Qui est là ? •Maman, papa a voyagé, il rentre demain. Et il ya tantine Gladys, elle est venue avec sa fille de 18 ans la. Morine. •Ah ok. Je reviens. Je suis allé dans ma chambre déposer ma valise et je me suis douché. J'ai porté ma robe pyjama et je suis entré dans la chambre de ma mère à pas de chat. Quand je suis arrivé à sa hauteur, j'ai crié:«Mamaaaaaaaaaaaaannnnnn!» et je suis tombé sur elle. Elle a sursauté et s'est mis à me frapper partout, ça me faisait bien rire de l'effrayer. •Elle: ça c'est quel enfant sauvage ça qui fait comme Vanessa? Elle alluma l'ampoule. Et cria à nouveau. •Ehhhhhh Vanessa c'est toi? •Oui maman ( j'agonisais de rire) •Pourquoi tu es sauvage comme ça même? •Warrrr maman, je ne peux plus te déranger? •Pardon, fiche moi le camp et laisse moi dormir. •Non je vais remplacer ton mari aujourd'hui. •Tu es sûre d'assurer la relève ? Dans tous les sens. •😂😂😂 mama je peux! •La sorcellerie te dérange! Pourquoi tu es arrivé si tard et plus tôt que prévu? •Maman Hum ! On a braqué notre cité. Les bandits, ils sont venus tout porter. Elle se redressa. •Hein Vanessa! C'est quelle histoire ça même? •Hum maman moi même je suis dépassé je te jure. Je rentrais de l'école et à mon arrivée je vois plusieurs filles pleurer, je me renseigne donc , on me dit qu'il y a eu vol. Massa! Je suis monté en vitesse au niveau de mon couloir, je vois ma porte cassée et ma chambre à moitié vide. Ils ont porté la télé, la bouteille de gaz, mon ordinateur, et quelques petits trucs. •C'est à dire que ces cités là ! Hum ! Et tu ne pouvais pas encore passer la nuit? •Non ooo pourquoi? Quand le menuisier arrangeait les portes, j'ai profité pour ranger mes affaires et m'en aller. Que c'est quoi? Tu voulais que je reste là bas et c'est moi qu'on devait venir porter pour partir avec moi? •😂😂😂😂 tu me libérerait. Je t'assure. Si seulement c'était toi qu'on avait porté. •Maman ça ne me fait pas rire. Je suis sérieuse la. •Et moi donc? On va dire ça à ton père, il va savoir comment gérer. •Ok maman. Pourquoi Corine est comme ca? Genre toute calme et pensive? • Vas lui demander. Je ne suis pas son gars qui la déshabille souvent. •Aïe maman, tu es violente hein ! C'est quelles paroles ça ? •Je suis resté toute la nuit causer avec ma mère, et on s'est endormi dans l'amour du bavardage et du kongossa. Corine etait une soeur à part. Toujours dans son coin, elle n'aimait pas vraiment les relations famille. Les amis, pour elle, étaient plus important. C'est ma première grande soeur Angela qui m'a encadré. Corinne et moi étions comme le feu et le pétrole. Aucune pour rattraper l'autre. En tant que petit soeur, je ne lui donnais pas le lait ( ne pas lui rendre la vie facile) tellement elle m'enervait avec ses aires de grande dame dans vaurien même ! Le lendemain, Corinne ouvrit la porte de la chambre de ma mère et on se réveilla automatiquement. Elle dit de façon ironique: •Hum ta fille préférée est là ! Et comme ma mère n'avait pas sa langue dans sa poche, elle lui répondit. •Au moins elle c'est ma fille préférée. Elle n'est pas là à écarter ses fesses et avorter comme une prostituée en manque de formation. . Quand ma mère lui a dit ça, elle s'est dépêché de prendre ce qu'elle avait à prendre et s'en aller. J'avais manqué un épisode: •Moi : maman, elle a avorté ? •Elle: oui oui. Pas une mais deux. J'ai dis que Dieu va se charger de son cas. Qu'elle continue. •Moi: papa sait ça ? •Elle: oui oui. Ton père n'a plus de force et de vie pour bavarder après une vieille fille de 25 ans qui se comporte comme si elle avait seulement volé la vie de quelqu'un. Et le gars en question, elle ne nous l'a jamais présenté. •Moi: hum c'est grave hein. •Elle: avec quoi? J'ai fais ma part de boulot. Je l'ai éduqué. Je ne vais pas mettre les caméra dans son corps. Elle est deja grande. À elle de faire ce qu'elle pense bien. J'ai deja parlé ici jusqu'à mais rien ! Elle s'enfoue carrément. •Moi: ça va aller maman. •Elle: que ça n'aille même plus. Moi quoi dedans? Je veux rester avec mon mari et mourir en paix. Donc si elle veut ooo elle se marie ooo, qu'elle ne se marie même pas ooo. C'est son problème. Ma mère avait une façon particulière d'exprimer son désarroi. Et là, elle ne supportait plus le comportement de Corine. Et elle le lui faisait bien savoir. Ce matin là je faisais mes travaux et mon père rentra du voyage. Il etait content de me voir et savoir que j'ai tout validé. Son comportement n'avait pas changé à l'égard de Corine. J'informai Frédéric que j'etais là et il me donna rendez vous le lendemain. J'ai profité de ma journée pour aller chez ma grande soeur Ornella avec ma mère. Ma mère etait en congé du coup on pouvait marcher dans tout Douala si on voulait. Ma mère nous avait accouché très tôt. Ornella elle l'avait accouché à 17 ans, Corine quand elle avait 20 ans et moi quand elle avait 23 ans. Du coup, ma mère etait encore jeune. Quand je marchais avec elle, j'étais comme sa petite soeur. Nous sommes arrivés chez Ornella et nous en sommes partis à 21 heures, tellement l'atmosphère etait envoûtante. Quand on partait ma soeur dit : •Vanessa c'est toi qu'on attend heun, maris toi aussi. Ma mère lui répondit: •Tu sautes ta soeur Corinne tu viens tomber sur ma fille Vanessa hein! Ne tentez même pas! •Ornella: ekieu Vanessa est déjà grande nor. C'est l'enfant? •Ma mère : ehhh pardon, tu vois la paplée ci se marier? Elle connaît seulement embrasser les hommes devant le portail de sa cité. •Ornella: ikiii Vanessa, c'était qui ça ? •Moi : Tu écoutes les choses de maman? Pardon bye. •Ma mère: donc je mens? Le gars la n'avait pas une chemise bleu ciel avec les manches pliées et une culotte? Il portait... werrr comment on appelle encore vos chaussures des hommes la ehhhh? •Ornella: les sebago? •Ma mère : voilà ! C'est ça. Regarde moi une folle hein. Hum. Ma mère connaissait me souiller. Le lendemain je suis allé me faire belle avant de partir chez Frédéric. Arrivée chez lui, il me recut convenablement et on passa un agréablement moment. Vers 22 heures je rentrais déjà. Il m'a raccompagné, nous avons pris une même moto. Arrivés à mon portail, une voiture sortit de la maison, c'était celle de mon père. Frédéric commençait à trembler et je lui ai dis de se calmer. Mon père gara devant et me demanda qui etais ce, je lui ai simplement répondu que c'était un ami, il venait me raccompagner. Ma mère souriait elle me faisait les grimaces en me menaçant de tout dire à mon père. Ils étaient d'aller en boite de nuit, le rituel de toutes les fins du mois. Ma mère aimait alors ça. Frédéric entra et il salua ma soeur Corinne et ma tante, puis il s'en alla. Le séjour que j'avais passé à douala m'avait vraiment fait du bien. J'étais aux anges. Au moment de voyager, mon père m'a accompagné. On m'a acheté un nouveau matelas, un nouvel ordinateur. On a acheté la bouteille de gaz à Dschang et les autres choses qui me manquaient. Tout sauf la télévision. Me voici de retour dans cet enfer. Quelle poisse! Les cours recommencèrent et je m'y mettais à fond. Je ne voulais pas redoubler. Metisha et moi nous entendions deja super bien, c'était ma seule copine. Tout le monde la voyait comme une prostituée a cause de ses tatouages et son apparence un peu vagabonde, mais moi je m'amusais bien avec elle car j'avais pris le temps de la connaître. Un jour, elle me confia qu'elle avait encore les problèmes avec son copain. Mais cette fois ci c'était plus grave. Elle me donna le numéro de son gars et je lui dis signe devant elle. Il m'avoua qu'il n'était plus vraiment à fond dans la relation car Metisha ne savait pas tenir ses fesses. J'essayais de le comprendre mais il avait raison, sa copine aimait trop le sexe. Avec n'importe qui en' plus. C'était un vendredi, je rentrais et je l'ai trouvé devant la porte de Metisha. •Moi: Xavier, bonsoir! Tu es arrivé sans lui prévenir? •Non, elle savait que je venais, je lui ai dis de laisser la clé à l'endroit habituel mais elle ne l'a pas fait! •Pourquoi? Vous vous êtes encore disputés ? •Oui, j'ai fais le voyage spécialement pour lui entendre dire ce qu'elle m'a dit hier. Je vais rompre avec elle, Metisha exagère. Je suis fatigué. •Calmes toi ok? Calme toi. •J'ai très mal à la tête, tu n'as pas du dolliprane? •Si attends! J'entrai en vitesse dans ma chambre et je ressorti avec une chaise et un verre d'eau. Je lui tendis la boite de Doliprane et il l'a pris. Quelques minutes après, il était calme. Il commençait à somnoler, et voyant vraiment qu'il était fatigué, je lui ai proposé , par bienveillance d'aller se coucher sur mon lit , il accepta et moi je suis resté dehors , je manipulais mon téléphone. Je venais de terminer de faire mes ongles. Trente minutes après, Metisha monta les escaliers en vitesse, très furieuse ,elle s'écria: •Elle est où? Je lui fais confiance et elle ose coucher avec mon mec? Vanessa ! Elle arriva devant moi et me claqua. Sans savoir vraiment la raison de sa colère, je lui rendit la claque. Dans ce cas, c'était le "on agit et réfléchi après". Elle me poussa au sol et monta sur moi. Je lui donnai un coup de poing et je pris la bouteille d'acétone que je lui renversa au visage. Elle cria. Je l'ai bien tabassé. Xavier sortit de la chambre en remettant sa chemise. Lui: Qu'est ce qu'il ya ici? Moi: demande à ta femme! Elle est arrivé et s'est mise à me frapper comme si on avait un problème. Elle tomba sur Xavier et lui appliqua pleines de gifles. Xavier la corrigea correctement et bien. Elle eut vraiment mal. Elle lui demandait pourquoi il avait couché avec moi. Lui: je viens ici pour qu'on essaye de régler les problèmes et toi tu fais la capricieuse en t'en allant avec les clés. Je suis malade Metisha, j'ai pris du doliprane et j'étais si fatigué que c'est Vanessa qui m'a proposé d'entrer dans sa chambre. Ça fait environ deux heures qu'elle est dehors. Tu sors d'où? Elle: tu étais obligé de dormir dans son lit. Vous avez fait quoi? Pourquoi quand tu sortais tu boutonnais ta chemise? Lui: parce que j'ai dormi avec le démembré, il fait chaud madame. Fiche moi le camp. Tu commence à bien faire. C'est quelle façon de ridiculiser une amie qui t'a toujours aidé? Elle: donc tu pars? Lui: oui j'y vais. Elle: donc tu pars? Il portait deja ses chaussures. Il la bouscula et s'en alla sans oublier de me remercier. Je piaffais sur son visage, je fis entrer ma chaise et je nettoyais la devanture de ma chambre. Elle avait bien mérité cette bastonnade. Elle avait peur car elle trompait son mec. Une myho( menteuse). Le lendemain à mon réveil, elle vint cogner devant ma porte, quand j'ouvris elle me versa une bouteille d'acétone au visage. Façon dont j'ai bondit sur elle, on aurait dit une lionne après une antilope. Je suis tombé sur elle et nous nous sommes battus au point de tombervsurbles escaliers en nous roulant comme des ballons. C'est dans la cour que les autres filles sont venues nous séparer. je venais de découvrir son vrai visage. À suivre....