Fatim et Hassan, mariage arrangé
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Chapitre 2 Chapitre 2

#Fatim.

Le jour propice je me réveille a 4 heures du matin la servante avait ramener tout les ingrédients pour préparer mon repas et je m'inquiétais. Comment j'allais faire pour nourrir 50 bouches. Je fais ce que ma mère m'avait dit préparer les petits plats d'abord. Après avoir travailler sur les condiments je m'attaque à la viande tout allait bien bizarrement la tâche diminuait c'est maman qui avait raison. Vers 7 heures du matin je vois une main soulever l'assiette dans laquelle j'avais mis les épices tous renverser au sol je crit Fatim: Mais qu'est ce que tu fais? La cinquième épouse de mon mari Djamila venait de renverser tout mon travail au sol. Elle me regarde et s'en va en souriant. Je me mets a pleurer quand l'heure de partir au travail vient pour mon mari décide de venir jeté un coup d'œil sur moi. IL me retrouve entrain de pleurer derrière la maison il constate tout se qui était au sol. Il ne parle il me dit de tout reprendre. Dans la cuisine il demande a la servante Hassan: Qui a fait ça réfléchis avant de parlé sinon tu est viré Servante: C'est madame Djamila elle venue faire ça avant le petit déjeuner. Je n'ai pas pu l'empêcher de faire cela pardon! Hassan: Va l'aider à faire ce qu'il faut. Arrivé au salon Hassan ne parle pas c'était la fin du mois les employées avait déjà reçu leur salaires c'était au tour des épouses et des enfants de recevoir leur argents de poche. D'abord les enfants ensuite vient le tour des épouses devant tout le monde Hassan m'appel j'accourt. Vue mes yeux Bintou comprend que son mari allait donné une leçon a la responsable de mes larmes Hassan: Bintou 300, Latifa 300, Samira 300, Aziza 300, Djamila 100 et Fatim 500 milles francs. Djamila: 100 milles et elle 500 milles Hassan tu a quoi? Hassan: La nourriture que tu est partit renverser tôt ce matin c'était gratuit? Ça fait 200 milles que j'ai ajouté à l'argent de Fatima maintenant ce sera comme ça je suis partie à midi. Farouk prend le sac de son père et le suis. Djamila me regarde comme pour m'étrangler Bintou me dit de retourner à la cuisine. Dans la cuisine je me tue et je me force à gardé le rythme. Avec l'aide de la servante je vais finir attend. Je vais mettre la table Bintou me demande d'aller m'apprêtés pour recevoir les invités j'avais bien vue l'heure il était 11h. Enfin prête Bintou vient me conseiller ma tenue vestimentaire quand nous sortons je vois toute la nourriture préparer avec tant d'ardeur étalés au sol, les plats casser, les marmites renverser. C'était un coup de marteau sur ma tête. Devant nous entrain de casser les plats et de renverser le reste de la nourriture Djamila aider par Latifa. Latifa: Tu n'as encore rien vue ma petite ici tu n'auras jamais la paix. Tu n'as pas dit que c'est dans notre foyer tu veux t'installé Une voix raisonne derrière nous Djamila et Latifa se retourne. l'Imâm et les frères d'Hassan était devant la porte ils avaient suivis la scène. Hakim le frère aîné de mon mari prend son téléphone et raconte le désastre a son petit frères. Hakim: Donc vous êtes arrivé à ce point jeté notre nourriture? Djamila: Tsruuu Tu n'a pas de maison va mangé chez toi! Latifa: Bande de mandiant vous êtes tous là coller à notre mari quand il a l'argent vous êtes là quand l'argent finit vous êtes où Imam: Ah bon c'est lui qui t'a dit ça? Nous des mandiants? Latifa: Oui vous, regardé les tous hypocrites de chez hypocrite Hakim: Bintou dit a mon frère que je ne remettrait plus mes pieds ici. iL c'est où me trouver si besoin. Djamila: Au-revoir regardé moi leur démarche bande d'imbécile Je m'effondre au sol en pleurant je vois Aziza descendre Bintou m'aide a me lever Aziza: Attend elles sont devenues complètement folle? Hassan va passer sa colère sur tout le monde dans la maison. Hé toi Fatima arrête de pleurer et va prendre quelques chose pour effacer tout ça. Bintou on va faire comment ? Bintou: Va les arrêter je vais voir se qu'on peut encore arranger Aziza: Fatim est ce qu'il reste encore de la nourriture ? Fatim: Oui mais il n'y a pas assez pour 50 personnes ? Bintou: C'est pas grave on va gérer, Aziza vas y les ramener toi Fatim fais le ménage ici la servante va t'aider je vais dans la cuisine. l'Imâm et les beaux frères doivent goûter ton repas. C'est avec beaucoup de difficulté que Aziza va les convaincres de rester et de ne pas prendre les insultes des 2 femmes à cœur. Bintou Va leur servir ce qui reste de ma nourriture pendant que moi j'étais occupé à nettoyer le sol. Hakim se tourne vers moi et me demande Hakim: Ma fille c'est toi qui a préparé ce repas ? Fatim: Oui tonton c'est moi. Hakim: Cela fait longtemps que je n'ai pas manger ce repas cela me rappelle mon enfance. Et tu cuisine comme notre mère merci beaucoup. Fatim: Merci tonton Imam: Tu a raison elle a les doigts en or Hassan a fait un bon choix. Maintenant arrête de pleurer c'est pas la fin du monde. Fatim: D'accord tonton. Quand je finis de faire le ménage je retourne dans la cuisine Bintou avait déjà commencer à cuisiner encore plus de plat je l'aide, les invités commence à arriver Aziza s'occupe du service, je me retrouve a faire deux choses à la fois je vais me présenter à chaque invités je prend sa bénédiction et je ramène un plat. À l'arrivée d'Hassan et de son fils Farouk tout était calme il avale sa colère et mange avec tout le monde. C'est seulement vers 17 heures que les autres invités prennent la route. Mon mari demande a son frère et a l'Imâm de rester. Il va leur présenter des excuses il oblige Djamila et Latifa a s'excuser elle aussi. Hassan: Si je comprends bien Djamila c'est mon frère Hakim celui là même qui t'a ramené ici comme un colis postal qui est devenue un mandiant? Le même imam qui nous a marier aussi Djamila: C'est eux aussi qui sont partis ramener cette salle gamine ici tu penses que je ne sais pas cela? Hassan: Salle gamine? Djamila je te rappelle que quand tu est arrivée ici tu n'étais pas propre tu avais même des poux. Djamila: Ça c'est le passer Hassan c'est le passer. Hassan: Non ce n'est pas le passer le passer c'est il y a 20 ans dans ton cas c'était plutôt comme hier. Djamila, Latifa comme vous n'êtes pas contente vous allez regagner la maison de vos parents. Bintou et Aziza aidez les a faire leur valises. Bintou: Hakim pardon demande pardon a ton frère faut pas le quartier va se moquer de nous! Pense a sa réputation pardon Imam: Bintou a raison mon amis. Punit les d'une autre façon l'Imâm et mon mari vont discuter de leur sort pendant que moi je faisais le ménage à peine deux jours dans cette maison déjà ma vie se dessine comme un enfer. Le soir je me cloître dans ma chambre j'avais discuté avec ma mère qui m'a dit de les éviter je ne connaissais pas ce genre de situation ma mère a toujours été l'unique femme de mon père les rivalités entre co-épouses nous on ne savait pas gérer. Ma mère va discuter avec moi au téléphone jusqu'aux moment où mon père lui demande de raccrocher. En regardant seul la télé dans ma chambre j'entend du bruit dehors je regarde par la fenêtre c'était les filles de mon mari qui était entre elle toute plus âgé que moi elles étaient dans les 18 -20 ans je retourne m'asseoir tranquillement devant ma télé. Cette maison était si grande j'avais même peur de m'y perdre. Le lendemain matin je vais me laver je prie et je sors faire mes tâches je n'avais rien d'autre à faire, ma seul source de discussion dans la maison était Bintou si elle n'était pas là je parlais un peu avec la servante. Le soir au retour de mon mari il vient me retrouver dans ma chambre je reçois un téléphone portable avec une carte sim chargée a bloque. Vers 23 heures pendant que j'étais endormi je ressens une main me frôlé quand j'ouvre les yeux c'était Hassan ma mère m'avait prévenue de se qui pouvait arriver elle me l'avait dit ~ferme les yeux, laisse toi faire c'est juste un mauvais moment qui va passer surtout ne te défend pas ton mari pourrai le prendre comme une insulte. Alors je ferme les yeux je ne me défend pas je me laisse faire il me dit Pendant qu'il me déshabille ~Ouvre les yeux et Regarde moi! Je lui obéit je m'accroche à mon lit comme si ma vie en dépendait. Le mariage consommée je me mûr dans un silence. Quelques minutes plus tard il s'endort a côté de moi je reste calme immobile. Comme me l'avait dit ma mère ~s'il finit ne quitte pas ta chambre même s'il y'a le feu dehors reste coucher a côté de lui. Si l'une de tes co-épouses te demande ton aide où t'appelle ne répond pas fait comme si tu dormais. Je n'avais pas compris pourquoi ma mère m'avait dit cela mais le soir même pendant que mon mari dormais j'entend une voix m'appeller je ne répond pas je ferme très fort les yeux faisant semblant de dormir. Comment maman avait t'elle su que cela allait se passer. Le lendemain matin je suis réveillée par des cries de joie mon mari lui était parti depuis longtemps il était 6 heures. Je me couvre honteuse les femmes arrache littéralement les draps du matelas dès que je me lève une tâche de sang jonchaient le draps. La femme qui était indigner par le fait que je n'étais pas excisé me demande Khadi: Où est tu aller hier nuit après ta première nuit avec ton mari. Ne nous ment pas dit nous Fatim: Nulle part Tata je me suis endormie hier je ne suis allé nulle part. Khadi: Va te laver ont attend dehors au salon ne tarde pas. Je vais m'apprêtés pour le salon un attroupement de femme m'attendais. Des billets, des cadeaux pour célébrer l'honneur de Hassan où de mon père je ne savais pas ce qu'il célébrait mais je reste assise a les regarder. A la fin de ce qui semblait être une cérémonie chacune rentre chez elle. La même nuit il reviendra dans ma chambre et encore une fois il se fera plaisir sur mon corps. Toute les nuits se sera pareil pendant une semaine jusqu'à ce qu'il ne rentre et ne remarque sur mon lit les serviettes hygiéniques que j'avais demandé à la servante de m'acheter j'avais mes eu mes règles. Après sa dernière visite une chose m'avait déranger. La nuit dernière il m'avait demandé si j'aime je savais pas quoi dire alors j'ai oui quand j'en parle à ma mère elle semblait soulager de ma réponse. Quelques semaines plus tard une grosse discussion éclate dans la maison encore moi au centre je ne comprenais rien du tout. Mon mari vient me retrouver dans la chambre et me demande mon téléphone je lui donne il me dit de le retrouver au salon. Je le suis sans broncher assis l'Imâm, Hakim son grand frère, Bintou, les autres épouses de mon mari et Farouk. Hassan donne mon téléphone a Farouk il me demande d'une voix assez énerver Hassan: Avec qui tu parle tout les soirs quand je ne suis pas là Khadi qui n'était personne d'autre que l'épouses de l'Imâm rétorque très vite Khadi: Je vous ai dit une fille qui n'est pas excisé est un danger pour les autres filles mais vous ne voulez pas m'écouter Imam: Tait toi femme c'est a toi qu'on a poser la question? Bintou: Khadi ne ramène pas ta frustration de femme mutilé dans ma maison je t'avertir sinon toi et moi on aura des problèmes. Hakim: Calmer vous nous sommes ici pour autre chose. Fatima ma fille parle répond à ton mari. Avec qui tu parle toute les nuits au téléphone quand ce n'est pas ton tour? Fatim: Tonton avec ma mère je ne connais que Tata Bintou et la servante quand elle ne sont pas là où elle son occuper j'appelle ma mère sur le téléphone de mon père. C'est le soir que papa est a la maison dans la journée il est au travail. Hassan Regarde Farouk qui fouillait mon téléphone ce dernier lui fait un signe de oui de la tête pour confirmer mes dires. Hassan: Et c'est avec qui tu Avant même que Hassan ne continue Farouk me dit Farouk: Fatim s'il te plaît va dans ta chambre c'est réglé va s'y Son père et les autres ne comprennent rien du tout une fois dans ma chambre Farouk se tourne vers son père en disant Farouk: Papa maman je ne sais pas a quoi joues ces femmes mais elles on mentit. Regarde les SMS qui sont entrée Fatim ne les a même pas ouvert ici 45 message non ouvert il n'y a que les appels qu'elle fait je crois que Fatim ne sais même pas ouvrir un SMS. Imam: Farouk explique nous bien on ne comprend rien a vos histoires de téléphone toi même tu le sais. Farouk: Un numéro lui a envoyé des SMS et des messages WhatsApp mais regard ils ne sont même pas ouverts. Elles veulent l'accusé de quelques chose qu'elle n'a pas fait imam. Hassan: Tu est sur de se que tu dit mon fils? Farouk: Oui papa regarde les messages et photos son encore fermer. Apparemment quelqu'un lui a envoyé des messages compromettantes pour créé cette situation. Bintou: ça veut dire qu'on l'aurais accusé à tort. Hassan parle avec tes femmes ça devient pitoyable depuis que la petite est ici elle ne font plus rien elle l'a cherche c'est quoi tout ça. Hassan: Donc vous vouliez me honnir devant elle c'est ça? Les autres épouse tourne la tête vers la droite sauf Aziza qui éclate de rire en disant Aziza: C'est la jalousie qui vous pousse à vous dénigrer? Allah m'en préserve remerciez Farouk sinon la honte que vous auriez eu devant cette gamine aurait été incroyable. Hakim: En gros elles on voulue nous faire croire que Fatim te trompes mais Fatim n'y connais rien a un téléphone. Farouk: Voilà. Bon comme tout est clair voici le téléphone tiens papa tu peux regarder et lire les messages en appuyant ici j'ai des choses à régler dehors je vous laisse. Farouk quitte le salon Hassan regarde les co-épouses et dit Hassan: Appart Aziza et Bintou. Votre argent de poche ira à Fatim comme c'est elle vous avez voulu dénigrée vos jours irons à Fatim oublier tout vos privilège ce mois foutez le camp Le lendemain je parle a ma mère de ce qui c'était produits et vue cela elle voulait qu'on parle une fois par semaine au téléphone je me retrouve encore sans personne à qui parler jusqu'au dimanche. Le jour suivant mon mari est surpris de me voir seul dans la chambre Hassan: Tu ne parle pas avec ta mère? Vue ton répertoire vous parler souvent enssembles. Fatim: Comme cela a ramené les problèmes on parlera que les dimanches. Je me suis dit que la facture a dû monter. Hassan me regarde et me dit~ va t'habiller viens avec moi. Je ressors avec un enssemble pagne et il me regarde comme si j'avais ramener un troupeau de moutons sur l'épaule il éclate de rire. Et le demande encore une fois~ pourquoi tu ne t'habille pas comme les filles de ton âge? je sursaute Fatim: Mon père va me tuer s'il me voit portée un jean ou un vêtement qui ressemble à autre chose qu'un pagne solides. Hassan ne peu plus s'arrêter de rire je ne comprend pas il va vers l'armoire et ressort il revient avec des vêtements différents. Un jean et un top je n'avais jamais oser porter se genre de chose je le regarde il me dit~ c'est les vêtements de Aïcha la femme de Farouk porte les et reviens. Je ressors et je vois son regard briller de mille feu. On sort de la maison depuis que je suis à Bamako c'est la première fois que je sort avec lui où je ressors de la maison en général. La dernière fois c'était pour aller chez la coiffeuse et acheter ma garde robe. J'étais comme paralysé tout ces gens, tout ces couleurs, des filles de mon âge partout. Arrivé devant un grand bâtiment nous descendons de la voiture mon regard tombe sur Farouk. Qui vient vers nous Hassan: Dit a Aïcha que je lui ai prit quelques vêtements pour Fatim. Tu lui donnera de l'argent pour quel s'achète de nouveau Farouk: Compris papa. Et toi Fatim tu t'est enfin décidé a sortir de la maison? Fatim: Oui un peu. Hassan tourne la tête et voix le regard des amis de Farouk braqué sur moi il tourne vers son fils ~Dit a tes amis que si ils veulent encore une fois manger dans ma maison il doivent contrôler leur regard.. Farouk éclate de rire Hassan et moi rentrons dans l'immeuble arrivé au troisième étage Hassan me montre 2 magasins vide en disant Hassan: Choisit l'un d'entre eux. Tu en fera ton magasin ainsi tu aura de quoi t'occuper pendant tes journées. Où tu préfères aller a l'école? Fatim: École! Hassan: Tu a eu ton Bac n'est ce pas? Fatim: Oui Hassan: On va voir attend. Je crois que tu pourrais trouver une place pour faire un BTS en comptabilité. Une minute! Il prend son téléphone 2 coups de fil plus tard je suis admise dans la même école que ces enfants. Il me dit ~ Si tu débarque là bas avec tes pagnes c'est pas bon. Lui et moi allons faire les magasins des vêtements que je n'osais même pas regardé dans un catalogue vont se retrouver dans mon armoire. Le lendemain matin je m'apprête je fouille un magasine et je vois un enssemble de vêtements qui me plaît pas trop voyant je copie le look avec quelque vêtement d'hier, un petit chignon et j'étais prête. Quand Hassan rentre dans la chambre et me voit il regarde sa montre il me dit déshabille toi je le fais il se couche sur moi me caresse il me chuchote tu est magnifique comme ça il va me faire l'amour avant que je ne descende. En me voyant descendre les escaliers les filles de mon mari me regarde de travers j'entends Leila murmurer Leila: Avec ce corps pas étonnant que papa est craquée. Aïssa va rétorquer Aïssa: il ne pouvait pas la laisser à la maison je ne sais pas comment je vais la présenter au camarade de l'école Leila: ignorons la. On ne la connais pas. Après les avoirs entendue ça je ne me fait pas d'illusion leur père les avait également entendue il dit d'une voix sorbre au fils de Bintou son petit benjamin Hassan: Fatao écoute toi et Fatim vous êtes dans la même classe. Assure toi quel ne manque de rien. J'entend juste un Oui sortir d'une capuche je ne vois pas son visage de toute les façons je savais que j'allais devoir me débrouiller. Arrivée devant cet école je me sentais mal a l'aise je vois la même capuche qu'à la maison me prendre par la main et me dire~Ont va a la direction d'abord tu a besoin de livre En classe la main me prend encore et m'installe tout juste à côté de lui. Je ne vois toujours pas le visage de l'individu. Brusquement quelqu'un vient me serrer par derrière je connais cette voie je me retourne et voilà Mariam ma copine du village devant moi eh Allah c'était comme un vent de bonheur enfin un visage familier Mariam: Tu est ici on a des choses a se dire toi et moi Fatim: Je suis contente de te voir tu ne peux pas savoir. Nous parlons jusqu'a ce que le professeur ne rentre dans la classe. Il se tourne vers le garçon a la capuche et lui lance Proff: Fatao on discuter avec ta capuche ce matin ou bien ton visage va nous faire l'honneur de participer au cours aussi. Fatao baisse sa capuche pour participer au cours je ne vois toujours pas son visage a cause du colle de sa chemise. Les cours vont durée chaque professeur est succèder par un autre jusqu'à la pause. En sortant de la classe je vois Leila et Aissa arrivé dans ma direction je les entends dire ~ merde encore elle. Au même moment Mariam ressort et m'attrape par la main me tire vers elle et ces copines de classe. Leila et Aïssa se regarde moi aussi je les dépasses comme si je ne les avais jamais vue. Mariam: Fatim je te présente Justine et Flavia les filles voici Fatim ma copine d'enfance elle est celle dont je vous parlais. Justine: Celle qui frappent les garçons? Mariam: Voilà c'est elle c'est mon bonbon c'est grâce à elle que j'ai eu mon baccalauréat. Je pouvais copier à volonté. Flavia: Donc ça veut dire que l'année est gagner pour nous Fatim: Calmé vous les filles. Je viens d'arrivé faut voir jusqu'où j'aurais le droit d'aller dans mes études après on verra. Flavia: Attend c'est une montre Koné que tu porte? Tes parents doivent être riche mon Dieu c'est pas nous. Mariam: Je me demande comment tu as fait pour arriver ici je te dit qu'elle et moi on a grandi au village tu parles de parents riche. C'est son mari qui est riche. Justine: Tu a dit qu'elle c'était mariée. Fatim: Excuses moi de ne pas t'avoir appelé Miriam mon père a déchiré ton numéro m' interdisant toute fréquentations Mariam: Lui aussi! iL exagère parfois quand même...!

            
            

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