as choisis de jeter ton dévolu ? Sais-tu qui je suis ?
- Je n'ai jamais désiré votre épouse, monsieur ! Répondit-il en tremblant.
- Alors explique moi ce que tu faisais nu avec elle dans cette chambre d'hôtel ? Et comment se fait-il que tu sois présent dans ma maison ? Je veux comprendre.
- Je voulais m'excuser auprès de votre épouse, je voulais lui demander pardon pour l'avoir manipulée. On m'a payé pour la séduire, je ne faisais qu'un travail en venant à elle.
- Je veux alors savoir celui qui t'a payé.
C'est une femme monsieur, par l'intermédiaire de mon ami..... J'ai juste reçu des informations la concernant. Il a exigé un compte rendu détaillé de mes progrès que je lui j'envoyais au fur et à mesure avec des images de nous deux à l'appui. Je n'avais pas prévu que vous viendrez dans cette chambre d'hôtel il y a quelques jours. Je devais simplement droguer votre épouse, coucher avec elle et filmer nos ébats que je devais ensuite envoyer à mon ami et tout serait joué. Mais les choses ne sont plus passées comme convenue. Je n'ai jamais eu une quelconque intimité avec votre épouse qui me répétait sans cesse qu'elle est une femme mariée et très engagée. Elle me parlait longuement de vous et surtout de vos débuts. Votre épouse vous aime profondément et je vous supplie de lui pardonner. Sa seule erreur est de m'avoir accordé sa confiance et donné son amitié et rien de plus. Je vous présente également mes sincères excuses pour tout le désagrément que je vous ai causé.
- Je veux bien vous accorder mon pardon mais à une seule condition.
- Je suis disposé à faire ce que vous souhaitez, monsieur.
- C'est très bien ! Désormais, le chasseur devient la proie et la proie le chasseur.
- Je ne comprends pas vos paroles, Monsieur.
- Tu comprendras très bientôt, je te contacterai très vite pour te dire ce que tu auras à faire.
- Je peux vous laisser mon adresse et mon contact si vous le souhaitez, Monsieur.
- Je sais où te trouver, jeune homme ! Je sais tout de toi. Tu peux maintenant t'en aller.
- Merci, Monsieur. Je suis sincèrement désolé. Dit-il en tournant rapidement les talons.
- Autre chose, jeune homme.
- Oui, Monsieur ? Dit-il en se retournant.
- Si je te revois ou apprend que tu en as après ma femme, je te ferai briser les quatre membres et couper ensuite, ce qui te sers de queue pour être passé dans un hachoir sous tes yeux. Sache aussi qu'il n'y aura pas d'autre avertissement. Mes deux amis que tu as reçus chez toi sauront te retrouver où que tu sois.
- C'est compris, Monsieur.
- Soit ! Tu peux disposer, Angelo AMOUSOU.
Il s'en va sans demander son reste et moi, j'entre enfin dans mon salon où m'attend mon épouse. Je crois qu'il est temps pour nous d'avoir cette discussion. Hermine se lève dès qu'elle me voit en me suppliant du regard mais je lui souris pour la mettre en confiance. Je suis aussi coupable qu'elle voire même plus. Je me dois de tout lui raconter, lui parler de Ruth et surtout lui dire ce que je compte faire pour donner une belle leçon à cette gamine aux ambitions démesurées qui croyait venir à bout de notre vieux couple.