À l'extrémité de la fenêtre constituant la chambre, une jeune fille assise ses yeux figés dans le vide, de même observant une autre grimper les escaliers pour enfin s'introduire dans la chambre, la voyant, on comprend vite que c'est une doctoresse, stupéfiée qu'elle est, ainsi décidant de parler aussi vite
- Elle : Belle qu'est-ce que tu fais au bord de la fenêtre ? Demanda-t-elle étant épouvanté
Ainsi, celle-ci meut sa tête en rond, de même, faisant en sorte se lève dans le but de se ternir debout.
- Elle : Belle attention. Dit-elle en s'accourant vers elle dans le but de lui venir en aide
- Belle : woh, on se calme ce n'est pas comme si je ne peux pas me tenir debout
- Elle : fait attention
- Belle : tu te prends pour ma mère ou quoi Adama ? Je te rappelle que toi, tu es juste là pour t'occuper de mes yeux alors fait ton travail et laisse-moi.
- Adama : quel malpoli teste. Dit-elle dans sa tête
- Belle : en passant, je n'ai pas senti la présence de Sakari aujourd'hui, elle n'est pas venue me voir, elle va bien ?
- Adama : prends place dans ton lit, je vais aller voir ça.
- Belle : non, amène moi à elle
- Adama : d'accord, viens, mais fais attention à la marche.
- Belle : je ne suis pas bébé, j'ai juste perdu mes yeux pas mes autres sens
Dans la peau de Belle
Impatiente d'aller vers ma Sakari, étant anxieuse, sachant que ma belle Sakari n'avait jamais fait ça, elle vient me voir chaque fois. Ainsi, avec ma doctoresse, on arrive à la demeure de celle-ci.
- Moi : Sakari, Sakari ma belle
- Mec : oh, mon Dieu, la patronne est là. Dit-il en marmonnant, toute en ayant une frayeur
- Mec2 : je t'avais dit de n'est pas enfermer sa Sakari.
- Moi : où elle est passée ? Sakari. Dis-je inquiète
- Mec : Ma...Mademoiselle Sa... Sakari est enfermé dans sa cellule. Dit-il en balbutiant et tout tremblant de peur
- Moi : Quoi ? Qui a osé enfermer ma Sakari ? Dis-je très exaspéré
- Mec : c'est moi mademoiselle. Dit-il avec peur
- Moi : pourquoi ? Tu es fou ? Tu as bu ? RÉPOND
- Mec : mademoiselle, votre tigresse a voulu s'attaquer à moi.
- Moi : qu'est-ce que tu as fait à Sakari pour qu'elle pense à s'attaquer à toi ?
- Mec : mais, mademoiselle, c'est une tigresse
- Moi : Sakari ne fait pas du mal à une mouche alors tu as fait quelque chose. PARLE.
- Mec : je...Je me suis introduit dans le bureau de votre oncle et elle m'a surprise.
- Moi : d'accord, on va parler de ça plus tard, est-ce que Sakari a mangé ?
- Mec : non
- Moi : oh mon Dieu, SAIS-TU CE QUE SAKARI EST CAPABLE DE FAIRE QUAND T-ELLE A LE VENTRE VIDE ? Dis-je étant hors de moi en même temps, j'ai envie de le trucider
- Mec : je suis désolé mademoiselle
- Moi : ouvre cette cellule, et que quelqu'un apporte la nourriture de Sakari, reculer tous elle est capable de sauter sur la première personne qu'elle verra
- Mec : mademoiselle, je ne veux pas mourir.
- Moi : ouvre cette foutue cellule. Dis-je avec colère
- Adama : fait ce qu'elle dit, tu la connais hein
- Mec : mon Dieu Je me trouves entre tes mains. Dit-il en ouvrant la cellule tout en tremblant
Entendant les rugissements de Sakari me faisant comprendre qu'il a ouvert la porte et que celle-ci est sur le point de sortir
- Mec : AH ! Oh mon Dieu
- Adama : ah ! Oh, mon Dieu, oh, mon Dieu, elle a sauté sur lui. Dit-elle en tremblant de peur
- Moi : woh du calme ma belle, aller vient me toucher, vient manger ma tigresse, laisse le, vient
En ces mots, je la sens se blottir contre moi ceci me poussant à faire un sourire, de même, je m'accroupis pour la toucher constatant qu'elle est en train de manger, ainsi, je la cajole.
- Moi : après ici, tu vas prendre un bon bain hmm et on va t'asperger un parfum pour que sens encore plus bon, ensuite, tu vas me rejoindre dans ma chambre, d'accord ma belle. PRÉPAREZ LA SALLE DE BAIN MA BÊTE VA PRENDRE SON BAIN, ENSUITE APPELEZ LE VÉTÉRINAIRE POUR QU'IL LA CONSULTE, HE OUI TOI QUI AS ENFERMÉ MA TIGRESSE, TU ES VIRÉ.
- Adama : Belle, tu n'as pour animal de compagnie un chien, ni un chat ou même un lapin sauf une tigresse
- Moi : arrête de parler et aide moi à aller dans ma chambre.
Sans attendre de plus, elle saisit ma main, on se meut vers la rentrée, une fois au salon, moi, sentant la présence de mon oncle, constatant qu'il est dans les parages.
- Saïdou : Belle quand est-ce que tu vas enlever cette bête dans cette maison? Elle risque de manger quelqu'un ici un jour
- Moi : mon oncle, tu dis ça par ce qu'elle ne t'aime pas, Sakari n'a que six ans et elle vit avec moi, pas avec quelqu'un d'autres
- Saïdou : d'accord, je t'aurais prévenu.
- Moi : allons-y d'Adama
- Saïdou : après, je voudrais te parler Adama
- Adama : d'accord monsieur. Qu'est-ce qu'il me veut encore ? Dit-elle dans sa tête
Une heure après, étant toujours dans ma chambre, je sens la présence de Sakari ceci poussant à faire un sourire
- Moi : vient ma belle vient, approche
Ainsi, elle monte me trouver dans le lit, moi, toute souriante, continuant de la cajoler, Sakari a une place très importante dans ma vie, papa me l'avait apporté quand t-il est allé en Inde.
- Adama : Belle, je viens tout juste de draper le lit et tu laisse ta bête monter de dans
- Moi : je ne t'ai pas demandé de le faire, de plus ce n'est même pas ton travail, et puis c'est inutile de draper le lit si ma Sakari ne peut pas monter de dans
- Adama : hmm, ok, prends tes médicaments.
- Moi : donne.
Dans la peau l'auteur
Quelques minutes après, on voit Adama se faufiler dans le bureau de Saïdou, une fois à l'intérieur, trouvant celui-ci de dos
- Adama : je suis là monsieur.
- Saïdou : j'espère que ma nièce prend bien ses médicaments.
- Adama : oui monsieur
- Saïdou : parfait, fait bien ton boulot
- Adama : écouter monsieur, je démissionne, je ne peux pas continuer à mentir à Belle
- Saïdou : d'accord, c'est comme tu veux elle ne doit rien savoir de tout ça
- Adama : d'accord
- Saïdou : he oui, trouve un prétexte pour partir, tu la connais quand t-elle est exaspérée.
- Adama : compris monsieur
À suivre...