- Moi : mon oncle, demande lui de partir, je n'ai pas besoin de ses services
- Saïdou : Belle, combien de médecins, tu as viré ?
- Moi : c'était tous des incompétent ? Dis-je avec colère
- Saïdou : lui, laisse le travailler encore pour un moment.
- Jaz : vieux grincheux, tu ne sais pas ce que tu fais. Dit-il dans sa tête
- Saïdou : Jaz tu vas rester et travailler. Dit-il en sortant
- Jaz : ok, monsieur
- Moi : je ne veux pas...
- Jaz : chut. Dit-il en mettant ça sur ma bouche
Énervé, que je suis, de cette façon, je lui mords la main, lui, le retirant aussi vite de ma bouche pour enfin pousser un cri.
- Jaz : qu'est-ce qui te prends. Dit-il avec colère
- Moi : ne, me, touche, pas
- Jaz : mon Dieu quelle enfant gâtée
- Moi : et toi, tu es enfant pourrit
- Jaz : on peut passer aux choses sérieuses maintenant ?
- Moi : tu veux quoi ?
- Jaz : je veux savoir si tu as toujours été aveugle.
- Moi : je ne veux pas en parler.
- Jaz : tu veux que tes yeux guérissent ou pas ?
- Moi : quelle question, bien sûr que oui, pourquoi tu es là sinon
- Jaz : alors tu dois apprendre à me faire confiance, et tout me dire. Dit-il en touchant ma main
Méfiante que je peux vraiment être, ainsi retirant ma main sous l'emprise de la sienne, de même repoussant les mèches rebelles de mon visage, de plus clignotant les paupières et les cils. Pourrais-je vraiment lui donner ce qu'il veut ? Sonder dans mes pensées, je sens encore sa main sur la mienne, ceci me mettant mal à l'aise. Décidant enfin de parler, puis, je réplique.
- Moi : je n'ai pas toujours été aveugle. Dis-je à tête baissée
- Jaz : je t'écoute. Dit-il en me portant des regards
- Moi : je suis devenu aveugle après la mort de mon père. Dis-je les yeux embués de larmes
- Jaz : qu'est-ce qui s'est passé ?
- Moi : je ne sais pas, le jour des funérailles de mon papa, je pleurais beaucoup, alors quand ils ont voulu amener son cadavre, je me suis levé en courant et en pleurant pour suivre mon père, puis je suis tombé et je me suis cogné la tête ensuite, je me suis évanoui, quand j'ai repris connaissance, je ne voyais plus rien. Dis-je en laissant mes larmes couler
- Jaz : ça a dû être vraiment horrible, chut, ne pleur plus.
Ma tête étant toujours en baisse, moi, pleurant à chaud larmes, soudain je sens ses mains repousser les mèches rebelles de mes cheveux pour enfin les placer derrière mon oreille
- Jaz : lève la tête.
En ses mots, je lève petit à petit la tête suivie de mes yeux, ainsi, je sens ses doigts sur mes yeux me faisant comprendre qu'il les scrute, étant très tranquille à le laisser faire, de plus sa main frôle ma joue ceci me faisant ressentir un sentiment étrange.
- Jaz : tu as eu combien de médecins depuis ? Dit-il en scrutant mes yeux
- Moi : je n'en connais pas le nombre.
- Jaz : et si je te disais que tu vas guérir
- Moi : je donnerai n'importe quoi pour revoir à nouveau, je te promet que si tu y arrives je te donnerai tout ce que tu voudra
- Jaz : je veux bien une chose.
- Moi : quoi ?
- Jaz : ta confiance, juste fait moi confiance et fais tout ce que je dis et cesse tout ce que je vais t'interdir
- Moi : en faisant ça, je vais récupérer mes yeux ?
- .... : ça c'est certaines princesses
- Moi : Raid
- Raid : fait ce qu'il dit ma belle
- Moi : tu as confiance en lui toi ?
- Raid : c'est mon pote, on a fait les études secondaires ensemble.
- Jaz : oui, c'est vrai.
- Moi : d'accord, si Raid te fait confiance étranger, moi aussi, je vais le faire par ce que je fais confiance à Raid.
- Raid : parfait, maintenant Jaz, tu vas rester dans cette maison le temps que Belle guérit
- Jaz : tu veux dire que je vais devoir vivre ici ?
- Raid : oui
- Jaz : mais...
- Raid : pas de, mais
- Jaz : ouf, bon d'accord
- Raid : super
- Jaz : miss, tu as pris ton petit-déjeuné ?
- Moi : non, je vais manger en bas aujourd'hui avec les autres.
- Jaz : d'accord, viens-je t'y amène ?
- Raid : attention, ça pourrait être dangereux là-bas. Dit-il en marmonnant à Jaz
- Jaz : compte sur moi pour donner une bonne leçon à ce vieux. Dit-il en marmonnant
- Moi : de quoi vous parler ?
- Jaz : avance
- Moi : je n'aime pas quand tu me donnes des ordres.
- Jaz : d'accord mademoiselle s'il vous plaît avancer.
- Moi : c'est mieux.
- Raid : mdr
Dans la peau de Jaz
Descendant les escaliers, j'aperçois le vieux mettant quelque chose dans une assiette de nourriture dont il est écrit, Belle au bord de l'assiette, de même l'expression de mon visage change, ainsi, il quitte la pièce, moi, me dépêchant pour aller échanger les assiettes avant qu'il ne revienne.
- Belle : hey, doucement
- Moi : fait vite
- Belle : nous ne sommes pas pressés.
Vu qu'elle n'avance pas, moi, décidant de la porter pour vite arrivé en bas, sidéré qu'elle soit, elle ne prononce pas un mot, de même, je la dépose sur la chaise pour enfin échanger les assiettes, ainsi, prenant une autre assiette pour mettre la nourriture de la fille, de même, prenant la nourriture empoisonnée et la mettant pour le vieux
- Moi : prends ça mon vieux. Dis-je dans ma tête
- Belle : je crois comprendre que tu as échangé les assiettes ?
- Moi : eh, Allah, chut tais-toi.
- Belle : d'accord
Ainsi, faisant un sourire par son geste vu qu'elle n'a pas remis en question mes dire, moi,arrêté à la porter des regards et aussi à sourire
- Belle : MON ONCLE ET LES AUTRES, VENNEZ J'AI FAIM MOI.
De cette manière, les autres font leurs entrées, de même, ils se réunissent en famille pour prendre le petit-déjeuner, ma première fois de voir Belle manger par elle-même, étant heureuse du fait qu'elle n'ait pas mangé ce truc, de plus, je m'assois dans le fauteuil gardant un œil sur elle.
- Belle : étranger
-Moi : oui
- Belle : tu ne manges pas toi ?
- Moi : j'ai déjà pris mon petit-déjeuner.
Après qu'elle ait terminé, je lui donne ses médicaments, ainsi lui faisant le tour de la maison tout comme hier, elle finit par vomir, de même, l'aidant à aller dans sa chambre pour qu'elle se repose.
Le soir, couché dans ma chambre à draguer les meufs vu qu'il n'y a personne à la maison, je profite de ma pose
Dans la peau de l'auteur
Voyant Allhassane discuter avec un homme étrange, de même l'expliquant ce qu'il doit faire
- Allhassane : il n'y a personne à la maison, je vais te faire rentrer par ce qu'il y a les gardes.
- homme : d'accord
- Allhassane : mais tâche de bien faire mon travail
- homme : compte sur moi.
- Allhassane : viens, elle est dans sa chambre.
Dans la peau de Belle
Couché dans ma chambre, soudain, j'entends la porte s'ouvre de force, ainsi, sentant la présence d'un être étranger dans ma chambre, la peur envahit mon cœur
- Moi : qui est là. Dis-je étant effrayé
Le sentant s'approcher de moi, je me lève aussi vite du lit pour reculer du mieux que je peux
- Moi : répondez.
Ainsi, il me saisit pour ensuite me jeter dans le lit, de même, il se met sur moi, ceci me faisant comprendre qu'il veut abuser de moi, mon cœur s'élance dans ses battements par peur, essayant de me débattre de toutes mes forces, je finis par lui mordre, sur ce coup il m'assène une gifle pour ensuite déchirer mon haut.
- Moi : AU SECOURS
Dans la peau de Jaz
Entendant ce crie assourdissant, je me lève aussi vite, comprenant que c'est la voix de Belle, ainsi, je cours de tous mes forces pour aller dans sa chambre, ainsi, trouvant un homme sur elle, celui-ci asseyant de tout faire pour enlever son pantalon, celle-ci ne se laissant pas faire
- Belle : AU SECOUR, AIDEZ MOI. Dit-elle en pleurant
- Moi : HEY ! Crie-je avec colère
Tournant sa tête en rond pour enfin me voir, de même, il se lève aussi vite afin de prendre la fuite, moi, le récupérant avec colère pour enfin entamer à lui donner la raclée de sa vie, étant en pleine bagarre avec lui.
- Belle : étranger, ÉTRANGER. Dit-elle en criant et en pleurant
- Moi : qui es-tu ? QUI T'ENVOIE ?
- homme : pardonnez-moi, s'il vous plaît.
- Moi : aller vient, VIENS.
L'attachant très bien en bas dans le garage pour pas qu'il s'échappe, de même, je pars rejoindre Belle pour vérifier si, elle va bien, grimpant les escaliers avec rage, une fois dans la chambre, la trouvant dans un sale état, de même, je m'approche d'elle
-Moi : Belle, ça va ?
Ainsi, elle jette dans mes bras en pleurant à chaude larme, moi, hésitant de la toucher, car son haut est déchiré, de plus, je me la couverture sur elle pour enfin la renfermée afin de la calmer.
- Belle : qui est cet homme ? Qui est-ce ? Dit-elle en larmoyant
- Moi : chut, c'est fini, arrête de pleurer
À suivre...