- Moi : dormir où ? Lève-toi, tu ne sais pas que ce n'est pas bien de dormir quand t-on prend des médicaments pareils.
- Belle : ah oui et pourquoi Adama me demandait toujours de dormir après ?
- Moi : cette fille dire que je l'aimais bien dja, c'est une tueuse. Dis-je dans ma tête
- Belle : c'est évident que tu ne sais même pas ce que tu fais. Dit-il en se couchant
- Moi : lève-toi. Dis-je en la tirant
Dans la peau de Belle
Moi, essayant de me débattre, ainsi, il me soulève comme un ballet sec mon Dieu pourquoi je suis aussi mince, de même, se mettant derrière moi pour enfin attraper mes épaules et me pousser vers devant
-Moi : lâche-moi. Dis-je essayant de me débattre
- Jaz : avance
- Moi : étranger arrête. Dis-je étant sur les nerfs
Continuant de me pousser, on fini par baisser les escaliers pour arriver au salon, tout d'un coup, moi, sentant la présence de Raid, de même l'idée de lui demander de l'aide me vienne à l'esprit
- Moi : Raid aide moi, dis à cet étranger de me lâcher
- Raid : euh... Oook. Dit-il sidéré de nous voir se battre comme des chats et souris
- Jaz : avance, avance
- Moi : je vais porter plainte contre toi.
- Jaz : si tu veux, c'est devant le président, tu vas m'amener même.
Imbécile qu'il soit, il me fait faire le tour de la maison trois fois, étant fatigué, mais aussi haletante au point même de respirer par la bouche, je n'ai pas l'habitude de faire ça, lui il veut sûrement me trucider. Soudain, je commence à avoir des nausées.
- Jaz : ça va ?
- Moi : est-ce que j'ai l'air d'aller bien ?
- Jaz : tu as envie de vomir ?
- Moi : oui. Dis-je complètement étourdi
- Jaz : lâche-toi, surtout, ne te résigne pas...
Avant même qu'il ne termine sa phrase, je vomis abondamment, étant déconcerté, mais aussi ayant une frayeur de ouf ça m'est jamais arrivé de vomir comme ça, ainsi, je me sens faible, de même, me laissant écroulé, puis, je me retrouve sur son torse, moi, attrapant son col pour mieux m'accrocher, aussi, sentant ses mains sur mes hanches ce geste me faisant sursauter, mon cœur augmente en vitesse, ainsi me collant à lui pour m'empêcher de tomber, il me renferme,
- Moi : étranger, lâche-moi. Dis-je ayant la tête qui tourne
- Jaz : tu veux que je te lâche ? Mais c'est toi qui me tiens. Dit-il avec un sourire
- Moi : lâche-moi
- Jaz : aller vient.
En ses mots, il me porte, ainsi posant ma tête sur son torse, mes mains sur son col, le sentant se mouvoir, étant donné que j'ai froid et cette chaleur qu'il dégage me faisant du bien, de même, je le renferme contre moi pour enfin fermer les yeux.
Dans la peau de Jaz
Enfin dans sa chambre, la déposant dans son lit, elle, ne lâchant pas mon col et moi essayant de faire doucement pour n'est pas la réveiller, étant toujours collé à mon col, moi, la portant des regards me demandant comment une personne peut être aussi belle qu'elle est, de même saisissant doucement ses mains pour enfin les enlever, de plus je mets la couverture sur elle pour ensuite sortir et fermer la porte après moi. Descendant les escaliers avec rage, je viens saisir le col de Raid pour ensuite lui asséner un coup sur la joue, de plus le braquant au mur.
- Moi : tu le savais, n'est-ce pas ? Tu m'as envoyé ici pour que je fasse ce salle boulot, tu es de mèche avec ce vieux. Dis-je avec colère
- Raid : ayi ! Mon pote calme toi, je ne t'ai pas envoyé ici pour ça, je veux juste réprimer les plans machiavéliques de ce vieux.
Entendant ça, je le lâche pour écouter sa version, de même me regardant et touchant sa joue.
- Raid : tu veux me tuer Jaz ? Je te rappelle bien que tu es médecin, tu es aussi boxeur, merde le mec à fracturer ma mâchoire.
- Moi : mdr, désolé j'ai crû que tu es de mèche avec le vieux
- Raid : mais non, si tu es là, c'est pour empêcher ses plans
- Moi : pourquoi tu ne m'as rien dit ?
- Raid : je n'étais pas sûr que c'est lui qui faisait tout ça.
- Moi : figure-toi qu'il m'a donné du poison pour que je donne ça à la fille.
- Raid : nom d'un cafard, tu l'as fait ? Dit-il sidéré
- Moi : non, j'ai des sœurs aussi donc je ne peux pas faire ça à la sœur d'un autre.
- Raid : c'est n'est pas ma sœur, c'est juste ma patronne.
- Moi : ah, je vois maintenant.
- Raid : c'est bien qu'elle vomit comme ça ?
- Moi : oui, la quantité du poison est énorme dans son organisme, le fait qu'elle a prise les vrais médicaments, c'est cela qui pousse le poison à sortir.
- Raid : je savais que je pouvais te faire confiance.
- Moi : mais cette fille même pour la faire rentrer dans le paradis, il faut l'attacher et la traîner, je devrais me trouver un fouet
- Raid : mdr, ne me dit pas que tu vas frapper l'enfant d'autrui ?
- Moi : mdr. J'éclate de rire.
- Raid : on se limite là le vieux est-là.
- Moi : à plus
- Saïdou : qui vois-je, l'avocat de ma nièce ?
- Raid : que voulez-vous ?
- Saïdou : j'ai juste un travail pour toi.
- Raid : je travaille déjà avec la meilleure des patronnes, je n'ai pas besoin d'un autre alors si vous voulez bien m'excuser.
- Saïdou : cet imbécile ne veut pas travailler avec moi. Dit-il dans sa tête
- Moi : si tu savais combien j'ai envie de te donner une bonne leçon. Dis-je en marmonnant
- Saïdou : Jaz
- Moi : oui
- Saïdou : je rêve ou bien tu parlais avec Raid ?
- Moi : il m'a juste demandé un truc.
- Saïdou : écoute-moi bien jeune homme, dans cette maison, tu ne dois parler à personne d'autres que moi. Est-ce que je me suis fait comprendre ?
- Moi : oui
Ainsi, je me dirige vers la cuisine par ce que cette fille va se réveiller tout de suite avec son étranger, j'ai fait, étranger elle n'a pas trouvé mieux pff.
Dans la peau de Belle
Me réveillant petit à petit, sentant la présence de l'étranger près de moi, de même, je m'adosse contre la tête du lit.
- Moi : étranger, tu es là ?
- Jaz : je suis là. Comment tu te sens ?
- Moi : bien, ça m'a fait du bien de vomir
- Jaz : tu as mal quelque part ? Tu veux manger ?
- Moi : j'ai un peu mal à la tête, et j'ai faim
- Jaz : ok, tu vas manger après. Je te donne des médicaments pour calmer ta tête.
- Moi : mais...
- Jaz : chut. Dit-il en posant son index sur mes lèvres encore une fois
Ce geste me poussant à clore ma bouche et à être stupéfié encore une fois les frissons traversant mes lèvres, ainsi tout doucement, il retire son index pour ensuite me nourrir. Quelques minutes après, moi, étant incommodé, n'arrête pas de remuer mes cils, je repousse les mèches rebelles de mon visage, de même, il essuie ma bouche pour ensuite dire
- Jaz : tu mange quelque chose avant de dormir là nuit ?
- Moi : oui mon oncle m'apporte un café chaque soir
- Jaz : s'il l'apporte aujourd'hui ne le bois pas
- Moi : pourquoi ?
- Jaz : si tu le bois, ton état va s'aggraver et comme tu vois, je vais devoir t'opérer.
- Moi : non, pas les opérations. Dis-je en saisissant mes oreilles ayant une de ces peurs étant donné que j'ai peur même en entendant le mot opération
- Jaz : heureusement qu'elle a peur de ça, elle ne risque pas de boire ce café. Dit-il dans sa tête
- Moi : je ne boirais plus de café toute ma vie.
- Jaz : mdr, petite peureuse. Dit-il en marmonnant
- Moi : tu ne vas pas m'opérer ?
- Jaz : si tu ne bois pas le café, mais si tu le fais, je vais le faire
- Moi : je ne vais pas le boire promis. Dis-je étant toujours effrayé
- Jaz : d'accord, je m'en vais maintenant.
- Moi : Sakari, vient près de moi.
- Jaz : elle n'est pas dans la chambre, je vais la faire venir en sortant.
- Moi : d'accord
Le soir, assise avec Sakari dans le lit, je sens la présence de mon oncle, c'est sûr qu'il est là pour me donner un café, la peur traverse mon corps
- Saïdou : ma chérie ton café est là
- Moi : je ne veux pas de café, je ne veux pas en boire. Dis-je en pleurant
- Saïdou : qu'est-ce qui se passe ? Tu bois ton café chaque soir avant d'aller au lit. Dit-il sidéré
- Moi : dehors, dehors, sors d'ici Sakari fait le sortir. Dis-je en pleurant
- Saïdou : ok calme toi, arrête de pleurer ok, maintenant bois un peu d'eau
De ce fait, il essuie mes larmes, ensuite me donnant de l'eau pour enfin me demander de me coucher. Me réveillant grâce aux mouvements du lit, Sakari est dans les parages, je sens aussi la présence de l'étranger, mais ne pouvant pas me lève, j'ai mal à la tête.
- Moi : ayi ! Ma tête
- Jaz : ouvre la bouche, et sort la langue.
Faisant ce qu'il me demande, me demandant à quoi il joue, mais je n'ai pas la tête à me disputer vu que j'ai très mal.
- Jaz : merde, tu avais bu le café hier ?
- Moi : non, je le jure. Dis-je ayant une peur de ouf
- Jaz : qu'est-ce que tu as bu hier ? Dit-il avec colère
- Moi : de l'eau, seulement de l'eau. Dis-je après avoir sursauté
- Jaz : ce vieux ne reculera devant rien, merde que faire ? Je dois informer Raid, il trouvera sûrement une solution. Dit-il dans sa tête
- Moi : tu vas m'opérer ? Demandais-je avec la peur
- Jaz : je ne vais pas le faire cette fois.
- Moi : merci
- Jaz : mais la prochaine, la prochaine fois que tu prendras quelque chose avant d'aller au lit quand je viens, c'est directement dans le bloc. Compris ? Dit-il en appuyant sur mes épaules avec colère
- Moi : tu me fais mal. Dis-je en pleurant
En ces mots, il me lâche soudainement, de même, je recule pour être le plus loin possible de lui, continuant de pleurer.
- Jaz : je suis désolé, ne pleure pas.
- Moi : laisse-moi tranquille.
Ainsi sentant ses mains sur mes joues, de même les poussant pour m'éloigner encore, de plus, il se rapproche, aussi, posant ses mains sur mes joues encore une fois pour ensuite essuyer mes larmes
- Jaz : ne pleure pas, ce n'est pas bien pour tes yeux.
- Moi : laisse-moi tranquille, tu es viré.
- Jaz : mdr
Tout d'un coup, je me sens secoué, ceci me poussant à me retrouver dans ses bras, ma tête enfouit dans son cou, ainsi, il me renferme, moi, étant sidéré, ne sachant pas quoi faire, de même, je pose mes mains sur son dos pour le renferme en retour.
- Jaz : du calme
À suivre...