Ils se mirent à tour de rôle à prier pour moi et à me donner des conseils et quand mon oncle prit la parole, il évoqua mon père et ce souvenir me fit pleurer, de même que toutes les prières qu'ils formulaient pour moi. Au bout d''une bonne heure au moins, on embarquait dans des voitures direction la maison de Rassoul. J'avais confié à Fatou et Adja le soin de s'occuper de mes bagages et je commençais à ressentir les effets de la fête. J'avais des maux de tête et j'étais vraiment fatiguée. En plus mon ventre criait famine et je me rendis compte que je n'avais presque rien mangé de la journée. Heureusement que Fatou s'était arrangé pour entrer dans la même voiture que la mienne et je le lui soufflai à l'oreille. Elle me promit de me chercher à manger dès notre arrivée. Durant tout le trajet, mon cœur battait très fort. J'étais tellement anxieuse que je me tirais les doigts nerveusement.
Avant d'arriver, la voiture se mit à klaxonner et j'avais l'impression que tout le quartier sortait pour voir ce qui se passait surtout qu'il ne faisait pas trop tard. Je commençais à stresser et des femmes sortirent de la maison de Rassoul avec des bols et se mirent à frapper frénétiquement faisant un boucan terrible. J'avais chaud avec ses tonnes de couvertures que j'avais mais je n'osais pas bouger. Au bout de quelques minutes on nous demanda de sortir et comme j'étais maintenant en territoire Diop, la griotte passait la tête dans la voiture pour me demander de faire ce qu'on me demandait de faire. Donc je descendis avec ma cousine et sans que je comprenne pourquoi, on se mit à nous donner des coups accompagnés de commentaires pas très tendres. Au début, j'ai failli prendre mes jambes à mon coup, mais je compris rapidement que ca se passait comme ca et on se dépêchait de rentrer à l'intérieur de la maison. On nous demandait de nous mettre à genoux et de faire le tour de la cour je ne sais combien de fois. Ma tante commençait à rouspéter mais personne ne l'écoutait. On se pliait et j'étais vraiment fatiguée. J'en avais marre et avait juste envie que tout cela finisse. Décidément je n'aimais pas la coutume wolof. Après cela on s'assit sur une natte, les jambes étalée et toujours la tête cachée dans les couvertures, j'entendis le père de Rassoul faire un discours en me souhaitant la bienvenue et chanter les louanges de sa femme qui selon lui a toujours su diriger de main de maitre la maison et que si je fais d'elle mon ami jamais je n'aurais de problème dans la maison. A cet instant je faillis m'évanouir tellement j'avais faim. Fatou, comme elle ne savait pas qui se cachait derrière les couvertures, je l'ai entendu glisser discrètement des beignets à ma cousine. Et cette petite affamée à tout manger alors que j'ai failli pleurer et que les discours tiraient en longueur. Au bout d'un moment enfin, ils finirent et me dirent que je devais faire vite de rejoindre la chambre de Rassoul car il y avait un bol de bouillie qui nous attendait et que le premier qui mange aura tours le dessus sur son partenaire. Moi je crois que c'est le mot bouillie qui m'a fait sauter et on me guidait rapidement vers la chambre et à l'entrée, on m'enlevait enfin la couverture. Et je sentais qu'on me poussait vers le lit. Il y avait déjà d'autres personnes et dès que je vis le bol de bouillie, Rassoul était déjà dessus. Moi j'avais surtout faim et puis je regardais surtout mon très cher. Il était très beau dans son boubou blanc, très bien rasé, avec juste un petit O autour de la bouche. Il me souriait en mangeant et les autres se moquaient de moi disant que j'arrivais trot tard. Sans gêne, devant tout le monde, il se pencha et déposa un léger baiser sur mes lèvres en me soufflant un « bienvenu Mme Diop ».
Je lui souris et le regardais comme si je le voyais pour la première fois. C'est le bruit de mon ventre qui me ramenait à la réalité je lui soufflai que j'avais faim et il me tendit le bol. La bouillie de mil était tout simplement délicieux et je mangeais à la main. Beaucoup de monde de présentait à la personne et disait vouloir voir la nouvelle mariée. Fatou et Adja étaient aussi dans la chambre et elles me remirent mon portable et un petit sac de voyage. Il y avait aussi mes autres bagages et comme il y avait beaucoup de monde je ne savais pas trop quoi faire. Maman Oussey accompagnée de toutes ses filles vinrent aussi dans la chambre pour me féliciter et me souhaiter la bienvenue. Je leur exprimais aussi toute ma gratitude. Vers minuit, mes amies prirent congé sans oublier de ma glisser à l'oreille d'être courageuse. Je leur souris machinalement et cherchait Rassoul du regard. Mais il était sorti raccompagner ses amis et un moment je restais seule dans la chambre avec ma tante et ma cousine. Ma belle mère vint demander à ma tante de la suivre pour aller dormir et elle me dit en peul de l'appeler en cas de problème et qu'elle n'était pas loin. Apparemment on ne lui avait pas dit que je serais un peu plus loin que ce qu'elle pensait mais je ne dis rien. Je restais donc seule dans la chambre et avait même commencé à dormir quand j'entendis la porte s'ouvrir. Rassoul s'assit sur le lit à coté de moi et me regardais. Je me relevais un peu et lui souris. On se contenta de nous regarder un moment, puis, il se coucha à coté de moi et me dit qu'il me trouvait très joli avec le foulard attaché comme ca
- tu te moque de moi. C'est ma tante qui est passé par la
Il me regardait fixement, puis me demandait comment s'était passé ma journée. Je lui dis que
j'étais très fatiguée et j'avais faim.
- il y a à manger chez moi. Si tu es prête on y va.
Mon cœur se mit à battre à cet instant mais, prenant mon courage à deux mains, je me levais et lui dit qu'on pouvait partir
Je voulais ouvrir mes valises pour prendre quelques affaires, mais il me dit que ce n'était pas la peine et me prit juste le petit sac. La maison était encore animée, mais comme la chambre se trouvait dans un coin de la maison, on a pu sortir sans se faire voir. C'est quand il a allumé la voiture que Sokhna est sorti pour voir et elle nous a fait un petit signe. J'avais encore mon accoutrement bizarre avec le pagne blanc sur la tête. En chemin, il se moquait de moi et de mon habillement mais je me contentais de sourire. J'avais une boule au ventre.
Arrivée à la maison, je m'installais au salon et enlevais enfin le voile et défit le foulard. Rassoul était en face de moi et me regardais en souriant.
- ta coiffure est top ma belle.
Je me levai pour aller me regarder dans le miroir et mon image me fit rire. J'avais trois nattes sur la tête et comme j'étais fatiguée, j'avais de petits cernes rouges sous les yeux. La camisole que j'avais mis était trop grande et trop moche aussi
Rassoul vint se mettre derrière moi et m'enlaçait. Il déposa un petit baiser sur le cou et me regardais à travers le miroir. Il me chuchotait à l'oreille qu'il m'aimait et qu'il a attendu ce jour toute sa vie. Comme il accentuait sa pression et laisser balader ses mains, je le repoussais un peu le cœur battant
- Rassoul, tu m'as attiré ici en me promettant à manger. J'ai trop faim
Il soupira et s'écarta pour aller dans la cuisine. Il revint avec un plat de viande et des frites. Toute contente je m'installais et commençais à manger. Mais je crois que je n'avais plus d'appétit. Je picorais tandis que Rassoul avait disparu dans la chambre. Je me levais finalement et ramenais le plat dans la cuisine, mais le renversais sur moi et me mis à nettoyer. Ma tunique était toute sale et je l'enlevais pour la nettoyer un peu. Je restais donc avec juste le pagne attaché à la taille et l'autre à la poitrine. Je courus au salon pour prendre le voile et me couvrir, et je tombais sur Rassoul. Il s'était changé et avait mis un teeshirt blanc et un short. Je me figeais et me crispais. Il me demandait ce que je faisais et je lui expliquais que j'avais renversé le plat et que je nettoyais. Il s'approcha et me demanda de laisser tomber et de venir me reposer. Il m'enlaçait et m'amenait dans la chambre. J'avais surtout envie de fuir et je le suivis en trainant les pieds et le cœur battant. Je m'arrêtais devant la chambre et j'écarquillais les yeux. La chambre avait changé. Il y avait de nouveaux meubles, un lit plus grand, une coiffeuse, une grande armoire. Des descentes de lit très jolies et des fleurs disposés partout dans la chambre. Seule une veilleuse diffusait une lumière tamisée et ceci donna un charme fou à la pièce.
- tu aimes ? me demanda t-il en souriant
Et comment. J'adorais.
- tu as changé ca quand ? J'étais la hier et je ne l'ai pas vu
- bah c'était la hier, mais tu n'es pas rentré dans la chambre. Bienvenu dans ta chambre Mme Diop.
Le lit était immense et recouvert d'un drap blanc, un couvre lit plié sur le coté et plein d'oreillers dessus. Je m'avançais timidement et m'assit sur le bord du lit.
Purée mon cœur battait fort et j'avais même peur de faire un malaise. Rassoul s'assit juste derrière moi et posa son menton sur mon épaule.
- tout ça c'est pour toi ma belle.
J'avais mis le voile sur mes épaules et il l'enleva pour déposer des petits bisous sur mes épaules nues. C'était doux et malgré ma peur, j'essayais de me laisser aller. Ensuite, il se leva et mis la musique. C'était son artiste préféré Kenny G et la radio diffusait une musique douce. Si la musique adoucit les mœurs, moi, elle m'a plus stressée. Je me levais et dis à Rassoul que je devais aller aux toilettes. Je m'y enfermais un bon moment puis ne sachant que faire, je ressortis. Il n'y avait personne dans la chambre et j'ouvris mon sac pour voir quelle tenue mettre. Mais Adja n'y avait rangé que les bouts de tissus et autres pagnes. Je refermais donc et restais avec mes pagnes. Je m'étendis sur lit et tout de suite après Rassoul réapparut avec de l'eau et me fit un grand sourire. Il se dépêcha de poser cela sur la coiffeuse et se coucha sur le lit à coté de moi et me tira à lui. J'étais plus que crispé et il le remarqua
- ma chérie, détend toi voyons. Tu va finir par me gêner en me jetant depuis tout à l'heure tes regards pleins de frayeur. Je ne vais pas te manger voyons. A moins que...
Il fit mine de me mordre à l'épaule et ceci me décrispa un peu et je me mis à sourire
- désolé, je suis un peu stressé c'est tout
Il se releva un peu et me regarda avec ses beaux yeux la.
- il ne faut pas. je t'aime et je ne te ferais pas de mal.
Je lui souris et il se coucha sur les moelleux oreillers en m'entrainant. J'étais couché sur son épaule et il me caressait la tête. Il me parlait de sa journée et des folies de sa maman qui s'était changé plus de dix fois d'après lui et qui paradait comme si c'était elle la mariée. Il me dit même qu'elle avait l'intention d'aller au salon car elles pensaient que j'allais venir dire bonjour à la famille après la cérémonie de la mosquée. Il disait qu'elle voulait faire un chignon et il l'a retenue en la suppliant de ne pas faire ca. Là, je ne me retins plus. Je me mis à rire en imaginant la scène. Je m'étais assise car j'avais une petite toux et lui aussi s'était relevé. Je me calmais finalement, tandis que lui s'était mis à me regarder fixement. Mon cœur rata un battement surtout qu'il s'était dangereusement approché pour m'embrasser.
Comme j'étais un peu plus relax, je me laissais faire et il appuya encore son baiser. Il en profitait pour défaire le pagne noué sur ma poitrine et écarta les pans. Je me retrouvais nue jusqu'à la taille et il se recula un peu pour me regarder. Ses yeux brillaient et un peu gênée, je me cachais les seins. Il sourit et enleva prestement son teeshirt avant de revenir et de m'écarter les mains. Mon cœur battait très fort et j'avais vraiment peur. Mais il ne me laissa pas le temps de trop y penser, il s'était à nouveau penché sur moi et déposait pleins de baiser sur mon corps. J'essayais de me laisser aller mais sans grand succès même si il s'y prenait vraiment tendrement.
Un moment, il commença à défaire, le nœud du pagne et je voulus l'arrêter. Mais il écarta ma main et continuais. Je me retrouvais donc toute nue à mon plus grand désarroi. Il s'était écarté pour me regarder et je croisais les jambes espérant cacher le maximum. Il sourit et se remit à m'embrasser partout. Il arriva un moment à mes lèvres et se remit à m'embrasser. Il se releva et me chuchota à l'oreille un « laisse toi aller ma belle ». A ce moment, il descendit sa main vers cette partie que je ne voulais que personne ne touche et je saisis sa main pour qu'il arrête.
- laisse-moi voir ce qu'ils t'ont fait.
A cet instant, la première réaction de tonton Farah quand il avait posé sa main sur cette partie de me revint en mémoire et je maintins encore sa main. Il ne forçat pas et se contenta de me regarder avant de m'embrasser. Il en profitait pour libérer sa main et continua. Quand il y posa sa main, je me crispais complètement et ferma les yeux pour ne pas voir sa réaction.
Je m'attendais à ce qu'il écarte rapidement sa main, mais au lieu de ca, il se mit à me caresser tendrement et à me chuchoter à l'oreille qu'il n'avait jamais vu une aussi belle femme que moi. Je me décrispais un peu et ouvrit les yeux pour le regarder. Ses yeux étaient brillants de désir et il respirait sourdement en continuant à me caresser. Tout à coup, il se leva et enleva son short. Je fermais les yeux pour ne pas le regarder, et il plongea à nouveau sur le lit et m'attira à lui. Je sentais son membre bien dur sur ma cuisse et un moment je me dis que j'allais mourir aujourd'hui. Tout le calme que j'avais partit d'un coup et une vraie frayeur s'installa. Il continuait à me caresser, à m'embrasser et à me murmurer des mots doux, mais cette fois, j'avais vraiment peur. Je voulais le repousser, mais je me retins. Il voulait m'écarter les cuisses mais je les maintenais fermement collées. Cette fois, malgré les mots pour me calmer, je restais figée. Il força un peu et écarta malgré moi et se mit au milieu. Puis, il appuya de tout son corps sur moi et commençait à pousser doucement en m'embrassant. Mais rien n'entrait. Il me faisait mal et je le tapais sur la poitrine pour qu'il arrête. Je m'étais mise à pleurer en lui disant qu'il me faisait mal et un moment je crus que c'était fait tellement c'était douloureux, mais non rien n'entrait. Il se releva finalement et je soufflais un peu.
-Diouldé, arrête de crier voyons. Les voisins vont venir dit-il.
Lui-même était fatigué et il respirait fort.
- mais ca fais mal. Dis-je en me tenant la partie concerné.
- attend laisse moi voir ca
Il écartait mes mains et observa attentivement. Puis je l'entendis soupirer
- ma mère m'a dit que s'il ya des problèmes je dois appeler ma tante
- on n'appelle personne. On va le faire doucement et tout ira bien. J'avais parlé à la gynéco et elle m'a dit qu'on avait certes un peu bouché mais que ce n'était pas méchant.
Je le regardais bouche bée. C'était juste le mot « recommencer » qui me faisait peur. Mon Dieu, il avait juste frôlé et ca faisait mal qu'est ce que ca serait s'il y arrive. Il se leva, ouvrit un tiroir et sortit un flacon. Ensuite il revint se coucher. J'avais pris un drap pour me couvrir et il vint s'engouffrer dedans en me tenant bien serré contre lui
- tu as du beaucoup souffrir quand on te faisait ca.
Je lui dis que c'était tout simplement horrible et que jusqu'à présent je m'en souviens. Il ne dit rien et soupira. Je regardais la montre accrochée au mur et il était presque 4h du matin. Je ne me rendais même pas compte de l'heure et je suppose que c'était l'adrénaline qui nous maintenait réveillé. Mais j'étais complètement épuisée. Il me demandait de me détendre pour faciliter les choses et que si je me crispais ca allait être compliqué. Il me parlait doucement en m'embrassant. Ensuite, il se pencha encore et recommençai les séances de caresses. Malgré tout, je n'arrivais pas à me détendre, mais je le laissai faire toute crispé. Je sentais qu'il me mettait un liquide sur la partie déjà douloureuse à cause de la première tentative et il m'expliqua que c'était pour faciliter les choses. Encore une fois, il essaya, cette fois en appuyant plus fort et je criais tellement c'était douloureux. Je me débattais mais il me maintenait fermement et essayait de m'embrassait pour arrêter mes cris. Un moment, j'ai eu vraiment peur car des souvenir remontaient et d'un coup une autre douleur très vive s'ensuivit. J'ai alors senti une petite déchirure. Comme j'avais arrêté de crier, il s'est aussi arrêter en m'appelant pensant que j'étais dans les vaps. Il se releva et je me suis recroquevillée sur moi-même en pleurant. Il se mit derrière moi et se mit à me parler doucement
- calme toi ma chérie. Excuse-moi. shuutttt
Il répétait son shutt encore longtemps en me caressant les cheveux et je me calmais quand même. Il me retournait doucement et on se fit face. Il m'essuyait les larmes qui coulaient et m'embrassait les joues.
- si tu veux on arrête. On n'est pas obligé de le faire aujourd'hui mon cœur, si c'est trop douloureux, on laisse tomber et on essaye une autre fois.
- tu veux dire que ce n'est pas fini.
J'avais vraiment senti une petite déchirure et si ce n'était pas encore fini, je préférais mourir que de continuer. Ma question le fit rire et il s'écarta un peu en se couvrant le visage pour rigoler en silence.
- non ma belle. Mais de toute façon je te laisse. Tu souffre trop.
Il était vraiment sérieux et il me serra dans ses bras. Je me mis à réfléchir à ce qu'on doit dire à ma tante demain si rien ne se passe aujourd'hui. Entre la douleur, l'idée de devoir servir des explications à ma tante, je ne sus quoi faire.
- on peut encore essayer dis-je tout doucement, après quelques minutes de discussion
L'affamé se redressa prestement comme s'il n'attendait que ça.
- tu es sure ?
Non je n'étais pas sûre mais avais-je vraiment le choix.
Je ne répondais rien et il me tira à lui en déposant un baiser bien sage sur le front.
- ne te sens pas obligé. Si tu veux, j'allume la voiture et demain, ils ne trouveront personne ici.
Je me dis que de toute façon, il fallait passer par là et si on part que va penser ma mère. Non, je ne pouvais pas partir. Et je ne dis rien. On était là, tous nus, l'un contre l'autre et rien que cette proximité très sensuelle m'aida à me détendre un peu, car il frottait sa jambe contre la mienne, me caressait les seins et je repoussais ses mains, s'amusait à se coller complètement à moi malgré mes protestations. Mais il répétait que j'étais à lui et me serrait au point qu'il m'étouffait. Je lui dis que j'étais mince et qu'il risquait de me casser. Il essayait de me détendre mais n'empêche, il y avait cette vive douleur que je ressentais et je n'étais pas particulièrement pressé de m'y replonger.