Chapitre 4 ELLE OFFRAIT SON CORPS POUR PAYER SON MAL-ÊTRE

La dame pensait que Loa et de sa mère, jouaient un jeu pour pouvoir reste dans l'appartement, elle ne voulait pas voir et comprendre que Loa était encore mineur.

La caf ne cherchait pas à comprendre cette situation, plongeait Loa et sa mère dans une dette de cinq mille euros, plus celui des hlm de dix mille euros c'était trop pour cette petite fille de 15 ans.

Quand elle voyait toute les portes ferment, elle essayait de demande de l'aider à la famille côte père et mère eux tous ils étaient en difficulté les plus énorme comme ils le faisaient croire.

Parfois, elle allait devant leur maison et se cachait pour appeler, elles les voyaient lui mentir, d'autres lui répondaient : je ne suis pas surplace, je t'appelle quand je rentre !

Et d'autres, hum vraiment je suis désole ; même nous on s'est retrouver dans la rue, bon on vous souhaite un bon courage.

Cette déception de voir ceux que vous avez connue, et que vous avez été proche sont devenu des étrangers dans votre propre vie.

Et qu'en ces temps si troublés, si difficiles, d'autres sujets beaucoup plus importants méritent notre attention. »

Sa mère Chantal qui n'avait que 37 ans ne pouvait pas l'aide depuis plus de deux années comme il fallait, que sa fille Loa la voyait comme une référente, c'est une femme qui avait des rêves et avait su les faire fructifier et amène sa petite famille dans une situation bien aise avant que son mari le lui arrache avant qu'il se retrouver au hlm, qu'il lui avait suffi d'une seule soirée que sa mémoire était devenu noir sans se souvenir de où elle se trouvait et qui était avec elle dans les bureaux de sa société.

-Chantal pouvait amène un rêve mort à la vie, elle avait aidé toute sa famille, et celui de son mari à revivre dans le monde vivant, qui allait à la fin les abandonner.

La société qu'elle avait bâtir service à la personne, et quatre restaurants qui marchait très bien.

Toute ses personnes qu'elle avait aidées l'on tourne le dos, sa maladie en ait aussi les conséquences de tout ce refus de vouloir la voir.

Eux tous ont fermer la porte de leur vie, en l'oubliant.

"Les mois les plus compliqués de sa vie" Loa allait comprendre les rudes épreuves de l'univers du monde dans la souffrance.

Loa rentrait avec sa mère à l'appartement hlm trouvant les verrous sur la porte de l'appartement, impossible de rentre, avec sa mère sur le dos comment y faire, l'humanité n'excise, elle avait marche dans les quartiers chique, pour ramener sa mère dans un quartier hlm, elle avait son appartenant étudiante comment y faire rentre sa mère dans cet appartement s'en s'y être prit ?

S'asseyant par terre, pleurant et frappant à la porte pour demande de l'aider, personne ne voulant l'aider. « Je pensais, qu'à ce moment-là, j'étais moi-même dans un endroit retiré, déprimé, je ne me sentais pas dans ma propre âme j'avais perdu foi la forcer n'était sortir dans mon corps d'enfant ». Encore et encore. Je ne considère probablement pas assez le danger »

D'autres lui criant dessus, laisse-nous dormir, on a besoin de calme, il fallait payer votre loyer pour ne pas se retrouver dans cette galère.

Loa avec sa grande gueule les insultant, je ne vous ai rien demande.

Un dans l'immeuble appela la police qui arrivait aussi tôt, ils la délogeaient, prenait la clé, sans vouloir l'écouter.

Loa criant fort, pute de merde, papa je te haïr pour ce que tu nous fais vivre, maman et moi, je ne te pardonnerais jamais ça, j'espère qu'un jour on se verra !

Une fille qui n'était pas son amie dans l'immeuble, vient vers Loa, et lui dit : quand je les ai vu j'ai menti que vous me devriez des choses, donc ils m'ont laissé prendre ce que j'ai pu sauver, ils n'ont trouvé j'étais déjà dedans.

Je connais ta mère, ton père qui me donnait parfois l'argent pour que je puisse la garde, donc j'avais une clé, ta mère nous a sauvé en nous aidant ma famille et moi, on était dans la rue, en rentrant.

Demain si tu veux je te remettrais tout, voilà l'ordinateur, j'avais vu que ton père avait beaucoup changer, je voulais t'avertir comme tu ne m'adressais jamais de parole, on aurait dit que tu me fuyais donc je n'avais pas osé te déranger.

Elle lui répondu je m'appelle Juliane, on vie ici ma famille et moi depuis longtemps, on vie de la Suisse, je sais que tu t'appelles Loa, ta mère n'a que ton prénom dans sa bouche.

Juliane je vais vous accompagne, au fait vous allez dormir où ?

Loa pour l'instant même si je crois que je n'ai pas le droit de le faire, elle va venir dormir dans mon appartement.

Les bailleurs sont gentils, ils ne vivent pas ici, je les avais payés pour 2 années pour que je puisse être à l'aise, dans mes études, là je suis coince avec ma mère je n'ai pas l'argent pour la mettre au centre pour son cas, j'ai fait un stage là-bas, je ne veux pas, la plupart des soignants maltraitent ces personnes âges, c'est un tabou que l'on n'en parler pas trop parce que les portes sont fermées, on appelle ça : un silence derrière les portes.

Mais je sais là où elle va passer ses journées quand je vais en cours.

Juliane je vais t'accompagne tu es encore jeune pour vivre cette épreuve.

Tu sais que ta mère a droit à l'argent, comme ça va vous aider.

Elles arrivaient à l'immeuble de l'appartement de Loa, Juliane voulait partir, mais Loa refusa, et lui dit il fait très tard, tu appelles ta famille et leur dit que tu es avec nous.

Juliane averti ses parents qui acceptaient qu'elle puisse dormir chez son amie.

Elle n'avait pas dit le vrai prénom de cette copine peur qu'ils la menacent qu'elle puisse rentre.

Elle voulait tout reprendre à zéro, faire déposer tous ces fardeaux qui étaient sur ces épaules, et enlever cette charger.

En attrapant sa mère dans ses bras parfois, elle la portait sur son dos pour résoudre ce problème, elle ne voulait plus parler, elle avait coiffé de réussite, cette petite femme grande de taille, ne voulait plus qu'on l'écouter, grâce sa taille ; elle pouvait porte sa mère, personne ne pouvait pas savoir que cette petite n'avait que 16 ans.

Dans son corps d'enfant, Loa funambule sur ce fil qu'elle devrait traverse avec courage.

Loa "J'avais une idée de dernière chance parce que ça faisait des années depuis l'âge de 9 ans que j'essayais de connaître le succès, que je me trimballais de partout. J'arrivais à un âge où j'essayais d'avancer déjà 16 ans toujours pas de succès. Si ça ne fonctionnait pas cette fois-ci je n'allais plus être sur les réseaux, je me donne encore 2 années dedans pour quitter dans ce milieu, je me disais qu'il fallait que je vive autrement" déjà je fais mes études de sage-femme, je ne vais pas le quitter même si j'ai du succès. Elle représentait vraiment ce que j'étais en train de vivre.

"Je n'en ai jamais parlé mais je m'étais vraiment battu il ne faut jamais abandonner ce qu'on a commencé à faire !

Loa « Je ne vieillis pas" vu comme ma vie commence, c'est comme un parapluie qu'on arriver pas à fermer et quand le vent arriver emporterait tout sur mon passage dans ma vie, parce qu'elle n'est plus solide.

Même si elle va "trop mal" et qu'elle n'a "plus la possibilité de s'intéresser à des sujets trop compliqués."

Loa, j'avais ressenti une grande détresse sur ma mère." La peur peut être surestimée quand on refuser de les écouter. Parce que je le ressens aussi, nous, nous aimons tous à la haine.

Même s'il peut sembler si difficile maintenant, j'avais le sentiment que nous n'est pas destiné à vivre de cette façon maman, pourquoi la vie peut être belle avec les yeux et après ces yeux pleurent des douleurs aux souffrances faites par nous-même qui sommes humaines.

Nous semblons si perdus et fatigués de ces moments de galères interminables.

Bien ce qu'est un prix à paye de trouver qui est à blâmer dans ces moments où nos regards se perdent dans les ténèbres que la lumière c'est envoler.

Devenir le miroir de sa propre vie et être un animal féroce, elle vient de voir le vrai visage des cœurs des hommes.

La mort ou atteindre son destin, il y aucun endroit au monde qu'il aura la sécurité à cent pour cent.

Tenter la traverse du désert de sa propre vie ou ma traverser d'une rivière sans bateau, sera très difficile il faudra savoir où trouver le tunnel de la réussite, tout ce qu'elle faisait sur les réseaux sociaux ne marchait pas du tout mais avait la foi qu'un jour s'allait marchait, ne pas savoir si la vie va nous donner une chance de vivre longtemps des cicatrices au corps et au cœur.

"Laisse-moi te parler de la ville où ton père et moi sommes tombés amoureux". Un souvenir de famille qui a viré au cauchemar pour la jeune maman. Selon bon nombre d'internautes, lui disait sa mère ses moments que sa mémoire pouvait lui donner comme signaler.

C'est quelque chose de normal, qui se produit tous les jours. Partout dans le monde. Et si je décide de publier ces photos, c'est mon choix". Indignée par la polémique, elle estime que "si quelqu'un de malade sur internet croit que c'est de la pornographie, c'est son problème, pas le mien". "Je refuse de vivre ma vie en ayant peur de ce que cette personne pourrait faire sur internet, la peau à peau" est "l'une de mes choses préférées" : "Ça produit des hormones qui nous aident à avoir un lien encore plus fort".

Quant à sa fille, elle précise qu'elle est là "où elle devrait être", c'est-à-dire dans "mes bras".

Loa ; « ... Il nous est difficile d'envisager de vivre l'un sans l'autre, et nous nous organisons pour passer ensemble le plus de temps possible, mais non, nous n'allons pas nous marier. Je ne veux pas que les choses aillent trop vite... »

« ... J'ai un respect infini pour l'histoire d'amour qu'ont vécue durant vingt-trois ans ma tante et son mari : toute une vie... »

Sur leur rencontre et leurs rêves communs, pour la première fois, "Je suis en train de me soigner"... "Je suis en thérapie !

Comme c'est de bonne guerre, ce dernier n'hésite pas, à son tour!